Vont-ils buter Bardella ?
Par Alexandre Gerbi
Jusqu’à présent, la stratégie du RN incarnée par Jordan Bardella est un sans-faute. Résultat, le premier parti de France est crédité, avec ses alliés LR, de 35 % à 37 % des intentions de vote. Si le bras droit de Marine Le Pen continue d’éviter les pièges et les faux pas, et bien sûr si lui et la patronne du RN ne sont pas des imposteurs comme tant d’autres, leur arrivée au pouvoir serait un séisme politique sans précédent. Avec des conséquences gigantesques. Pour la France bien sûr. Mais aussi bien au-delà.
L’onde de choc serait européenne et finalement mondiale. La puissance française a beau ne plus être que l’ombre d’elle-même, la France demeure, politiquement et historiquement parlant, une des nations qui comptent le plus à l’échelle planétaire, qui est celle des siècles et des millénaires, non celle de notre seule et minuscule année 2024. En outre, en cas de changement de cap radical du gouvernement Bardella, les montants en jeu seraient aussi vertigineux. Des milliers de milliards cumulés. Un énorme fromage dont seraient dépossédés les prédateurs et les charognards, les donneurs d’ordres de Macron. Washington, BlackRock, Davos et compagnie, auxquels la France et les Français sont jetés en pâture. Mais à ce petit jeu de la haute trahison, si d’aventure un chevalier blanc arrivait aux affaires, les casseroles monumentales que certains trimbalent les rendraient extrêmement vulnérables et passibles de très longues peines de prison.
Ça tremble dans les hautes sphères, ma bonne dame ! Bref, à ce niveau d’enjeux : politique, géopolitique, financier, judiciaire, etc., enjeux chaque fois cyclopéens, une question se pose : le Système laissera-t-il faire un chambardement qui le priverait de tant de pouvoir et de si grandes montagnes d’or ? Autrement dit, si malgré les forêts de bâtons qui sont mis dans ses roues, Jordan Bardella parvient à se maintenir voire, ce qui serait nettement plus casse-gueule, à monter encore dans les sondages, risquerait-il d’être éliminé de la course à Matignon par des moyens plus expéditifs ? Pour la faire courte : vont-ils buter Bardella ? Tentative de réponse à une drôle de question…
La France de Macron est dans la main de Washington. C’est ce que pensent les Africains, les Sud-Américains, les Russes, les Chinois, les Arabes, les Indiens, bref, c’est ce que pensent les chancelleries du monde entier. Toute la planète est au courant. Sauf le peuple français.
Bien sûr, en France, nous sommes de plus en plus nombreux à avoir compris que Macron est un agent états-unien. L’actuel président de la République est membre de la French American Foundation, organisation notoirement liée à la CIA, comme l’était son prédécesseur, François Hollande, et comme le sera probablement son successeur : Laurent Wauquier et Edouard Philippe sont aussi de la maison…
Inconcevabilité de la haute trahison
Mais pour l’heure, nous autres qui savons que la France est un protectorat américain (protectorat ô combien funeste quand on sait la malveillance historique des Etats-Unis à l’égard de notre malheureux pays, « avec des amis pareils, on n’a pas besoin d’ennemis », selon l’amusant adage), nous restons très minoritaires. Car les médias le cachent. Motus et bouche cousue.
Résultat, dans son ensemble, le peuple français n’a pas conscience de cette réalité. La grande majorité des Français pensent naïvement que Macron et Hollande sont plus incompétents ou impuissants que méchants, et que ces deux larrons en foire ont, malgré tout, le souci de l’intérêt national. Suivant la même pente, la grande majorité de nos compatriotes n’envisagent pas que Jupiter et Flanby soient des traîtres purs et simples, déterminés à piller la France, ruiner l’économie et l’État, et dépouiller les Français pour enfin les asservir. Tout ceci paraît inenvisageable à la plupart d’entre nous. Au fond, Sarkozy a bien fait d’abolir le crime de haute trahison, puisque si la majorité du peuple pense que la haute trahison est inconcevable, c’est qu’elle ne doit pas pouvoir exister au beau pays de France. En revanche, à l’étranger, le crime de haute trahison reste à peu près partout considéré comme une turpitude bien réelle et passible des plus hautes sanctions…
Suivant une candeur connexe, les Français croient encore, peu ou prou, à la souveraineté de l’État français. Grâce au travail de nombreux acteurs de la Toile, notamment de François Asselineau (malgré tous ses efforts absent la présidentielle 2022 et pratiquement interdit de plateau de télé à longueur d’années…), de plus en plus de citoyens se rendent compte que les politiques de nos gouvernements sont largement soumises aux exigences de l’Union Européenne (UE). Mais bien peu ont vraiment conscience que celle-ci n’est qu’un instrument dont usent les Etats-Unis pour accroître encore leur exorbitante emprise sur la France, sur son appareil d’État et sa sphère médiatique qu’ils contrôlent également de l’intérieur. Bref, bien peu de Français la voient, alors que cette réalité saute aux yeux par l’ampleur de ses méfaits.
