Saint-Jean-de-Luz : Une enseignante tuée après avoir été poignardée par un élève + article de Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Un drame s’est déroulé ce mercredi matin à Saint-Jean-de-Luz.

Une enseignante du lycée Saint Thomas d’Aquin a été tuée après avoir été poignardée par un élève. Comme le relate Actu17, les faits sont survenus aux alentours de 10 heures.

Âgé de 16 ans et scolarisé en seconde, Le lycéen a été interpellé par les forces de l’ordre. Il serait inconnu des services de police. De nombreux secours sont sur place.

La préfecture a déclaré dans un communiqué que le préfet du département, le procureur de Bayonne et la rectrice de l’académie se rendent sur place.

Source : Actu Forces de l’ordre

L’assaillant de l’école de Saint-Jean-de-Luz était il victime de contrôle mental?

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Une enseignante d’espagnol de 52 ans a été abattue à l’arme blanche dans une école de Saint-Jean-de-Luz ce mercredi 22 février.

L’assailllant est un élève de 16 ans qui a été placé en garde à vue, il « n’était pas connu des services de police, ni de justice », a ajouté le magistrat lors d’une conférence de presse. Outre les faits, l’enquête devra déterminer son état psychologique et ses motivations.

Plusieurs médias français ont relayé son témoignage selon lequel il aurait « entendu » une voix lui ayant demandé de comettre ce crime.

L’opinion publique est conditionnée pour assimiler ce genre d’allégation à de la schizophrénie ou une forme de psychopathie. Néanmoins depuis quelques années, notamment aux états-unis, ce genre de dérapages est de plus en plus fréquent et certains acteurs de ces méfaits avancent être victime de « contrôle mental »  par la technologie V2K (Voice to Skull – Voix au Crâne) et s’étiquettent comme étant des individus ciblés.

Même si leur voix n’est pas entendue suffisament largement et que l’entièreté du public ne leur a pas donné crédit, cela constitue un précédent dans le sens où c’était la première fois où l’on évoquait les crimes par neurotechnologies qui sont reprises dans le crime de harcèlement électromagnétique et de contrôle mental.

Depuis 2020, les nations-unies investiguent sur ces dérapages des technologies neuro-cognitives à des fins militaires et de contrôle des foules sous l’appellation de cybertorture.

C’est le fruit du combat de milliers de victimes de par le monde de ces technologies dissimulées à l’opinion publique dont la divulgation a partiellement démarré avec le scandale du « syndrome de la Havane » ayant été provoqué par des neuro-armes utilisant des ondes électromagnétiques sur les diplomates américains et canadiens à Cuba en 2016 et rendu public en 2021.

En effet, depuis des décennies les complexes militaro-industriels des grandes puissances se penchent sur les neurosciences pour initier ce qu’ils ont babptisé la « guerre neurocognitive ».

Le numéro de brevet la technologie permettant de faire entendre des voix est le US4877027A.

Le specialiste des micro-ondes Barrie TROWER ayant travaillé pour le MI5 Britannique (renseignement militaire) a confirmé l’existence de ces programmes et a affirmé que l’on pouvait faire entendre des voix à l’apparence « divine« .

Le pionnier américain Robert DUNCAN dans les études sur le contrôle mental pour la CIA a également divulgué cette technologie et l’appelée « Voice of God technology » (voix de Dieu). Il est actuellement l’un des plus fermes opposants aux dérives de ses recherches.

L’utilisation de ces technologies peut aller de la répression, l’étude où à l’orchestration d’attentats pour amener une stratégie de la tension et ainsi légitimer des politiques, voire les méthodes de l’OTAN.

Nous transmettons nos condoléances à la famille et aux proches de l’enseignante et invitions à témoigner de l’empathie envers l’adolescent manipulé pour commettre ce crime contre sa volonté.

Özler ATALAY YÜKSELĞLU – Journaliste citoyen

Source : Ozlecarolo.com

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