Lorsque des commandants de gendarmerie font passer le message, depuis plusieurs années, qu’il serait bon d’avoir dans les locaux de la compagnie de Lesparre-Médoc un intervenant social pour prendre en charge, après un dépôt de plainte, le public victime d’atteintes volontaires à l’intégrité physique (essentiellement des violences dans le couple ou la famille), on peine à comprendre que la demande reste lettre morte.
En 2018, sur le territoire médocain, les chiffres des violences dans la sphère familiale dévoilaient…
Lire la suite : Sud Ouest
Laisser un commentaire