Scoop : le véritable arbre généalogique de “Brigitte” Macron
Jean-Michel Trogneux et Brigitte Macron sont une seule et même personne selon le logiciel de reconnaissance faciale Face++
Dans un article du 19 décembre, nous vous informions, chers lecteurs, de ce qui pourrait être le point final de l’enquête menée par Xavier Poussard, rédacteur en chef de Faits & Documents, sur l’identité sexuelle de “Brigitte” Macron, après utilisation du logiciel Face++ de reconnaissance faciale. Ce logiciel de la société chinoise Megvii permet la reconnaissance formelle et immédiate de chacun des 1,4 milliard de Chinois, dans le cadre de la politique totalitaire dite du “crédit social” menée par le gouvernement de la République populaire de Chine.
Ci-dessous, l’arbre généalogique simplifié de la famille Trogneux selon l’estimation de Face++ :
Démonstration étayée sur 12 pages dans le n°527 de Faits & Documents, avec de nombreuses photos à l’appui.
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Cette rocambolesque affaire est sans doute appelée à connaître de nombreux et spectaculaires développements. Dans la soirée du 20 décembre, nous apprenions ainsi qu’Eric Verhaeghe, fondateur du blog Le Courrier des stratèges, avait été mis en garde à vue.
“Une opération d’intimidation” dénonce le blogueur qui précise : “Ça suit deux articles que j’ai faits sur l’affaire Brigitte, qui, je crois, rend le pouvoir très nerveux” :
“Le motif de cette garde à vue de 24 h n’est pas liée à mes activités éditoriales. En revanche, c’est évidemment une opération d’intimidation. Une intimidation comme en fait le pouvoir contre ses opposants”
“J’ai été conduit au commissariat menottes aux poignets”, précise Eric Verhaeghe.
“Vous vous doutez que quand on fait le Courrier des Stratèges et qu’on défie le pouvoir comme je le fais, on a un plan de continuité de l’activité parce qu’on s’attend à ce que le pouvoir sorte ce genre de méthode”
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Rappelons que Natacha Rey, qui a “lancé” l’affaire, a également subi les foudres du pouvoir :
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A partir de 1 : 14 : 00 de la vidéo ci-dessous, Xavier Poussard liste les ennuis que lui ont valus la publication des premiers éléments de son enquête sur la transsexualité de l’”épouse” du Président de la République (enquête pour laquelle il n’a par ailleurs jamais été poursuivi) :
- Comptes en banque fermés
- Interdiction d’ouvrir un compte en banque en France
- Vie privée passée au peigne fin
- Contrôle fiscal (résultats transmis à la presse d’extrême gauche…)
- Signalement Pharos pour “incitation à la haine antisémite”
- Plainte d’Emmanuel Macron contre Xavier Poussard pour faux et usage de faux, pour un article vieux de six ans (F&D 437, juillet 2017) dans lequel le rédacteur en chef de F&D a publié un document du greffe de commerce de Marrakech sur lequel le nom d’Emmanuel Macron apparaît comme co-propriétaire du palais Dar Olfa avec un de ses amis proches, le financier Guillaume Rambourg. Xavier Poussard a alors contacté son correspondant au Maroc, sa “source”, pour apprendre qu’il était subitement décédé trois mois auparavant (Covid express alors que l’homme, la cinquantaine, était en pleine forme…)
“C’est un dossier qui, en termes de bénéfice-risque, me coûte extrêmement cher” constate Xavier Poussard.
“Le personnage connu médiatiquement sous le nom de Brigitte Macron est né sous le nom de Jean-Michel Trogneux le 11 février 45. On commence sa biographie connue avec le détournement de mineur d’Emmanuel Macron de 1992. Ça veut dire qu’entre sa naissance en 1945 et 1992, on a 47 ans de vide. Qu’est-ce qu’on va trouver dans ces 47 ans ? (…) On est sur des comportements borderline. On commence en 1992 avec un détournement de mineur, avec une forte odeur de pédophilie (…). C’est pour ça qu’”ils” bloquent, que l’enquête est extrêmement compliquée.”
“Myriam Palomba (…) assume de dire : “Mes emmerdes ne sont pas venus d’avoir été antivax ou d’avoir appelé à voter Marine Le Pen. Elles sont venues quand j’ai commencé à aborder l’affaire Jean-Michel Trogneux”. (…) Myriam Palomba envoie des journalistes enquêter à Amiens. Elle ne peut pas enquêter (…) Elle est convoquée au siège de CMI et est débarquée de la direction de Public.”
“Les journalistes, dans Paris, savent bien que c’est une affaire explosive, qu’il y a un enjeu de sécurité nationale derrière ça, mais pour l’instant, tout le monde s’en lave les mains, en faisant semblant de mépriser, au titre de relativisme pour la gauche et du sérieux pour la droite. Mais il ne faudrait pas grand-chose pour que l’affaire rebondisse. [Dans les prochains numéros de F&D], on va raconter quelle a été la vraie vie de “Brigitte” Macron. Je maintiens la pression sur cette affaire !
“On a un schéma global qui nous est donné par l’IA Face++ (…) On recrée un arbre généalogique complet et des états civils complets avec photos des protagonistes de l’affaire : André Auzière, Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux (…) La question n’est plus de savoir qui est Brigitte Macron, c’est de retracer sa vraie biographie (…)”
“Ce dossier, c’est le seul qui les fait chier. [Macron] nous a déclaré la guerre, il a déclaré la guerre à la France. (…) J’irai jusqu’au bout”
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On saluera le courage de Xavier Poussard qui a parfaitement conscience des risques qu’il encourt. L’”affaire Trogneux” est en effet loin d’être anecdotique. Outre ses conséquences cataclysmiques sur le prestige de la France à l’étranger et sur les intérêts économiques du pays, elle est jugée hautement sensible par l’Elysée. Cache-t-elle des affaires de drogue ou de pédophilie ? Se posent également un certain nombre de questions fort délicates. Qu’est devenue la vraie Brigitte Trogneux, dont son frère Jean-Michel s’est arrogé l’identité ? Qui est celui qui se nomme actuellement Jean-Michel Trogneux, alias “le petit gros” ? Comment expliquer le silence des trois enfants Auzière et des deux enfants Trogneux ? Malheur à qui fouine de trop près. La disparition brutale de la “source” marocaine de Xavier Poussard dans l’affaire du palais Dar Olfa de Marrakech laisse imaginer quelles pourraient être les méthodes des barbouzes du pouvoir pour se débarrasser d’enquêteurs ou de témoins gênants.
Emmanuel Macron l’affirme, il est “en mission”.
Le serviteur rend ici un culte à son Maître, au Palais de l’Elysée :
« Malheur à toi, terre dont le roi est un enfant de Satan »
Henri Dubost
Source : Riposte Laïque
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