Vous êtes ici: Accueil › Actualités › RAPPORT D’ÉTUDE sur les attentats de Carcassonne et Trèbes de mars 2018

RAPPORT D’ÉTUDE sur les attentats de Carcassonne et Trèbes de mars 2018

Vue(s) : 1 708

L’un de nos fidèles lecteurs et ami m’adresse un excellent document, très complet, de sa composition, sur les attentats de Carcassonne et de Trèbes en mars 2018.

Ce rapport d’étude des faits, de 49 pages au format .pdf, nous apporte un éclairage nouveau et des plus complet sur le déroulé des évènements ayant amené au drame que nous connaissons et à la mort du Lieutenant Colonel Beltrame aujourd’hui héros de la Gendarmerie Nationale.

Je vous invite à lire à la page 49 la DÉDICACE dédiée au colonel Beltrame et à écouter la magnifique chanson « La muerte no es el final », la mort n’est pas la fin. Chanson que nous plaçons ici en début de publication pour des raisons techniques.

Rapport-sur-attentats Télécharger

12 Réponse(s) à "RAPPORT D’ÉTUDE sur les attentats de Carcassonne et Trèbes de mars 2018"

Patrick Charpentier dit :

25 décembre 2023 à 13 h 02 min

Le procès des attentats de Carcassonne et Trèbes doit se tenir du 22 janvier 2024 au 23 février 2024 devant la cour spéciale de Paris. À la différence des procès des attentats de Charlie Hebdo et du 13 novembre 2015 ou de celui de Nice, il n’y aura pas de retransmission ni de web radio.

https://www.ladepeche.fr/2023/12/10/comment-va-se-passer-le-proces-des-attentats-de-carcassonne-et-trebes-11632753.php

Répondre
GEB.. dit :

17 février 2023 à 14 h 09 min

Une vraie enquête sur des sources ouvertes et accessibles réalisé a un vrai professionnel.

Et si on convient du contexte exceptionnel du moment de « faux » attentats sous fausse bannière réalisés « pour de vrai » à l’insu de leur plein gré par des participants manipulés , TOUS les éléments nécessaires sont dans le texte.

Mais pour mon compte TOUS les gendarmes sont de vrais professionnels et surtout dans les sections d’élite spécialisées.

Et il n’y a jamais de place à l’improvisation sauf quand on tente à la volée de rattraper une connerie involontaire ou provoquée.

Et l’attitude de Beltrame shuntant ses camarades en action en risquant non seulement sa vie, et celle de ces derniers sans compter sa carrière et sa peau, est celle de quelqu’un qui veut arriver à tout prix avant les autres pour « effacer » quelque chose ou rattraper une erreur avant qu’elle ne soit « exposée ».

En bref planquer le pot de confiture avant qu’on ne retrouve ses empreintes dessus où plus grave celles d’un commanditaire haut placé ou quelqu’un de la hiérarchie. Ou même de sa famille.

Après tout son père assassiné de manière bien curieuse, (Je dirais « mafieuse » – ça ressemble à un « exemple » de la Camorra), juste avant, était bien quelqu’un « de la Maison », non ?

Militaire retraité?

Quel militaire d’active aurait fourni du 7,65, ancien calibre d’ordonnance de la Gendarmerie, alors que le calibre facilement accessible en arme de poing militaire depuis au moins 60 ans en France est du 9mm Parabellum ou du 38 Rim pour le Revolver Manurhin ?

Je pourrais même émettre l’idée que le flingue du terroriste était un automatique MAB en 7,65 court, chargeur 10 coups, resiglé pour la Police et la Gendarmerie en « Modèle règlementaire 1952 ».

J’imagine que la balistique a dû plus parler aux enquêteurs… que les enquêteurs à la population sur le sujet ??

Tout ça après les affaires Merah, le Bataclan et la Promenade des Anglais ainsi que leurs incohérences flagrantes, à un moment où le Pouvoir avait besoin de fausses bannières choquant les populations, ne peut que porter des doutes sur le fond même de l’Opération.

Les trois seuls vraiment à plaindre dans ce coup ce sont les deux membres du GIGN blessés en faisant leur devoir et dans le rattrapage d’une opération foireuse et le pauvre mec à la caisse mort sans avoir rien compris…

Tout le reste, les Franc-Maçons pas francs, les avis de Religieux, certes estimables, les « conversions miraculeuse » des uns et des autres protagonistes, la récupération par le Pouvoir et le Vatican, à mon humble avis c’est surtout de l’enrobage opportuniste.

