Ursula nous souhaite bon appétit.
Introduction.
Les évènements s’enchainent de plus en plus rapidement. Nos repères s’estompent, sous une forte pression médiatique. Nous sentons confusément que quelque chose de sombre va arriver. Pourtant, nous sommes entrés dans les temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, les temps du dévoilement, de la vérité.
Deux anciens amis, que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien, se joignent à moi pour décrypter différents faits d’actualité de manière succincte. Il s’agit du démystificateur de sophismes économiques, Frédéric BASTIAT et de mon poète préféré, Alex ANDRIN.
Mes billets s’articulent en trois parties. Les deux premières, à la manière de « l’ami Frédéric », avec son célèbre : « Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas ». La troisième partie est réservée à la vision de « l’ami Alex ».
CE QUE L’ON VOIT
Parmi les différents textes figurant dans le journal officiel de l’Union européenne en date du 4 janvier 2023, quatre ont retenu mon attention. C’est officiel, tous « présentent un intérêt pour l’espace économique européen » :
- Le règlement d’exécution (UE) 2023/4 de la commission du 3 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché de poudre de champignons contenant de la vitamine D2 en tant que nouvel aliment et modifiant le règlement d’exécution (UE) 2017/2470.
- Le règlement d’exécution (UE) 2023/5 de la commission du 3 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché de la poudre d’Acheta domesticus (grillons domestiques) partiellement dégraissés en tant que nouvel aliment et modifiant le règlement d’exécution (UE) 2017/2470.
- Le règlement d’exécution (UE) 2023/6 de la commission du 3 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché de protéines de pois et de riz fermentées par du mycélium de Lentinula edodes (champignon shii-take) en tant que nouvel aliment et modifiant le règlement d’exécution (UE) 2017/247
- Le règlement d’exécution (UE) 2023/7 de la commission du 3 janvier 2023
autorisant la mise sur le marché du lacto-N-tétraose produit avec des souches dérivées d’Escherichia coli BL21(DE3) en tant que nouvel aliment et modifiant le règlement d’exécution (UE) 2017/2470.
Tous ces règlements autorisent la mise sur le marché européen de nouveaux aliments. Nous comprenons dès lors qu’effectivement, ils « présentent un intérêt pour l’espace économique européen »… en cette période de restrictions !!!
CE QUE L’ON NE VOIT PAS
Cessez, je vous prie, de dénigrer notre chère présidente de la Commission européenne, une certaine Ursula Von der LEYEN. Certes, elle « négocie curieusement » avec un docteur vétérinaire : Alvértos BOURLÁ, alias Albert BOURLA, ci-devant directeur général du laboratoire pharmaceutique PFIZER.
C’est d’une importance tellement minime… comparée à son constant souci de l’amélioration de la qualité de l’alimentation des populations de l’espace économique européen (EEE). Elle a apposé sa noble signature au bas de ces quatre textes, dont je vous résume la portée. Merci qui ?
Les quatre nouveaux produits ont reçu un avis favorable de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), ce qui est totalement « rassssurant ».
Quoique… si l’on se réfère aux avis de son homologue, l’agence européenne des médicaments (EMA), pour ce qui est de la très relative « efficacité » et de la totale « innocuité » des « produits expérimentaux géniques », injectés aux populations, dans le cadre du « Corona-Circus »… quelques doutes sont permis !!!
Cela, d’autant plus, que la poudre « d’Acheta domesticus », autrement dit, « des grillons domestiques partiellement dégraissés », nous est fort aimablement fournie par la « Cricket One Company Limited ». C’est l’équivalent d’une SARL au capital de 5 500 000 000 Dongs (200 k€), qui a été créé le 27 mai 2017 à Hô Chi Minh-Ville, au Vietnam. Elle a 16 employés et est liée à 6 113 autres sociétés vietnamiennes.
Le bilan Carbonne de ce « merveilleux nouveau produit » serait moins élevé, si les grillons français étaient réduits à néant en poudre !!! N’est-il pas le temps du « Fabriqué en France » ? Le métro parisien est un repaire pour ces petites bêtes, mais… la « Ligue de protection des grillons du métro parisien » (LPGMP) veille à leur survie !!! Mais que tout est compliqué, en ce moment.
CE QU’EN PENSE ALEX ANDRIN
Quand donc cessera-t-on de faire n’importe quoi ?
Dans l’alimentation et les médicaments.
Quand arrêterons-nous le pouvoir bruxellois ?
Qui sans arrêt nous « pond » de nouveaux règlements.
Il est temps de reprendre notre destin en main,
Avant que du cimetière, nous prenions le chemin.
Gardez confiance en vous. Je vous aimer et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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