Ukraine / Russie. Le dessous des cartes qu’on vous cache
Republication d’un article de 2014/2015 qui parle de l’Ukraine, des Khazars, des juifs, des nazis d’Azov et de divers acteurs encore d’actualité aujourd’hui comme l’oligarque Kholomoyskyi marionnettiste de Zelinsky en liaison avec l’état profond états-unien. (Obama Biden Kerry§, Nuland etc…) et qui devrait éclairer les lecteurs de PG non familiers des coups tordus de la diplomatie.
Nous republions cet article datant du lundi 29 décembre 2014, intitulé : PLAN SECRET : Un « deuxième Israël » en Ukraine, dont le contenu pertinent explique beaucoup de choses aujourd’hui. Cet article complète nos précédents articles Ukraine / Russie. Le rôle sous-jacent des oligarques juifs et Poutine s’attaque aux « traîtres oligarques » en Russie H. Genséric
J’ai toujours été persuadé que tout le remue-ménage autour du Caucase et les troubles en Ukraine étaient directement liés au problème israélo-palestinien. La conquête coloniale de la Palestine est dans l’impasse, et le sionisme se cherche des solutions alternatives cachées sous d’épaisses couches de conflits géopolitiques, idéologiques ou énergétiques. Il se pourrait même que certains dirigeants arabes comme le roi d’Arabie Saoudite soient dans le coup ou le pressentent.Le rôle joué par les personnalités juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël. Le Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz, a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit. L’article en provenance de Jérusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014 et écrits par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel remis au gouvernement israélien [1]. Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et reposant sur des sources universitaires, parvient à la conclusion que les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.
Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant la patrie millénaire du peuple juif.
Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre Golda Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les prétentions sionistes sur cette terre.
L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. » Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les nationalistes juifs).
Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor Kolomoïsky[a] —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.
Le papier retentissant du Times of Israel à propos des origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël, ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire khazar par la Russie au XIè siècle.
Les Israéliens et leurs alliés sionistes du monde entier ont toujours accusé les tenants du lien génétique entre ashkénazes et Khazars d’antisémitisme primaire. Cependant, les éléments de recherche génétique contenus dans le rapport confidentiel israélien ne font que confirmer ce qu’avait révélé l’historien juif Shlomo Sand dans son livre Comment le peuple juif fut inventé. Le concept de descendance khazare, lui, avait été pour la première fois évoquée en 1976 par l’historien hongrois Arthur Koestler dans son livre La Treizième tribu. Les journalistes du Times of Israel relayent les révélations d’un assistant anonyme de Netanyahou au sujet des projets d’émigration israélienne vers l’Ukraine. « Nous avons d’abord pensé que reconnaître être des Khazars serait une façon pour nous de contrer l’inflexibilité d’Abbas (le président de l’autorité palestinienne) sur l’impossibilité d’une présence juive dans un État palestinien. Nous tentions sans doute ce faisant de nous raccrocher à ce que nous pouvions. Mais son incapacité à accepter la chose nous a poussés à chercher des solutions plus ingénieuses. L’invitation au retour des juifs en Ukraine fut une véritable aubaine. Mais le déplacement rapide de tous les colons d’Israël n’irait pas sans poser problème au niveau logistique et économique, et Il va de soi que nous ne souhaitons pas revivre une expulsions des colons semblable au plan de désengagement de Gaza. »
Ostropoler et Grosser-Spass rapportent aussi les propos d’une source israélienne anonyme selon laquelle « Il ne s’agit pas de renvoyer tous les ashkénazes en Ukraine. Cela n’est, de toute évidence, pas faisable. Comme souvent, les médias exagèrent et font dans le sensationnel… C’est bien pourquoi il faudrait une censure militaire. »
Le Projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les colons de Cisjordanie en République Autonome de Crimée (Russe), et ce après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils l’espèrent. Pour les sionistes ukrainiens comme Kolomoïsky, ou leurs alliés états-uniens tels que Victoria Nuland[b] (secrétaire d’État adjointe, déléguée aux Affaires européennes et eurasiennes) et Geoffrey Pyatt (ambassadeur US en Ukraine), l’objectif ultime consiste à établir une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom khazar d’origine, Chazerai. Comme les Tatars qui vivent aujourd’hui en Crimée, et ailleurs, sont en majorité musulmans, le projet de création d’une nation khazare en Ukraine reposerait aussi probablement sur un fort prosélytisme de la part des Israéliens et des Ukrainiens déterminés à réinstaurer la Khazarie comme alternative à l’État d’Israël. Le prosélytisme juif (qui se concentre actuellement sur les « crypto-juifs » métis catholiques au Mexique, les chrétiens, hindous et bouddhistes en Inde, les orthodoxes russes et les bouddhistes de Birobidjan en Sibérie, les musulmans du Pakistan et d’Afghanistan, les chrétiens, musulmans et animistes d’Ouganda, du Ghana, du Mali du Nigeria du Zimbabwe, du Mozambique et du Malawi et sur quelque groupes de descendants juifs supposés en Chine, à Sao Tomé-et-Principe, à Tahiti, au Suriname, au Vietnam, au Brésil et au Pérou) traduit la volonté d’Israël de renforcer la présence juive dans un but de colonisation en dehors des territoires illégalement occupés que sont le Cisjordanie et le plateau du Golan.
