Se soigner du Covid, du côté du patient.
Avec les médecins résistants contre covid & covidisme
Un traitement complet pour 100 € !
samedi 15 mai 2021, par Lionel Labosse
Pendant l’épidémie de 2020, mon angoisse était de possiblement devoir me défendre contre le virus en cas de contamination sans avoir droit – alors que je cotise à la sécu depuis plus de 30 ans – à un traitement simple & bon marché préconisé par une star française de la médecine. Pas trop pour moi a priori, car relativement jeune & en bonne santé pour constituer une proie pour ce virus gérontophile, mais pour mes proches moins jeunes ou plus fragiles. Après diverses tentatives, j’ai enfin réussi à me procurer un traitement complet, à la fois prophylactique & précoce, pour la pas si modique somme de 100 €. Si je publie cet article pragmatique, c’est parce que je n’ai rien vu d’équivalent côté patient, et que même le Pr Perronne, sauf son respect, quand il évoque l’ivermectine, parle d’un coût très faible, un peu à la façon de Jean-François Copé estimant le prix d’un pain au chocolat. Et puis les journalistes de la presse gouvernementale continuent le tabassage en règle de Raoult et de l’IHU de Marseille sur la question actuellement de la facturation de leurs soins, sans rappeler que c’est Véran qui a obligé les patients à se faire soigner à l’hôpital et leur a interdit de bénéficier du protocole Raoult auprès de leur médecin de famille, ce que celui-ci préconise depuis des lustres. La facture du délire covidiste, qui montait déjà à plus de 400 milliards d’euros en avril, et que nos enfants auront à rembourser, semble moins préoccuper ces plumitifs, car déconsidérer Raoult & le traitement précoce pour imposer un vaccin ruineux & peu efficace de l’aveu même de Véran semble leur donner du mal : il y a toujours plus de 300 000 personnes qui regardent ses vidéos du mardi (pourtant rébarbatives) sur la chaîne Youtube de l’IHU. Bref, parlons gros, ou plutôt moyens sous, et parlons santé. La version primitive de cet article a été complétée par une expérience pratique auprès de deux personnes proches.
Pharmacie portative pour prévenir et traiter le Covid & le covidisme !
Sur cette photographie, voici le traitement délivré par le médecin rassuriste que j’ai rencontré, augmenté du matériel qu’on peut se procurer soi-même. J’ai effacé, bien entendu, les données personnelles. Il y a deux ordonnances séparées.Ordonnance Covid 1 : azithromycine, zinc, vitamine D.
Cette première ordonnance est remboursable (mais on peut aussi demander à la payer sans enregistrer la carte vitale, pour éviter des ennuis à son médecin, surtout s’il prescrit beaucoup de ce traitement). Il y a l’azithromycine 250 mg, 2cp à J1, puis 1cp par jour pendant 4 jours, ce qui fait une boite de 6 comprimés pour la modique somme de 7,39 € (hors taxes je crois) dont une partie remboursée. Là, c’est en cas d’infection avérée. J’ai ajouté sur la photo une boîte qui me reste de doxycycline. Ce que je pense faire en cas de symptômes, c’est un autotest que je réaliserais moi-même si possible (car le concept d’autotest a été balayé par les ordonnances Véran, qui imposent de les faire faire par un professionnel puis vérifier par un test PCR) de façon à ne pas être fiché par la dictature. À gauche sur la photo c’est la boîte de 10 autotests qui m’a été délivrée gratuitement (« quand c’est gratuit, c’est toi qui es le produit »). Une fois établi qu’il s’agit bien du covid, je contacterais le médecin qui m’a établi cette prescription (ou le contacterais pour la personne à qui je donnerais ce traitement) pour préciser les choses, mais même si je ne peux pas le joindre, je prendrais l’azithromycine ainsi que l’ivermectine (ci-dessous) comme prescrit, mais cette dernière seulement en cas de « symptômes respiratoires d’emblée ou après 4 à 5 jours sans amélioration », comme précisé dans le tableau de la Coordination Santé Libre (cf. ci-dessous). Attention, ce tableau a été revu et corrigé sur Réinfocovid le 26 juin 2021. Pour le reste de l’ordonnance, c’est du préventif, le zinc (Rubozinc 15 mg 1 gélule matin et soir) que le pharmacien a remplacé par Effizinc, 6,71 €) et la vitamine D, 1 ampoule d’Uvedose 50.000 UI, 1 ampoule deux fois par mois, 1,24 € pièce. Zinc et vitamine D, j’en prenais déjà depuis des mois, je vais juste continuer. Il faut ajouter la vitamine C, que j’achète à part en parapharmacie ou magasin bio, et qui coûte entre 10 et 20 €. Ce sont des grosses boites rondes de 90 comprimés d’Acérola, à raison de un par jour en situation normale, mais pour le Covid, c’est entre 1000 et 4000 par jour, soit 2 à 8 comprimés de 500 mg (voir le tableau). Attention, il y a un détail écrit en tout petit qu’il faut absolument vérifier : la teneur en vitamine C doit être de 500 mg par comprimé (ou 125 mg par ¼ de comprimé). C’est difficile à trouver car 9 boîtes sur 10 sont à 170 mg par comprimé, ce qui obligerait à en croquer 3 à la fois, pas bon pour le diabète ! La marque que j’ai là en photo c’est Herbesan, mais faites attention car la même marque peut avoir les deux dosages dans des boites légèrement différentes ! J’ajouterais au tableau de la Coordination Santé Libre, un bon vieux remède contre les infections respiratoires : le chlorure de magnésium, vendu soit en pharmacie, soit en boutiques bio sous l’appellation « Sel de Nigari » en sachet de 150 g. Il faut diluer 20 g de poudre dans un litre d’eau et prendre un verre chaque matin. Cela fait des années que j’en prends à la moindre alerte et en général ça calme les choses. Ça coûte rien.Ordonnance Covid 2 : ivermectine.
