Vaccins covid inefficaces et dangereux : les plus hautes autorités US le reconnaissent et avouent qu’ils le savaient
Posted on by Gérard Maudrux
Robert Redfield n’est pas n’importe qui. Il est, avec Anthony Fauci celui qui a piloté (manipulé) la crise Covid aux USA, imposant leurs vues au monde entier. En fait de ” vues “, il fallait cacher.
Non, il n’a pas rejoint les complotistes, mais lorsqu’il a été entendu devant le Sénat américain, il n’a pu tenir d’autres propos que ceux qui ont été mis au ban de la société pour avoir refusé de confondre vérité politique et vérité scientifique. Contrairement à la France où le mensonge est devenu banalité voire vérité, aux USA, c’est une des fautes les plus graves, et peu s’y aventurent quand ils sont sous serment.
Si son comparse Anthony Fauci devant la même commission, pour ne pas mentir, avait dit ne se souvenir de rien, Robert Redfield a avoué ce que toutes les personnes réfléchissant ( = complotistes) savaient.
Ce 12 juillet 2024, il a avoué devant les sénateurs que l’ARNm diffusait dans tout l’organisme, passant toutes les barrières, que la spike protéine engendrée était toxique, entraînant de “ grosses réactions inflammatoires ” (à la question sur les dégâts vasculaires). Pire, il a dit que c’était connu depuis le début et qu’ ” il n’y a pas eu de transparence dès le début sur les effets secondaires potentiels de ces vaccins “, qu’ “ il y a eu des décisions inappropriées de la part de certaines personnes pour essayer de minimiser les effets secondaires parce qu’elles soutenaient que cela rendrait le public moins enclin à se faire vacciner “. Il était bien placé pour faire partie de ces ” certaines personnes “, ou alors il a fait part d’une abstention criminelle.
Et pour terminer, il affirme être à 100 % d’accord avec son interlocuteur comme pour le reste ( ” I am 100 % agreeing with you ”) : ” Je pense que l’une des plus grandes erreurs commises a été d’imposer ces vaccins. Ils n’auraient jamais dû être imposés, ils auraient dû être laissés au choix de chacun. Ils ne préviennent pas les infections, mais ont des effets secondaires “.
Tout ceci a été affirmé par le numéro 2 de la covid aux USA, devant une commission sénatoriale. En toute connaissance de cause, ces dirigeants américains, les nôtres en France, savaient également. Il suffisait de lire l’étude Pfizer, même avec peu de compétences. Ils ont caché tout cela pour que, comme avoué, les gens se vaccinent, sinon ils ne l’auraient pas fait avec un consentement éclairé. Pire, pour imposer ce vaccin que l’on savait dangereux et inefficace, on a craché sur les soignants qui sont montés au front pour vous sauver lors des deux premières vagues. Pas seulement insultés, mis au ban de la société, mais privés de travail, de ressources, ruinés. Combien de drames familiaux, de familles détruites, de suicides ? Que risquent aujourd’hui les responsables de ces crimes, notre président en tête, qui voulait les emmerder ?