Outre l’Ukraine, le nord de l’Irak, l’est de la Libye, la ville d’Alexandrie en Égypte, certaines parties de la Turquie, la Patagonie en Argentine ainsi que l’Ouganda sont tous des territoires qui ont été envisagés comme colonies juives en remplacement ou en complément de la Cisjordanie.
Les Bnei Menashe des États de Manipour et de Mizoram au nord-est de l’Inde, ces soi-disant « tribus perdues d’Israël », sont considérées par la majorité des Indiens, non comme des juifs, mais comme des migrants économiques à la recherche d’une vie meilleure en Israël. Les expansionnistes israéliens veulent tellement gonfler leurs rangs et développer leurs prétentions territoriales qu’ils ont fait réaliser des études génétiques douteuses en vue de classer comme « tribus perdues » d’Israël les Sorbes d’Allemagne de l’est, l’ethnie Bantou Lemba (au Zimbabwe, Malawi et Mozambique) et aussi certains Italiens du sud, certains Arméniens, et certains Grecs.
En Ukraine, ce prétendu « deuxième Israël », Kolomoïsky et le pouvoir de Kiev ont enrôlé des ex-membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, notamment le bataillon Azov. Une des unités israéliennes, commandée par un certain « Delta » est connue sous le nom des « Casques bleus de Maidan » [2]. Si Israël n’avait pas un intérêt direct à développer son influence en Ukraine, le pays pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre sur place.
On trouve aussi en Cisjordanie des colons juifs sépharades qui sont les descendants des juifs Marranos d’Espagne sous domination musulmane, qui furent chassés de la péninsule ibérique au cours de l’inquisition espagnole et portugaise du XVè siècle et qui n’ont aucun lien avec les ashkénazes ou les khazars. Récemment, dans une démarche similaire à l’invitation des ashkénazes de Cisjordanie à venir s’installer en Ukraine, l’Espagne et le Portugal ont promulgué des lois permettant aux juifs sépharades du monde entier en mesure d’attester de leurs origines Marranos d’acquérir la nationalité dans les deux pays.
Certains russophones du Donbass en ont assez des intentions des pro-Israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoïsky a fait appel à un certain nombre de néo-nazis d’Ukraine occidentale et d’Europe pour rejoindre les rangs de ses bataillons et il faut savoir que les organisations droitistes auxquelles ils appartiennent ont toujours défendu l’idée d’une « mêlée générale » opposant la Russie aux descendants des Khazars d’Israël, d’Ukraine, de Pologne et de Géorgie pour venger la victoire de l’Empire Russe sur l’empire khazar au XIè siècle.
Israël a mis à disposition du gouvernement géorgien de Mikheil Saakachvili (dont un certain nombre de représentants ont la double nationalité israélo-géorgienne et sont d’origine khazare) une aide au niveau militaire comme au niveau du renseignement dans la guerre de 2008 contre l’Ossétie du sud et L’Abkhazie. Les Israéliens ont également tissé des liens étroits avec l’Azerbaïdjan, pays qui, à l’instar de la Géorgie et de l’Ukraine, est historiquement lié à la Khazarie par le biais des Subbotniks, un groupe indigène de juifs azéris.
