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Sortir de l’Europe : une question de vie ou de mort ?

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C’est le titre d’un livre d’Alain Falento reçu par Bercoff sur Sud radio qui explique de façon simple pourquoi, par qui et comment la France a été dépossédé de sa souveraineté, souvent au bénéfice de l’Allemagne qui influence plus la commission européenne que les dirigeants français traîtres au peuple.

24 juin 2024 #SudRadio #LE_FACE_A_FACE Avec Alain Falento, auteur de « Sortir de l’Europe : Question de vie ou de mort » publié aux éditions Riposte Laïque et « Frexit : Tout va bien se passer » publié aux éditions Résistance Républicaine.

Source : Youtube

25 Réponse(s) à "Sortir de l’Europe : une question de vie ou de mort ?"

fabien dit :

25 juin 2024 à 20 h 31 min

Dominique Strauss-Kahn invite à voter front populaire, fervent soutien de la condition des femmes de ménage américaines. Labor act, ça donne envie ! Il ne manque plus que Dédé la saumure pour soutenir le front populaire.

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jean-pierre s 82 dit :

25 juin 2024 à 19 h 53 min

Sortir de l’Europe, impossible !
Tout est verrouillé. Ceux qui affirment que c’est possible sont des menteurs.

Henri V de la Croix abolira la république. La France ne sortira pas de l’UE, mais intègrera les Nations européennes à son Empire, tous les rois lui seront soumis…
Les 12 tribus seront enfin rassemblées.

jp

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Dolorès dit :

25 juin 2024 à 17 h 43 min

Bonjour

Ce n’est pas nouveau, le fédéralisme absolu a été décrit, annoncé, bien avant la parution de ce livre.

Voici quelques extraits du livre » Le socle pourri du nouvel Ordre mondial » sorti le 15 janvier 2023 :

Page 164 » Si le citoyen de chaque pays de l’UE croit naïvement que son parti défend des idées communes d’intérêt général au sein du parlement européen, il se leurre. S’il pense que les débats ont lieu à la manière de ceux d’un parlement national, objet de sempiternels débats opposant la droite contre la gauche avec un semblant d’arbitrage par les partis du centre, il se fourvoie.

Dans l’hémicycle européen, après que droite et gauche aient fini de jouer de faire semblant à se chamailler, que se passe-t-il vraiment ? Une étude exclusive de l’Observatoire de l’Europe, que les médias ont dissimulée, révèle que depuis 1979, les grands partis s’arrangent et collisionnent entre eux. Jusque-là, personne ne s’était livré au travail fastidieux de recension des votes de chaque groupe majoritaire du PPE-DE et du groupe socialiste PSE.

Il s’avère qu’au cours de toutes ses années, tous ont voté dans le même sens sur 97 % des votes par appel nominal (rapports, résolutions), un score digne de la Douma de l’ex Union Soviétique ! Le fait est qu’ils soutiennent constamment et invariablement les mêmes traités astreignants d’un système fédéraliste qui les verrouille.

Page 214 » État des lieux d’une Europe en berne de démocratie. Depuis 30 ans, les États européens ont transféré une part croissante de leur pouvoir à une Union européenne dont les institutions ne sont pas démocratiques. Le parlement est élu au suffrage universel, mais au plan démocratique son pouvoir est très limité.

Quant au gouvernement européen, représenté par la Commission et son président, il n’est pas élu par les citoyens européens, mais seulement l’objet d’un vote d’investiture de pure forme du Parlement.

Le président de la Commission est choisi par les dirigeants des États membres après des tractations opaques. Les ministres ou commissaires européens sont choisis par le président de la Commission, une fois celui-ci nommé. Dans tous les cas, c’est le Bilderberg qui choisit les nominations aux postes clés.

En 2005, le projet de Constitution européenne est rejeté par le referendum négatif de trois pays. Malgré le refus des peuples, il a finalement été imposé aux 27 pays d’Europe sous la forme d’un montage technocratique d’une grande complexité rédactionnelle, prenant la forme du traité de Lisbonne, en vigueur depuis décembre 2009.