La seconde ordonnance est notée « Hors AMM » (autorisation de mise sur le marché), ce qui est un type de prescription tout à fait courant pour de nombreux médicaments. Elle est à part, et il faut demander au pharmacien de ne pas la télétransmettre, ce que le mien a accepté de bonne grâce, afin que le médecin ne soit pas persécuté par l’Ordre. Mais certains pharmaciens refusent, d’où la nécessité de faire circuler discrètement les bonnes adresses. Alors comment j’ai choisi mon pharmacien ? C’est celui du quartier qui a la vitrine la plus pourrie, avec des jouets pour enfants et des conneries à la place de présentoirs de pubs pour des médocs, et le seul qui n’a pas installé de barnum pour les tests. Compris ? Et si je lui demande si je peux prendre tel médicament pour tel bobo, en général ce pharmacien me conseille de consulter mon médecin d’abord. Cela dit avec le fric que se font les pharmaciens à barnum actuellement, ils vont pouvoir racheter toutes les petites pharmacies non inféodées à Big Pharma.
Alors le médicament hors AMM, c’est un antiparasitaire, en l’occurrence l’ivermectine 3 mg qui varie selon le poids. Pour moi (95 kg), c’est 6 cp (18 mg) à J1, à J4, à J8 puis à J30 et J60, et d’ailleurs c’est la posologie maximale, même si vous faites 120 kg. La posologie recommandée est 0,2 mg /kg, donc à ajuster en nombre de comprimés entiers. En tout 30 comprimés, soit 8 boîtes de 4 comprimés à 8,53 pièce. Les prix sont HT je suppose, et pour tout cela j’ai payé exactement 88,28 € [1]. L’hydroxychloroquine (une molécule couteau-suisse qui a des fonctions antiparasitaires et des fonctions antivirales) reste bien sûr une alternative efficace, mais contrairement à ce qu’a dit Christian Perronne encore dans ses récentes entrevues chez Bercoff ou sur France-Soir, si on peut le prescrire, il semble d’après des informations récentes, que la pénurie soit organisée par Sanofi, qui la réserve à l’indication d’origine (lupus) et sans doute encore à l’IHU de Marseille, donc il semble qu’on ne puisse plus l’obtenir en pharmacie, du moins c’est ce que m’a expliqué le médecin qui m’a fait cette prescription. Mais après en avoir parlé à ce pharmacien, il m’a dit que non, Sanofi ne peut pas vérifier la pathologie, et qu’il y a même plusieurs médecins du quartier qui prescrivent cela sans écrire « Hors AMM » ! Ayant eu à consulter mon médecin généraliste début juin 2021, je puis ajouter une nouvelle positive. Il était de retour dans son cabinet, car au début il avait consulté uniquement à distance, pour protéger sa mère âgée qu’il assistait. Il m’a rassuré sur son compte : il a prescrit le protocole Raoult, puis quand il n’y avait plus d’hydroxychloroquine, l’ivermectine. Il n’a eu aucun mort dans sa clientèle. Malheureusement il ne prend plus de patient, étant proche de la retraite (il ne figurera pas sur la liste des « médecins engagés », ce qui confirme qu’il faut de toute façon poser la question à son médecin avant toute chose). Il a vacciné une soixantaine de personnes à l’AstraZeneca et un peu Janssen, mais a décidé d’arrêter malgré la pression des patients à cause du bordel organisationnel que cela représente (pas de livraison, report des dates, etc.). Il me conseille de me faire vacciner pour voyager. NIET ! Sur les 60, aucun effet secondaire grave. Cela me fait penser à une étude évoquée par Jean-Dominique Michel, selon laquelle le même médicament prescrit par un médecin qui expédie le patient, et par un médecin qui prend le temps d’ausculter et de parler, d’expliquer, n’aura pas le même effet. Alexandra Henrion-Caude expliquait dans un tweet que ce « vaccin » étant administré par beaucoup de gens dont ce n’est pas vraiment le métier, est souvent mal administré, en oubliant de vérifier de ne pas injecter dans un vaisseau sanguin. Et si les effets secondaires trop fréquents de ce produit étaient causés aussi par la précipitation avec laquelle on les fait. Les « vaccinodromes » sont contraires à la science ; ils réduisent l’efficacité des produits injectés.Alexandra Henrion-Caude explique comment vacciner en intramusculaire.
