VACCINATION ET FÉCONDITÉ Où sont les bébés ?
L’Europe a un problème de fertilité. La cohérence des données est stupéfiante. Partout où nous disposons de données sur les naissances mois par mois, il manque de nombreux bébés depuis le début de l’année 2022. Tout se passe comme si les femmes avaient été rendues malades à partir de la moitié de l’année 2021, bloquant leur fertilité de manière suffisamment massive pour se répercuter dans les statistiques de naissances. Heureusement qu’il a suffisamment été répété que la vaccination est sûre et efficace, sinon il ne fait aucun doute que des journalistes ou instituts auraient fini par se poser des questions, voire même, étudier un peu les données disponibles. Mais puisque la vaccination est sûre et efficace, nous pouvons sans risque étudier les données à notre disposition.
Si on se place dans un exemple complètement fictif, où de nombreuses femmes se feraient injecter une substance nocive, on devrait observer plusieurs phénomènes. Tout d’abord il y aurait de fortes chances d’observer un pic de naissances au moment de l’injection des femmes enceintes à partir de leur 3e trimestre. Le fait d’être malade peut engendrer des accouchements prématurés. La prématurité est une des premières causes de mortalité infantile. Il n’existe pas de statistiques en ligne sur la prématurité. En revanche, l’étude de la mortalité infantile peut donner des indices permettant de savoir si quelque chose d’anormal se passe au moment de l’accouchement. Une fois passé ce pic de naissances, on s’attend à un effondrement de la natalité. Les femmes malades perdent leur fécondité. Cette perte de fécondité est visible par le dérèglement des menstruations. Il peut s’agir d’une perte totale ou partielle des règles, ou inversement d’une surabondance des pertes de sang. Une fois cela en tête, il convient d’étudier ce qui se passe au sein des pays permettant l’accès aux données.
Lien vers la vidéo : https://youtu.be/UDHRFyUY12k
Effondrement des naissances en France
L’Insee diffuse au fur et à mesure de l’arrivée des données, le nombre de naissances par mois en France. Le nombre de naissances baisse régulièrement depuis une dizaine d’années en France. Notre population vieillissante additionnée à la fin de la politique nataliste donnent un résultat visible : de moins en moins de petits Français naissent. Sur l’année, les naissances suivent un cycle saisonnier : Le nombre de naissances est assez bas autour de mars-avril, remonte à l’approche de l’été et présente un maximum en juillet ou en septembre selon les années.
L’année 2020 a présenté dès le mois de janvier, un nombre de naissances très faible par rapport aux années précédentes. Les évolutions saisonnières ressemblent à la norme habituelle, en plus faible, mais décrochent en fin d’année. On reconnaît, à ce moment, les conséquences de la période de stress et de confinement ayant eu lieu 8 à 9 mois plus tôt. En 2021, les naissances ne remontent qu’à partir du mois de mars, pour dépasser le nombre de naissances des années précédentes. C’est un indice sur le fait qu’un certain nombre de Français a reporté son projet de concevoir des enfants du mois de mars 2020, vers le mois de juin 2020. Ainsi, 9 mois plus tard, les mois de mars et d’avril sont particulièrement hauts. La courbe est déformée par rapport à l’habitude, car on voit nettement le nombre de naissances baisser en mai. C’est un signe de plus que le fort nombre de naissances de mars et d’avril étaient des rattrapages de janvier-février dû au report de grossesse lié au confinement. Le nombre de naissances augmente pendant les périodes de vaccination des femmes enceintes, en juin et juillet, mais cette évolution se confond avec la saisonnalité habituelle. Il est donc impossible de conclure à ce stade. La natalité semble se maintenir en France sur toute l’année 2021.Le mois de janvier 2022 est, en revanche, un record de sous-natalité. On se pose alors la question de l’impact qu’à pu avoir la campagne de vaccination de juillet 2021 sur les femmes étant dans leur premier trimestre de grossesse. Le nombre de naissances remonte toutefois légèrement en février pour revenir dans les standards des dernières années. A partir de mars, nous arrivons à une distance de 8 mois par rapport à la première campagne de vaccination massive de juillet 2021. On observe la natalité s’effondrer et rejoindre l’année 2020, record de sous-natalité. Plus étonnant, la courbe ne ressemble à aucune autre en septembre et octobre 2022. La chute observée ne s’est jamais produite auparavant. Nous sommes ici autour de 8 à 9 mois après la campagne pour la 3e dose de vaccination. Ces données semblent étonnamment claires, mais il convient de vérifier à quel point la France est particulière.
