Vœux de campagne pour la recoronaquista 2022.

Les fourches rouillent dans les bottes de foin.

Bottons-leur le fion à coups de fourches rouillées.

samedi 1er janvier 2022, par Lionel Labosse

Ce n’est pas dans mon habitude, mais je voulais souhaiter vite fait une bonne année 2022 urbi et orbi à tous les lecteurs de ce site. Après tout, c’est peut-être notre dernière année libre, je veux dire à l’extérieur des camps de concentration pour non vaxinés que l’extrême centre national covidiste pluriel macron-pécresse est en train de nous concocter. Aillet, j’ai déjà franchi les limites de l’acceptabilité des propos à l’aune des commissaires politiques du national-covidisme ! M’en fous, n’étant pas une personnalité, je ne risque pas de me faire attaquer par les chiens de garde pour mes propos, juste de me faire traiter comme un juif dans un ghetto sous la schlague d’Adolf Maqueron, de Benito Castrex, Éva Pécresse & de l’Oberschtroumpf Véreux.
Voici donc mes vœux de campagne pour 2022. Un peu de gaîté, que diable, dans les camps de concentration pour non vaxinés ! Pour une dictature pleine de champagne et de cotillons. À moins que 2022 ne soit l’année de la recoronaquista ? Pour ceux parmi les lecteurs de ces vœux qui n’auraient pas encore compris que « Nous sommes en guerre » signifie « Nous sommes en dictature », je leur soumets la réflexion suivante : « Entre 1933 et 1945, les Allemands ont cru leur gouvernement. Et vous, il vous faudra 12 ans aussi ? » Dans ces conditions, j’ai parfois envie de porter plainte contre ceux qui m’envoient des vœux de « Bonne année, bonne santé » comme si de rien n’était.

Le silence des moutons

Depuis que j’ai eu le covid, je bénéficie pour encore 4 mois (et sans doute moins car les tyrans qui ont pris le pouvoir en France ont inventé aussi la rétroactivité des lois) d’un ausweiss nazitaire. Je ne m’en sers que pour la piscine et quelques activités non-intellectuelles sur lesquelles vous me permettrez de jeter un voile un peu plus pudique que Marlène Chiapas. Moi qui allais à la cinémathèque 5 fois par semaine et étais abonné à la Comédie Française, j’aurais pu en profiter pour y retourner, mais j’ai perdu toute envie de cette culture-là. Les acteurs qui me faisaient vibrer en jouant Rhinocéros se sont transformés en rhinocéros pour la plupart. Les cinéphiles qui analysaient avec brio Minority report, Robocop ou La Nuit des morts vivants sont incapables d’analyser ce dont ces films étaient la prémonition et qui se passe sous leurs et nos yeux. Idem pour les directeurs d’institutions culturelles, pour lesquelles nous payons nos impôts comme tout citoyen, mais que nous n’avons pas le droit de visiter. Les nationaux-covidistes avaient tout prévu, en installant le prélèvement à la source de l’impôt : nous n’avons même plus ce moyen de protestation, à part les soignants suspendus qui ont la chance de ne plus payer d’impôts car ils n’ont plus de revenus, ce qui ne choque pas la bienpensosphère ni ne l’empêche de dormir, y compris ces musiciens qui réalisaient des clips pour applaudir les soignants, et qui maintenant se battent les couilles – mais en cadence, hein – que ces mêmes soignants mangent dans les poubelles.
Et puis la pièce qui se joue actuellement est la plus passionnante de toutes celles que j’ai vues dans ma vie. C’est un peu comme un escape game : il y a du suspense, on ne sait pas si on va s’en sortir vivant. Que d’adrénaline ! Chaque jour voit son lot de vidéos gratuites bien plus stimulantes intellectuellement que les films avec ces acteurs de pacotille qui défendaient naguère les valeurs de gôche au cinéma et prônent désormais dans la vraie vie, à quelques rarissimes exceptions près, la discrimination contre les non vaxinés et l’injection des enfants. Ces chanteurs qui chantaient la liberté pour les peuples du bout du monde, mais qui se taisent quand les barbelés se déroulent sous leurs yeux autour de nos libertés. J’aurais attendu une protestation, que sais-je, une démission des administrateurs ou directeurs des institutions culturelles obligées d’appliquer l’ausweiss nazitaire, ou du moins qu’on osât lever le petit doigt. Hélas non, loin de se lever, les doigts se sont alignés sur la couture du pantalon. Au secours, Hannah Arendt, ils sont devenus ce qu’ils n’ont jamais cessé d’être !