En ce qui concerne le prix du Plaquénil (nom commercial de l’hydroxychloroquine vendu en France par Sanofi), j’ai trouvé sur cette page Internet la modique somme de 4,17 € la boîte de 30, ce qui signe la mise à mort de cette molécule, puisque la traitement est de 3 / j pendant dix jours, soit une seule boîte ! En revanche, avec un prix de 80 € pour le traitement par l’ivermectine, et la perspective de pouvoir l’imposer en prophylaxie à des millions d’individus, il est étonnant que cela n’intéresse pas davantage Big Pharma. Comme c’est génériqué, tous les labos pourraient faire du fric avec, sauf que les labos qui font du générique, en principe ce n’est pas Big Pharma. J’y vois d’ailleurs une des raisons pour lesquelles l’Australie a criminalisé l’hydroxychloroquine, alors qu’elle a utilisé en masse et avec succès l’ivermectine. C’est juste une question de fric, et ces 80 € pour l’ivermectine contre 4,17 € pour l’hydroxychloroquine, opposés à l’impasse patente du vaccin dont Raoult dit depuis six mois qu’il ne sera jamais une « baguette magique », ce qui se confirme en mai 2021, constitue un maigre espoir de bout du tunnel. Peut-être que Big Pharma pourrait à terme se contenter de ce tiens contre les tu l’auras de vaccins si fragiles, quitte à repeindre en bleu la molécule et la rebaptiser « hydroxyvermectine » ou un truc du genre pour doubler son prix. On apprend le 17 mai que Sanofi « publie des résultats positifs de phase 2 pour son candidat-vaccin ». Ceci explique cela : il était indispensable que le Plaquénil à 5 € la boîte soit inefficace et dangereux… En ce qui concerne la pharmacovigilance, dans un article du 12 mai, le Dr Maudrux précise : « À titre de comparaison, Vigibase recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine, contre 3 695 décès et 161 147 effets indésirables pour le Doliprane ». Rapport de 1 à 30 pour les effets, mais de 1 à 230 pour les décès, peut-être parce que le paracétamol est couramment utilisé pour des tentatives de suicide, étant bien plus connu. J’ai vérifié les chiffres d’effets indésirables, et ils ont augmenté (pour les deux molécules) depuis le jour où le Dr a prélevé ses données. Le Dr Maudrux a répondu à ma question sur son site, et j’ai enfin pu vérifier la donnée concernant les décès, bien cachée au milieu d’une quantité industrielle de données ! Il faut taper « ivermectin », puis cliquer sur « Adverse drug reactions », puis sur « General disorders and administration site conditions », et là vous lisez au beau milieu d’une longue liste : « death » 20 (depuis 1992, car c’est un médicament récent). Si vous faites la comparaison avec le paracetamol, vous trouvez « death » 3799, et pour l’aspirine, c’est 1451. Pour l’hydroxychloroquine, alors là c’est l’hécatombe : 101 morts et 31343 effets indésirables (depuis 1968). Pour l’azithromycine, c’est 341 (depuis 1990). Pour le Remdesivir, qui n’existe que depuis 2020, le score est déjà pas mal : 532 morts. Le Pr Raoult a d’ailleurs ironisé suite à une étude qui révèle le danger de cette drogue chère administrée par les autorités qui ont interdit le protocole Raoult à 10 €. Mais vous pourrez faire tout ce que vous voudrez, si la personne que vous voulez convaincre a peur, eh bien elle fera comme un chat tétanisé devant un serpent, elle préfèrera le médicament dangereux que lui conseillent les véreux de tout poil à la télé. Un site suisse est entièrement consacré à ce médicament ! En revanche pour trouver les données sur les effets indésirables des différents « vaccins » administrés contre le Covid, vous avec d’une part des rapports hebdomadaires de l’agence du médicament, qui se veulent rassurants, d’autre part des articles de la presse régionale informant de l’afflux inédit de signalements, afflux démentis par les « checkers » de la presse gouvernementale. Tout va bien Madame la Marquise !
J’ai aussi fait l’acquisition d’un oxymètre, petit appareil qui se commande sur n’importe quel site internet et coûte moins de 10 €. Celui que j’ai commandé sur un site français connu m’est parvenu en 15 jours de Chine, ce qui m’a passablement agacé parce que le site se gardait bien d’annoncer ce détail. Ils n’ont pas gagné un client. On en trouve aussi en pharmacie, mais parfois très chers.
N’étant pas médecin – et même si je l’étais – je ne donne pas de prescription, je me contente de dire ce qui m’a été prescrit, et l’on verra ci-dessous à quel point il faut être vigilant sur cette question. Pour plus de détails, voir le tableau proposé par la Coordination Santé Libre des types de traitements adaptés au type de public et au type de pathologie. Pour les soignants en contact avec le public ou les cas contacts vivant sous le même toit, l’ivermectine est recommandée en prophylaxie. Il ne s’agit donc surtout pas de tout avaler ce qui figure sur l’ordonnance, mais en accord avec son médecin, de prendre le traitement adapté. Ça peut donc être soit azithro, soit ivermectine, soit les deux. Les avoir d’avance chez soi, je pense, contribue au recul et au calme nécessaire pour supporter le tabassage tous azimuts de la tyrannie techno-sanitaire. Et puis si, conformément à la loi de l’emmerdement maximum, ce virus vous tombe dessus en plein week-end prolongé, il vaut mieux avoir les médocs sous la main ! En réalité, si 102 000 personnes sont décédées de cela, pour une population de 67 millions, cela fait une personne sur 657. Peu d’entre nous connaissent autant de gens. Personnellement je ne connais aucun mort, et seul un voisin, cancéreux et un ami diabétique et à la limite de l’obésité (c’est-à-dire qu’il fait 500 g de plus que moi !) ont été hospitalisés, et s’en sont sortis. Il y a donc des chances que j’aie investi dans ces médocs pour rien, mais si cela peut juste me rassurer et rassurer mes proches… Il n’y aura d’ailleurs sans doute jamais aucune étude randomisée en double aveugle sur l’influence de la politique hospitalière sur la mortalité : on sait maintenant qu’une bonne partie des gens qui sont morts à l’hôpital en 2020 sont morts le jour de leur arrivée ou dans les tout premiers jours. Les journalistes et le pouvoir techno-sanitaire les ont tellement terrorisés avec leurs reportages, plus l’impossibilité de savoir dans quel hôpital on utilisait le protocole Raoult ou un autre traitement, et dans lequel on se contentait d’attendre que vous libériez le lit, enfin la perspective de ne plus être autorisé à tenir la main de vos proches y compris jusqu’à la mort, ajoutée à l’absence d’information sur l’utilité de l’oxymètre, que les gens ont attendu l’extrême limite pour composer le 15. Et quand l’équipe de Marseille disait qu’elle avait de meilleurs résultats qu’à Paris, les plumitifs pointaient l’« égo surdimentionné » de Raoult. Le bon vieux réflexe de regarder le doigt qui montre la lune… Un « grand débriefing de Jean-Dominique Michel » sur France-Soir publié le 24 avril répond à la question en mentionnant, dans le début de l’entrevue, des études scientifiques concluant que l’absence d’entourage social chez les personnes âgées entraîne massivement la mort, encore plus que la tabagie ! Les références sont cette méta-analyse de 2010, laquelle cite une étude de 1988 (House, Landis, and Umberson ; Science 1988) : “Social relationships, or the relative lack thereof, constitute a major risk factor for health — rivaling the effect of well established health risk factors such as cigarette smoking, blood pressure, blood lipids, obesity and physical activity”. (Les relations sociales, ou leur absence relative, constituent un facteur de risque majeur pour la santé, rivalisant avec l’effet de facteurs de risque sanitaires bien établis comme le tabagisme, la tension artérielle, le cholestérol, l’obésité et l’activité physique »).
