Tribune libre de Michel ROGER
C’est hélas ce que semble démontrer ce que nous vivons en France. Qu’est donc ce pouvoir exécutif qui est incapable d’agir mais est prolixe en paroles ? Ce pouvoir qui ment effrontément pour essayer de « masquer » ses carences et son incurie criminelle ? Comment accorder ne serait-ce qu’une parcelle de crédibilité à des individus qui changent d’idée trois fois par jour, qui se contredisent sans vergogne, disant hier que les masques sont inutiles ( d’autant plus qu’il n’y en a pas de disponibles), et aujourd’hui qu’ils pourraient être obligatoires (ce que recommande l’OMS et tout le corps médical depuis début janvier), avant de dire demain qu’ils ne servent pas à grand-chose (car on n’en à toujours pas et que la population en est réduite à se faire elle-même des masques artisanaux en tissus !) ? Alors qu’il est avéré que le port systématique du masque associé au dépistage par test permet le maintien de la libre circulation et le confinement des seuls porteurs de virus : les pays qui ont utilisé cette pratique ont non seulement évité le confinement général, mais ont maitrisé l’épidémie et leur appareil économique à continué à fonctionner normalement.
Quel est ce gouvernement qui ment en permanence, qui s’époumone à dire, à annoncer des actes qu’il ne met pas en pratique ? Pourquoi refuse-t-il systématiquement toute mesure de bon sens : nous n’utilisons que parcimonieusement (nous n’en avons pas !) les tests de dépistage, alors que l’Allemagne fait un demi million de tests par semaine ? Quelle crédibilité peut-on accorder à un ministre de la santé, médecin de surcroit, qui déclare que l’aspirine, utilisée et en vente libre depuis plus d’un siècle, est dangereuse ; qui met l’embargo sur les médicaments anti paludiques qui contiennent de l’hydroxychloroquine ? Dès mi Février, on interdit aux médecins de prescrire cette molécule alors que son utilisation peut sauver des vies si elle utilisée au début de l’infection avec un antibiotique spécifique ? N’est-il pas logique de s’interroger sur les motivations de ces personnes et sur leurs rapports avec les laboratoires pharmaceutiques : conflits d’intérêts ? Que dire des diverses administrations concernées qui ont « obéi » aux ordres ? Même dans l’armée, il est admis qu’on à le droit de refuser d’obéir à un ordre abscons !
Le tribunal de Nuremberg a fait jurisprudence en la matière : l’obéissance n’est pas une excuse pour des actes criminels ! Mais si notre pouvoir exécutif est coupable de crime contre le peuple, non seulement en le spoliant des richesses qu’il produit, mais à présent, par son inconscience, ses incohérences, son incapacité à « gouverner », c’est-à-dire à prévoir, son incurie, qui ont amené le chaos dans lequel est tombé notre pays ; le pouvoir législatif partage largement cette responsabilité. Oui ces élus sont coupables dans leur majorité de n’avoir pas défendu les intérêts du peuple, donnant, sans réfléchir ni contrôler, leur aval aux agissements inconsidérés du gouvernement. Même le conseil constitutionnel pourtant garant de la constitution, gagné par une idéologie dogmatique, ne remplit plus son rôle et laisse passer des lois et des décrets liberticides. Les responsabilités de l’état de fait où nous sommes étant établies, il convient que chacun d’entre nous se pose la question : comment cela a-t-il pu arriver et corollairement : qu’ai-je fait pour mon pays ? Car il ne faut pas se voiler la face : ces incapables qui nous gouvernent ont été élus… ! Eh oui, ce pompeux incapable qui préside à notre ruine à été élu par 43% du corps électoral ! Français à force de lâchetés, de renoncements par facilité, de reniements des valeurs de notre civilisation, de veulerie, c’est vous qui êtes responsables de vos malheurs et vous seuls ! Dans votre inconsciente bêtise, vous avez cru à l’état providence ; vous avez cru qu’on peut tout avoir sans rien payer, qu’un autre le fera à votre place…
Mais qu’en sera-t-il demain ? Combien d’entreprises vont être en faillite, combien de chômeurs seront aux abois et désespérés, combien de morts devrons-nous pleurer, combien de drames devrons nous vivre, qui ne sont dus qu’à l’incapacité criminelle et à l’incurie d’une poignée d’hommes et de femmes ?
Moi je refuse, cette trahison et cette déchéance et je veux citer Victor Hugo face à Napoléon III et vous invite à en faire de même : « si il n’en reste que mille, soyons parmi eux, si il n’en reste que cent, soyons ce ceux là…… ! »
Haut les cœurs ! Montjoie Saint Denis !
Michel ROGER
Source : Volontaires Pour la France
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