Les journalistes du Times of Israel racontent aussi pourquoi, selon l’assistant anonyme de Netanyahou, le gouvernement israélien s’efforce de mettre en place une implantation israélienne massive en Ukraine : « Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne saurait dire aux juifs où ils doivent vivre en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire d’importants sacrifices au nom de la paix, même si cela implique de renoncer à notre terre biblique de Judée-Samarie. Par contre, il faut s’attendre à ce que nous fassions valoir nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que cela se ferait sur les rives de la mer Noire, là où nous fûmes un peuple autochtone pendant plus de 2.000 ans. L’historien non-sioniste Simon Dubnow lui-même a déclaré que nous étions en droit de coloniser la Crimée. Tous les livres d’histoire en parlent. Vous pouvez vérifier par vous-même. »
Cet anonyme a aussi révélé aux deux journalistes que Netanyahou avait beaucoup d’estime pour la vigueur des anciens Khazars et rapporte ces propos, qu’il aurait tenu : « Nous sommes un peuple ancien et fier dont l’histoire remonte à 4 000 ans. » Mais l’assistant ajoute : « On peut dire la même chose des Khazars… en Europe, mais pas sur une période aussi étendue. Mais jetez un œil à la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »….
Pour les personnes mal renseignées, dont font apparemment partie le président Barack Obama et son secrétaire d’État juif John Kerry, l’actuelle volonté de créer une nouvelle identité nationale israélienne est directement liée aux activités des dirigeants ukrainiens (Petro Porochenko, Arseni Iatseniouk, Ihor Kolomoïsky) et à celles de leurs soutiens états-uniens (Victoria Nuland et Geoffrey Pyatt), occupés à préparer une terre d’accueil, temporaire ou pas, pour les ashkénazes de Cisjordanie.
Grâce aux révélations du Times of Israel au sujet du rapport confidentiel sur les Khazars et l’Israël contemporain, les manœuvres des États-uniens et de l’Union Européenne visant à déstabiliser l’Ukraine sont à présent on ne peut plus évidentes.
Wayne Madsen
Source Strategic Culture Foundation
Le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk (Thetan opérant de niveau 6 au sein de l’Église de scientologie) en pleine discussion avec le mafieux Ihor Kolomoïsky, qu’il a nommé gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk. Ce dernier est impliqué dans le massacre d’Odessa du 2 mai 2014 à la tête de sa propre armée, le bataillon Dnipro-1. Il s’est attaché les services de R. Hunter Biden (fils du vice-président états-unien Joe Biden) et de Devon Archer (président du Comité de soutien à la campagne présidentielle de l’actuel secrétaire d’État, le juif John Kerry) en tant que membres du conseil d’administration de sa holding d’infrastructures gazières.
NOTES de H. Genséric
[a] Ihor Kolomoïsky
Si Poutine cherchait en fait un Juif ukrainien méga-riche et influent opérant au sein de la cabale et coupable d’avoir perpétré des violences contre les Russes, il n’aurait pas à chercher beaucoup plus loin Ihor Kolomoyskyi. Cela ne m’a pas surpris lorsque j’ai lu il y a quelques jours que la commission d’enquête de la Fédération de Russie (le FBI russe) avait engagé plus de 400 poursuites pénales visant des responsables ukrainiens, des militaires et des combattants volontaires, et que Kolomoyskyi était sur la liste.
Ihor Kolomoïsky |
La Russie tente de mettre la main sur Kolomoyskyi depuis 2014. Kolomoyskyi, qui possède la plus grande banque d’Ukraine, ainsi que des compagnies aériennes, d’énormes participations dans les médias ukrainiens et d’autres sociétés, a été accusé en juillet 2014 d’avoir fondé et financé la police de patrouille Dnipro-1 Special Tasks Patrol Police Battalion. L’unité a été tenue pour responsable par Amnesty International en décembre de la même année d’avoir bloqué l’aide alimentaire et d’avoir tenté d’affamer les populations russophones des républiques de Donetsk et Louhansk. Opérant sous le masque du patriotisme ukrainien, Kolomoyskyi, qui offrait des primes de milliers de dollars aux séparatistes russes pour les acheter, tentait en fait d’endiguer le mouvement séparatiste afin qu’il ne s’étende pas au cœur de ses intérêts commerciaux et de sa ville natale de Dnipropetrovsk. . Avec son compatriote juif Hennadiy Korban, qui a ensuite fait l’objet d’une enquête pour détournement de fonds et s’est évidemment exilé en Israël , le couple « a non seulement gagné un capital politique en sauvant [Dnipropetrovsk] de la guerre, mais a utilisé cette émergence de Dnipropetrovsk en tant que ville « pro-ukrainienne » pour protéger intérêts commerciaux de [Kolomoyskyi].