La question du coût est relativement importante, car si dans la plupart des cas une boite d’azithromycine à 8 € suffit (et elle est remboursable), pour les cas un peu plus symptomatiques, on est plus proches de 100 €, ce qui écarte les gens qui attendent les fins de mois, de plus en plus nombreux avec les mesures stalinitaires en vigueur (par exemple chez les immigrés qui travaillaient au noir dans les restaurants). C’est là où le refus pathologique d’une RTU (Recommandation temporaire d’utilisation) [2] pour ces traitements constitue un acte scandaleux, car il institue une médecine de classe, mais une médecine de classe ruineuse : ceux qui ont les moyens n’hésiteront pas, mais ceux qui ne les ont pas attendront d’être en perdition pour se faire admettre à l’hôpital avec des coûts pharamineux qu’on aurait pu éviter. Ah non pardon, il n’y a qu’à Marseille que l’hôpital facture cher ; à Paris, c’est cadeau !
Comment trouver le bon médecin ?
Essayez déjà avec votre médecin bien entendu. La Coordination Santé Libre s’est prévalue de représenter un total de 30 000 médecins (incluant des retraités), ce qui sur un total de 101 000 médecins généralistes en exercice peut paraître peu ou beaucoup selon le bon vieux théorème du verre à moitié vide ou plein. Les commissaires politiques de la presse gouvernementale se sont empressés de contester ce chiffre. Or si l’on regarde la liste de « médecins engagés » publiée sur le site de Laissons les médecins prescrire et mise à jour régulièrement, il est impossible de les compter, et il n’y a pas que les généralistes, mais les spécialistes & les retraités font partie du contingent (je suppose qu’il s’agit de retraités encore en capacité de prescrire). Ils sont classés par départements, voire par code postal, et par rapport à ma précédente consultation de cette liste, ils se sont multipliés comme les petits pains de M. Copé. Il y en a 5 dans mon arrondissement. Pour les lecteurs lointains, il y a même une liste « à l’international » notamment dans les pays francophones. Mais si vous êtes dans l’urgence, dans un désert médical, et que votre médecin vous serine l’antienne des Dr Mengele de la médecine techno : « Ne venez surtout pas me voir, prenez du paracétamol, ne prenez aucune vitamine, et si vous sentez que vous étouffez, appelez une ambulance pour aller mourir à l’hôpital », alors n’hésitez pas à contacter l’un de ces médecins, même à l’autre bout de la France. S’ils figurent sur cette liste, c’est qu’ils sont volontaires, et en principe ils ne vous refuseront pas une téléconsultation (par vidéo ou par téléphone). Mon ordonnance m’a été envoyée par courriel, par un médecin qui figure sur la liste, en « acte gratuit » qui plus est, mais j’aurais volontiers payé la téléconsultation. J’ai appris finalement que mon médecin généraliste, qui ne figure pas sur la liste, a prescrit le protocole Raoult et l’ivermectine, avec succès, mais je ne pouvais pas le savoir, et vu que les traitements sont efficaces au moment où vous êtes symptômatique, une quantité de grains de sable peuvent se glisser entre votre médecin et vous en cette période où plus de la moitié de la population a perdu la raison.
