Décapitation, peut-être que…
On nous montre à longueur de temps des images de cadavres mais on nous cache l’horreur absolue quand il conviendrait de nous la montrer…
Peut-être que :
Si, dans les années 20, on avait clairement et publiquement condamné les passages du livre « Mein Kampf » comme des incitations à commettre des crimes contre l’Humanité, aurait-on pu éviter que cet affreux petit bonhomme puisse accéder au pouvoir ?
Si, dans les années 30, on avait osé montrer Hitler une bouteille de Zyklon B à la main, aurait-on pu changer le cours de l’histoire ?
Si, dans les années 40, on avait largement diffusé, et si on avait continué à le faire, l’hommage de Thomas Mann à Sophie Scholl (et à son frère) décapitée ce 22 février 1943 à Munich par les bourreaux nazis, aurait-on pu faire éteindre dans l’œuf les émergences de toutes les formes de totalitarisme ?
Le Coran (et ses Hadiths) sont des manuels à suivre à la lettre par leurs adeptes ; ils contiennent, entre autres, des ferments bien réels d’incitations à des actes inhumains contre les apostats, les incroyants (appelés mécréants), les femmes infidèles qu’attend-on alors pour condamner et donc interdire leurs publications ?
Par quelle perversité de style, relevant de l’antiphrase, a-t-on pu condamner ceux qui osaient présenter les images atroces du totalitarisme vert en action au motif d’apologie du terrorisme, alors que justement ce geste avait pour but de dénoncer ces actes de barbarie ?
Sur cette trajectoire de cette hypocrisie d’Etat :
Va-ton encourager à déposer des fleurs et à allumer des bougies sur les lieux de ce crime abominable pour dédouaner nos consciences ?
Va-t-on nous refaire le coup du « Nous sommes tous Conflans », et comme les manifestations de plusieurs milliers de personne sont interdites, va-t-on nous demander d’applaudir tous les soirs à 2I heures, l’heure du désormais couvre-feu, ce martyre en signe de rédemption symbolique de notre communauté ?
Va-t-on apposer une plaque avec cette mention « Mort héroïquement pour avoir assumé jusqu’au sacrifice suprême sa mission d’enseignant » sans jamais oser mentionner le vrai motif inhumain ?
Cachons ce sang que nous ne saurions voir, disent les politiques et leurs médias asservis mais si la comédie tente de corriger les mœurs par le rire, la tragédie elle peut peut-être le faire par l’image !
Nous en avons assez de ces faux-semblants, nous voulons des actes concrets (refuser le retour des terroristes sur le sol national, supprimer toutes les aides aux familles d’extrémistes islamistes patentés, filtrer et contrôler l’immigration, faire signer un pacte d’acceptation de nos principes d‘organisation et de vie aux représentants de la communauté musulmane en France, interdire l’expression des imams non reconnus par l’Etat français, sanctionner sévèrement toutes les expressions de la taqiya (en tant que dissimulation de sa foi dans un but de conquête), contrôler les financements des Etats étrangers islamiques etc.) pour protéger nos citoyens avant que les drames récurrents ne se produisent, et extirper les germes de ces atteintes aux droits de l’Homme et Citoyen, puisque c’est la nouvelle religion à laquelle nous devons nous soumettre…
Quant aux appels pressants du chef de l’Etat à la cohésion nationale, visant à « faire bloc » pour reprendre ses propos, ils sont à situer sur la trajectoire permanente de la diminution des responsabilités individuelles et collective au profit du principe flou de la solidarité, par glissement vers le registre spécieux du compassionnel.
Nous y répondrons quant un nombre suffisamment important de membres de l’Oumma (selon la définition publiée couramment sur les serveurs informatiques en tant que « communauté des musulmans, indépendamment de leur nationalité, de leurs liens sanguins et des pouvoirs politiques qui les gouvernent ») dénonceront, pour les condamner sans ambiguïté, ces atteintes à notre République démocratique, laïque et solidaire…
Patrick VERRO
Source : Volontaires Pour la France
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