Vont-ils réussir le grand ménage ?

Par Patrick Ledrappier

Dr Marty Makary (FDA) – Pamela Bondi (DOJ) – Dr Dave Weldon (CDC)

États-Unis : des nominations qui peuvent faire très mal à nos ennemis, aux ennemis de nos droits d’être humain et de nos libertés fondamentales

Pourquoi faut-il s’intéresser aux nominations gouvernementales de Donald J. Trump aux États-Unis ?

   Pourquoi ces nominations sont-elles si importantes pour les Français et les Européens en général ?

   La réponse est assez simple : corruption étatique.

   Depuis le départ d’Obama de la Maison-Blanche (20 janvier 2017), la corruption des États occidentaux, c’est-à-dire la corruption des politiciens et des hauts fonctionnaires occidentaux, est contrôlée et dirigée par :

– Les cliques Obama, Clinton, Biden, & Co., qui disposent de la pleine puissance étatique des États-Unis lorsqu’ils contrôlent le Congrès et occupent la Maison-Blanche, mais qui se contentent du pouvoir de « Deep State » (État Profond) quand cela n’est plus le cas, ce qui arrivera le 20 janvier 2025 à midi, jour et heure de l’investiture de Donald J. Trump comme nouveau Président des États-Unis (s’ils n’ont pas réussi d’ici-là à déclencher la Troisième guerre mondiale, ou s’ils n’ont pas réussi à assassiner Donald J. Trump et à instaurer l’état d’urgence).

   – Les cliques de Bill Gates et de George Soros, & Co., qui disposent de la puissance financière internationale liée au dollar et qui contrôlent les principales agences spécialisées des Nations Unies, dont l’OMS, ONUSIDA, l’UNESCO, ainsi que la Cour européenne de Justice. Ajoutons qu’ils peuvent également disposer, selon les situations, de la pleine puissance étatique des États-Unis lorsque leurs amis démocrates sont au pouvoir et qu’ils mettent cette puissance en partie à leur disposition.

Big Pharma, le lobby militaro-industriel et les grands fonds d’investissement sont au cœur de la corruption des politiciens et des hauts fonctionnaires occidentaux

   Au cœur de cette corruption internationale menée depuis les centres du pouvoir des États-Unis, se trouvent :

   – le lobby militaro-industriel, qui pille principalement les contribuables des États-Unis ;

   – Big Pharma, qui pille les contribuables et les salariés du privé, principalement aux États-Unis, dans les pays de l’Union européenne, en Australie et en Nouvelle-Zélande ;

   – les grands fonds d’investissement comme Vanguard et BlackRock qui pillent en Europe, et grâce aux politiciens an pouvoir, les industries et l’agriculture.

C’est la corruption qui finance « Deep State » (« État Profond »)

   Aux États-Unis, même si la majorité des petites mains de l’État Profond sont des fonctionnaires payés sur le budget du gouvernement fédéral ou sur ceux des États, son fonctionnement et ses ramifications internationales tentaculaires nécessite un financement qui pourrait atteindre plusieurs dizaines de milliards de dollars par an.

   Et d’où viendraient ces dizaines de milliards de dollars ?

   Principalement des commandes publiques de biens (armement, équipements divers, médicaments, dont les « va x ins », etc.) et de services (cabinets conseils comme McKinsey & Co., etc.).

11 500 milliards de dollars qui auraient été dépensés sans laisser la moindre trace comptable

   Tous les ans, le ministère de la Défense (Department of Defense) perd les traces comptables de plusieurs centaines de millions de dollars, lorsque ce ne sont pas des milliards.

   Depuis le lancement de ses premiers audits complets en 2018, le Pentagone n’a pas réussi à passer ses audits financiers.

   Le dernier audit en date, celui du 15 novembre 2024, a également échoué et le ministère a été incapable de rendre compte de 60% de ses actifs, ce qui représente une somme d’environ 2,46 billions de dollars (2460 milliards de dollars) non traçables, sur un total de 4,1 billions de dollars d’actifs au total.

   La valeur de l’armement et autres matériels expédiés à l’Ukraine n’a pas pu être établie avec précision, et le DoD a échoué à rendre compte de son budget de 824 milliards de dollars, peut-on lire dans les documents rendus publics.

   Entre 1998 et 2015, ce ne serait pas moins de 11 500 milliards de dollars qui auraient été dépensés sans laisser la moindre trace comptable, ce qui signifie qu’on ne sait pas sur quels comptes bancaires ils ont été virés, ni dans quel pays.

Le prix exorbitant de la modification d’une tour de lancement de la NASA : un surcout de 2,3 milliards sur un budget de 2,7 milliards ?

   Selon un audit dont la synthèse vient d’être publiée, la modification de la tour de lancement de la fusée SLS de la NASA, pour accueillir SLS Block 2, va dépasser les 2,7 milliards de dollars.

   À titre de comparaison, la tour de lancement de SpaceX qui permet d’intégrer la fusée et de la récupérer coûterait moins de 400 millions de dollars, une différence de 2,3 milliards de dollars.

   Pour réussir sa nouvelle présidence, Donald J. Trump devra tarir la source de financement de « Deep State »

   Tarir la source de financement de « Deep State », sera très vraisemblablement la principale mission du « Department of Government Efficiency » (DOGE) (« Département de l’Efficacité Gouvernementale »), dont la création et la direction seront confiés à Vivek Ramaswamy et Elon Musk.

   Si Vivek Ramaswamy et Elon Musk arrivent à assainir les finances du DoD (ministère de la Défense), les répercussions ne concerneront pas seulement le budget gouvernemental des États-Unis, mais également ceux des pays européens dont les gouvernements commandent du matériel militaire aux États-Unis.

   Le système des rétrocommissions, grâce auquel les politiciens et les hauts fonctionnaires chargés de ces commandes en bénéficient, sera-t-il affecté ?

Se débarrasser de « Deep State » Santé

   Autre programme, et pas des moindres, d’autant qu’il nous concernera directement, celui de la direction de la Santé publique dans la nouvelle administration Trump.

   Si Trump a nommé Robert Kennedy Jr. à la tête du « Department of Health and Human Services (HHS) » (Ministère de la Santé et des Services Humains), il a nommé le docteur Marty Makary à la tête de la FDA et le docteur Dave Weldon à la tête des « Centers for Disease Control and Prevention (CDC) » (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies).

   La FDA et les CDC font la pluie et le beau temps sur les mesures de santé publique prises par les gouvernements occidentaux

   Si officiellement la FDA délivre les autorisations de mise sur le marché pour les médicaments, les dispositifs médicaux, et d’autres produits de santé aux États-Unis, ces décisions ont une portée mondiale, car même Big Pharma Suisse et Big Pharma France se plient aux décisions de la FDA, afin d’avoir accès au marché intérieur des États-Unis.

   Et si avant la soumission de gouvernements français à la Commission de Bruxelles, il pouvait arriver, afin de protéger le circuit de corruption franco-français, qu’un médicament qui n’avait l’autorisation de mise sur le marché aux États-Unis, l’ait en France, comme avec le Médiator®©, à ma connaissance ce n’est plus le cas.

   Actuellement, et comme nous avons pu le remarquer à l’occasion de la fausse pandémie de « C19 », ce que la FDA décide, les autorités sanitaires françaises et européennes le décident également.

   Et il en est de même avec les CDC dont le principal rôle est de « protéger la santé publique et la sécurité des citoyens américains et de la communauté mondiale ».

Pour cela, les gouvernements des États-Unis leur ont confié :

   – La surveillance de la Santé publique : Les CDC surveillent et analysent les maladies infectieuses, les maladies chroniques, les blessures, les facteurs de risque de santé, et les événements de santé publique. Cela inclut la détection et la réponse aux épidémies et aux pandémies.

   – La prévention et le contrôle des maladies : Les CDC travaillent à prévenir et à contrôler les maladies, les invalidités et les décès à travers des recherches, des campagnes de vaccination, l’éducation publique, et des recommandations sur les pratiques de santé.

   – La recherche sur les maladies : Les CDC mènent et financent des études de recherche pour comprendre les causes des maladies, leur propagation, et les moyens les plus efficaces de les prévenir et de les traiter.

   – Les interventions d’urgence : En cas de crises de santé publique comme les pandémies, les épidémies, ou les catastrophes naturelles, les CDC interviennent pour fournir des directives, coordonner les réponses, et aider à contenir l’impact sur la santé publique.

   – La promotion de la Santé et la prévention : Les CDC encouragent des comportements sains pour prévenir les maladies et les blessures à travers des programmes d’éducation et de promotion de la santé.