Une autre piste pour trouver un médecin rassuriste est d’intégrer une des associations anti-covidistes comme Réinfocovid par exemple qui est la plus active. On peut consulter leur carte interactive (impossible avec le matériel obsolète dont je dispose), mais aussi la liste qui figure en bas de page, et en principe vous devriez pouvoir trouver soit une association soit un groupe Réinfocovid (qui se développe de façon virale actuellement). En principe au sein de ces collectifs, vous rencontrerez rapidement soit un médecin soit un ami qui vous fournira une adresse (c’est mon cas). Une autre façon de contacter ces militants ou sympathisants, est de vous rendre chaque dimanche à 11 h à l’opération Sport sur ordonnance la plus proche de chez vous en consultant cette liste mise à jour quotidiennement (en métropole et dans les départements d’outre mer). Et si vous êtes un groupe de musiciens, pourquoi ne pas créer une de ces réunions ? Ces séances de sport & chanson déjà constituent un soin en soi, car l’esprit & le corps ne font qu’un bien entendu, mais en même temps, vous rencontrerez des militants et sans doute après un médecin. Je ne sais pas comment on peut faire le point entre médecins rassuristes et terroristes. Certes il y a d’un côté ceux qui hantent les plateaux télés et sont légiondhonneurisés, luttent hardiment contre le « lobby » de la médecine alternative en signant pétition sur pétition comme cette « tribune », ceux qui ne sont pas sur les plateaux télés mais qui refusent de soigner les nouveaux patients, voire leurs anciens clients même s’ils ont un cancer, pour se faire des couilles en or en piquouzant à la chaîne 20 personnes par heure, ce qui permet de bien recueillir leur « consentement libre et éclairé » et de vérifier leur dossier médical. Cela a pu atteindre les 9000 € / jour, de quoi agrémenter son spa d’une piscine chauffée dans sa maison de campagne. Même Le Canard, très en retrait sur le coronazisme, trouve qu’on exagère : « Des toubibs bien soignés pour piquer ». Cela dit, suite à l’article du Canard, la Sécu a modifié son tarif pour rémunérer une vacation à l’heure ou à la demi-journée, quel que soit le nombre de piquouzés.« Des toubibs bien soignés pour piquer »
Mais ceux-ci ne sont que la honte de la profession, et leur pouvoir de nuire est démultiplié par les différentes autorités de santé déconnectées du terrain qui font pression sur les médecins humanistes & rassuristes, et par la presse gouvernementale et ses séides corrompus & fanatisés. Il faut dire que la plaisanterie est loin d’être terminée. Les covidistes ont décidé de commander 2 milliards de doses en ruinant la France, pour injecter y compris les enfants. 2 milliards de doses pour 67 millions de moutons, cela fait 29 doses par mouton. J’ai bien lu l’article du Parisien, ils ne parlent que de la France, mais dans Marianne, ils attribuent ces 2 milliards de doses à l’Union Européenne, mais parlent bien d’un vaccin qui à terme devrait être renouvelé chaque année. Donc, si ce n’est pas une fake news du Parisien, ILS ont planifié de vacciner à la chaîne 29 fois chaque gendarme, chaque flic, chaque médecin, chaque prof, chaque journaliste, chaque enfant de gendarme, de flic, de prof et de médecin, de journaliste… 100 % des gens qui votent à gauche, à droite, à l’extrême gauche ou droite, et même – et j’en suis profondément désolé pour eux – 100 % de ceux qui sont dans le camp du bien, je veux dire les écolos, et 100 % de leurs enfants. 100 % des féministes et 100 % des fans de Bigard. Et tout va bien ? Et on ne commence pas à sentir un peu le gaz – genre zyklon B – dans les étables à covidés ? Je penche quand même pour une énorme erreur du Parisien, mais il est étonnant que cet article du 16 avril n’a pas été rectifié en mai… Alors peut-être que les journalistes qui prétendent que tout va bien ont accès au dark web pour se faire de faux certificats ? Si l’on parle du coût, Marianne évoque une fourchette de 20 € à 175 $ la dose. Si vous multipliez par 2 milliards, cela donne au moins 40 milliards, sans parler de la logistique et du salaire des piqouzeurs. Aldous Huxley avait prévu et nommé ça : le « soma ». Alors quand on touche 40 milliards d’euros, à combien évaluez-vous le coût de la corruption des 50 politicards, 50 plumitifs et 50 carabins de plateaux-télé les plus influents d’un pays ? Si je compte en moyenne et à la louche 20 000 € pour chacun de ces cloportes, cela donnerait 3 millions d’euros, soit une portion infinitésimale de ces 40 milliards. Et je vous rappelle que j’ai pris la somme la plus basse… Croyez-vous un seul instant qu’un seul de ces petits soldats de la presse gouvernementale qui se livre à la propagande éhontée de ces « vaccins » ne soit pas corrompu jusqu’à la moelle ? Je reviens du métro où je suis tombé par hasard sur des gens qui chantaient « Danser encore ». J’ai vu les innombrables télécrans prévus par George Orwell qui viennent d’être installés à nos frais pour matraquer les mots d’ordre coronazis. Tout va bien !Tu te fais vacciner ? T’es dingue ! Y z’ont pas fini les essais sur l’homme…
Si vous êtes plutôt genre verre à moitié plein, vous consulterez le blog du Dr Gérard Maudrux, viré comme une merde du Quotidien du médecin, sous prétexte de supprimer « les blogs ». Or il remarque dans son article du 21 avril « Quand le Quotidien du Médecin dérape grave » que seul son blog a été complètement supprimé au bout du mois de préavis, alors que ses articles battaient des records de commentaires. Le quotidien en question publie un article sidérant intitulé « Ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine… : que risque un médecin en prescrivant ces traitements dans le Covid ? » Or d’une part, cet article n’a que 300 réactions, alors que ceux de Maudrux sur son blog en ont entre 500 et 1500 (pas vues, mais commentaires, on est bien d’accord), et si vous lisez ces commentaires, vous constatez qu’un seul troll nommé « Cyrille V » en compte à lui seul plusieurs dizaines, ce qui sur un site réservé aux médecins semble une preuve qu’il ne s’agit pas d’un carabin occupé 10 heures par jour à vacciner à la chaîne mais d’un mercenaire des labos. Un autre contributeur (« Jean-François C. ») résume bien la situation : « À lire ces commentaires, et surtout le nombre de pouces verts, je constate qu’il y a une très large prise de conscience, chez les médecins, de l’insanité de nos décideurs, et de la très probable efficacité des traitements médicamenteux. Cela me rassure pour l’avenir. En médecine, les vérités scientifiques sont têtues. Les ministres passent, les vaccins se périment, mais les molécules restent ». Donc si vous ôtez les trolls et les mercenaires des labos comme le petit délinquant Raffi de Nantes condamné pour avoir menacé de mort le Pr Raoult, finalement les médecins honnêtes & désireux de soigner en leur âme et conscience selon le Serment d’Hippocrate ne seraient-ils pas plus nombreux que ne le pensent les plumitifs collabos ? Le Dr Maudrux qualifie désormais son ancien hébergeur de Pravda.