Le « patriotisme » ukrainien et les attitudes anti-russes de Kolomoyskyi avaient déjà été considérablement enflammés par la saisie en 2014 de ses avoirs en Crimée par les nouvelles autorités russes. En 2016, RT a rapporté que les autorités vendraient les actifs afin d’indemniser les résidents de Crimée qui avaient été exploités/ruinés par la PrivatBank de Kolomoyskyi :
Vingt entreprises anciennement détenues par l’oligarque ukrainien Igor Kolomoisky vont être vendues par les autorités de Crimée. Le gouvernement de la région cherche à indemniser les personnes qui ont perdu de l’argent dans les banques ukrainiennes, principalement la PrivatBank de Kolomoisky. Le vice-président de Crimée, Konstantin Bakharev, a déclaré que les actifs de l’oligarque seront vendus d’ici la fin de l’année pour 2 milliards de roubles (environ 30 millions de dollars). « L’argent sera transféré au fonds de protection des déposants pour les paiements d’indemnisation aux résidents de Crimée, dont les dépôts dans les banques ukrainiennes ont dépassé 700 000 roubles (10 500 dollars) », a-t-il déclaré.
Lorsque le président de l’époque, Petro Porochenko, a nationalisé la PrivatBank de Kolomoyskyi (qui était également exploitée par son compatriote juif Gennadiy (Zvi Hirsch) Bogolyubov en 2016, Kolomoyskyi a jeté son influence sur son compatriote juif et acteur populaire Volodymyr Zelenskyy, aujourd’hui héros et chéri des médias occidentaux. La campagne de Zelenskyy, assez étrangement, a commencé avec son apparition sur la chaîne médiatique de Kolomoyskyi en tant que vedette de la série télévisée Servant of the People, où il jouait le rôle du président de l’Ukraine. Dans la série, le personnage de Zelenskyy était un professeur d’histoire au lycée dans la trentaine qui a remporté l’élection présidentielle après qu’une vidéo virale l’ait montré en train de dénoncer la corruption du gouvernement en Ukraine. Rétrospectivement, le spectacle était un chef-d’œuvre d’ingénierie sociale et d’art imitant la vie . Reuters a rapporté plus tard :
L’une des chaînes de télévision les plus populaires d’Ukraine, 1+1, détenue par l’oligarque juif Ihor Kolomoisky, a donné à Zelenskiy une plate-forme puissante ces derniers mois lors de son ascension fulgurante au bord de la présidence . Samedi, un jour avant que Zelenskiy ne remporte le premier tour du concours présidentiel et n’organise un second tour avec le titulaire Petro Porochenko, 1+1 a rempli son programme avec des spectacles consécutifs du comédien et acteur.
Il y avait d’abord un certain malaise que tout cela pourrait être trop évident. « Il y a des raisons légitimes de s’inquiéter pour l’avenir de la communauté juive ukrainienne », a déclaré le juif Vladislav Davidzon, rédacteur en chef du magazine Odessa Review. « Avoir un président juif, qui est également soutenu par un oligarque juif picaresque, pourrait faire en sorte que les magouilles et les échecs soient dirigés contre la communauté juive. » Il n’avait pas besoin de s’inquiéter. Zelenskyy a pris de l’importance et l’une de ses premières mesures a été de nommer son compatriote juif Volodymyr Groysman au poste de Premier ministre et de descendre en flammes Porochenko, déclenchant une séquence d’événements qui entraîneraient l’annulation de la nationalisation de PrivatBank et le retour de la banque à Kolomoyskyi. Bien que se présentant comme un populiste anti-corruption, les liens de Zelenskyy avec Kolomoyskyi ont continué à le poursuivre, et en octobre 2021, il a été révélé via les Pandora Papers que Zelenskyy, qui a constamment nié être une «marionnette» de l’oligarque juif, et son associés avaient reçu 40 millions de dollars sur des comptes offshore provenant de fonds liés à Kolomoyskyi.
