Une effrayante vague de surmortalité en Europe et aux États Unis… et ce n’est pas la Covid + L’omerta sur les vaccins se fissure
La comparaison de la surmortalité toutes causes confondues et des décès Covid met en évidence de surprenants écarts. Entre 40 et 60% des décès excessifs hebdomadaires ne seraient pas dus à la Covid. Alors, de quoi meurt-on dans cet Occident survacciné ? La presse n’en parle pas, pourtant cette épidémie tue plus que la Covid.
Les statistiques officielles cacheraient elles la moitié des décès Covid? Les effets secondaires des vaccins seraient ils l’explication ? Abonnez vous au blog car la censure veille…
En France, les plus de 75 ans sont massivement morts en août-septembre, autant que l’hiver dernier, mais officiellement ils étaient protégés de la Covid. Donc, de quoi sont-ils morts ?
Un excès anormal de mortalité plus important que cet hiver ou qu’au printemps 2020. A l’époque, on accusait la Covid mais officiellement, elle n’en serait pas la cause. Qu’est ce qui a tué les plus de 15 ans, et pourquoi personne n’en parle ? Pourquoi une surmortalité toute causes confondues dans les semaines qui suivent l’appel de Macron du 12 juillet ? Il n’y a pas de décès Covid à ce moment là.
Aux États Unis, la moitié de la surmortalité de l’été et de l’automne ne serait pas due à la Covid mais alors à quoi?
Le site EUROMOMO mesure la surmortalité dans l’Union Européenne, le Royaume Uni, Israël et quelques autres pays du continent (européen – NdE). On découvre que depuis le début de 2021, la Covid représenterait moins de la moitié de la surmortalité enregistrée. La surmortalité serait deux fois plus importante que l’an dernier (sans vaccin), et elle exploserait après le mois de mai quand l’épidémie avait ralenti et plus encore en septembre-octobre. Cette mortalité par rapport à 2020 ne concernerait pas les plus de 85 ans mais toutes les autres catégories d’âge dans les semaines qui suivent la… vaccination.
Une surmortalité qui concernerait a minima 100 000 Européens et que n’expliquerait pas la Covid….
Les Écossais sont les premiers à s’en inquiéter ; cette surmortalité serait plus importante que les décès associés à la Covid .
Le nombre de personnes décédées en Écosse la semaine dernière était 30% supérieur à la moyenne avant la pandémie, comme le montrent de nouveaux chiffres.
Le National Records of Scotland a déclaré que 1 353 décès toutes causes confondues avaient été enregistrés au cours de la semaine précédant le 10 octobre.
C’était 315 de plus que la moyenne de la même semaine de 2015 à 2019, et le taux de décès « excessifs » le plus élevé depuis la première semaine de janvier 2021.
Il s’agit notamment des décès liés au cancer, aux maladies cardiaques et à la démence.
Cela survient alors même que le nombre de décès où la Covid était mentionnée dans les rapports est tombé pour la deuxième semaine consécutive à 126.
Le nombre de décès liés à la pandémie avait augmenté depuis la mi-août, mais semble avoir culminé à 167 au cours de la semaine se terminant le 27 septembre – bien en deçà des pics précédents lors de l’épidémie initiale du virus et au début de 2021.
Le chiffre est tombé à 143 la semaine suivante, et a maintenant baissé à 126 – 100 étaient des personnes âgées de plus de 65 ans et 98 décès se sont produits dans les hôpitaux. Les hommes représentaient 82 des décès, tandis que 44 étaient des femmes.
Un autre décès a également été enregistré, lié aux effets indésirables d’un vaccin Covid-19.
Cela porte à cinq le nombre total de décès pour lesquels le vaccin était une cause sous-jacente, sur une population de 4,2 millions en Écosse qui a reçu au moins une dose.
Quelles étaient les causes du décès ?
Les 315 décès supplémentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne sur cinq ans avant la pandémie pour cette période de l’année.
Ils comprennent :
- 44 décès par cancer,
- 40 décès supplémentaires liés à des troubles circulatoires,
- 27 décès par démence ou Alzheimer,
- et 7 par affections respiratoires
Il s’agit de la 20e semaine consécutive présentant une surmortalité au-dessus de la moyenne quinquennale, et le taux le plus élevé depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021.
En 2020, l’Écosse a enregistré le plus grand nombre de décès excessifs en temps de paix depuis 1891, lorsque le pays a été touché par une épidémie de grippe russe.
Aux États Unis, la surmortalité explose depuis le mois de juin pour atteindre un niveau inégalé même pour des catégories d’âge fortement vaccinées :
Pourtant, constatez ci-dessous qu’en juillet, le nombre de décès Covid n’atteignait pas le niveau du printemps. La surmortalité des 25-64 ans de juin à août ne peut pas s’expliquer par la Covid, il y a peu de décès Covid.
En France, la surmortalité apparaît nettement par rapport à 2020 (5%) mais c’est à un moment où la Covid est maitrisée, fin août. Pour les 15 à 44 ans, des pics de surmortalité toutes causes confondues de 5%, à un moment qui correspond à l’après 12 juillet…
Toujours en France, la surmortalité des plus de 75 ans était deux fois plus importante en 2020 qu’en 2021 après la vague du printemps. Aujourd’hui, 2021 a pratiquement rattrapé 2020, et la Covid n’y est pour rien. L’explication se trouve dans les décès des quatre derniers mois.
Le tableau ci dessous met en évidence une surmortalité des plus de 75 ans entre la 28e et la 36e semaine. Certains en déduiraient que la vaccination n’a pas empéché la dernière vague, mais on nous dit le contraire. Alors pourquoi les vieux sont ils massivement morts en septembre ?
Regardez bien ci dessous les décès Covid officiels en France ; ils expliqueraient la surmortalite des semaines 1 à 19. Or en juin-juillet, il n’y a plus de décès Covid… mais un excès de mortalité dans le pays aux semaines 28, 29 et 30. De quoi meurent ces gens ? Le président a parlé, souvenez vous, ça pique, ça pique…
Source : pgibertie
Corrections / améliorations : Sott.net
Source : Sott.net
L’omerta sur les vaccins se fissure
Une fois n’est pas coutume, nous allons vous présenter deux vidéos pêchées sur You Tube, vidéos tirées d’une émission de CNews, un des phares de la TV système, avec son animateur vedette, Pascal Praud.
Je vous vois déjà reculer d’effroi en vous disant « mais qu’est-ce qu’il leur prend au SF de vouloir nous relayer la propagande de CNews ». Tenez bon pourtant et allez jusqu’au bout car ces vidéos montrent que l’omerta sur le danger des vaccins est en train de se fissurer. La première est le témoignage d’un mari dont la femme subit des effets collatéraux mortels du vaccin ARNm anti-covid, la deuxième est la réaction de Martin Blachier à ce témoignage.
Il semble que la presse système commence à sentir que la narrative dans laquelle elle essaye de tenir la population prend l’eau, la résistance étant trop forte, tant en France que dans d’autres pays, et qu’il est temps de commencer à retourner sa veste et protéger ses arrières, comme le fait Blachier ici.
Pascal Praud se dévoue donc pour donner le premier coup de marteau dans le mur de la narrative « vaccins efficaces et sans danger ». Espérons que les autres suivront rapidement. Quant à voir Blachier dire et redire « mais on ne l’a pas caché », c’est aussi pathétique qu’un violeur sourd qui plaiderait pour sa défense ne pas avoir entendu les cris de refus de sa victime et qu’il pensait donc qu’elle était consentante. Leur niveau de forfaiture montre le degré de pourriture de la tête du poisson France.
On voit encore ici que, comme l’écrit Philippe Grasset sur son blog De defensa :
« De tout cela émerge une sorte de situation de très-grand désordre où la première victime est l’ordre voulu par le Système, l’ordre-PC (du Politiquement Correct). Non pas que le PC n’existe plus, bien au contraire : il est partout proclamé mais il l’est à visage découvert, avec sa vilaine binette et son haleine puante, et donc finalement aussi bien dénoncé que proclamé. Ainsi le « camp du Bien » sent-il parfois que le « Bien » lui échappe et la vulnérabilité de son simulacre-narrative, de son déterminisme narrativiste, apparaît en pleine lumière. Rien n’effraie plus le Système et le « camp du Bien » que la pleine lumière ; l’œil clignote et fond la vertu comme beurre au soleil… ».
Source : Sott.net
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