Le constat se vérifie dans les autres pays européens
L’institut de statistiques du Danemark fournit les bases de naissances mensuelles. Nous pouvons donc vérifier ses évolutions. Le nombre de naissances y est très stable depuis 2016. Cela nous permet de calculer la moyenne mensuelle (en violet) et les intervalles de confiance (en rouge) calculés sur la période 2016-2019. Il saute aux yeux que le nombre de naissances s’est effondré à partir d’avril 2022, soit 8 à 9 mois après la grande campagne de vaccination de juillet-août 2021.
L’institut Allemand nous fournit le même type de données. Comme au Danemark, le nombre de naissances était très stable depuis 2016 et il s’effondre en 2022. La chute a démarré dès février. Si on relie ce moment à juillet 2021, cela revient à dire que les naissances qui manquent concernent les femmes qui étaient dans leur premier trimestre de grossesse à ce moment-là, ou qui n’étaient pas encore enceintes.
L’institut des Pays-Bas offre une interface très complète pour télécharger et analyser les données. On observe un rebond de natalité en 2021, suivi par une baisse en 2022. En revanche, contrairement aux autres pays, la natalité semble se maintenir au niveau de la moyenne ou très légèrement en dessous.
Une autre donnée de l’institut nous permet de comprendre cette différence par rapport aux autres pays : les Pays-Bas accueillent énormément d’immigrés depuis le début de l’année 2022. Si on fait l’hypothèse que, parmi la population qui arrive, il y a environ une moitié de femmes, et que ces immigrés, comme partout, sont majoritairement jeunes, on explique facilement le maintien de la natalité. Seule une enquête nous permettrait de savoir si c’est la fécondité des Hollandaises qui reste constante, ou si ce sont plutôt les femmes immigrées qui viennent combler un manque.
L’institut Suisse propose également les données des naissances mensuelles de 1970 à 2021, ainsi que les données provisoires de 2022. On observe que l’année 2022 est exceptionnellement basse en nombre de naissances. Puisque, comme en France, la fin de l’année 2020 était très basse, on peut supposer que le fort nombre de naissances en 2021 est une sorte de “rattrapage” qui peut avoir un impact sur un plus faible nombre de naissances début 2022, mais cela ne peut pas expliquer toute l’année. Les jeunes femmes Suisses ont démarré leur campagne vaccinale plus tôt qu’ailleurs en Europe, à partir du mois de juin. Comme pour l’Allemagne, se pose la question de ce qui est arrivé aux femmes dans leur premier trimestre de grossesse en juillet 2021.
L’institut Slovène nous fournit également les données des naissances mensuelles de 2019 à 2022. L’année 2022 est également exceptionnellement basse au regard des 3 années précédentes. Dans ce pays aussi se pose la question de la fertilité.
En résumé, partout en Europe où nous disposons de données, la natalité s’effondre. Si la prétendue “pandémie de Covid-19” avait eu le moindre impact sur la natalité, nous aurions dû voir un effondrement pendant l’année 2021. Nous observons plutôt un regain de natalité, comme après tout événement ayant secoué les populations : une fois la phase de stress passée, les gens recommencent à faire des enfants et on observe même un petit rattrapage des projets de grossesse repoussés en 2020. L’effondrement de la natalité a lieu en 2022, donc la perte de fécondité a lieu après un événement qui se situe autour de la mi-année 2021. Cet événement pourrait avoir eu un impact sur les tout débuts de grossesses, et sur la fécondité de manière durable. Pour questionner cette hypothèse, nous pouvons observer si des signaux sont visibles du côté des naissances.
Des signes inquiétants sur les décès des nouveaux-nés en Europe
Patrice TARAVEL ancien ingénieur au CNRS et informaticien a écrit un programme permettant de visualiser sur un même graphique les données de mortalité agrégées des pays Européens en provenance d’Euromomo, ainsi que les données de vaccination disponibles sur le site de l’ecdc. Il est téléchargeable et exécutable sur Windows, Linux et MacOS. Son programme s’appelle EMM. Ses analyses à partir de ce programme ont été diffusées par France Soir dans son article.
En exécutant le programme EMM, en choisissant les options “années en enfilade”, “surmortalité”, “doses cumulées”, “65-74 ans” et le curseur de “tension de lissage” au minimum. On observe aussi avec cet outil une surmortalité pendant les périodes de vaccination. Il y a une hausse inhabituelle de mortalité au printemps 2021, ainsi qu’une hausse qui vient s’additionner à la mortalité hivernale fin 2021.