Et merci pour le dossier : Tout l’essentiel y est même si les éléments n’ont pas été mis en concurrence et assemblés comme il se doit jusqu’au bout.

Répondre
1. Patrick Charpentier dit :
  
  17 février 2023 à 15 h 37 min
  
  Merci pour ces précisions importantes. Je voudrais répondre sur votre toute dernière remarque. Je suis conscient de ne pas avoir été au bout, mais c’est parce que je n’ai pas la solution de l’énigme. Proposer des solutions possibles aurait relevé de la spéculation et aurait pu conduire à des accusations de complotisme. J’ai préféré m’en tenir à l’exposé des informations parues, et à leur ordonnancement qui permet de dégager les grands axes de réflexion à approfondir.
  
  Mon espoir est que les rares personnes qui peuvent avoir des informations de première main se manifestent d’une façon ou d’une autre, ou bien même que l’avocat de la famille Beltrame tire argument de ce rapport pour demander des éclaircissements sur les dissimulations du dossier judiciaire, tel qu’il est apparu au travers des divulgations partielles qui en ont été faites dans la presse.
  
  De la part des gendarmes en général j’attendrais une chose, qui serait de s’exprimer plus ouvertement sur la généralité de l’affaire. Si le colonel Beltrame a agi par sensibilité personnelle et a effectivement remis son arme et son chargeur au terroriste, il ne peut pas être considéré comme un exemple ni comme un héros par la Gendarmerie. En privé les critiques envers le colonel Beltrame sont d’ailleurs acerbes.
  
  Si le colonel Beltrame a agi pour un autre motif non divulgué, l’interprétation de son geste comme un sacrifice, et les louanges qui lui sont adressées pour ce motif, sont une insulté faite à sa mémoire. Rien ne peut en effet être pire pour sa mémoire que de les critiques et les mauvais jugements portés sur lui par les seuls dont le jugement lui importait vraiment, je veux dire ses frères d’arme.
  
  Répondre
Canastra dit :

16 février 2023 à 18 h 54 min

Merci beaucoup pour ce rapport très bien documenté, qui pose un certain nombre de questions légitimes auquelles une enquête officielle digne de ce nom aurait évidemment répondu depuis longtemps.

Cette notion de « sacrifice » n’a aucun sens pour un catholique, un catholique ne s’offre certainement pas en « sacrifice », un terme païen s’il en est. Ce terme ne vient d’ailleurs pas dans ce drame de « cactholiques » mais de représentants de la république, celle-ci notoirement maçonnique.
« Sacrifice » cela fait penser irrémédiablement à « holocauste » (l’offrande aux dieux païens sanguinaires)..
Quant à canoniser le gendarme Beltrame, c’est une complète mystification, et c’est même sacrilège d’un point de vue catholique de la tradition (avant 1962).
[Vatican II résulte notoirement de la main-mise des francs-maçons, les rituels ont été réécrits par eux pour en enlever la plus grande partie de leur force spirituelle, et comme l’avait dit le pape Paul VI à l’époque : « les fumées de Satan ont brûlé sur le Vatican »)

De plus, on ne peut être à la fois « franc-maçon » (une secte farouchement anti-chrétienne, comme l’ont affirmé nombre de franc-maçons de la république en France, à commencer par Jaurès) et en même temps « catholique ».

La lecture de ce rapport apporte nombre de précisions, mais par les questions qu’il met en évidence aboutissent à la même impression qui émanait déjà des divers articles de journaux et des incohérences qui s’en dégageaient à l’époque ; l’impression que, quelque part, une sorte de compte à rebours s’est à un moment donné inexorablement déclenché pour aboutir à ce résultat recherché et espéré par des forces indéterminées, non identifiées à ce jour : le sacrifice d’un officier de gendarmerie sur un obscur autel.
Il ne s’est pas sacrifié ; « il a été sacrifié » semble plus proche des faits.
A-t-il obéi à une suggestion, un conseil au téléphone dont il ne serait pas fait mention ?

Ce militaire de l’ombre (un musulman ?) qui fait croire au criminel preneur d’otage que ses « frères » vont arriver pour faire pire, cautionnant son action, l’incitant à la commettre… Cette mystérieuse « Julie » qui vient des années plus tard suggérer que le gendarme est « un saint qui l’a mise sur la bonne voie » (cependant, depuis, elle ne suit toujours pas le parcours spirituel qu’elle dit vouloir emprunter…).

