Un médecin sanctionné pour avoir soigné: 12 mois de suspension!
27 août 2024 Dernière mise à jour : 2 septembre 2024
Cet article est paru initialement dans la lettre d’information de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations.
Jean-Philippe Labreze est médecin naturopathe, exerçant en France. Pour avoir soigné une patiente avec une thérapie “non acceptée” par la communauté médicale, le Conseil de l’Ordre des médecins l’a suspendu.
Rappel des faits :
Durant l’été 2018, le Docteur Labreze a répondu à l’appel à l’aide de proches d’une dame âgée, transférée depuis peu dans un service de soins palliatifs, pour une infection que les médecins considéraient comme incurable.
Le docteur Labreze a mis en œuvre un traitement susceptible d’aider cette patiente de 80 ans, qui ne recevait plus aucune alimentation – en violation des dispositions de l’article L.1110-5 du code de la santé publique, et dont les traitements curatifs avaient été interrompus en violation des dispositions très strictes qui définissent les modalités de cet arrêt (voir art. R4127-37-2) – en lui offrant de réelles chances de survie.
En effet, avec l’aide du Dr Labreze, l’état de santé de cette dame s’est nettement amélioré, chose constatée et actée par des proches, mais ces soins ont été interrompus par le Docteur Gracia ; cette patiente est donc restée sous morphine uniquement et perfusion de sérum physiologique, sans aucun apport énergétique ou nutritionnel, elle est décédée 6 jours plus tard.
Conclusion :
Le Docteur Labreze a été condamné à 3 ans de suspension, dont 2 avec sursis. Et pourtant, les éléments du dossier de cette dame auraient dû donner lieu à une enquête pénale pour déterminer s’il y a eu homicide.
Selon le site du collectif citoyen qui le soutient :
Il a été reproché au Dr Labreze d’avoir tenté de secourir la patiente sans avoir demandé son autorisation à la personne de confiance (mais avec l’accord implicite de la cheffe de service), alors que l’hôpital a arrêté tous les traitements curatifs sans informer cette dernière ainsi que la loi l’y obligeait, et manigancé pour que le Dr Labreze ne puisse coordonner ses actions avec elle.
Mais c’est le Dr Labreze qui se retrouve mis en cause par la justice ordinale.
Durant l’interview qu’il a donnée à ce collectif, le médecin explique sans aucun détour le harcèlement qu’il subit de la part des instances ordinales.
Il souligne également la chasse aux “sorcières” (note du Dr Labreze : “j’entends par sorcières les trop rares médecins qui se sont efforcés de rester intègres, de continuer à penser par eux-mêmes et d’agir en conscience, en toute indépendance, et sur la base des données acquises de la “vraie science”) à laquelle ces instances ordinales se sont livrées, en ayant très clairement oublié qu’elles sont supposées agir dans l’intérêt des patients et des médecins… comme il est noté sur le site du CNOM (Conseil National de l’Ordre des Médecins) :
L’Ordre des médecins a un engagement : “être au service des médecins dans l’intérêt des patients” et assure une mission de proximité pour les médecins.
Le docteur Labreze rappelle la brutalité avec laquelle les instances ordinales ont traité les médecins qui s’efforçaient d’échanger leurs connaissances afin de soigner leurs patients, et qui critiquaient une doxa dictée par Big Pharma, que ce soit en France, en Belgique et ailleurs.
Pour aller plus loin
Le “Collectif de soutien au Docteur Jean-Philippe Labreze”
La lettre d’information complète de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations
Pétition pour soutenir le Dr Labreze dans son action judiciaire : https://justicepourledocteurlabreze.info/actions-citoyennes
Source : Essentiel News
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