Rapport Pfizer : la bombe dont vous ne deviez pas entendre parler
Chère lectrice, cher lecteur,
C’est officiel : Pfizer est l’entreprise qui produit le seul vaccin disponible en France contre la pandémie.
Un vaccin qui est en fait un médicament1, comme l’a reconnu Jean-François Delfraissy, président du Conseil Scientifique.
Un médicament tellement efficace d’ailleurs, que le système informatique de santé a été calibré pour prévoir jusqu’à 10 doses par patient2.
Pas de mauvais esprit : avec un potentiel de 10 doses achetées par Français, n’allez pas croire que Pfizer voit la France seulement comme un marché juteux…
C’est seulement l’occasion, pour cette noble entreprise, de démontrer que son médicament, qu’ils ont prétendu immédiatement efficace à 90%3, doit quand même être administré 10 fois de suite…
N’en doutez pas : Pfizer vous aime
Je ne me permettrais pas de douter de la bienveillance de cette entreprise d’intérêt public, malgré la lenteur qu’elle a mis à publier le rapport des expériences préliminaires concernant son « vaccin » ARN.
Et quand je parle de « lenteur », c’est qu’elle comptait terminer la publication de son rapport en 2096.
Hélas, ce n’est pas une plaisanterie4.
Chère lectrice, cher lecteur, n’y voyez aucune malice ! Une telle lenteur se comprenait, évidemment.
C’était par souci de ne causer de migraines chez personne, surtout pas chez les journalistes subventionnés, qui préfèrent s’égosiller sur d’autres sujets.
Or Mark Pittman, un juge texan certainement complotiste, a trouvé que Pfizer se moquait du monde.
Le 6 janvier 2022, il a sommé l’entreprise de publier l’entièreté du rapport de ses expériences préliminaires au plus vite5.
C’est désormais chose faite.
« Pfizer savait que son vaccin tuait6 »
Un fait important ressort de ce rapport7 :
Sur les 42 086 personnes malades suivies dans le cadre de l’expérience préliminaire Pfizer, 1223 sont très officiellement mortes.
Ce qui fait environ 3% de mortalité.
C’est beaucoup pour une maladie qui, selon les calculs des autorités françaises, tuait 0,7% des personnes infectées au sommet de sa virulence8.
Doit-on en conclure que le vaccin est plus dangereux que la maladie contre laquelle il devait protéger ?
Il se trouve que des défenseurs acharnés des vaccins ne trouvent pas la corrélation pertinente9.
Sous-entendent-ils que sur ces 1 223 personnes malades, certainement confinées, une bonne partie d’entre elles devait s’amuser le week-end à faire des courses de voiture ou à prendre l’autoroute à contresens ?
Car prendre dans cette étude des personnes gravement malades, qui auraient pu mourir d’autre chose que de la pandémie ou du « vaccin », aurait représenté une faute méthodologique rédhibitoire.
Donc, une fois la bêtise des « fact-checkers » mise à part, l’étude elle-même admet que les 1 223 morts ne correspondent qu’à la moitié des patients suivis.
De l’autre moitié, on ne sait pas grand-chose : on ne sait pas si ces patients ont guéri, avec des séquelles ou pas. Pire encore, pour près du quart des personnes de l’étude, on ne sait rien (9 400) – donc rien ne les exclut a priori d’être ajoutés aux personnes décédées.
On voudrait nous prendre pour des idiots qu’on ne s’y prendrait pas autrement !
Qui y a-t-il dans la cohorte inconnue ?
Si l’on compte 1 223 personnes décédées pour seulement la partie du panel dont le destin est connu – soit la moitié – on peut se demander s’il n’y a pas eu, au moins, le double de morts : donc une mortalité de 6%.
Mais cette mortalité de 6% impliquerait que la partie « obscure » du panel est au moins aussi fiable que la partie la mieux connue.
Or un fort soupçon pèse sur une étude aussi peu scientifique, où le destin du quart du panel est textuellement « inconnu ».
A-t-on dissimulé les pires effets indésirables et un plus grand nombre de morts dans cette catégorie dont l’étude dit qu’elle ne sait pas comment leur maladie s’est terminée ?
Une multitude de cas létaux ou de handicaps à vie a-t-elle été passée sous silence ?
De plus, l’expérience nous a depuis enseigné que même les cas classés comme « guéris » peuvent dissimuler des séquelles du vaccin à moyen ou à long terme – parfois mortelles.
Toute spéculation mise à part, cette étude montre qu’il n’aurait fallu, pour rien au monde, toucher à ce « médicament ».
Au moins cela, car une question subsiste :
Où sont passées les règles des femmes ?
Des dizaines de milliers de femmes en âge de procréer, dont des adolescentes, commencent à se demander pourquoi elles n’ont plus leurs règles, suite à leur vaccination.
Une association commence à faire du bruit à ce propos : « Où est mon cycle ? »10
Nous avons été les premiers, dans la sphère francophone, à alerter le public sur ces effets secondaires du vaccin.
Car les spicules propres au virus (les protéines spike), également produites en masse par l’ARN messager des vaccins, s’incrustent dans les ovaires, causant possiblement des dommages irréversibles.
