Samedi 13 mai 2023 : Colloque sur la dérive totalitaire sur les enfants

Maître Virginie de Araujo-Recchia

RAPPEL (puisque certaines personnes tentent d’invisibiliser ce colloque, qui réunit pourtant les meilleurs spécialistes du psychisme de l’enfance).

Le samedi 13 mai prochain, la LNPLV parraine une journée de conférences à quelques minutes de Paris, sur le thème des enjeux autour des enfants dans le contexte actuel.

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Au programme :

La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions Comment retrouver des principes vertueux ?

Au cours de cette journée de conférences dans un cadre agréable à quelques minutes de Paris, des spécialistes vont se succéder pour proposer au public des réflexions approfondies sur différents aspects de la dérive totalitaire, qui a causé de graves dommages psychiques et somatiques sur les enfants depuis 2020. Il analysera la nature de la dérive, en termes d’idéologies politiques, de pratiques institutionnelles (endoctrinement, politiques de sexualisations précoces, irrespect du secret professionnel pour les vaccinations, stigmatisations, etc.), de symptômes constatés (« effets secondaires » psychiques et physiques), tant sur le plan qualitatif que quantitatif. Mais il s’agira aussi de proposer des perspectives, et de retrouver des principes vertueux par l’écoute de la souffrance des jeunes générations, la réinvention de la clinique et le choix des « bons mots », pour conforter également les parents dans leur rôle de protecteur de leurs enfants. Ce colloque est parrainé par la LNPLV.

Il est organisé par Ariane Bilheran, normalienne, psychologue clinicienne, philosophe, docteur en psychopathologie, et Amandine Lafargue, psychologue clinicienne, psychologue sociale et des organisations de travail, psychothérapeute et psychanalyste. La journée est animée par Ariane Bilheran, avec en pointillé de chaque intervention le point de vue de l’expert juridique, l’avocate Maître Virginie de Araujo-Recchia. L’avocate sera en effet consultée pour la recherche des qualifications juridiques des délits et des peines commis à l’encontre des enfants.

Déroulé de la journée

8h-9h:

Introduction au colloque, bienvenue aux participants.

Diagnostic et constats actuels de la dérive totalitaire sur les enfants.

9h-10h30:

Les dangers de la sexualisation des enfants via les programmes de l’OMS.

Les « droits sexuels » des enfants, origines, filiations, promoteurs, concepteurs.

Ariane Bilheran.

La sexualité infantile : une invention de toute pièce aux dépens des enfants.

Régis Brunod.

10h30-11h00: Pause

11h-12h30:

La clinique des maltraitances depuis 2020.

Bilan psychologique de la crise : une symptomatologie inédite, tant du point de vue quantitatif que qualitatif.

Marie-Estelle Dupont.

Faire preuve d’inventivité clinique face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles. Amandine Lafargue.

12h30–14h00:Pause repas

14h-15h30:

Quelles perspectives pour les enfants?

Les apprentissages faits par les enfants dans le cadre de cette crise sans précédent.

Cécile Maïchak.

Quel avenir est-il proposé aux enfants ?

Karina Terki.

15h30-16h00: Pause

16h00-17h00:

Du côté des chiffres…

Santé environnementale, santé mentale : d’abord ne pas nuire.

Senta Depuydt.

16h30-17h00:Pause

17h00-18h00: débat avec la salle, puis clôture et vente/dédicace de livres.

Participants par ordre alphabétique:

Virginie de Araujo-Recchia,avocate.

Elle a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Karine Baillieu, psychologue clinicienne, spécialisée en psychopathologie psychanalytique et psychotraumatisme.

Sujet : Diagnostic et constats actuels de la dérive totalitaire sur les enfants Sera proposée une vision systémique de la dérive totalitaire sur les enfants ces dernières années, dans les différents champs (sanitaire, « droits sexuels », histoire, endoctrinements idéologiques, etc.), afin d’en extraire une vision globale, et d’interroger la raison pour laquelle les enfants en sont la cible privilégiée. Nous analyserons les enjeux et les potentiels devenirs de cette situation alarmante, notamment par des exemples, comme les conséquences des masques et des campagnes de propagande, sous l’angle de l’absence de représentation chez certains adolescents : impossibilité de se projeter dans l’avenir, sidération massive, vide psychique, qui tous ont des conséquences graves sur la construction identitaire, les choix identificatoires, et la propension à l’assujettissement et à la dépression.

Ariane Bilheran, normalienne, psychologue clinicienne, philosophe, docteur en psychopathologie.

Auteur de Psychopathologie de la pédophilie et de L’imposture des droits sexuels, ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial.

Sujet : Les « droits sexuels » des enfants, origines, filiations, promoteurs, concepteurs Nous analyserons les origines et les filiations de ces « droits sexuels » aujourd’hui promus par l’OMS, en particulier pour les enfants, à travers des « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », notamment. Nous étudierons la nature des promoteurs et concepteurs, et des références dites « scientifiques », pour les confronter au corpus de connaissance de la psychologie de l’enfance, notamment en matière de transgression sexuelle infantile. Nous poserons les critères d’une véritable prévention aux traumatismes sexuels et parlerons de l’endoctrinement des enfants par la mainmise totalitaire, et de l’importance de passer par la sexualité pour ce faire.

Dr Régis Brunod, pédiatre et pédopsychiatre, titulaire d’une HDR en Sciences de la Vie et de la Terre ainsi que d’un DEA en Philosophie (épistémologie), ancien Expert auprès des Tribunaux.

Auteur du livre Préserver l’innocence des enfants.