Trou normand : un peu d’humour

Voilà donc ce que je voulais vous dire en ce 1er janvier 2022, après cette dédicace spéciale à un ami normand qui a malheureusement perdu la mémoire. Tous ces amis et membres de nos familles sombrés dans le covidisme vont se réveiller avec la gueule de bois. Je ne parle pas de ceux qui se sont fait injecter à reculons, contraints et forcés ou convaincus par leur médecins pour des motifs médicaux sérieux, mais de ceux qui ont adhéré à l’idéologie nationale-covidiste et ont cru aux mensonges à peau de chagrin de la secte : « Le vaxin protège à 95 % » ; « Le vaxin protège à 50 % » ; « Le vaxin ne protège pas, seul le « booster » protège » ; « La 3e dose ne suffit pas, il en faut 4 » : « Il ne faut pas 4 doses, mais un abonnement à vie »… Ceux-là vont découvrir en un jour tout ce que nous les anticovidistes, les complotistes, les « antivax », les « antisémites », comme nous étiquettent les coronazis, avons découvert en plusieurs mois. Ce jour-là, les hôpitaux psychiatriques seront pleins, et ils erreront en quête de sens dans les chemins. Mais revenons à nos mougeons après un petit verre de cocktail Raoult !

Tout d’abord, un « Merry Crisis » et un sincère « Happy New Fear ! » (Fear = « peur » en british). Pour rire avant de se plonger dans la réalité, voici un petit retour en arrière sur l’analyse des mesures belges de l’an dernier par le député Raoul Hedebouw. Un croisement de Martine Wonner & de Jean Lassalle, qui a dû inspirer Benito Castrex, humour en moins. On rit jaune, car nous les anticovidistes, savons que ces mesures apparemment débiles sont de l’ordre de celles qu’on utilisait dans les camps de concentration ou à Guantanamo pour rendre fous les détenus, leur ôter toute faculté de raisonner.

Toujours avant de passer aux choses sérieuses, une blagounette bucolique :

Omicron : « Dis donc, Delta, t’as vu le type debout au bar ? Je vais aller l’infecter ! »
Deux minutes plus tard :
Delta : « Ben alors t’es encore là, Omicron ? »
Omicron : « J’ai pas de bol, je me suis approché de lui et il s’est assis. Je me suis retrouvé comme un idiot ! Je peux rien faire contre un homme qui s’assoit ! »
Delta : « Va dans une salle de concert, tu vas t’éclater ! »
Deux heures plus tard :
Delta : « Qu’est-ce que tu fais encore là, Omicron ? »
Omicron : « C’est pas mon jour. J’ai été à l’Olympia mais l’organisateur a été malin. Il a laissé entrer que 1999 personnes, juste sous la jauge. J’ai rien pu faire ! »
Delta : « Allez viens, je t’invite au ciné ! »
Omicron : « Attends, t’es pas au courant ? On peut plus aller s’installer dans un pop-corn. Ils ont supprimé la nourriture ! »
Delta : « C’est la crise, Omicron ! »
Omicron : « Il nous reste encore une chance, Delta ! On n’a qu’à aller à un meeting politique, il n’y a pas de jauge ! »
Delta : « T’es trop fort, Omicron ! » »
Et puis une petite chanson anticovidiste pleine d’allant pour se donner du courage en cette année de recoronaquista ! « Unies sont nos voix », créée par un collectif de chanteurs dont plusieurs stars de l’anticovidisme. Bravo !

UNIES SONT NOS VOIX OFFICIEL
par Les Voix du Cœur

Vérité & mensonge

Une immense force mentale est nécessaire face à l’instauration « en douceur » d’une société totalitaire digne de 1984 et du Meilleur des mondes, pour aboutir à la conclusion de Léo Ferré dans « La damnation » : « Tout ce qui est mal C’est bon… Alors ? Tout ce qui est bon… C’est mal… Alors ? Damne-toi ! Damne-toi ! ». « Tout ce qui est faux C’est vrai… Alors ? Tout ce qui est vrai… C’est faux… Alors ? Damne-toi ! Damne-toi ! »