C’était ce qu’avait établi Byram Bridle, à partir des données exigées par le Japon, et soigneusement corroboré Robert Malone, inventeur de la technologie ARN11.
Ces dommages causés par les spicules semblent l’explication la plus probante au fait que tant de femmes en âge de procréer n’aient plus leurs règles après vaccination.
Je ne reviendrai pas ici, comme je l’ai déjà fait, sur les trop nombreuses études qui montrent bien hâtivement que le vaccin ne réduit pas la fertilité.
Études souvent faites sur des panels ridiculement petits12, sans compter les articles dans la presse sans mention scientifique13…
Surtout, aucune de ces études ne prend le temps nécessaire, et elles ont toutes pour point commun d’être trop catégoriques sur leur résultat pour être scientifiquement solides.
En fait, elles servent surtout à dédouaner l’industrie vaccinale.
États, CDC, Dr Fauci : cette responsabilité dont personne ne veut !
Donc le vaccin ARN Pfizer consiste à faire reproduire à votre corps la spicule, le « bec du virus », afin que votre système immunitaire le reconnaisse et le détruise avec le virus.
Or si cette spicule peut endommager les ovaires (ou les testicules), ce vaccin est possiblement dangereux pour la fertilité humaine, surtout si on prévoit de vous l’inoculer 10 fois.
Mais le virus dont sont issues les spicules l’est tout autant. Car l’origine de la spicule (ou protéine spike), est vraisemblablement d’origine artificielle.
L’enquête sur le caractère artificiel du virus arrive peu à peu à son terme14, avec la mise en cause du Dr. Anthony Fauci, inamovible directeur de la santé publique aux États-Unis.
Celui-ci aurait directement financé les recherches qui ont donné naissance à la spicule et au virus de la pandémie.
D’après le sénateur Rand Paul, le Dr. Fauci serait donc directement responsable de la pandémie et de ses conséquences. Et on se demande même, aux États-Unis, si la fuite du virus n’était pas délibérée…
En tout cas, depuis 3 mois, le Dr. Fauci est en demeure de répondre à des questions dont les réponses pourraient le faire comparaître devant un tribunal international, et il refuse de s’y soumettre15.
Mais il y a une certitude : les pouvoirs publics sont plus acharnés à écouler leurs vaccins que soucieux du cycle des femmes, et ceci doit vous interroger plutôt deux fois qu’une.
Surtout avec un rapport préliminaire de Pfizer aussi peu rassurant.
La démographie, hantise des puissants ?
La civilisation humaine connaît aujourd’hui un problème de ressources.
C’est aussi vrai pour les récoltes – qui ne sortent de terre qu’avec de l’azote, du phosphore et du potassium – que pour les carburants fossiles.
Ce n’est pas qu’une question de mode de vie, c’est aussi une question de nombre. Il y a, soyons-en sûrs, un « choc démographique » à l’œuvre.
Mais sans surprise, ce sont toujours les puissants qui s’octroient le droit de déterminer qui doit vivre et qui doit mourir, et même qui doit naître.
Il va sans dire que les politiques « eugénistes », c’est-à-dire de stérilisation sélective, ont été nombreuses au cours de l’histoire.
Il y en a eu dans presque tous les pays germaniques (Autriche, Allemagne, Suisse et Scandinavie) et anglo-saxons (Royaume-Uni, Canada, Etats-Unis, Australie) ainsi qu’au Pérou, en Inde et en Chine16.
Sous le régime nazi, cette doctrine avait même son journal, le « Nouveau Peuple », qui militait ouvertement pour l’élimination des handicapés17.
Aujourd’hui, certains médecins osent carrément avancer que la sélection des naissances est indispensable si l’on veut faire concurrence aux enfants asiatiques, bientôt « améliorés » par des puces dans le cerveau18…
Et il y a une autre forme d’eugénisme qui a le vent en poupe en ce moment.
Ainsi, au Colorado, une loi votée en avril permet aux femmes d’avorter à n’importe quel moment de leur grossesse19.
Derrière l’idée de faire de cet Etat un sanctuaire de l’avortement, les détracteurs y voient le retour de la vieille politique malthusienne, qui consiste à réduire les naissances dans les classes les plus pauvres20.
Car c’est statistiquement prouvé, notamment par l’administration française21 : l’avortement reste plus fréquent chez les femmes les moins aisées.
Elles sont moins bien informées sur la contraception, ou elles ne peuvent se permettre financièrement une autre forme que la pilule, tombée en désaffection22.
Toutefois, la décision du Colorado, dans les termes du droit français, où le délai d’IVG est pourtant passé de 12 à 14 semaines23, consiste à remettre en question la formation d’un être à part entière dès la gestation.
Force est donc de constater qu’il y a rupture du consensus sur la question du commencement de la vie.
Il semble que ce soit cette tendance qui ait conduit l’administration fédérale américaine à ne plus légaliser unilatéralement l’avortement, mais à laisser aux Etats la liberté de décider de cette question24.
Or, dans cet Occident qui s’écharpe, je doute que les futures mères puissent se fier aux politiques publiques. Il est désormais impossible d’affirmer qu’elles veulent tout à fait leur bien.
Dr. Thierry Schmitz
Source : drschmitz.lettre-medecin-sante.com
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