On pourrait écrire des livres entiers sur la question. Il en existe d’ailleurs déjà beaucoup. Bornons-nous à constater qu’au delà de l’appartenance de nos dirigeants à une organisation, la French American Foundation liée à la CIA, il est patent que l’État français est retourné contre les intérêts du peuple, mais aussi contre ceux de l’Etat lui-même et du Pays tout entier. Là encore, beaucoup de livres pourraient être écrits, et sont d’ailleurs écrits, sur le sujet. Y compris sur leurs mécanismes sous-jacents, comme par exemple Le Grand Echiquier de Zbigniew Brzezinski.
Florilège de hautes trahisons
L’affaire Alstom, à elle seule, aurait dû barrer la route du pouvoir au ministre de l’Economie, membre de la French American Foundation, Macron. C’est exactement le contraire qui s’est produit. En 2016-2017, le membre de la French American Foundation (FAF) Hollande étant entièrement discrédité aux yeux de l’opinion publique après une présidence lamentable faite de mollesse, de grotesque saynètes et surtout de hautes trahisons, passa le témoin à Macron en lui caressant, le jour de l’investiture, la nuque comme à son fils. Incapable de se représenter pour cause d’impopularité, ayant transmis le trône à un homologue de la FAF qui était sa créature en politique (Attali et Sarkozy pouvant aussi en revendiquer quelques titres), l’agent états-unien Hollande noya le poisson de cette fabrication-collusion, de ce passage de témoin flagrant entre agents, par l’invention de toutes pièces d’une trahison macronienne que goba sur-le-champ le Tout-Paris journalistique.
Signe que cette opération, loin d’être vécue comme une trahison, était au contraire savamment orchestrée en haut lieu, notamment par le PS et donc Hollande lui-même, le nécessaire fut fait pour aider Macron : le parti présidentiel investit comme candidat un personnage jouant le rôle d’un extrême-gauchiste en carton pâte, Benoît Hamon, dont le profil supposé présentait le double avantage de laisser un boulevard à Macron tout en plombant Mélenchon. Pour finir, en tripotant les médias et la justice, l’Elysée dégomma Fillon, dernier obstacle à Macron, et impardonnable vainqueur, à la primaire de la droite, du membre de la French American Foundation Alain Juppé.
Bref, ayant livré, avec la bénédiction de Hollande, Alstom et ses turbines au géant états-unien General Electric, hypothéquant au passage la souveraineté énergétique de la France, Macron a achevé de s’ouvrir toutes les portes, à savoir celles de l’Elysée.
Cette logique de la haute trahison récompensée – livrer Alstom aux Américains et bénéficier de leurs appuis tentaculaires pour se faire élire dans la foulée chef de l’Etat – devrait ouvrir les yeux de tous quant à la manière dont les choses se passent de nos jours en France, et sur les logiques qui y président. Mais on me dit dans l’oreillette qu’il n’en sera évidemment rien, aucune prise de conscience collective n’étant à espérer jusqu’à nouvel ordre de ce côté-là.
Un rêve me vient soudain
J’imagine Bruno Le Maire plaidant coupable lors de son procès en l’an 2026, deux ans après la victoire aux élections législatives du RN et de Jordan « Hercule » Bardella, nettoyeur des écuries d’Augias de la Ve République :
« Je ne touchais plus le sol. A Bercy, plus aucun d’entre nous ne touchait le sol. Nous étions sur l’Olympe aux côtés de Jupiter. Nous dominions la plaine et nous toisions la plèbe, le marais des Français depuis le haut de nos nuages. Ces centaines de milliards d’euros que nous brassions au nom de ce peuple hagard et stupide que nous manipulions jusqu’à la nausée et dont nous faisions les poches, ces sommes vertigineuses que nous empruntions en son nom aux géants américains et que nous brûlions aussitôt en toute impunité, nourris de tant de mets et des vins les plus fins, tout cela nous grisait jusqu’à la déraison. »
Braquage énergétique
Autre haute trahison d’envergure titanesque : l’ARENH (« Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique »). Cette gigantesque escroquerie initiée sous Sarkozy, déployée par Hollande et aggravée par Macron, qui consiste à engraisser (le mot est faible) quelques intérêts privés dits « fournisseurs alternatifs », au détriment, à la fois, d’EDF, des entreprises françaises de toutes tailles, des artisans et commerçants jusqu’aux plus modestes, et des Français en général, jusqu’aux plus modestes également. Un scandale gigantesque très officiellement mis en évidence en 2022 et 2023 devant la commission d’enquête parlementaire « visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France [sic] ». De nombreuses personnalités de premier plan, notamment Henri Proglio, ancien patron d’EDF, y ont fait des révélations fracassantes. Sans aucune conséquence, bien entendu, pour les intéressés, à commencer par Hollande et Macron.
Bardella a promis d’en finir avec ce braquage d’envergure nationale. Si la promesse est tenue jusqu’au bout, c’est-à-dire si l’on en revient à la situation idyllique des années 2000, ce sera en soi une révolution. Et un énorme bol d’air immédiat pour le Pays tout entier. Et un gros gâteau de perdu pour les petits malins qui s’en mettent actuellement plein les poches sur notre dos avec la bénédiction de la Commission Européenne…
L’escroquerie géante covidienne
Dans la famille Haute trahison, je demande l’escroquerie covidienne. Son coût exact est difficile à établir. De Macron à Le Maire en passant par Dussopt, 600 milliards d’euros, 424 milliards, 240 milliards, 200 milliards… divers chiffres ont circulé. Retenons le montant le plus faible : 200 milliards d’euros. Cette somme dépasse l’entendement. Comparez le pouvoir d’achat d’un euro et celui de 200 000 euros. On saisit bien la différence. C’est la même qu’entre un million d’euros et deux cents milliards. Soit un million d’euros multiplié par deux cent mille (200 000). Alors on mesure l’ampleur totalement démentielle de ce montant de 200 milliards d’euros du « quoi qu’il en coûte » devenu la « dette Covid ». Ce chiffre ne tenant pas compte, évidemment, des dévastations bien réelles, depuis les innombrables dépôts de bilan d’entreprises jusqu’au suicide de simples particuliers, ni des coûts divers, tests, injections, manque à gagner en recettes fiscales, etc.
Tout cela pour quoi ? Pour un virus dangereux presque uniquement pour les personnes âgées ou très âgées et/ou frappée de comorbidités. Mais qui fut présenté, contre toute raison, comme une épidémie extraordinairement dangereuse et meurtrière. Or en mars 2020, mois où fut imposé le premier confinement, cette dangerosité très limitée du Covid était clairement établie (voir ici, ici, ici et ici). Il n’y avait par conséquent strictement aucune raison de confiner et de masquer tout le pays pendant des mois. Ni de bloquer ou de freiner l’activité, quitte à ravager ainsi l’économie, en amortissant le scandale et en apaisant les colères à coup d’emprunts colossaux. Lesquels torpillèrent, « en même temps », les finances publiques dans des proportions et à un rythme encore jamais vus. Tout en piétinant, « en même temps », d’une manière inédite les libertés fondamentales. Le tout couronné, « en même temps », par la gravissime escroquerie des injections à tous, obligatoire sous peine de perte d’emploi et d’interdiction de vie sociale, jusqu’aux clubs sportifs y compris pour les jeunes. Pour entrer dans les bars, les restaurants, les cinémas, etc., il fallait obligatoirement avoir le « passe », obtenu en échange de l’injection d’un produit expérimental et non testé selon les normes habituellement en vigueur. Avec pas mal de dégâts à la clef (AVC, myocardites, thromboses, cancers, Creutzfeld-Jacob, etc.). Mais les médias mainstream n’en parlent pas… Toujours motus et bouche cousue…
De la bien belle ouvrage
Ce ne sont là que quelques aspects des innombrables escroqueries en leurs multiples facettes, des plus petites aux plus gigantesques, qui caractérisent le régime décadent actuel.
On aurait pu y ajouter, en vrac, l’escroquerie ukrainienne (avec pour conséquence le martyre de l’Ukraine et du peuple ukrainien) et son coût pour la France et les Français, mais aussi pour les Européens, coût là encore pharamineux ; la répression sanglante des Gilets Jaunes ; le pillage permanent de la Sécu au profit de Big Pharma ; l’affaire Benalla ; l’affaire Fact&Furious ; l’affaire McKinsey ; l’affaire Bohemian Club, etc. (Je ne m’embête pas à intégrer des liens hypertextes, tous ces sujets sont abondamment et solidement documentés et accessibles en quelques clics via Google).
Bien entendu, et on l’a dit, le montant de ces escroqueries et de ces hautes trahisons se chiffre en centaines, en milliers de milliards d’euros cumulés, et se paye d’un torrent de malheurs individuels et de désastres humains équivalent à celui d’une guerre. D’ailleurs, comme en temps de guerre, la dette s’accroît au rythme gullivérien de 300 millions d’euros par jour, pendant que se suicident les paysans, les flics ou les simples particuliers. Un milliard d’euros qui part en fumée tous les trois jours et accroît un peu plus la dette que nous laisserons aux petits Français à naître ou déjà nés. Ce qui s’appelle de la bien belle ouvrage…
Les écuries d’Augias et Jordan « Hercule » Bardella
Quand on voit l’ampleur de la choucroute, on comprend que ceux qui s’en goinfrent n’aient pas envie d’en être privés.