La damnation
par Léo Ferré – Topic

Pour m’amuser, j’ai fait le calcul sur le « record absolu » de tests positifs publié pour la journée du 25 décembre (donc les tests effectués le 23 et le 24 je suppose). 104 611 tests positifs avec un taux de positivité de 7,78 %, cela nous fait la bagatelle de 1 344 614 mougeons qui se sont fait tester, un habitant sur 50. Si je compte un prix moyen de 40 € (entre 55 € pour un PCR et 25 pour un antigénique, sans parler des PCR destinés à savoir si c’est omicron ou son frère proposés à ceux qui ont fait un antigénique), cela nous fait la bagatelle de 54 millions d’euros, juste pour un jour (et depuis le 25 / 12, nous explosons la barre délirante des 200 000 positifs par jour, il faudrait refaire le calcul). Combien de lits d’hôpitaux pourrait-on rouvrir pour cette somme ? Espérons que cette fièvre testeuse des mougeons arrive à un point tel qu’il ne soit plus tenable par le parti national-covidiste au pouvoir.
En gros voici l’alternative que 2022 nous offre : soit la solution finale des « non vaxinés », je veux de ceux qui comme moi ont tenu bon jusqu’à ce jour et n’ont pas reçu une seule dose, mais aussi de tous ceux qui ont craqué pour voyager et sortir en boite et viennent de réaliser ce qu’il en coûte de croire aux promesses de psychopathes manipulateurs destructeurs : on a l’inconvénient, et ils vous retirent l’avantage, à la façon du limaçon au bout de la canne à pêche. Et enfin de tous ceux qui ont cru sincèrement aux mensonges des putains de la médecine corrompue, que cette injection les protègerait, et réalisent que sous couvert de se faire, je cite « vacciner », ils se sont fait juste enculer profond. Ces trois catégories de personnes qui vont je l’espère refuser de céder aux psychopathes pour l’abonnement à la toxicomanie d’État, seront désormais indifféremment qualifiées de « non vaxinés », ce qui permet aux tortionnaires de prétendre qu’il y a tant de pourcent de « non vaxinés » hospitalisés. Leurs projets sont affichés et ils nous insultent à longueur de journée. Ce n’est pas grave : que ces fondés de pouvoir de Pfizer et tous leurs affidés politocards, plumitifs ou docteurs encartés au parti national-covidiste nous insultent et appellent à nous discriminer et nous harceler nous autorise devant la loi au titre de la légitime défense à nous défendre en leur rendant la pareille. Je les traiterais carrément de « gros tas de merde », mais je ne le fais pas (vous avez bien compris : je n’ai pas traité Varan ni Maqueron ni Castrex de « gros tas de merde »), car je crains que la merde ne porte plainte pour diffamation.

Pour les éventuels lecteurs qui ne feraient partie d’aucune des trois catégories sus-mentionnées, voici notre carte de fidélité Pfizer (ci-dessus), à utiliser avant décembre 2022. Sinon, grâce à ces criminels, l’année 2022 sera peut-être celle où vous allez allègrement faire injecter la mort dans les bras de vos enfants. Je vous engage alors à participer à notre grande tombola.

Les dossiers explosifs qu’ils ne veulent surtout pas que nous voyions

J’ai été le premier sur Internet à signaler l’enquête sérieuse de la lettre confidentielle Faits et documents sur le passé opaque de « Brigitte » Macron, avec cet article. Puis j’ai analysé les réactions de la presse d’État qui prétendent dénoncer une « fake news » qu’ils ne font que confirmer (en effet, malgré le rideau de fumée, la transsexuelle de l’Élysée n’a pas porté plainte contre le périodique qui révèle (entre autres sujets bien plus importants) sa transsexualité. Il semble exister tout au plus une plainte bidon censée noyer le poisson en comptant sur le silence de la presse corrompue. J’ai lancé une pétition que je vous suggère de signer si ce n’est pas encore fait, même si vous pensez que c’est de la blague. Je suis récemment tombé en archéologue (Faits et documents fait tout pour rester confidentiel !) sur un document exceptionnel qui date du 8 juillet 2021 : une conférence de Xavier Poussard sur l’enquête qu’il était en train de mener à l’époque pour Faits et documents dont il est le rédacteur en chef. Titre : « Du pacte de corruption à la corruption de mineur : le vrai visage d’Emmanuel Macron ». Les dubitatifs comprendront enfin qu’il n’est pas principalement question de ce qu’il y a ou non dans la culotte de Brigitte ; c’est surtout le petit pot de miel qui va susciter l’intérêt. Mais il va dans l’intérêt de la presse collabo de nous faire croire cela pour que surtout, surtout, nous n’ayons pas envie de lire ou d’entendre Faits et documents. Ajoutons une autre entrevue décapante de Xavier Poussard : « Le temps des assassins et l’hologramme Macron » qui date de septembre 2021, et qui est tout simplement le meilleur article jamais publié sur tout ce qui est en train de se passer, pour clouer le bec à ceux qui s’imaginent que ce qu’il y a dans la culotte de « Brigitte » n’a rien à voir avec la plandémie.
Précisons immédiatement que la destitution ou la démission de l’immondice putride ne doit pas nous rabattre sur son clone Valérie Pécheresse. Si la presse collabo a déchaîné sur ordre et en ordre de bataille les foudres de ses anathèmes (« extrême-drouâte », « fake news », « complotiste », « antivax », etc.) sur Faits & Documents pour son enquête en 5 épisodes sur #jeanmicheltrogneux, en instillant pour intimider les couards, la fake news d’une prétendue plainte de la première dame outragée, c’est parce que la précédente enquête en 5 numéros + numéro complémentaire de Faits & Documents portait sur « Le pacte de corruption » qui lie Macron à toute la clique financière & politique (sans parler de la presse), parmi laquelle Jérôme Pécresse, l’époux de la future covidiste-présidente. Les sous de Pénélope Fillon, à côté de ce dossier, c’est des ronds de carottes !
À défaut de cette enquête de Faits & Documents, lire cet article intitulé « Valérie Pécresse, l’autre candidat de la nomenklatura » de Patrick Édery. Pour les paresseux, j’en extrais un paragraphe (orthographe rectifiée) :