Sujet : La sexualité infantile : une invention de toute pièce aux dépens des enfants. Un peu partout, on parle de la sexualité infantile comme d’une réalité omniprésente dont les adultes devraient s’occuper. L’OMS en fait même une obligation éducative dès la naissance. Cela ne repose sur aucune base scientifique et est totalement contraire à la croissance des enfants dans tous les autres secteurs de leur développement neuropsychique. Pourtant ce dogme sert à tenter de justifier nombre d’agressions sexuelles sur de jeunes enfants, certaines sous couvert de science ou de prévention. L’observation de la réalité clinique montre qu’il n’en est rien et que la sexualité humaine se construit aussi de manière développementale avec des prérequis avant d’arriver à la fonction mature. L’absence chez les enfants d’une sexualité sur le modèle de celle des adultes est une réponse claire à toutes les tentatives de la légitimer, même avec les meilleures intentions du monde, celles dont l’enfer est pavé. Cette absence de sexualité chez l’enfant est le socle sur lequel peut reposer toute prévention de la pédocriminalité.

Senta Depuydt, journaliste diplômée en sciences de la communication (Université Catholique de Louvain, B.).

Ancien membre fondateur et dirigeant de plusieurs associations dans les domaines de la protection de la santé, de l’éducation et de la défense des libertés fondamentales.

Sujet : Santé environnementale, santé mentale : d’abord ne pas nuire. Dans le domaine de la santé mentale, les chiffres actuels sont alarmants. On assiste à une véritable épidémie de diagnostics : dépression, tendances suicidaires, hyperactivité, troubles du développement, autisme. Différents facteurs sont à prendre en compte, parmi lesquels la toxicité de l’environnement et des produits à usage humain, particulièrement nuisible au développement de l’enfant. La société de l’urgence, où l’acceptation aveugle des risques liés aux innovations constitue désormais la nouvelle norme, semble avoir aboli le principe de précaution qui devrait régir toutes les politiques liées à l’enfance et à la santé. L’enfant est devenu un cobaye, sacrifié sur l’autel du profit industriel. Quelles sont nos possibilités de renverser cette tendance et d’opérer un changement de paradigme ?

Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne et psychothérapeute, auteur de L’anti-Mère.

Sujet : Bilan psy de la crise. Inédit quantitatif et qualitatif (symptomatologie). Nous verrons comment la crise sanitaire a bouleversé la clinique, et notamment la clinique des plus jeunes. Comment cela a-t-il été possible, pourquoi une telle inversion des places et des valeurs ? Comment consoler, déculpabiliser et réhabiliter nos enfants, notamment par le regard apporté à l’importance des mots qui ont été dévoyés ?

Amandine Lafargue, Psychologue clinicienne, psychologue sociale et des organisations de travail, psychothérapeute et psychanalyste, auteur de Psychopathologie de la pédophilie.

Sujet : Faire preuve d’inventivité clinique face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles. Après avoir tenté d’alerter sur les risques psychiques que les enfants encouraient en raison des politiques sanitaires subies, nous avons pu mesurer cet impact dans le réel de notre clinique auprès d’eux. Notre société continue cependant de se déculpabiliser, au nom du mythe de l’illusoire « adaptation » des enfants. Aussi, les spécialistes continuent de faire état des études chiffrées détaillant les symptômes par tranches d’âges, pendant que nous inventons et fabriquons sans cesse une nouvelle clinique, pour faire face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles. Quelles solutions pour diminuer le stress/l’impact sur le développement des enfants, les dédommager, quelles cliniques en temps de pandémie ?

Cécile Maïchak, psychopédagogue, créatrice du Doctothon, auteur de 250 médecins, la vérité sans censure.

Sujet : Les apprentissages faits par les enfants dans le cadre de cette crise sans précédent. À partir des témoignages recueillis lors des Doctothon et Dosumani précédents, notamment sur le thème de l’enfance, la psychopédagogue souhaite interroger les apprentissages des enfants depuis 2020 : qu’ont-ils appris en observant leurs enseignants qui appliquaient les protocoles, quelles qu’en soient les conséquences ? Qu’ont-ils appris en voyant la passivité de leurs parents face, par exemple, au port du masque à l’école ? Qu’ont-ils appris quand, à l’école, il était exigé d’eux qu’ils n’aient pas de contact avec leurs camarades ? Etc. Et comment se construisent-ils sur cette base ? Cette réflexion envisagera des perspectives pour le futur.

Karina Terki, psychologue clinicienne diplômée en psychologie clinique et pathologique, thérapeute EMDR spécialisée dans le psychotraumatisme, a exercé en psychiatrie adulte depuis plus de 20 ans.

Sujet : Quel avenir est-il proposé aux enfants ? Le bouleversement sociétal de ces deux dernières années a produit chez les adultes des effets de sidération, de soumission et conséquemment, un changement profond dans la nécessité de préserver un développement le plus harmonieux possible pour les enfants. Aujourd’hui quel constat pouvons-nous faire sur l’avenir proposé aux enfants et aux adolescents ? Quels modèles identificatoires la société leur propose ? Quelles sont les alternatives possibles ?

L’événement aura lieu dans un hotel au bord de la Seine à Alfortville (3km de paris), proposant un parking sécurisé aux alentours de 10€ la journée, et accessible en transports en commun.

Rejoignez-nous pour cet événement unique pour comprendre et avancer sur ces enjeux qui affectent vos enfant, avec malheureusement un nombre de places limité.

Inscrivez vous, places limitées !

Source : Ariane Bilheran

« Les dangers de la sexualisation des enfants via les programmes de l’OMS. » Mentionnons que le 28 Mars 2023 nous avons publié sur ces dangers : L’OMS et l’éducation sexuelle de nos enfants (mis à jour ce 28 mars)Attention ! certaines images ou propos peuvent vous choquer.

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