Vont-ils assassiner les 380 000 personnes âgées pauvres et malades ?

Par Patrick Ledrappier

Le 16 avril 2025

Les aides à la « fin de vie » ne seront-elles que des assassinats déguisés des personnes âgées pauvres et malades ?

   C’est le 12 mai 2025 que les politiciens professionnels qui siègent à l’Assemblée nationale devraient examiner le projet de loi officiellement intitulé : « Projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie » (alors que pour beaucoup d’entre nous il devrait s’intituler « Projet de loi légalisant l’élimination des personnes âgées pauvres et malades »).

   Présenté comme une œuvre de charité, sous le masque de la « compassion » offerte aux personnes âgées en fin de vie, ce projet de loi est un scandale éthique sans nom.

   Loin d’être une mesure compassionnelle, ce texte autorise, sous prétexte d’« aide à mourir », l’administration de substances mortelles à des personnes âgées qui pourraient vivre encore de longs mois, voire des années. 

   Cela ne reviendra-t-il pas à assassiner les plus vulnérables, ces personnes âgées auxquelles les politiciens et de nombreux soignants, manifestement, refusent des soins dignes jusqu’à leur dernier souffle, celui d’une mort naturelle ?

   D’ailleurs, ce scandale ne démontre-t-il pas, une fois encore, que les politiciens et les « soignants » français sont, dans leur ensemble, les bras armés des mondialonazis, dont l’objectif principal – et avoué publiquement – est la dépopulation de la Planète (comme mentionné avec toutes les références à l’appui dans notre livre « ‘C19’ Tuez-les mais sauvez Big Pharma ») ?

« Plutôt que de les soigner : tuons-les, pour leur bien ! »

   Lors de la fausse pandémie de C19, les politiciens avaient déjà choisi de faire assassiner les personnes âgées dans les EHPAD par des « soignants », en les piquant au « Ri – vo – tril », sous prétexte de leur épargner des souffrances au cas où ils seraient victimes de la fausse pandémie.

   Il faut croire que ces assassinats de masse, orchestrés par le décret n°2020-360 du 28 mars 2020, signé par Édouard Philippe, alors Premier ministre, et Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, n’étaient qu’une macabre répétition, et que les politiciens ont décidé de passer à la vitesse supérieure, Agenda 2030 oblige, en généralisant la pratique de ces assassinats, sans même se cacher derrière un prétexte sanitaire.

   Lorsque l’idéologie mondialonazie, prônant la dépopulation de la Planète sous prétexte d’un faux réchauffement climatique, s’allie aux ajustements budgétaires… 

   Loin d’être compassionnel et d’« offrir » une « aide à mourir », ce projet de loi légaliserait les assassinats médicaux de personnes âgées, permettant sans doute de remplir les quotas secrets fixés aux gouvernements, sous la table, par les psychopathes de Davos (ne doutez pas un instant que cette loi n’est pas tombée du ciel : des lois similaires sont déjà appliquées dans de nombreux pays occidentaux sous la coupe des cliques à Bill Gates et George Soros). 

   Mais ce ne serait pas son seul avantage pour les politiciens qui nous pillent chaque jour davantage, après avoir vidé les caisses publiques en accumulant plus de 3 200 milliards d’euros de dette : faire assassiner pour raisons médicales les personnes âgées ayant besoin de soins palliatifs, qui seraient actuellement 380 000 par an en France, permettrait de réaliser des économies substantielles, finançant encore plus la corruption des politiciens – dont bénéficient largement leurs familles, amis, amants et maîtresses – et de Big Pharma.

Les politiciens pourront-ils faire assassiner autant qu’ils le voudront des personnes âgées, dont 380 000 ont besoin de soins palliatifs en 2025 ?

   Selon la Cour des comptes (rapport de juillet 2023), en 2025 environ 380 000 personnes âgées auraient besoin de soins palliatifs en France. Un chiffre qui pourrait atteindre 440 000 d’ici 2035. Pourtant, Catherine Vautrin, alors ministre de la Santé et des Solidarités, déclarait le 10 avril 2024 que seuls 50 % d’entre elles y accèdent, laissant 190 000 personnes âgées sans soins, abandonnées par des politiciens qui privilégieraient des dépenses comme la guerre en Ukraine ou des projets étrangers (centaines de milliards d’euros) alors que 80 % des patients en phase terminale souffrent de douleurs sévères nécessitant des soins palliatifs qui resteraient inaccessibles pour la majorité d’entre eux

   Les assassiner plutôt que de payer !

   Pour les 380 000 personnes âgées qui auraient besoin de soins palliatifs en France en 2025, il n’existerait que 1 960 lits en Unités de Soins Palliatifs (USP), soit 1 lit pour 194 personnes âgées.