« Le mari de Pécresse, Jérôme Pécresse, est au cœur de ce scandale, il était le bras droit du PDG d’Alstom, Patrick Kron, lors de l’intégration d’Alstom à General Electric. D’ailleurs Jérôme Pécresse est le seul dirigeant clef que les américains n’ont pas viré suite à l’opération de rachat, il a même été promu PDG de GE Renewable Energy. Hors rémunérations, le mari de Valérie aurait touché, minimum, 2 millions d’euros. Cette Affaire Alstom-General Electric, ne touche pas que Mme Pécresse mais aussi M. Macron et toute l’élite financière parisienne qui se serait mis dans les poches 1/2 milliards € en frais de conseil divers. Le député LR Olivier Marleix avait saisi la justice en janvier 2019 pour qu’elle enquête sur les circonstances de cette affaire. Le député émettait notamment l’hypothèse d’un possible « pacte de corruption » au bénéfice de celui qui a favorisé la vente, le ministre de l’économie d’alors : Emmanuel Macron. Ce dernier aurait bénéficié indirectement du demi milliards d’euros pour sa campagne de 2017, via son parti En Marche. Aujourd’hui Olivier Marleix soutient Valérie Pécresse. La nomination de Valérie Pécresse est ainsi une très bonne nouvelle pour les bénéficiaires de la vente d’Alstom, ils sont assurés que Les Républicains ne remettront pas sur le tapis ce scandale. »
Voilà pourquoi la presse collabo et l’état macronique ne veulent surtout pas que nous lisions Faits & Documents ! Dénoncer la corruption de la mafia macrono-pécressienne, c’est « extrême-drouâte » ! Ben dame !
Et puis allez, un deuxième article pour la route, si vous avez la comprenette un peu embrumée, article assorti d’un schéma à afficher dans vos chiottes pour bien vous concentrer sur les réseaux de cette sombre mafia. Pour résumer, ces roux & combaluzier de l’ascenseur mafieux se tiennent par les couilles de #jeanmicheltrogneux, et la réélection de l’un quelconque les garantirait de 5 années de plus d’immunité pour laquelle leur ami Pfizer ne peut rien.

« C’est pour votre santé » : « Viens chez moi, j’ai des cachous »

Quand les covidistes dénonçaient Martine Wonner ou des restaurateurs parce qu’ils ne respectaient pas leurs consignes débiles de « mise en danger de la vie d’autrui », ils ont atteint le summum de l’ignominie. Ce criminel qu’on se tape comme sinistre de la « santé », n’a-t-il pas tout fait pour interdire des médicaments anodins ? Pour faire administrer du © Rivotril aux vieillards plutôt que de les soigner ? N’a-t-il pas interdit ou rendu impossible à tous les citoyens de faire du sport, y compris à ceux pour qui le sport était vital, comme cette octogénaire arrêtée par la gestapo de ces coronazis à Biarritz parce qu’elle nageait dans la mer sur prescription médicale ? Tous ces crimes sont décidés en « Conseil de défense ». On peut se scandaliser de cette face du scandale, sauf que qui dit « conseil de défense » et « nous sommes en guerre » dit tribunal militaire et peloton d’exécution pour haute trahison. Rira bien qui rira le dernier.
Je ne veux pas reprendre tout ce que vous trouvez au jour le jour dans ma chronique du covidisme que je tiens depuis mars 2020. Ne prenons qu’une nouvelle récente sur un chanteur brésilien de 28 ans est mort d’une maladie cardio-vasculaire. L’article ne mentionne pas la participation active dudit chanteur à une campagne de pub pour le poison de Pfizer. Il faut fréquenter Telegram pour le savoir. Toutes les infos mettant en cause les vaxins sont censurées ; la pub pour les mêmes produits est mise en avant sans jamais signaler les conflits d’intérêt des émetteurs.
Le philosophe de plateaux télé Raphaël Enthoven nous insulte. Il ferait mieux d’aller sucer la bite de #jeanmicheltrogneux, lui qui a niqué en alternance avec son père Carla Bruni, la future précédente personne qui a occupé la place de « Première dame » au terme d’un impressionnant palmarès de « polyandrie » selon Wikipédia. C’est un peu comme quand Connard-Bendit, celui qui se faisait tâter la braguette par les petits garçons, insulte Raoult. Ils ne se sentent pas merdeux, ces branleurs ?