J’attire votre attention sur la mention « acte gratuit » qui figure sur ces deux ordonnances. Le médecin qui me les a faites, en plus de la lecture intégrale des études publiées, a passé plusieurs soirées en visioconférences avec d’autres médecins militants de sa région, pour se former et adopter une position commune, conforme d’ailleurs au tableau de la Coordination Santé libre, pendant que d’autres émargent aux vaccinodromes tout en abandonnant leurs patients, par appât du gain. Nous avons échangé par téléphone et par mail, et il l’a fait avec plusieurs personnes, a relu cet article, et est prêt à conseiller la personne quelle qu’elle soit qui aurait besoin de la prescription, tout cela gratuitement, en plus de son propre travail de médecin. Bien sûr il faut privilégier quand c’est possible la téléconsultation car tout travail mérite salaire. Le médecin bénévole se voit surchargé de demandes et ne peut plus faire face, en plus des risques qu’il prend de se faire repérer. Décidément, il y a deux races de médecins, comme de journalistes. Argent d’un côté, Amour de l’autre. Attention, je ne voudrais pas caricaturer : quand le patient demande à être vacciné – et c’est son droit, surtout s’il a peur, comme le rappelle toujours le Pr Raoult – le médecin fait son job, bien sûr, et cet article du 24 avril du Quotidien du médecin, et les commentaires, témoignent aussi de la bonne foi et du désarroi de ces médecins confrontés à une situation pour le moins complexe. La plupart de ces médecins croulent chaque jour sous une avalanche de mails des « autorités de santé », qu’il leur faut absolument lire, et qui les empêche de s’informer en dehors de la Pravda. Beaucoup d’entre eux n’ont jamais entendu parler de l’ivermectine, et croient toujours le mensonge selon lequel l’hydroxychloroquine serait mortelle en cas de comorbidité, et quand ils savent qu’ils peuvent à nouveau (depuis le 11 juillet) la prescrire hors AMM, ils ignorent que Sanofi ne la délivre plus que pour les indications autorisées (information sous réserve, voir ci-dessus). Il faut vraiment qu’ils sacrifient leur vie privée pour s’informer. Comme le dit Louis Fouché dans sa lettre magnifique : « Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment ». Il ne parle pas que des médecins, mais c’est à eux que vont mes applaudissements avant tout. Je termine en ajoutant ici le tract de Goutte de ®ésistance sur les vaccins, basé sur les déclarations de Véran lui-même. À lire absolument avant d’aller vous faire « vacciner » pour éviter d’être déçu après…« Goutte de ®ésistance » : « Vous vous faites « vacciner » contre la COVID… »
Un cas d’école : la loi de l’emmerdement maximum
Quelques jours après la publication de cet article, j’ai été confronté de près à une situation de crise. Une personne que je nommerai X parmi mes proches, qui avait lu la 1re version de cet article et venait de prendre rendez-vous avec un médecin qu’elle avait contacté en partant de cette liste, attrape salement le covid. Femme de 57 ans, en léger surpoids clairement à cause de la tyrannie sanitaire. En effet, elle avait entamé une pratique sportive assidue en salle depuis un an et avait perdu 6 kilos, qu’elle a tous repris depuis la fermeture criminelle des salles de sport par qui vous savez. Mise en danger de la vie d’autrui, mais c’est à ceux qui ne mettent pas leur masque qu’on adresse ce genre d’accusation, non pas aux assassins du gouvernement McCastex-Kinsey. Léger burn out et à cause du surpoids, position debout de plus en plus pénible, mais nécessaire pour son emploi. Selon la loi de l’emmerdement maximum (Loi de Murphy pour les intimes), elle contracte le virus lors d’une semaine de déplacement en province, loin de chez elle, et commence à développer des symptômes légers juste le lendemain du jour où elle fait escale chez son fils (nommons-le Y), le mardi. Surchargée de travail, elle ne se préoccupe pas de ce petit rhume assorti de sueurs (habituelles pour elle). Le vendredi 30 avril, elle s’évanouit chez un client (cela lui était déjà arrivé en déplacement 2 ans avant le covidisme). Les pompiers la véhiculent à l’hôpital local. Test PCR positif. On la raccompagne à sa voiture alors qu’elle est incapable de conduire et à 5 h de chez elle, avec quand même un antibiotique, surtout pas l’azithromycine bien entendu, pour ne pas tomber dans le charlatanisme Raoult, mais Augmentin (Amoxicilline), avec paracétamol et un truc pour le rhume. Heureusement, elle ne tombe que sur des gens charmants voire héroïques vu l’atmosphère de terreur entretenue par notre gouvernement McKinsey : son client la ramène à l’hôtel dont elle est la seule cliente, et les hôteliers, même s’ils ne pénètrent pas dans la chambre, sont attentionnés, déposent le petit déjeuner devant la porte, proposent leur aide. Mais problème : la voilà dans une ville qu’elle ne connaît pas, au fond de son lit avec des symptômes importants de fatigue et vertiges, mais peu de gêne respiratoire, et pas de possibilité de se faire livrer à manger. De toute façon, les premiers jours elle vomit tout. Quand j’apprends la situation, c’est vendredi 18h30, veille du samedi 1er mai… Je consulte en vitesse la liste des médecins engagés (en méditant au passage sur la justesse de la matrice d’Eisenhower dont j’ai eu connaissance récemment) et en trouve 2 dans cette petite ville. L’une a un répondeur qui la signale en vacances ; pour l’autre, je tombe sur une secrétaire qui me dit qu’il vient de partir. J’explique posément la situation particulière en insistant sur le fait que j’ai trouvé le nom de ce médecin dans cette liste-là. La secrétaire me répond que c’est bien, l’hôpital a prescrit ce qu’il fallait, et qu’en cas de problème elle appelle le 15. Cela m’énerve un peu. J’appelle donc le médecin ami. Mais ce vendredi soir, il est de sortie. Me rappelle quand même une heure plus tard, me questionne et en fonction du questionnement que j’avais préalablement opéré (rapport poids/taille) et d’un nouveau questionnement (fréquence de cycles de respiration prise manuellement car pas d’oxymètre), affine la prescription en prescrivant l’ivermectine mais pas l’antibiotique, que l’on prescrirait en cas de survenue de difficultés respiratoires seulement, et dans le cas de X. Fait quatre ordonnances, pour la mère et le fils dont j’ai pris des nouvelles à part et pour lequel je suis — à tort – moins inquiet.