Mais il y a plus : à énumérer les innombrables scandales relevant de la haute trahison que trimbalent Macron et toute une ribambelle d’hommes politiques ayant collaboré avec lui, mais aussi de hauts fonctionnaires (ces derniers pourront plaider face aux juges qu’ils appliquaient les ordres…), on comprend que l’arrivée au pouvoir du RN puisse inquiéter pas mal de monde. En France bien sûr, mais tout autant, on l’a compris, en Europe et outre-Atlantique.
Évidemment, si Marine Le Pen et Jordan Bardella ne sont que de nouveaux imposteurs qui ne rêvent du pouvoir que pour s’en mettre plein les fouilles, s’ils sont achetables aux îles Caïman, si l’amour de la France et du peuple français n’est pour eux qu’un fonds de commerce électoral permettant d’accéder à leur part de bonne soupe, alors le Système peut dormir sur ses deux oneilles, comme disait le Père Ubu, et Macron et consorts avec lui. Et la déposition-confession imaginée plus haut de Bruno Le Maire devant le tribunal n’aura jamais lieu.
A contrario, si Marine Le Pen et Jordan Bardella sont incorruptibles, s’ils ont, comme ils l’affirment, chevillé au cœur et à l’âme l’intérêt national, c’est-à-dire le salut de la France et le bien-être, le bonheur, la liberté des Français, leur arrivée au pouvoir serait une catastrophe pour le Système.
Quand on voit tous les moyens mis en œuvre, médiatiques et même judiciaires, pour rediaboliser autant que possible le RN afin de l’empêcher d’arriver au pouvoir, on mesure l’ampleur des craintes que ce même RN inspire au Système. Si cette peur est feinte, reconnaissons qu’elle est drôlement bien imitée. Tellement bien imitée qu’elle donne envie de la prendre pour vraie. Et d’espérer que le RN, s’il reçoit les rênes du Pays, se donnera vraiment les moyens de nettoyer les écuries d’Augias.
Vox populi
La Vox Populi prit enfin conscience de la situation et s’exclama tout à coup, d’une voix de stentor :
« Mais alors, puisque le pillage est gigantesque et qu’ils ont tant à craindre, dans l’hypothèse où les Français seraient déterminés à donner une majorité absolue au RN à l’Assemblée nationale, le Système laissera-t-il faire ? Pourra-t-il se payer le luxe de laisser faire ? Aura-t-il d’autre choix que d’empêcher que la chose se fasse ? »
La réponse semble couler de source. A supposer que le peuple s’obstine à vouloir prendre pour chefs Marine Le Pen et Jordan Bardella, ceux-ci, selon toute vraisemblance et comme disait je ne sais plus quel nazi, « entreront dans la zone des balles dans la tête ».
Mais, âmes sensibles, rassurez-vous : pour peu que tout se passe comme prévu par Macron, c’est-à-dire par le Système, les Etats-Unis, BlackRock et les Ploutocrates, si tout roule, le sang n’aura pas besoin de couler. Les alliances contre-nature de la macronie et de la gauche, les complicités hypocrites et croisées de tout ce qui piaille à Paris, la propagande, le feu médiatique, sportif, artistique « contre l’extrême droite » et « le fascisme », toute cette grosse boule de merde devrait permettre de coiffer le RN au poteau, et de le neutraliser pour les trois prochaines années.
Sans avoir besoin de se salir les mains.
Alexandre Gerbi
Ancien professeur au Lycée Lyautey de Casablanca, ancien journaliste, Alexandre Gerbi est l’auteur de Histoire occultée de la décolonisation franco-africaine, Imposture, refoulements et névroses (L’Harmattan, 2006), de La République inversée, Affaire algérienne (1958-1962) et démantèlement franco-africain (avec Raphaël Tribeca, L’Harmattan, 2011), de Histoire inavouable de la Ve République, De la révolution inversée au désastre contemporain (L’Harmattan, 2015), de Le Cinquième Saut ou Le Livre blanc de Charles de Gaulle, Chronique d’une Résurrection (Editions du Plaqueminier, 2019). Membre cofondateur du Club Novation Franco-Africaine (fondé en 2007) et animateur du blog Fusionnisme, il propose une relecture à contre-courant de la décolonisation franco-africaine et des crises identitaire, économique et sociale qui minent la France contemporaine.
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Liste des liens cités par Alexandre Gerbi dans la présente publication :
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- 23 mars 2020 – Scandale du confinement : Pourquoi Macron et toute la classe politique devraient être discrédités
- 28 mars 2020 – « On va les écrabouiller » : Macron et Philippe font le point à l’Elysée sur la stratégie du confinement
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