   – Les politiques de Santé publique : Les CDC fournissent des données scientifiques et des analyses qui influencent les politiques de santé publique, non seulement aux États-Unis mais aussi mondialement.

   – La formation et l’éducation : Les CDC offrent des ressources éducatives pour les professionnels de la santé, les décideurs, et le grand public afin de promouvoir des pratiques de santé fondées sur des preuves scientifiques.

   – La recherche en laboratoires : Les laboratoires des CDC sont impliqués dans le diagnostic, la recherche sur les agents pathogènes et les toxines, et fournissent des services de recherche en laboratoire aux niveaux national et international.

La FDA et les CDC sont directement impliqués dans les désastres sanitaires provoqués par les « va x ins », et ils ont été à la solde de Pfizer & Co. lors de la fausse pandémie de C19

   Ajoutons qu’alors que ces organismes avaient à leur disposition les données de Pfizer, qui démontraient que les injections d’ARNm ne protégeaient de rien, mais qu’elles provoquaient des maladies graves, des accouchements prématurés et des décès, ils ont publiquement affirmé que ces injections protégeaient et qu’ils étaient sans dangers.

   Et lorsque des associations de médecins ont voulu avoir accès aux données de Pfizer transmises à FDA, ses responsables ont essayé d’en faire interdire la publication par la justice pendant 75 ans…

   Ils voulaient que la justice cache leurs crimes pendant 75 ans, mais aux États-Unis cela n’a pas marché, alors qu’en France, n’en doutons pas une seconde, cela aurait été le cas.

Dr Marty Makary (FDA) – Pamela Bondi (DOJ) – Dr Dave Weldon (CDC)

Déclaration du docteur Marty Makary nommé à la tête de la FDA :

   « Le plus grand responsable de la désinformation pendant la pandémie de Covid a été le gouvernement des États-Unis. Les responsables de la santé publique ont été intellectuellement malhonnêtes. Ils ont menti au peuple américain. »

   Vous imaginez un responsable politique qui serait nommé à la tête du ministère de la Santé en France et qui ferait une telle déclaration ?

   N’essayez pas, car tant que nous n’aurons pas renversé la table, cela ne se produira pas.

   Le docteur Dave Weldon : « Il faut éliminer les produits toxiques comme le mercure des vaccins »

   Le docteur Dave Weldon est connu pour son travail législatif constant en faveur de l’interdiction des brevets sur les embryons humains ainsi que pour sa reconnaissance de l’existence de produits hautement toxiques dans les vaccins.

   Il est d’ailleurs favorable au financement fédéral d’études sur les liens potentiels entre les vaccins, le mercure et l’autisme.

   En annonçant sa nomination, Donald J. Trump a salué l’engagement de Weldon à remédier aux « erreurs passées » dans la gestion de la santé publique.

Un vaste programme.

Pamela Bondi au ministère de la Justice : elle a défendu Trump lors de son premier procès en destitution en 2020

   L’ex Procureur général de Floride (de 2010 à 2019), a dénoncé la fraude électorale de 2020, en particulier en Pennsylvanie.

   Avant cela, elle s’est fait connaître dans tous les États-Unis en révélant que les opioïdes causaient la mort de 15 personnes par jour en Floride.

   C’était à l’occasion des poursuites en justice qu’elle a engagées contre les fabricants d’opioïdes et contre laboratoires pharmaceutiques qui les commercialisaient : Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Janssen Pharmaceuticals (une filiale de Johnson & Johnson), Cephalon, Allergan, ainsi que des distributeurs comme AmerisourceBergen, Cardinal Health, et McKesson.

Quoi que fasse ce trio de choc en matière de santé publique, attendez-vous à ce qu’en France cela soit fortement décrié par les politiciens au pouvoir, par les hauts fonctionnaires de la Santé publique, par les « médecins » de plateau télé et par les « journalistes » subventionnés.

   Cela ne pourra nous indiquer qu’une seule chose : c’est que sous la direction de Robert Kennedy Jr., Marty Makary, Pamela Bondi et Dave Weldon seront en passe de réussir le grand ménage qu’il faut impérativement faire dans le milieu corrompu de la santé publique aux États-Unis.

   Il appartiendra alors à chacun d’entre nous d’en tirer des leçons, et pourquoi pas, un programme.

Patrick Ledrappier
Président co-fondateur
Libre Consentement Éclairé

Source : Libre Consentement Eclairé

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