STAY-BEHIND, GLADIO ⚡ Les armées secrètes de l’OTAN
Dans le contexte de la guerre actuelle engagée par l’OTAN contre la Russie, via l’Ukraine depuis 2014, j’ai pensé que le moment était venu de parler des armées secrètes de l’OTAN, autrement connues sous le nom de « Stay-Behind » (Rester derrière) ou de « Gladio » (le Glaive). Ces armées secrètes développées dans 17 pays au sortir de la Seconde Guerre mondiale (fin des années 1940) et dévoilées publiquement le 24 octobre 1990 par le Premier Ministre italien Giulio Andreotti, avaient pour mission la « résistance » et la sabotage de toutes prises de pouvoir ou influence du communisme russe dans les pays européens de l’OTAN : Belgique, Danemark, France, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Allemagne (RFA), Espagne, Grèce, Turquie et aussi dans des pays hors OTAN comme la Suède, l’Autriche et la Suisse. Tout était bon pour destabiliser les pouvoirs socialistes et communistes, même les attentats. Des liens ont par exemple été trouvés entre certaines attaques terroristes et les hommes de Gladio, notamment dans celle de la fête de la bière à Munich du 26.09.80 ou des tueries du Brabant wallon (Belgique) entre 1982 et 1985. En Suisse, l’armée secrète P-26 avait, dans une certaine mesure, une liaison de commandement sur les armées de Stay-Behind. Dans cet extrait de l’IEQ#90, nous voyons qu’un ancien Président de la République française, qui revient ces derniers jours sur le devant de la scène (malgré ses condamnations pour corruption et trafic d’influence) a un beau-père dont le père était le chef des réseaux Stay-Behind de l’OTAN, qui se sont officiellement éteints dans les années 1990… mais ont-ils réellement été arrêtés ? Suite en 2041.
Source : Odysee
powered by Advanced iFrame. Get the Pro version on CodeCanyon.
Laisser un commentaire