Pour mémoire, nous avions déjà montré à l’aide des données de mortalité disponible sur Eurostat et des données de vaccination de l’ecdc, qu’il y a bien des périodes de surmortalité dans la quasi totalité des pays d’Europe et pour toutes les tranches d’âge pendant les campagnes de vaccination. Par exemple, pour les 60-69 ans en France, on voit très bien des hausses de mortalité en rouge sur le graphique du haut, pendant les vagues d’injections représentées sur le graphique du bas. Ce ne sont pas les seules vagues de surmortalité. La première a lieu pendant le premier confinement et nous en avons longuement montré les causes, la seconde a lieu pendant la campagne de vaccination antigrippale d’octobre 2020, qui a été un record absolu alors que la grippe avait étrangement disparu des statistiques depuis 1 an, laissant gentiment sa place au Covid-19.
Le travail de Patrice Taravel conforte nos analyses avec d’autres calculs de surmortalité. Tout est finalement cohérent. Ici, nous cherchons des traces de mortalité qui pourraient impacter la natalité.
Euromo ne distingue pas spécifiquement la mortalité des enfants de moins d’un an, mais mélange toutes les tranches d’âge de 0 à 14 ans. Or, les décès sont très rares chez les enfants, et les ⅔ des décès entre 0 et 14 ans ont lieu à 0 an (vérifiable sur le google drive, onglet décès, sur lequel sont reportés les données françaises de l’Insee). Donc la mortalité des 0-14 ans est en fait dépendante de la mortalité à 0 an. Les hausses de mortalité à ces tranches d’âge varient essentiellement en fonction du nombre de naissances, et plus particulièrement du nombre de naissances difficiles, notamment les prématurés. Les variations de décès des enfants de 0 an doivent donc être reliées à l’état de santé de leur mère. Il faut comparer les décès des 0 an, au vaccins reçu par les femmes en âge de procréer, soit entre 15 et 44 ans.
L’outil EMM met en face ces 2 aspects. La surmortalité des 0-14 ans est en bleu et le nombre de vaccins distribués chez les 15-44 ans est en pointillés roses. Nous avons ici séparé chaque dose de vaccin reçu. On remarque d’emblée une surmortalité des enfants exactement pendant la première campagne de vaccination des femmes en âge de procréer à l’été 2021. Cela suggère clairement des soucis au moment de la grossesse et de la naissance. Si on fait l’hypothèse que des femmes au cours de leur 3e trimestre de grossesse accouchent prématurément, il est normal de voir une hausse de mortalité à cette période. Si cela arrive aux femmes enceintes avant les 6 mois de gestation, alors cela sera considéré comme une fausse-couche et ne rentrera pas dans les statistiques. On ne peut observer ici que le décès des enfants nés vivants. Le reste est masqué. On observe peut-être ici seulement la partie émergée d’un iceberg.
L’outil propose également un autre niveau de visualisation. La barre verticale rouge représente la zone entre 6 et 7 mois après la campagne de vaccination. Faisons l’hypothèse que nous suivons ici, une surmortalité de prématurés. Cette zone représente une période de très grande prématurité pour des bébés conçus pendant la période de vaccination. Tout se passe comme si, les femmes étaient devenues durablement malades et, celles tombées enceintes malgré cela, accouchaient trop tôt. On observe une correspondance des pics et une baisse de la mortalité au fur et à mesure que l’on se rapproche de 9 mois après cette première dose.
On observe également un pic de mortalité des 0 an 6 mois après la deuxième dose. Cela vient conforter le lien entre les 2 événements.
On retrouve une 3e fois la corrélation avec la dose de rappel distribuée massivement début 2022. Cette corrélation entre la vaccination des femmes en âge de procréer et la mortalité des enfants de 0 an au niveau européen est flagrante. Entre la faiblesse de la natalité en 2022 et ces hausses de mortalité, les indices sont parfaitement cohérents.
Une mortalité infantile exceptionnelle en France à l’été 2021
Une citoyenne anonyme dont le pseudonyme est Christine MacKoi a créé un site internet entièrement dédié à l’étude des données de mortalité et de vaccinations depuis le début de la crise Covid-19. Elle a notamment rédigé un article sur la mortalité néonatale (c’est-à-dire les décès des nourrissons de moins de 4 semaines) dont nous allons montrer quelques résultats.
En France, le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale a déclaré les femmes enceintes prioritaires à la vaccination dès le 6 avril 2021. Le site Géodes nous permet de visualiser l’avancée de la vaccination en France par sexe et âge. Il y a eu 2 périodes de vaccination très distinctes en France concernant les jeunes. La première au mois de mai 2021, concernant des jeunes quasiment “volontaires” pour la vaccination. Ils représentent la moitié des jeunes vaccinés. A cette époque, le pass sanitaire ne concerne que les grands rassemblements. La 2e vague de primo-vaccination concerne des jeunes plus “réfractaires” ayant attendu le pass sanitaire dans sa version la plus coercitive.