Le lendemain 1er mai, l’opération Orsec est déclenchée, et alors que la règle des 10 km et le couvre-feu sont encore en vigueur, les parents de X, 80 ans, font le déplacement de plus de 100 km pour apporter les médicaments, qu’heureusement ils avaient réussi à se procurer car eux aussi avaient compris mon alerte et mon principe de précaution au bon moment. En effet, raoultiste de la 1re heure, je n’ai jamais nié la gravité de la maladie Covid, mais juste compris que SI ON LA TRAITE (protocole Coordination Santé Libre), elle revient à une grosse grippe pour certaines personnes. Si au contraire on suit le protocole Véran-McKinsey-OMS, on souffre, on peut avoir des séquelles (« covid long ») et tutti quanti. Côté X, en gros, elle a été alitée, épuisée, prise de vertiges, vomissant toute nourriture jusqu’au vendredi suivant, soit donc huit jours. À partir de ce vendredi, elle a pu se lever, et s’est remise sur pied. Ses parents qui soit dit en passant ont pris toutes les précautions possibles (huiles essentielles, vitamines, etc., car ce sont des partisans des médecines douces depuis des lustres) et n’ont rien attrappé. Elle a pu rentrer chez elle grâce à son fils aîné qui est venu en train conduire le véhicule de fonction qu’elle ne pouvait pas conduire elle-même tant qu’elle n’avait pas un certificat médical attestant de sa capacité à conduire, demandé par son employeur (quand on dit loi de Murphy, c’est jusqu’au bout !). Bref, maintenant, retour à la situation d’avant, c’est-à-dire grande fatigue, etc., mais elle semble totalement sortie du covid, son état s’améliore jour après jour.
En ce qui concerne Y, le fils de X, c’est plus compliqué. J’ai eu tort, je pense, de me mêler de ce qui ne me regardait pas, voulant trop aider. Il se trouve qu’il n’a pas voulu prendre l’ivermectine pour laquelle je lui avais procuré une ordonnance. Tout juste s’il a accepté de prendre les vitamines. Il a fallu l’intervention de ses grands-parents pour qu’il finisse par acheter un oxymètre, qui s’est révélé très utile. Ce garçon vit dans une grande ville universitaire de province dans laquelle il venait de s’installer pour ses études lorsque le virus du covidisme a infecté toute la population sauf les irréductibles Gaulois. Pas le temps de se créer un réseau, et distanciel imposé. Assez déprimé, Y chope le virus. Je perds du temps (et le temps de l’ami médecin) à lui faire l’apologie de l’ivermectine et à adapter le traitement à l’évolution de ses symptômes. En fait il n’avait pas l’intention d’en prendre, ce qui est tout à fait respectable, il aurait juste pu le dire franchement. Après une première fausse alerte en-dessous du taux de saturation en oxygène de 90 %, le CHU le renvoie chez lui avec doliprane parce qu’il était remonté à 96 en arrivant à l’hôpital. Sept jours après, le taux ayant baissé, il se fait à nouveau hospitaliser, une journée en salle ventilée puis restera en oxygénation (donc comptabilisé en « réanimation » selon les critères actuels) et sous anticoagulants et corticoïdes pendant une semaine, avant d’être transféré en soins normaux pendant 6 jours, avec toujours le même traitement. Depuis qu’il est sorti ça va mieux, il continue les anticoagulants. J’ai oublié de préciser que Y pèse 120 kg pour 1m90, ce qui le classe en « faible obésité ». Il faut donc considérer que même une faible obésité constitue pour une personne jeune et en bonne santé une « comorbidité », notamment (j’ai demandé à mon médecin) du fait de la difficulté à respirer engendrée par le surpoids. Donc attention de ne pas dire à la légère que ce virus ne tue que des personnes avec des comorbidités, car une « faible obésité » n’est quand même pas une maladie dont on meurt jeune en principe.
Si je veux en tirer un conseil en conclusion, c’est :
Les précautions ça se prend AVANT. Donc vu la situation, ce médecin miracle on ne le cherche pas quand on a des symptômes ! La situation actuelle nous oblige à une « grande réinitialisation ». Laissons les médecins paracétamol aux covidistes, et allons chez les médecins qui soignent !
Avant d’aider un proche, il vaut mieux s’assurer comme j’ai négligé de le faire, qu’il souhaite être aidé dans ce sens-là, pour éviter de perdre son temps, mais aussi ne pas le contrarier, ce qui peut nuire à sa santé. Pourquoi faire ce qu’on reproche aux autres, c’est-à-dire des pressions pour prendre tel traitement, etc. ? Chacun est libre. De plus, en cas de problème, on risque d’être pris à partie par des tiers, et le médecin prescripteur aussi. Christian Perronne a expliqué dans cette émission sur Radio Courtoisie comment un confrère à qui il n’avait pas pu procurer de l’hydroxychloroquine pendant la période où Véran l’avait complètement interdit, a été placé en réanimation pour un trouble cardiaque le lendemain (donc sans avoir eu le médicament). Le trouble cardiaque est dû à la maladie, mais la pharmafia a fait croire qu’il était dû au médicament ! C’est une des raisons pour lesquelles certains médecins, même s’ils ne sont pas persuadés de la justesse du protocole Véran-McKinsey, préfèrent continuer à ne rien prescrire.