   Le calcul a rapidement été fait par les politiciens aux 3 200 milliards de dettes, dont un jour on se rendra sans doute compte qu’elles sont essentiellement dues à la corruption : assassiner les personnes âgées, comme au bon vieux temps de la fausse pandémie de C-19, leur permettrait de se partager une plus grosse part du magot que représente nos impôts, charges sociales, TVA et autres taxes.

   Le problème pour eux, c’est que contrairement à l’eau de la Seine, soi-disant rendue « baignable » pour 1,4 milliards (qui peut y croire ?), soigner dignement les personnes âgées malades exigerait des investissements visibles et palpables : locaux, lits, matériel médical, personnels qualifiés.

   La mort plutôt que la vie ! La négation même de toute dignité humaine !

   En autorisant l’administration de substances mortelles aux personnes âgées malades, ce texte menace les plus vulnérables : les pauvres et les isolés qui ne pourront pas bénéficier de soins dans des structures privées qui n’appliqueront pas cette « loi » si elle est adoptée.

   Ce projet de loi, qui fait écho aux horreurs de l’euthanasie nazie (1933-1945), est la négation même de toute dignité humaine, que nous impose de plus en plus les politiciens qui ont laissé se faire éborgner les Gilet Jaunes, piquer à coups de de « Ri – vo – tril » les personnes âgées dans les EHPAD lors de la fausse pandémie de « C-19 ».

L’avertissement historique : l’euthanasie nazie (1933-1945)

   L’histoire nous alerte : sous le régime nazi, l’euthanasie, outil de « nettoyage » social, ciblait les personnes âgées et vulnérables pour des raisons économiques et idéologiques. Voici les principales mesures de cette période :

   Programme Aktion T4 (1939-1941) : Programme Aktion T4 (1939-1941) : Une directive secrète d’Hitler autorisait les médecins à éliminer les patients jugés « inutiles » – personnes handicapées, malades chroniques, personnes âgées séniles –, causant environ 70 000 morts dans six centres d’extermination (ex. Hadamar) par gazage ou injection mortelle.

   Euthanasie pédiatrique (1938-1945) : Le programme « Reichsausschuss » visait les enfants atteints de malformations ou de retards, tués par « starvation » (privation de soins et de nourriture), avec environ 5 000 victimes officielles. Les personnes âgées dépendantes étaient également ciblées dans les asiles.

   Euthanasie « sauvage » (1941-1945) : Après la suspension officielle de T4, les assassinats ont continué dans les hôpitaux par empoisonnement ou starvation (privation de soins et de nourriture), faisant environs 200 000 morts supplémentaires, dont de nombreuses personnes âgées.

   Bientôt une série « Ich klage an » (« J’accuse ») sur France 2 financée par nos impôts ?

   Réalisé par Wolfgang Liebeneiner, « Ich klage an » (« J’accuse »), film de propagande nazie de 1941, suit un médecin qui euthanasie (assassine) par compassion sa femme atteinte d’une maladie incurable. Le procès qui suit promeut l’euthanasie comme une solution « humaine » aux souffrances extrêmes, soutenant le programme Aktion T4 qui justifiait l’assassinat des personnes jugées « inutiles » (personnes âgées, handicapées).

   Les politiciens français pourraient-ils financer une série télévisée similaire avec nos impôts pour manipuler les électeurs et faire accepter l’innacceptable ?

   La « compassion » au service des pires monstruosités

   Les nazis invoquaient l’économie et la « compassion » pour éliminer les faibles. Le projet français de loi proposant l’« euthanasie » (assassinats) au lieu des soins palliatifs suit une logique similaire : pourquoi financer des services coûteux quand une injection mortelle élimine maladie, souffrance et coûts ?

   Les critères flous du texte proposé – « souffrance psychologique », « dépendance » – évoquent les jugements arbitraires des médecins nazis. Les assassinats de personnes âgées dans les EHPAD en 2020, à coups de « Ri – vo – tril » sur décret ministériel, ne prouvent-ils pas que les politiciens français seraient prêts à commettre les pires horreurs ?

   Refuser la mort qu’ils veulent nous imposer, défendre la vie, les personnes âgées malades et la dignité humaine !

   Le projet de loi des politiciens sur la fin de vie est une abomination morale et politique.

   Sous prétexte d’autonomie, sous couvert de médecine, il organise l’élimination physique des personnes âgées en fin de vie, jugées trop coûteuses pour mériter des soins palliatifs universels.

   Les députés ne devraient-ils pas rejeter cette loi et décider, au contraire, d’investir massivement dans des services de soins palliatifs dans chaque hôpital ?

   Les personnes âgées malades ne sont pas un fardeau à supprimer, des inutiles à tuer, mais des vies à protéger jusqu’au bout.

   Dire non à ce projet de loi, c’est dire oui à la dignité, oui à l’humanité dont ils veulent en permanence nous priver au nom de leur programme de dépopulation de la Planète et de l’Agenda 2030.

Patrick Ledrappier
Président co-fondateur
Libre Consentement Éclairé

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