Quoi faire face au bulldozer covidiste ?

Nous sommes sous les douches, la porte de la chambre à gaz est en train de se refermer. Question : faut-il conserver les convenances avec les coronazis qui ont la main sur le zyklon B ?
Ah non ! Toutes ces allusions à la Seconde Guerre ou à l’apartheid sont extrêmement choquantes ! Tel a toujours été le discours des génocidaires pour faire taire ceux qui les dénoncent. Le journal collabo Le Figaro a laissé passer parmi cent articles nationaux-covidistes, un article intitulé : « Le non-vacciné correspond à ce que l’anthropologie désigne comme un bouc émissaire » daté du 1er janvier 2022, mais introuvable depuis la page d’accueil. Ils croient se prémunir le jour où les criminels seront jugés, alors qu’ils participent jour après jour à l’instauration de la solution finale contre les non-vaxinés. Quand on se retrouve au coin d’un bois nez à nez avec une horde de chiens féroces, cette horde fût-elle composée de philosophes de plateau-télé, est-ce qu’on va consulter son avocat pour savoir comment condamner le propriétaire, ou bien se saisit-on de la première pierre, même pas bien polie, pour la balancer, toute rugueuse qu’elle est, dans la gueule de ces mâtins ? Alors, même si ça ne vous semble pas encore (parce que vous n’êtes pas renseigné) une pierre parfaitement polie, jetez-leur ceci dans la tronche à ces chiens féroces : Pour une commission d’enquête parlementaire sur Mme Brigitte Macron. Faisons feu de tout bois : signons la pétition contre le passe vaxinal qui a dépassé 1,1 millions de signatures, et qui fait l’objet d’attaques de hackers. Participons en masse aux différentes manifestations organisées samedi 8 janvier, notamment celle de « l’Union sacrée » proposée par Florian Philippot, qui est qualifié d’« extrême drouâte » signe que lui aussi dérange. Si vous n’avez pas encore compris que sous cette dictature, « ce qui est bien c’est mal, ce qui est mal, c’est bien », eh bien on est mal barré.
Quand au poudré et à la créature indéfinissable qui déshonorent l’Élysée par leur présence, ainsi que leurs affidés, puisqu’ils aiment tant les piqûres, n’est-il pas temps de les vaxiner à la pointe de nos fourches qui rouillent dans les bottes de foin depuis 1789 ? Et une dans la fesse gauche, et une dans la fesse droite ! Après tout, dans Le Bouc émissaire, René Girard a bien expliqué que le bouc émissaire, c’est parfois aussi le roi ou le président. Donc si j’avais à formuler des vœux pour 2022, ça serait, dussé-je danser les 7 voiles, la tête d’un de ces covidistes sur un plateau de fer rouillé, avec du persil dans le groin.

e terminerai par ces vœux sincères émanant de Gœbriel Anal, le ministre de la Vérité de la République nationale-covidiste du Macronistan. Voilà ce que je voulais dire à ceux qui n’ont pas peur de me souhaiter « bonne année » comme si de rien n’était (même si je sais bien que c’est sincère de leur part). Nous ne sommes pas « en guerre », nous sommes en dictature, et la dictature, camarade, soit tu la combats, soit tu la soutiens. C’est un peu rugueux, je sais, mais si jamais vous aviez eu la mauvaise idée de me demander comment je vais, je vous aurais sans doute répondu « Comme un juif en 1942 ».

Bonne dernière année covidiste, et vive la recoronaquista !

 Ces vœux sont à faire circuler, si le cœur vous en dit. Si vous estimez que le temps est enfin venu de sortir la tête du sable, voici une « Antisèche en 10 points pour informer les complotosceptiques sur la « crise sanitaire ». ». Et pour finir, je laisse la voix à Francis Lalanne : « La Gente Come Noi » (Non molla mai).

Lionel Labosse

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Source : altersexualite.com 2022