Kolomoyskyi et sa création
La majeure partie de cet argent a été prélevée sur le peuple ukrainien. Kolomoyskyi, qui a agi en tant que président de la Communauté juive unie d’Ukraine, a généreusement partagé sa richesse acquise frauduleusement avec les Juifs du monde entier et a fondé l’Union juive européenne avec Vadim Rabinovich. Il a fait l’objet d’enquêtes pendant des années par le FBI et le ministère américain de la Justice, en particulier pour avoir poursuivi un « vaste stratagème pour voler des millions de dollars à la plus grande banque d’Ukraine et transférer l’argent aux États-Unis pour acheter des aciéries et des gratte-ciel, sans parler des milliards d’argent sale transférés en Israël« . Dans une enquête spéciale, le Pittsburgh Post-Gazette a rapporté la semaine dernière que les efforts de Kolomoyskyi pour blanchir l’argent ukrainien volé aux États-Unis, via ses associés juifs du sud de la Floride, tels que Mordechai « Motti » Korf et Uriel Laber, ont laissé un sillage de dévastation économique :
L’un des hommes les plus riches d’Ukraine, l’oligarque de 59 ans est accusé d’avoir créé des sociétés fictives, nettoyé l’argent sale au moyen des propriétés américaines et finalement laissé un ensemble de bâtiments condamnés, d’installations sidérurgiques défaillantes et de millions d’impôts fonciers impayés, comme le montrent les archives judiciaires. Alors que de l’argent était transféré dans le pays pour l’une des sociétés de l’oligarque, ses opérateurs ont fermé Warren Steel dans l’Ohio en 2016, devant des millions en taxes foncières, factures de services publics et fournitures. Pendant des semaines, les travailleurs se sont retrouvés sans couverture médicale parce que la prime d’assurance n’a pas été payée, selon les dossiers et les entretiens. « Beaucoup de gens sont partis d’ici très en colère », a déclaré Nancy Waselich, ancienne responsable informatique de l’usine. « Les gens ont sué sang et eau pour cet endroit. » Bien que personne n’ait été inculpé jusqu’à présent, les procureurs ont engagé des poursuites judiciaires pour saisir des propriétés qui, selon eux, ont été achetées avec de l’argent volé à la banque ukrainienne, dont M. Kolomoisky était l’un des principaux actionnaires.
Fedin Shandor, professeur à l’Université d’Uzhgorod et conseiller du gouvernement en matière de développement touristique, a décrit Kolomoyskyi comme « une sangsue qui suce notre sang ici et le planque en Suisse« . Cette «sangsue» a également insulté pendant des années Vladimir Poutine, déclarant publiquement en 2014 que Poutine était “un minable schizophrène. Il est complètement incompétent. Il a complètement perdu la tête. Sa volonté messianique de recréer l’empire russe de 1913 ou l’URSS de 1991 pourrait plonger le monde dans la catastrophe. ”
[b] Une revenante : Victoria Nuland
Victoria Nuland a un parcours impérial de toute beauté.
Mariée au néo-con Robert Kagan , elle a d’abord été adjointe de
Madeleine « Kosovo » Albright, puis ambassadrice permanente de Bush Jr à l’OTAN,
conseillère pour la politique étrangère de Dick Cheney, envoyée spéciale de l’hilarante
Clinton et enfin secrétaire d’État assistante pour l’Europe et l’Eurasie sous l’administration
Obama. Démocrates, Républicains, tout y passe du moment que c’est pour la cause supérieure.
Elle connaît son Grand jeu sur le bout des doigts…
HOLOCAUSTE UKRAINIEN, supervisé par l’ancêtre de Robert KAGAN
Source : Toronto Sun – 13 décembre 1998
En 1932, le dirigeant soviétique Josef Staline a déclenché un génocide en Ukraine.
Staline, était déterminé à forcer des millions d’agriculteurs indépendants en
Ukraine – appelés koulaks – à entrer dans l’agriculture soviétique collectivisée .
Face à la résistance à la collectivisation, Staline a déclenché la terreur et envoyé
25.000 jeunes militants fanatiques du parti de Moscou pour forcer 10 millions
de paysans ukrainiens à fermes collectives. Les unités de police secrètes de l’OGPU
ont commencé à exécuter agriculteurs récalcitrants.
Lorsque l’OGPU n’a pas atteint les quotas hebdomadaires d’exécution, Staline
a envoyé un homme de main, Lazar Kaganovitch (ancêtre de Robert Kagan)
pour détruire la résistance ukrainienne. Kaganovitch a rempli son quota en tuant
10.000 Ukrainiens chaque semaine. Quatre-vingt pour cent de tous les intellectuels ukrainiens
ont été exécutés. Un membre du parti ukrainien, nommé Nikita Khrouchtchev
a aidé à superviser le massacre.
Kaganovitch et de nombreux officiers supérieurs de l’OGPU (plus tard, NKVD) étaient juifs.
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L’un des mensonges historiques le plus cruel: les Khazars sémites
Hannibal GENSÉRIC
Source : Numidia Liberum
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