En ce qui concerne la crédibilité et la compétence de ce Robert Redfield, c’était le directeur du CDC depuis le 26 mars 2018, devenu avec Anthony Fauci membre de la Task Force créée le 26 janvier 2020 pour lutter contre la covid. Le CDC est le ” Centre pour le contrôle et la prévention des catastrophes ” il est l’équivalent chez nous de l’ANSM, chargée du contrôle de la sécurité du médicament. Il était également jusqu’en 2021 administrateur pour le ” registre des substances toxiques et des maladies “
Pendant 3 ans, il formera un tandem rapproché avec le fameux Docteur Fauci, directeur de l’Institut National des Allergies et des maladies Infectieuses des National Institutes of Health, considéré dans le monde comme le messie de l’épidémie, messie que tout le monde suivait les yeux fermés malgré son passé (limite Mengele). On a appris par la suite que ce dernier était à l’origine de la fabrication du Sars-Cov-2 et de ses gains de fonction, sans que personne ne s’offusque de voir un pompier pyromane à ce niveau de conflit d’intérêt. On peut voir la paire, ensemble sur nombre de photos :
Voici un extrait de son passage devant la commission sénatoriale face au sénateur Ron Johnson :
Les politiques du monde entier savaient cela, il n’y a rien de nouveau dans ces informations, connues dès les premiers jours mais cachées. Si vous voulez savoir pourquoi, premièrement Fauci, vu ses antécédents était le mieux placé pour tenter de cacher ses responsabilités, maintenant bien établies par les autorités aux USA. Ensuite c’est comme toujours un problème de gros sous : n’oubliez pas ces agences de communication qui conseillaient Pfizer sur comment vendre son vaccin, et qui étaient également embauchées par des haut fonctionnaires fainéants et incompétents pour faire le boulot à leur place, pour savoir comment diffuser ces vaccins. Bons défenseurs des laboratoires, leurs premiers clients, ils ont conseillé les seconds de vacciner une population qui avait un risque inférieur à celui de la grippe saisonnière. N’oubliez pas non plus les échanges de mails entre Fauci et Delfraissy, tous deux d’accord pour cacher la vérité et contrer toute autre velléité de traitements classiques, ainsi que Bill Gates, premier bailleur de fonds de l’OMS, qui devait rentabiliser son investissement de septembre 2019 dans BioNtech. Bien entendu investissement de pur hasard, il n’était au courant de rien, comme les autres.
Les politiques ne sont pas seuls responsables, il y a aussi les journalistes, censés se renseigner pour informer la population. Ils ont démissionné, aucune enquête, aucun débat, critiquant ceux qui doutaient de la fausse pensée unique.
Le corps médical et ses responsables ont aussi failli et ont leur part de responsabilité. Ils ne se sont pas renseignés, ont ignoré l’observationnel, ne savent plus réfléchir et ont accepté d’abandonner leurs patients. Ils ont mis au ban de la société ceux qui cherchaient une solution thérapeutique. Ils condamnent ceux qui pensent à la santé de leurs patients avant celle du pouvoir politique, que l’on n’a plus le droit de critiquer. La liberté d’expression est pourtant indispensable aux progrès de la science, sinon la terre serait toujours plate, comme l’est le cerveau de ces censeurs.
Y aura-t-il reconnaissance de la vérité ? Repentance ? Amnistie de la part de ces censeurs ? Réhabilitation de ceux qui avaient raison et ont été injustement condamnés ? J’ai des doutes quant à leur capacité intellectuelle à le faire. Par contre pour dire qu’ils ont été trompés, alors qu’il était de leur compétence de redresser la vérité, je leur fais confiance. Quant à la presse mainstream et les fact checkers je serai curieux de voir s’ils vont traiter cette information et comment.
Les États Unis ont beaucoup de défauts, mais il faut leur reconnaître une indépendance de la justice. J’ai toujours dit que la vérité passera d’abord par chez eux. Par contre chez nous, ce sera l’occasion de voir si la justice est indépendante du pouvoir politique comme on nous l’affirme. Avec les plus hautes instances comme le Conseil d’État officiellement présidé par le Président de la République, et le Conseil Constitutionnel présidé par un ancien premier ministre et des membres recasés de la politique, j’ai des doutes. Deux politiques purs, aucun n’est issu d’une filière juridique. Mêmes comparaisons avec la transparence dans les auditions de Fauci ou de Redfield, et celle d’Amine Umlil sur le même sujet qui nous concerne ici, avec le son coupé lors de son audition par l’OPECST et sa disparition dans les retranscriptions.
Enfin Macron vient de faire remettre la Légion d’honneur à Fauci. Ils étaient deux à orchestrer ces mensonges criminels, il serait normal de la remettre également à Redfield au nom de l’égalité chère à notre devise, et on n’est plus à une monstruosité près dans cette affaire. Emmerder les honnêtes gens dévoués, décorer les menteurs et les criminels, elle est belle notre république !
Gérard Maudrux
Source : Covid-factuel
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