Un virus au service d’un terrorisme d’Etat, antichambre de la dictature?
par Liliane Held-Khawam
Il arrive à des États de recourir à la terreur comme mode de gouvernement « permettant au pouvoir en place de briser, à force de mesures extrêmes et d’effroi collectif, ceux qui lui résistent ». Gérard Chaliand, « Terreur »
Les circonstances peuvent comporter des dangers. Le rôle des autorités chargées d’assumer la sécurité des habitants est alors totalement légitime. Le problème commence quand les mesures prises et imposées à tout un chacun sont basées sur une évaluation inadéquate.
Maintenant lorsque l’on cherche à évincer médiatiquement les tenants d’un savoir au profit d’autres qui ont des intérêts économiques et commerciaux, la légitimité desdites mesures peut être remise en question.
Lorsque les experts financiarisés deviennent une source persistante d’ambiance anxiogène, sur lesquels s’appuient les autorités, il est alors indispensable de se demander si la peur générée n’est pas utilisée à des fins autres que celles de la pandémie.
Le SARS-COV-2, un virus qui a peu à faire avec la médecine mais tout à faire avec la mutation sociétale exigée par le Nouveau Monde.
Plus nous avançons dans la crise covidienne, et plus nous nous rendons compte que la vraie médecine, celle qui est indépendante de Big Pharma et de son réseaux d’infrastructure sanitaire public et/ou privé, est mise à mal par les personnages politiques de tous bords. (cf le collectif médical censuré ci-dessous)
Quand la crise, ou devrions-nous dire le drame, que nous vivons prend sa source dans les sphères politico-économico-médiatiques financiarisées par le grand capital supranational, -celui-là même qui détient la galaxie connue sous l’appellation big pharma- alors nous sommes en doit de nous interroger sur le comment et le pourquoi de la chose.
Il ne s’agit alors plus d’une crise sanitaire classique, mais d’une crise induite par une prise de pouvoir par la haute finance (rhabillée pour l’occasion des couleurs de la santé) et couverte par les représentants des pays. Ces derniers peuvent être considérés en tant que délégués du Conseil d’administration du Nouvel État unifié planétaire, pouvoir supranational d’ores et déjà pleinement opérationnel.
Chamboulement de l’ensemble des espaces de la vie humaine
Nous avons beaucoup parlé récemment de grande réinitialisation, great reset ou big reset. Peu importe le nom que vous voulez lui donner, nous retrouvons son principe directeur dans un petit passage écrit par Jacques Attali et que nous avions repris en février 2020:
» (…) beaucoup savaient donc qu’une nouvelle pandémie aurait des conséquences plus graves que la précédente. Et pourtant, on en est là. L’épidémie actuelle est déjà plus grave que la précédente et nul ne peut encore prédire jusqu’où elle va aller.
Dans l’hypothèse où elle explose vraiment sur toute la planète, ce serait un cataclysme gigantesque. C’est possible, mais peu vraisemblable. Et, pour en limiter les conséquences, il faudrait prendre, le moment venu, des mesures dont les conséquences humaines, sociales, économiques, écologiques, politiques, pourraient être terrifiantes. » Source des pages: « PERSPECTIVES VOL.1 L’INTEGRALE » Jacques Attali
La peur en moteur de changement
Jacques Attali nous parle dans ce passage d’une restructuration en profondeur de la gestion des territoires. Ceci n’est n’est rien d’autre que le principe de la grande réinitialisation. C’est la mise à zéro de tous les domaines de la vie sur terre. TOUS! A commencer par la place de l’humain dans les flux technotronique.
D’un coup l’humain pourrait devenir juste un point de connexion comme un autre, ou une ressource informationnelle comme une autre dans l’immense constellation de la globalisation. Sa raison d’exister est limitée à ses apports au Système. Finie la société. Finie la famille. Fini le couple. Finies les émotions. Finis les sentiments. Finie la relation filiale/parentale.
La centralité de la place de l’industrie et de la décision politique de poser les limites supérieures de charge virale qui indiquent qu’une personne est positive ou pas
Nous ne pouvons comprendre ces phénomènes technologiques si nous perdons de vue la finalité des politiques appliquées. Nous ne sommes pas confrontés à une simple épidémie, mais à une volonté d’imposer un changement de paradigme, non pas financier ou économique, mais total et global
Le changement de paradigme imposé à l’humanité est essentiel, non pas sectoriel
Bien avant que les effets de la crise ne soient visibles, nous commentions les dires de M Attali, et les textes de lois, qui permettent des mesures coercitives, votés depuis des années dans un pays comme la Suisse:
» (…)ce virus déclenche une crise sociale et sociétale inédite car globale. Et elle pourrait bien permettre la mise en place d’un nouveau jalon en direction du coming-out de la Nouvelle Société du Nouveau Monde.
La crise que génère le Coronavirus est à la Nouvelle Société, ce que la crise des subprimes a été à la financiarisation de la planète. Ce sont des marqueurs de la naissance du Nouveau Monde.«
Et pour arriver à révolutionner la vie sur terre (toute vie y c animale et végétale. Rien n’échappe au nouveau concept), le SARS-COV-2 fera l’affaire. En effet, ici et ailleurs, les démonstrations qu’il n’y a pas eu de surmortalité sont nombreuses. Le nombre de personnes infectées est plus que remis en question dans la mesure où les chiffres sont faux, et incluent TOUS les tests-retests effectués. Cela signifie qu’une personne testée 3 fois positive va être comptée pour 3 personnes infectées.
La quantité de charge virale contenu dans les échantillons prélevés n’est pas indiquée dans le rendu des laboratoires. Cela signifie qu’il suffit d’une présence résiduelle d’un virus non contagieux pour être comptabilisé sous les positifs. Et là, il n’y a aucune norme en la matière.
Nous avons posé la question suivante à Swissmedic : »Existe-t-il un document officiel qui définit cette valeur en tant que norme suisse/européenne/ mondiale peut-être, ou chaque laboratoire décide de la sienne ? »
Voici la réponse (Ct étant le nombre d’amplifications appliqué à un échantillon lors de son analyse par la PCR):
« La sensibilité et les spécificités sont des caractéristiques des tests de DIV. Les valeurs sont déterminées et communiquées par les fabricants. La valeur de Ct de certaines méthodes PCR n’est pas identique pour tous les tests et ne représente qu’une mesure semi-quantitative qui n’est pas directement comparable d’un laboratoire à un autre en l’absence de renvoi à une référence. « (Swissmedic, lun. 28.09.2020 14:12)
Cet institut est une agence indépendante inscrite au Registre du commerce en 2002 sous la nomenclature CHE-108.952.985. Pour rappel, voici sa mission : « En tant qu’autorité suisse de contrôle et d’autorisation des produits thérapeutiques, nous exécutons notre mandat légal et collaborons aux niveaux national et international avec des autorités partenaires. »
Cette autorité indépendante du législateur a vu les exigences usuelles allégées par le Conseil fédéral dans son ordonnance COVID-19 de Mars 2020. Dans le cas où » une analyse bénéfice-risque a été effectuée, Swissmedic peut, pour les médicaments destinés à prévenir ou à combattre le coronavirus en Suisse, autoriser des divergences par rapport au processus de fabrication approuvé dans le cadre de l’autorisation. »
Voici une autre question posée à Swissmedic:
Est-ce que les laboratoires communiquent aux médecins traitants -au-delà d’un résultat PCR positif ou négatif- la valeur du cycle-seuil qui serait déterminant, si j’ai bien compris, en matière de niveau de contagiosité ?
Réponse de l’établissement:
« Tout résultat de test doit être examiné par un chef de laboratoire à la fois expérimenté et spécialement formé à cette fin, qui tient également compte de la problématique clinique particulière, avant d’être communiqué au médecin. Transmettre une valeur de Ct au médecin ne lui serait pas utile. « Swissmedic, lun. 28.09.2020 14:12
Normer le Ct pour définir les positifs est stratégique pour en faire exploser ou réduire le nombre
Des chercheurs ont publié en août les résultats d’une enquête résumés ainsi:
« La charge virale du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère dans les voies respiratoires supérieures atteint son maximum autour de l’apparition des symptômes et le virus infectieux persiste pendant 10 jours dans la maladie à coronavirus légère à modérée (n = 324 échantillons analysés). Les valeurs du seuil de cycle de RT-PCR (Ct) sont fortement corrélées avec le virus cultivable. La probabilité de culture du virus diminue à 8% dans les échantillons avec Ct> 35 et à 6% 10 jours après le début; il est similaire chez les personnes asymptomatiques et symptomatiques. »
Duration of infectiousness and correlation with RT-PCR cycle threshold values in cases of COVID-19, England, January to May 2020
Voici 2 graphiques de l’étude dont les auteurs sont Anika Singanayagam1,2, Monika Patel1,2 , Andre Charlett3 , Jamie Lopez Bernal4 , Vanessa Saliba4 , Joanna Ellis1 , Shamez Ladhani4 , Maria Zambon1 , Robin Gopal1, des chercheurs de l’Agence de santé publique anglaise. Ils ont mis en relation la valeur du « Ct » de tests RT-PCR positifs avec la possibilité de cultiver du virus à partir des mêmes échantillons – donc avec la possibilité que le patient soit contagieux.
« Ces résultats indiquent que la valeur du Ct est corrélée avec la contagiosité. Jouer sur la valeur du Ct représente donc une piste pour mieux évaluer la contagiosité avec un test RT-PCR. Même s’il faut se garder de simplifier le problème : les tests RT-PCR ciblent en général 2 ou 3 séquences génétiques du virus, avec autant de Ct correspondants qui dépendent en outre des machines et des réactifs utilisés.«
Ce travail converge avec les publications du Prof Raoult de l’IHU de Marseille.
Comment on peut manipuler les résultats? Le cas de l’Espagne
L’importance du Ct correspond au nombre de cycles d’amplifications appliqué à l’échantillon à tester dans le cadre de la PCR.
Idem aux Etats-Unis (Extraits de l’article du NYT)
Dans trois ensembles de données de test qui incluent des seuils de cycle, compilés par des responsables du Massachusetts, de New York et du Nevada, jusqu’à 90% des personnes testées positives ne portaient pratiquement aucun virus, selon une revue du Times.
Le nombre de cycles d’amplification nécessaires pour trouver le virus, appelé seuil de cycle, n’est jamais inclus dans les résultats envoyés aux médecins et aux patients atteints de coronavirus, même s’il pourrait leur dire à quel point les patients sont infectieux.
Une solution serait d’ajuster le seuil de cycle utilisé maintenant pour décider qu’un patient est infecté. La plupart des tests fixent la limite à 40, quelques-uns à 37.
Tout test avec un seuil de cycle supérieur à 35 est trop sensible, a reconnu Juliet Morrison, virologue à l’Université de Californie à Riverside. «Je suis choquée que les gens pensent que 40 pourrait représenter un positif», a-t-elle déclaré.
Pays qui atteignent un cycle de 45
Si la virologiste Morrison est choquée avec un Ct de 40, que penser des laboratoires qui les dépassent pour atteindre les 45?
Une publication a attiré notre attention. Il s’agit d’une étude pilotée par d’éminents scientifiques dont le professeur Gilbert Greub, patron du département de microbiologie du CHUV.
Dans ce papier, il est question d’un Ct de 45. Le document est accessible ici
Nous avons approché le Professeur Greub à ce sujet, nous attendons sa réponse que nous publierons aussitôt reçue.
Au vu de ce qui précède la question du management par la peur est posée (citations)
L’historien de la médecine Bernardino Fantini analyse l’anxiété grandissante suscitée par la propagation du virus. Et de conclure:«La peur du coronavirus est largement exagérée».
Le Dr Cua,infectiologue du CHU de Nice, préfère rassurer : « 99% des patients qui auront le Coronavirus vont guérir, bien sûr un mort sur 100 c’est un mort de trop, mais ce n’est pas un virus qui va décimer la population, on connait ce virus », précise le médecin.
Même son de cloche du côté cette fois des Décodeurs du Monde. Ils admettent que le « Coronavirus est un virus peu contagieux et dont la létalité est relativement faible »…
Le véritable enjeu de cette « pandémie » semble donc être ailleurs. Serait-il dans l’émergence incroyable et planétaire:
- du port du masque avec toutes les aberrations observables que nous ne développerons pas ici. Il est de fait le symbole de la censure généralisée qui ne se cache plus.
- de la distanciation sociale qui est fondamentalement contraire au b a ba des droits de l’humain qui a structurellement besoin de vivre en société. De plus, il semble évident que ladite contrainte n’est pas respectée par les responsables qui gèrent la « pandémie », et qui pose un véritable problème de santé publique mentale. Le prix payé par les jeunes et les enfants est et sera incalculable. Aucune statistique ne semble disponible quant au suicide des jeunes.
- de la faillite généralisée voulue et assumée par les dirigeants politiques
- de la mise en danger de l’espèce humaine au cas où les vaccins à portée génétique et autres implants neuronaux venaient à être autorisés par les « Autorités » sanitaires.
Tout ce qui précède contribue bien évidemment à la peur individuelle, puis sociétale. Observez bien comment les journaux télévisés grand public font tourner en boucle des images indignes de personnes hospitalisées en réa. Les images des intervenants sont poussées dans les angles de l’écran pour laisser la place à des images terrifiantes et impressionnantes de situations de détresse qui ne concernent en aucun cas les 99% de la population.
Toute personne professionnelle et crédible de par son parcours qui passe dans les médias et qui ose rassurer est immédiatement décrédibilisée par des « experts » de la science médiatique et financiarisée.
Au vu de ce qui précède, nous posons clairement la question du terrorisme d’Etat.
*
La censure des opposants au programme
Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19, tribune censurée. FranceSoir
Publié le 28/09/2020 à 09:29 – Mise à jour à 09:30
ndlr : censure quand tu nous tiens. Cette tribune devait initialement paraître dans le JDD ce dimanche 27 septembre 2020. Cela ne fut pas le cas et à la place, le choix éditorial du JDD fut de publier une tribune d’un collectif de 7 médecins qui mettaient en garde contre une éventuelle seconde vague et demandait des mesures sanitaires radicales dès ce weekend pour des vacances de la Toussaint sereines. Ces médecins sont parmi ceux que l’on retrouve sur les plateaux de télévision depuis le début de la pandémie Karine Lacombe, Gilbert Deray, Bruno Megarbane. Un choix éditorial aux connotations politiques et sanitaires, perpétuant ainsi le discours anxiogène du gouvernement qui depuis plusieurs semaines est à la recherche d’une hypothétique seconde vague. Rappelons que Laurent Toubiana (un des signataires de la tribune censurée) a déclaré que cette seconde vague était une épidémie de tests. En second lieu, les liens d’intérêts ne sont jamais loin et ces sept médecins ont reçu plus de 432 000 euros des laboratoires dont 222 000 pour la seule Karine Lacombe et 160 000 euros pour Gilbert Deray avec plus 25% des conventions qui ne sont pas renseignées.
Alexandra Henrion Caude, une des signataires de la tribune censurée nous dit :
« c’est la seconde censure que je vis après celle de Libé et le checknews sur mes déclarations au cours de l’été. Incroyable que le JDD choisisse une tribune de sept médecins contre plus de 250 personnes. »
Le texte complet de la tribune est présenté ci-dessous. Dans cette tribune, plus de 250 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.
Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique « Tribune/Opinions », elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. A 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n’a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer.
Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.
Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?
Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.
Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.
On ne compte plus les mêmes choses
(lire la suite du texte sur France Soir)
Source : Reseau International
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