La brigade de gendarmerie de Blangy-sur-Bresle au complet

Blangy-sur-Bresle. L’arrivée du chef Garry Flament a permis de compléter l’effectif de la caserne de gendarmerie.

La brigade de gendarmerie de Blangy-sur-Bresle au complet
Le major Levasseur et le chef Flament

Il y a un mois, le major David Levasseur, qui est originaire de la région dieppoise, avait pris le commandement de la communauté de brigades de Blangy-Aumale. Une nomination qui faisait suite au départ en retraite du capitaine Jean-Luc Tamion.

Après deux ans de service militaire en gendarmerie à Pacy-sur-Eure, David Levasseur intègre pour un an l’école de Chaumont en Haute-Marne, avant de rejoindre l’escadron de la gendarmerie mobile d’Aunay-sur-Odon, dans le Calvados. Début 2001, il est muté à Gisors, dans l’Eure. En 2006, il est nommé commandant de la brigade d’Étrepagny (qui appartient à la même COB), puis revient à Gisors au 1er janvier 2011.

À la tête de 20 gendarmes

Promu major au début de l’année 2014, il a postulé pour prendre le commandement de la COB de Blangy-Aumale. Le major se dit satisfait de ce premier mois à la tête de la COB qui est constituée de 20 gendarmes (13 à Blangy et 7 à Aumale). « Il y a un bon état d’esprit et le groupe est dynamique. »

Quant à ses missions prochaines, « on poursuivra notamment toutes les différentes actions préventives et répressives, en particulier concernant la conduite sous emprise de l’alcool ou de stupéfiants, indique-t-il. Des actions ponctuelles seront régulièrement menées sur les deux cantons. Nous prendrons également contact régulièrement avec les élus et avec la population ».

Le chef Garry Flament est, lui, arrivé mi août. Il a cet avantage d’arriver dans la vallée de la Bresle en connaissant parfaitement son responsable. « En effet, j’arrive également de la brigade de Gisors où le major Levasseur était mon chef », précise-t-il.

Originaire d’un petit village du Pas-de-Calais, il est satisfait de cette mutation en milieu rural. Il est actuellement pacsé et a deux enfants de 4 et 1 ans. Après 12 ans dans la gendarmerie, le chef Flament se dit épanoui professionnellement et surtout passionné par son métier « car il n’y a pas de routine », même s’il reconnaît « qu’il faut être disponible car il y a beaucoup d’engagement ».

Source : Paris Normandie

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