On remarque que les femmes se sont plus fait vacciner que les hommes en début de campagne, puis qu’elles ont arrêté plus rapidement aussi. Tout se passe comme si, parmi les « volontaires », les femmes avaient été plus pressées que les hommes à se faire vacciner. D’ailleurs, les femmes enceintes étaient poussées à la vaccination dès le mois d’avril 2021. Les données suggèrent que les femmes enceintes volontaires se sont rapidement fait vacciner. Au contraire, une fois la coercition en place, on découvre que les femmes non-volontaires ont bien plus résisté que les hommes. On se demande si ces femmes n’étaient pas au courant des effets qu’avaient subi les volontaires du mois de mai. Les données pourraient nous suggérer que beaucoup moins de femmes enceintes se sont fait vacciner à partir de l’été 2021 : les volontaires sont vaccinées avant le mois de juin, les autres ont refusé jusqu’au bout.
Or, comme le révèle l’article cité plus haut, les bébés nés en France au mois de juin 2021 ont un taux de mortalité exceptionnel. Pour 1000 naissances, 4,6 bébés nés en juin 2021 sont morts dans l’année, contre moins de 3,8 habituellement. La zone de surmortalité est à 4,2 pour 1000 et de très grande surmortalité à 4,5 pour 1000. Il s’est donc passé un événement significatif exceptionnel.
L’auteur montre d’ailleurs que cette hausse de mortalité est en grande partie portée par les bébés morts dans les 6 jours après l’accouchement. Il s’agit d’un très fort indice de prématurité. Pour précision, ces données sont réalisées à partir des fichiers consolidés de l’Insee concernant les décès quotidiens par âge en France, et on retrouve exactement les mêmes résultats en récupérant et en agrégeant les décès déclarés à l’état civil. Le résultat est également stable en se limitant à la France métropolitaine.
D’autres pays alertent sur la mortalité néonatale
L’article de Christine MacKoi signale des résultats inquiétants de mortalité néonatale dans les autres pays diffusant ces données.
L‘institut de statistique Écossais propose un graphique de mortalité néonatale mensuelle, c’est-à-dire les décès des nourrissons de moins de 4 semaines (onglet birth and babies, section Neonatal deaths). La mortalité néonatale a fait un bond significatif, sortant des intervalles de confiance en septembre 2021 et mars 2022. De plus, à partir de mars 2021, la mortalité néonatale reste au-dessus de la moyenne pendant 8 mois consécutifs. Cette hausse durable est également inhabituelle.
L’institut Écossais nous permet de savoir que sur l’année 2021, 132 décès néonataux ont été enregistrés contre seulement 100 en 2020, c’est-à-dire une hausse de 30 %. Cette hausse n’est pas due à la hausse des naissances, mais uniquement à celle de la mortalité puisque le taux de mortalité néonatale est passé de 2,1 pour 1000 en 2020 à 2,8 pour 1000 en 2021, soit une hausse de 30 % également. Cette hausse est sans précédent depuis le début des données de l’Institut en 1971. Ce n’est pas normal, il s’est nécessairement passé quelque chose de néfaste concernant les femmes enceintes en Écosse en 2021.
Enfin, l’article de Christine MacKoi nous montre que des données similaires ont été enregistrées en Israël aux mêmes périodes : la mortalité néonatale a explosé au deuxième trimestre 2021, soit juste après la première campagne de vaccination des jeunes en âge de procréer et au 4e trimestre 2021, juste après la campagne pour la 3e dose selon ourworldindata (rubrique Vaccinations by age). Tout concorde une fois de plus.
Toutes les sources sont concordantes, mais il est interdit de conclure
La vaccination est sûre et efficace. Les gouvernements et les médias aidés des médecins de plateaux de télévision continuent de le marteler chaque jour. Cette pression permanente permet d’empêcher les analyses, les débats et donc de s’approcher de la vérité. Les statistiques sont souvent capricieuses. Il est rare d’obtenir des éléments concordants entre des pays qui ont des systèmes de collecte et de diffusion différents. Or, où que notre regard se pose, nous constatons un effondrement de la natalité depuis un an, et des pics de mortalité néonatale, pendant ou juste après les campagnes d’injection massives des personnes en âge de procréer. A tout cela s’additionnent les statistiques alarmantes de pharmacovigilance depuis plus d’un an et des collectifs qui essayent de se faire entendre pour demander des réponses, des actions et des réparations de leurs effets indésirables. Jusqu’où faudra-t-il aller pour obtenir un réveil des autorités ? Le poids de la vérité semble bien faible contre celui du pouvoir et de l’argent. La seule façon de l’obtenir c’est d’aller la chercher par le combat que nous menons chaque jour. Lorsqu’elle éclatera, ce sera l’heure des comptes et de la justice.
Source : Agoravox
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