Pourquoi j’ai changé d’avis sur le MASQUE
Chers amis,
En mars dernier, j’étais convaincu de l’intérêt du masque contre l’épidémie.
Pour une raison simple : à l’époque, les pays où l’on se masque au moindre symptôme étaient très peu touchés : Taïwan, Hong-Kong, Corée, Japon.
Et puis, je croyais que le masque n’avait aucun inconvénient.
Donc, en pleine épidémie, par précaution, il me paraissait logique de le généraliser, au moins dans les transports en commun.
Sauf qu’à l’époque, il n’y avait quasiment pas de masques en France.
Vous vous en souvenez : même les infirmières et les médecins de terrain n’avaient pas forcément de masque, alors qu’ils voyaient des dizaines de malades tous les jours !
Aujourd’hui, on a tous les stocks de masque qu’il faut.
Mais aujourd’hui, on en sait beaucoup plus sur son efficacité réelle !
En fait, absolument rien ne prouve que le port du masque généralisé sert à quelque chose.
Et contrairement à ce que je croyais, le port du masque généralisé peut avoir de lourds inconvénients !
Attention : il est clair que le masque reste absolument indispensable pour les personnels soignants.
Car ils s’approchent de très près de nombreux patients contagieux, tous les jours.
Et car ils savent utiliser le masque : ils en changent tous les 2 à 4 heures, savent éviter de les toucher et les jettent après usage, plutôt que de les mettre dans leur poche ou leur sac.
Là-dessus, tout le monde est d’accord.
Mais tous les scientifiques sérieux sont d’accord, aussi, pour dire que le masque ne sert à rien à l’extérieur.
Car les contaminations à l’air libre sont rarissimes.
Le seul risque en extérieur, c’est que des dizaines de personnes s’agglutinent, s’embrassent ou se crient dessus, ce qui n’est vraiment pas fréquent.
Et ce n’est pas tout.
Il faut savoir que les autorités de santé du monde entier s’accordent pour dire qu’on n’est pas contagieux si on n’a pas de symptômes !
Donc si vous n’avez pas de toux ou d’autres symptômes de la Covid, vous ne risquez pas de contaminer les autres !
Cela veut dire que le masque ne se justifierait vraiment que pour ceux qui ressentent des symptômes (et les soignants)… mais pas pour tout le monde !
Mais, vous me direz, pourquoi ne pas appliquer le principe de précaution ?
Puisque les masques ne coûtent quasiment rien, et qu’il n’est pas risqué de les porter (c’est juste un peu inconfortable), pourquoi ne pas en mettre le plus souvent possible, « au cas où » ?
Eh bien pour une raison simple : c’est que le masque n’est pas inoffensif, loin de là.
D’abord, il faut savoir que le masque pourrait être dangereux pour ceux qui ont la Covid !
C’est un ami médecin me l’a fait réaliser : quand on est malade, on excrète du virus par le nez et la bouche… mais avez un masque, on risque de les respirer à nouveau, ce qui pourrait aggraver la charge virale et la maladie !
Pour ceux qui n’ont pas le Covid, le masque n’est pas non plus inoffensif.
Voici la liste des effets négatifs, listés par l’Organisation Mondiale de la Santé dans une circulaire du mois de juin[1] :
- risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ;
- auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de micro-organismes ;
- mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ;
- lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ;
- port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant;
- difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ;
- désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, etc..
Et il ne faut pas oublier l’impact psychologique chez les plus jeunes, difficile à mesurer mais assez inquiétant !
Pire, mal utilisé, le masque généralisé pourrait même accélérer l’épidémie !
Comme le résume bien le Dr Pascal Sacré, le masque peut causer des contaminations[2] :
- En augmentant la tendance à toucher son visage, sa bouche, son nez, ses yeux.
- En favorisant la concentration des virus sur la couche extérieure du masque.
- En donnant un faux sentiment de sécurité (qui conduit à moins se laver les mains).
- En générant des facteurs qui vont neutraliser l’effet protecteur du masque comme de parler plus fort ou de se rapprocher en deçà de 2 mètres pour se comprendre.
- En surpassant les capacités de défense immunitaires innées en raison d’une charge virale plus importante et concentrée par le masque devant les voies respiratoires.
Pensez-y : combien de fois touchez-vous votre masque pour le réajuster ??
S’il est plein de virus, ces virus vont directement sur vos mains… puis un peu partout !
Bref, rien ne dit que les masques généralisés ne font pas plus de mal que de bien !
Regardez ce qui s’est passé en Espagne : malgré l’obligation du port du masque, les contaminations n’ont pas cessé d’augmenter !
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Ce n’est pas une preuve définitive, mais c’est tout de même le signe que les masques généralisés ne sont pas une parade décisive !
À l’inverse, en Suède, il n’y a quasiment plus aucun cas positif, alors que le masque n’est obligatoire nulle part, même pas dans le métro !
Voilà pourquoi j’ai lancé une pétition contre le port généralisé obligatoire du masque.
Au moment où je vous écris, nous approchons des 100 000 signataires, mais il faut continuer !
Transmettez ces informations autour de vous, brisons le mur du silence des médias !
Je compte sur vous,
Guillaume Chopin
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