WatermarksGate
Nous assistons médusés depuis mardi dernier au déroulé chaotique et controversé des élections américaines..
Mardi soir heure française, je me mets au lit, après un œil sur les premiers résultats qui montrent une avance confortable de Trump partout. Je dors sur mes deux oreilles, confiante qu’au réveil, le dernier rempart contre la République Sanitaire de Bill Gates et l’Empire de Georges Soros obtiendra le mandat qui lui permettra de mettre au jour l’immense corruption qui régit notre monde.
La pilule fut certes un peu amère au réveil.
Néanmoins, compte tenu que mon gouvernement m’a empêchée de m’occuper de mes affaires ces derniers mois, j’ai eu tout le temps nécessaire pour étudier l’art et la manière de Donald Trump, qui n’aime rien moins que d’attraper les corrompus par la queue tels des souris vertes (peut-être même est-ce là le contexte de la fameuse tirade qui fit de lui le cuistre mondial quand on sait que la corrompue qu’il préfère est une femme), et de les surprendre la main rougie comme des bleus..
Dès mercredi, des dizaines de vidéos inondent le web montrant des bulletins détruits par les flammes ou abandonnés dans des bennes à ordures, des sacs entiers de bulletins qui apparaissent au milieu de la nuit, une sombre histoire de feutres distribués dans certains bureaux dont l’encre n’était pas détectée par les machines, des assesseurs empêchés de constater le dénombrement et la validité des bulletins, perchés à 10 mètres des tables de dépouillement avec des jumelles et, sur les cartes mises à jour en temps réel, les chiffres qui bougent, bondissants, en faveur de Biden cette fois, et le nombre de grands électeurs remportés par chacun des candidats, pour ne laisser subsister de doute que dans les états charnière, ceux qui ne sont historiquement affilés à aucun des deux partis principaux et qui peuvent, selon les années et les candidats, basculer d’un côté ou de l’autre.
Et puis, curieusement, les chiffres ne bougent plus que très peu, les média éructent leur sempiternelle ritournelle au mot près, comme d’habitude « Donald Trump false claims » les accusations fausses de Trump, il est censuré abondamment par Twitter qui s’offre le luxe, perdu pour perdu, de supprimer un Tweet sur deux et, sur les chaînes d’information continue, on prend sur soi d’interrompre la diffusion de la conférence de Presse du Président des États Unis en soutenant que l’on ne peut continuer à diffuser pareil tissu de mensonges.
Biden lui-même n’a pas osé se proclamer élu, lui qui déclarait devant les caméras, un jour où sa fragilité cognitive lui jouait un mauvais tour, « qu’ils avaient mis au point, lui et l’administration Obama, un vaste système de fraude intégrée ».
Faisait-il allusion aux backdoors dans les logiciels développés par une société dont la liste d’actionnaires est fascinante ; au « glitch » qui, pour un problème de tabulation, a changé la couleur de 6000 suffrages dans un conté du Michigan, aux listes électorales ici et là qui incluent des personnes décédées depuis, pour certaines très, très longtemps, 21000 rien qu’en Pennsylvanie où, par ailleurs, 800000 bulletins de vote par correspondance ont été envoyés par deux fois ?
Ou bien avait-il simplement confiance en Marc Zuckerberg qui finance avec son épouse le Centre pour la Vie Technologique et Civile, responsable de l’organisation des élections et de la formation des dépouilleurs dans plusieurs états, sans doute pas ceux qui ont été filmés en train de changer les votes ici et là. « Exploiter la technologie pour pousser la démocratie au 21e siècle » promet leur page d’accueil. Que ferions nous sans les philanthropes ?
Mitt Romney qui s’exclame que « Trump a tort de dire que l’élection à été compromise, corrompue et volée, cela abime la cause de la liberté ici et autour du monde, et inévitablement, cela va enflammer des passions dangereuses et destructives ». Si j’osai, je ferai un peu de mauvais esprit en notant que l’on peut tout d’abord se dire que nulle part Romney ne nie que l’élection puisse être frauduleuse et peut-être même que cela pourrait sonner comme une menace qui serait moins bien passée dans la bouche d’un démocrate.
Parce qu’il faut bien se rendre à l’évidence, n’en déplaise aux politisés : cette élection représente infiniment plus que les républicains contre les démocrates.
Trump ainsi que certains joueurs clef comme son fils ou Mike Flynn ont lancé un appel que certains interprètent comme une chance de choisir son camp avant que le couperet ne tombe.
« Défendrez-vous la Constitution ou le Deep State ? dernière chance… »
Malgré le vacarme médiatique, le silence se fait autour des résultats, qui, à l’heure où j’écris ces lignes, plus de 4 jours après les élections, résultats qui semblent se figer comme si, le temps passant, il semblait que finalement, la fraude était bien réelle et que les tricheurs n’allaient pas s’en tirer comme ça, que le « crétin orange » avait peut-être préparé des contremesures en amont de l’élection et qu’être le premier à proclamer les résultats pourrait être juridiquement suicidaire.
La rumeur a parlé de Watermarks, filigranes impossibles à reproduire sans matériels d’imprimerie bien spécifiques, qui, comme en balistique, laissent une trace permettant l’identification de l’imprimante, aux US ou ailleurs, mais également d’un marquage QLS blockchain inviolable, mis en place par la sécurité nationale, qui devrait permettre de retracer la vie, les trajets et tribulations de chaque bulletin officiellement émis, et par conséquent d’éliminer très surement les autres.
Quant à la partie « machines », le logiciel incriminé dans ce comté du Michigan a été utilisé par 47 autres contés et sans doute dans d’autres états, il va sans dire que partout, les vérifications seront faites. Ces machines produisent, à chaque activation, une image qui est stockée dans les disques durs et qui permettront également de vérifier l’intégrité de chaque vote. S’il advenait que ces images, pour une raison ou une autre, ne puissent être produites, l’élection serait à recommencer dans l’État concerné, selon la Constitution.
Les logiciels qui, d’après Sidney Powell, utilisent des algorithmes pour attribuer des votes en fonction du résultat escomptés, seront sans nul doute étudiés à la loupe par les personnes compétentes.
Les soldats digitaux, en rangs serrés, répondent à l’appel de l’équipe de Trump et rassemblent tous les commentaires, témoignages et vidéos présents sur la toile, et les plus pointus d’entre eux étudient les courbes de résultats à la loupe et démontrent les aberrations mathématiques.
La Cour Suprême a déjà ordonné aux responsables en Pennsylvanie de séparer et sécuriser les bulletins arrivés après la fin du délais, la Géorgie a annoncé qu’elle recompterait tous les bulletins… dès qu’elle aurait retrouvé les 8000+ bulletins militaires disparus.
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