S’il donne un peu plus de pouvoir au parlement, reste qu’une fois qu’elle est nommée la Commission n’est toujours pas responsable devant le parlement. Ainsi, tous les domaines d’importance continuent de relever du seul pouvoir de la Commission.

Contrairement à l’usage dans toutes les démocraties, le parlement n’a pas le droit de proposer des lois (article I-26).
Du fait des pouvoirs qui ont été transférés anormalement à l’Union européenne par les États, l’impuissance avérée du Parlement est caractéristique d’une politique fédérale, semi-autocratique.

Rendre les institutions européennes conformes aux critères de la démocratie n’est pas du tout un critère à intégrer au projet de constitution, ni même à envisager ; tout est prévu pour que ça ne puisse jamais se réaliser. ».

Page 216 » L’opacité de la constitution a toujours été entretenue

Pour chaque grande démocratie, la constitution est un texte concis d’une vingtaine d’articles, rédigés dans un langage clair et compréhensible par tous.

À l’inverse, la constitution européenne élaborée par Valéry Giscard d’Estaing, sympathisant du Bilderberg group, avec ses 400 pages et 458 articles auxquels s’ajoutent de nombreuses annexes est un monument de technocratie et d’hermétisme.

Tout a été organisé pour qu’aucun citoyen habitant le continent européen ne puisse comprendre le sens du contrat qu’on lui demande de signer aux urnes. Les auteurs d’articles de la constitution les ont élaborés faisant en sorte qu’ils contiennent une multitude de renvois à d’autres articles ou à des traités européens précédents.

Page 219 « Conclusion : l’ombre de l’opacité de la constitution + le verrouillage des droits civique vidés de leur substance = le dernier coup de l’élite mondialiste pour aboutir à l’absolu fédéralisme.

Décembre 2023, l’élite mondialiste organise la fin irrévocable du statut d’Etats-nation. Ils usent du stratagème de la révision du traité de l’Union européenne. L’objectif c’est l’ultra fédéralisme absolu de l’UE ; aucun pays n’aura plus jamais la latitude de revendiquer quoi que ce soit. Tout, absolument tout, sera décidé par la Commission et la justice européenne. Les Etats ne pourront plus jamais contrebalancer ce pouvoir absolu. C’est une nouvelle forme de dictature applicable au deuxième semestre 2024 « .

Vidéo clé : Youtube « En France, nous vivons un véritable coup d’Etat ! C’est la fin de la France ! Bernard Monot « .

https://www.youtube.com/watch?v=NawwfImHGow

Page 395 » Si aucune réforme allant dans le sens d’économie budgétaire d’économie de redistribution des richesses produites n’a été appliquée jusque-là, c’est bien parce que le système a été verrouillé par des mains expertes.Toutes les nations sont placées sous l’astreinte de combinaisons de réglementations, de procédures, de codes complexes spécialement élaborés pour assurer cet enfermement, singulièrement pour les 27 pays de l’UE. Tandis qu’aucun gouvernement n’a eu la volonté, ni l’ingéniosité, ni la capacité, de modifier, de réformer, ou de déverrouiller, les mécanismes en cause ».

Conclusion, depuis de nombreuses décennies l’élite mondialiste a préparé le chemin conduisant irrémédiablement les nations et les populations dans les mâchoires impitoyables d’un nouvel Ordre du monde à visée millénariste comme ce fut le cas pour le projet d’Adolf Hitler mais avec toute la finesse, l’art de la manœuvre, que n’avait pas ce dictateur, mais que tient en perpétuelle réserve l’ange de lumière, l’ingénieur en chef du subterfuge dans lequel sont tenues égarées toutes les nations et populations d’Europe et toutes celles du monde entier.

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1. jean-pierre s 82 dit :
  
  25 juin 2024 à 19 h 40 min
  
  +++
  Cdt, jp
  
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Tupio dit :

25 juin 2024 à 17 h 31 min

C’est surrealiste d’entendre dans cette emission exactement tout ce que M Asselineau explique depuis 15 ans sans jamais mentionner son nom, et donc faire comme s’il n’existait pas. D’autant que Bercoff a reçu Asselineau dans cette même émission aupréalable.

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