Au niveau des collectifs d’entraide, il me semble important de prendre en compte cet aspect et de réunir les informations sur à la fois les médecins et les pharmaciens sympathisants des environs, ceci de façon discrète évidemment pour ne pas les mettre en danger. En effet, un de mes proches s’est vu refuser l’ivermectine (avec ordonnance) par son pharmacien. Or si cela vous tombe dessus la veille d’un WE, il vaut mieux être paré.
Enfin j’ai pu vérifier que rien ne permet de présager la gravité de la maladie. Il se trouve qu’un couple de personnes âgées de ma connaissance a aussi chopé en ce mois de mai 2021 le virus. L’une, qui relève d’une chimiothérapie, a fait une forme moyenne et commence à s’en sortir. Un médecin de SOS médecin ne lui a en gros rien prescrit. Elle n’avait pas réussi à contacter un médecin de la liste des médecins engagés qu’elle avait trouvée en lisant mon article (et c’est un problème de cette liste qui n’est pas axée sur les patients potentiels mais inclut beaucoup de retraités ou de spécialistes qui ne nous sont guère utiles ; il serait bon d’ajouter une information en regard de chaque soignant) ; l’autre a eu paracétamol et amoxicilline, et s’est fait hospitaliser avant de revenir à la maison affaibli et démoralisé. J’ai encore pris la liberté de recommander l’ivermectine, qui en principe serait utile même à un stade avancé. Si l’on en croit Didier Raoult, (vidéo du 18 mai) l’infection procure une immunité dix fois supérieure aux « vaccins » selon les observations faites à l’IHU de Marseille. Cette expérience révèle que le bourrage de crâne rend les gens déraisonnables : les mêmes qui sont prêts à absorber sans aucune question du paracétamol ou des produits en phase d’essai, ont des réticences infinies à prendre l’ivermectine. Pour vous aider, voici une photo de la page du Vidal consacrée au Stromectol (nom commercial de la molécule). Vous pouvez constater qu’il n’y a ni contre-indication, ni interaction médicamenteuse.Fiche du Stromectol (ivermectine) dans le Vidal
À peine ai-je mis la dernière main à cet article que j’ai fait relire à X, que j’ai des nouvelles de l’ami diabétique dont je parlais au début de l’article. Il s’est fait « vacciner » à l’AstraZeneca en mars. Mi-mai, il a un problème cardiaque et tombe chez lui. Il est amené par les pompiers à l’hôpital, où on le garde 4 jours pour lui faire des examens. Apparemment rien de grave, mais il doit encore passer un scanner. Les pompiers lui ont demandé s’il s’était fait vacciner, ce qui confirme les rumeurs à mon avis. Il est diabétique mais n’a jamais eu le moindre problème cardiaque. Il est en télétravail depuis octobre, alors qu’il a eu le covid. Et la médecine du travail non seulement refuse de le laisser reprendre en présentiel tant qu’il n’a pas une deuxième dose, mais en plus lui prévoit cette dose fin juin, et cerise sur le gâteau, lui impose, parce qu’il a moins de 50 ans, une deuxième injection avec un produit différent. L’employeur refuse de le reprendre contre l’avis de la médecine du travail. Il me semble qu’on est dans l’illégalité. Je lui demande explicitement s’il veut que je le mette en contact avec des militants qui puissent le conseiller. Il est d’accord. Il me dit qu’il regrette de s’être fait vacciner, et qu’il en a marre du télétravail, qu’il s’ennuie, etc. Le médecin lui a dit de ne pas faire d’efforts, et je lui ai confirmé que si ce qui lui arrive est dû au vaccin, il vaut mieux pas. Parmi les gens qui se sont fait vacciner dans mon entourage, c’est le premier cas d’effet secondaire grave supposé. Consultés, les amis me renvoient à l’article L-111-4 du Code de la santé publique, qui est assez clair : « Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement. Le suivi du malade reste cependant assuré par le médecin, notamment son accompagnement palliatif. Le médecin a l’obligation de respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité. […] Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »
Article repris sur Profession gendarme dans sa première version, augmentée fin mai.
Primum non nocere !
émission d’Ema Krusi « Rencontres sur le terrain » avec le Dr Odile Ouachée, médecin à Paris, « Trousse de soins covid ». Elle confirme que vu la façon dont cette maladie attaque, il vaut mieux être préparé. Elle explique comment utiliser l’oxymètre. Dès qu’on est en-dessous de 95, il faut intervenir avec un « appareillage à domicile d’oxygène » (formulation sur l’ordonnance) en 3 à 5 litres / minute, tant de fois par jour (3 à 5 fois ou plusieurs heures).
Le tableau de prise en charge précoce a été revu et publié sur Réinfocovid le 26 juin 2021.
© altersexualite.com, 2021
[1] Une autre personne qui a reçu exactement la même ordonnance mais pour seulement 5 boites d’ivermectine, a payé 105 €, mais pour les deux ordonnances sans présenter sa carte vitale, de façon à préserver le médecin du harcèlement du conseil de l’Ordre, donc cela doit être kif-kif.
[2] Je l’ai souvent écrit au masculin, car j’avais toujours lu jusque-là « règlement » au lieu de « recommandation », comme dans cet article, mais un lecteur attentif me renvoie à la source. C’est comme pour le ou la Covid, quoi, c’est la théorie du genre ! Rechercher :
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