Un avocat marseillais attaque Pfizer pour avoir reconnu le lien de causalité entre les effets indésirables et le vaccin
Un avocat marseillais assigne le laboratoire Pfizer devant le tribunal d’Aix-en-Provence pour reconnaître le lien de causalité entre le vaccin anti-Covid et les effets secondaires indésirables. L’audience aura lieu le 31 mai 2022.
Ce n’est pas la première bataille de Maître Lanzarote contre le laboratoire Pfizer. L’avocat marseillais a déjà saisi la justice pour dénoncer la mise en garde que le laboratoire efface en cas d’effets secondaires indésirables liés à son vaccin anti-Covid.
Cette fois, Eric Lanzarone assigne Pfizer et l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) devant le tribunal d’Aix-en-Provence pour un procès en référé. “Je demande au juge de nommer un collège d’experts médicaux afin qu’ils puissent évaluer toutes les pathologies dont souffre mon client et qu’ils puissent établir le lien de causalité entre la vaccination et ces effets indésirables”, explique l’avocat.
En tant que professionnel de santé, le plaignant devait se conformer à l’obligation de vacciner les soignants. Il a reçu sa première injection du vaccin Pfizer le 16 avril 2021. C’est à ce moment-là que ses problèmes ont commencé.
Dès les jours suivants, le praticien ressent des nausées importantes, une sensation d’ivresse, des oreilles couvertes en permanence comme en hauteur, des maux de tête…
Un mois après l’injection, maigre et épuisée, elle a dû arrêter de travailler. Prises de sang, imagerie par résonance magnétique du cerveau, imagerie par résonance magnétique des conduits auditifs… Les consultations spécialisées se succèdent. Rien, cependant, ne peut expliquer ses symptômes persistants. Un neurologue a ordonné un angioscanner thoracique, qui a révélé un emphysème modéré. Un pneumologue atteste d’un “syndrome post-vaccinal anti-Covid de longue durée”.
L’été suivant, la jeune femme souffre de douleurs musculaires intenses, notamment aux extrémités, elle est incapable de faire de l’exercice, une hypotension orthostatique avec tachycardie et paresthésies céphaliques.
un avocat marseillais attaque Pfizer pour avoir reconnu le lien de causalité entre les effets indésirables et le vaccin – . —
Un avocat marseillais assigne le laboratoire Pfizer devant le tribunal d’Aix-en-Provence pour reconnaître le lien de causalité entre le vaccin anti-Covid et les effets secondaires indésirables. L’audience aura lieu le 31 mai 2022.
Ce n’est pas la première bataille de Maître Lanzarote contre le laboratoire Pfizer. L’avocat marseillais a déjà saisi la justice pour dénoncer la mise en garde que le laboratoire efface en cas d’effets secondaires indésirables liés à son vaccin anti-Covid.
Cette fois, Eric Lanzarone assigne Pfizer et l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) devant le tribunal d’Aix-en-Provence pour un procès en référé. “Je demande au juge de nommer un collège d’experts médicaux afin qu’ils puissent évaluer toutes les pathologies dont souffre mon client et qu’ils puissent établir le lien de causalité entre la vaccination et ces effets indésirables”, explique l’avocat.
En tant que professionnel de santé, le plaignant devait se conformer à l’obligation de vacciner les soignants. Il a reçu sa première injection du vaccin Pfizer le 16 avril 2021. C’est à ce moment-là que ses problèmes ont commencé.
Dès les jours suivants, le praticien ressent des nausées importantes, une sensation d’ivresse, des oreilles couvertes en permanence comme en hauteur, des maux de tête…
Un mois après l’injection, maigre et épuisée, elle a dû arrêter de travailler. Prises de sang, imagerie par résonance magnétique du cerveau, imagerie par résonance magnétique des conduits auditifs… Les consultations spécialisées se succèdent. Rien, cependant, ne peut expliquer ses symptômes persistants. Un neurologue a ordonné un angioscanner thoracique, qui a révélé un emphysème modéré. Un pneumologue atteste d’un “syndrome post-vaccinal anti-Covid de longue durée”.
L’été suivant, la jeune femme souffre de douleurs musculaires intenses, notamment aux extrémités, elle est incapable de faire de l’exercice, une hypotension orthostatique avec tachycardie et paresthésies céphaliques.
Près d’un an plus tard, il n’a toujours pas pu reprendre son activité professionnelle. Les symptômes de plus en plus invalidants l’empêchent même d’accomplir les tâches quotidiennes, selon son avocat.
Il a les mêmes symptômes que le vaccin long mais post Covid et depuis plus d’un an sa vie est un enfer. —
I Eric Lanzarote, avocat
Me Lanzarone entend démontrer, avec des certificats médicaux accréditifs, qu’il existe une “causalité temporaire” parce que votre client “Il ne souffrait d’aucune pathologie avant le vaccin et les premiers effets indésirables sont apparus cinq jours après la vaccination”.
“Elle a les mêmes symptômes que Covid-long mais après la vaccination et pendant plus d’un an sa vie a été un enfer. Il remarque, à tel point que nous lui avons remis un certificat de contre-indication à la deuxième dose ».
Devant le manque de solutions en France, la jeune femme s’est rendue en Allemagne pour suivre un traitement d’aphérèse proposé aux Covid-Longs. Facturé 2000 euros. entièrement à vos frais.
L’avocat, qui a plusieurs centaines de plaintes similaires pendantes, espère obtenir une indemnisation substantielle pour son client, à la mesure du préjudice subi.
“Je demande au juge de confier aux experts le soin d’évaluer les préjudices physiques, moraux et sexuels… Éric Lancelot dit, il s’élèvera à plusieurs milliers d’euros car on ne peut pas dire aujourd’hui s’il pourra reprendre le travail. Et puis, à 26 ans, il a dû retourner vivre chez sa mère car il n’est pas complètement indépendant.
Cette assignation de Pfizer dans le cadre d’une procédure d’urgence est la première en Paca, la deuxième en France selon Me Lanzarone. L’affaire sera examinée lors de l’audience du 31 mai au tribunal d’Aix-en-Provence.
Source : Swiss.Dayfr
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