Pour un peu, on penserait à ces feuilletons américains, où un individu reçoit un appel téléphonique, entend un code, et alors se met à agir comme un automate, adoptant des comportements irrationnels qui ne lui ressemblent pas mais qui obéissent à l’ordre subliminal reçu…
En dehors de cela, et pour en rester au « rationnel », comment comprendre qu’un officier entraîné à des procédures spécifiques ait pu partir en roue libre ainsi, « sortir du cadre » ? Juste parce que l’otage était une femme ? Mais à quoi rime ce jeu morbide de « une mort pour éviter une mort », même pas pour un catholique, cela n’a aucun sens, d’autant moins pour un professionnel qui se doit de suivre la procédure ?

La franc-maçonnerie, c’est tout sauf un jeu anodin :
https://profidecatholica.com/2023/02/09/noyau-dur-par-alexandre-lebreton-videos/

Répondre
1. Canastra dit :
  
  16 février 2023 à 19 h 00 min
  
  Lire svp : « même pour un catholique, cela n’a aucun sens »
  
  Et la plaque commémorative posée par Hidalgo à Paris pour le gendarme Beltrame : « victime de son héroïsme » apparait plus comme une gifle que comme un hommage ? Quel message cette serviteuse de la république a -t-elle voulu ainsi communiquer à la population ?
  
  Répondre
2. Patrick Charpentier dit :
  
  17 février 2023 à 16 h 09 min
  
  On peut légitimement penser que l’homme de l’ombre, s’il est le militaire censé fournir des armes à Radouane Lakdim, est un musulman. En 2012 à Toulouse étaient cependant apparus des hommes du renseignement parmi ceux qui avaient semble-t-il obtenu la confiance de Merah. Et on ne sait pas grand chose de l’homme qui a bénéficié d’un non-lieu et qui est décrit ainsi dans les articles relatifs au procès à venir :
  
  « Un quadragénaire, mis en examen depuis 2019, bénéficie en revanche d’un non-lieu. Présenté comme un père de substitution de Radouane Lakdim, il était un informateur des services de renseignements. »
  
  Répondre
  1. Canastra dit :
    
    17 février 2023 à 16 h 16 min
    
    Merci Patrick Charpentier, et, si je puis me permettre, félicitations pour ce rapport très clair et très bien écrit.
    
    Répondre
Pierre K dit :

16 février 2023 à 9 h 40 min

Halte aux attentats et à l islam profond

Répondre
1. Roseau dit :
  
  16 février 2023 à 11 h 44 min
  
  Les 2 sont créés et organisés par les cinglés mondialistes.
  
  Répondre
iufduifd dit :

16 février 2023 à 9 h 04 min

Les mensonges et les cachoteries révélées par cette analyse sur la base de sources ouvertes sont pléthore. L’enquête est donc à reprendre de bout en bout pour comprendre ce qui s’est vraiment tramé autour de ce drame spectaculaire et surexploité. Une question quand même: pourquoi ce silence de la totalité des acteurs qui, par leur comportement, protègent les menteurs?

Répondre
gvvdgvds dit :

16 février 2023 à 8 h 36 min

Excellent travail d’analyse à partir de sources ouvertes qui révèle des mensonges à tous les étages, donc une manipulation à grande échelle. il faudrait reprendre l’enquête à zéro, retrouver les acteurs et les témoins pour reconstituer les faits et comprendre le mobile. Des ancien gendarmes OPJ pourraient faire ça…

Répondre
1. Patrick Charpentier dit :
  
  17 février 2023 à 17 h 34 min
  
  Merci à vous pour ce ou ces commentaires. J’aime bien citer l’article 7 du Code d’honneur du légionnaire :
  
  « Au combat, tu agis sans passion et sans haine, tu respectes les ennemis vaincus, tu n’abandonnes jamais ni tes morts, ni tes blessés, ni tes armes. »
  
  J’espère que le colonel Beltrame ne sera pas abandonné, que la lumière sera faite sur les motivations réelles de son geste, et sur l’accusation portée contre lui d’avoir armé un terroriste et de lui avoir fourni des munitions. Cette accusation est d’une gravité extrême, alors que le procès prévu dans l’année doit juger des soutiens matériels qui paraissent dérisoires en comparaison.
  
  Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse