Pour le Gardasil le gouvernement réitère les mensonges de la propagande covid.
Par le Docteur Gérard Delépine
Durant la crise covid le gouvernement et les médias ont systématiquement trompé la population en surestimant le danger, en prétendant que les vaccins étaient efficaces, qu’ils pourraient éradiquer la maladie, qu’ils étaient sans danger et qu’en se vaccinant on se protégerait et on protégerait les autres. Depuis l’évolution de l’épidémie a permis à chacun de mesurer l’énormité de ces mensonges.
Depuis que le président a annoncé une grande campagne de vaccination scolaire au Gardasil les ministres, les médias et les agences sanitaires développent une propagande en utilisant les mêmes désinformations pour faire vendre le Gardasil. Les faits avérés suivants démentent leur argumentation marchande.
Non la contamination par les HPV ne constitue pas une maladie.
Il existe près de deux cents souches de HPV et, au cours de sa vie, près de 90% de la population est ou sera contaminée. Mais cette contamination ne constitue pas une maladie car elle ne donne presque jamais de troubles (parfois quelques verrues indolores) et disparait sans traitement en assurant une immunité solide contre la souche concernée. De nouvelles infections avec une souche différente sont possible et favorisée par l’activité sexuelle mais toujours sans signes cliniques. Il s’agit typiquement d’une infection saprophyte (= qui ne rend pas malade et protège contre des germes plus agressifs) comme le staphylocoque blanc sur la peau, les entérocoques dans les intestins et de bacile de Döderlein dans le vagin.
Comme les vaccins covid, le Gardasil, ne peut pas éradiquer les virus HPV
Pour le covid les autorités et les médias avaient prétendu que l’efficacité des vaccins permettraient d’éradiquer le virus ; chacun a pu constater la futilité de cette promesse et les autorités sanitaires ont, depuis, toutes reconnu qu’il fallait « vivre avec le virus ».
Pour convaincre la population de se faire injecter le Gardasil le gouvernement, les médias et même l’INCA 1 proclament à nouveau, contre toute vraisemblance, que l’éradication des HPV serait possible grâce aux vaccins. Mais, comme Il existe près de 200 souches de HPV, que les vaccins ne protègent de l’infection au mieux que 9 d’entre elles, qu’il existe des réservoirs animaliers du virus (entre autres les lapins, les dauphins, les chevaux ou les vaches) et que les virus peuvent muter (comme nous le rappellent constamment la grippe et le covid), la promesse d’éradication des HPV est totalement fallacieuse.
Cette promesse hyper optimiste d’éradication du virus constitue une publicité mensongère pour le vaccin.
Comme jadis le vaccin anti hépatite B, le Gardasil, ne peut pas éradiquer les « cancers avec HPV ».
L’exemple des vaccins anti-hépatite B doit être rappelé. Lorsqu’il était présenté comme prévention de l’hépatite B (qui ne s’attrape que par le sang ou lors de rapports sexuels) il ne faisait pas recette. Les fabricants l’ont alors proposé comme en « prévention des cancers du foie » et ont ainsi réussi à le généraliser avant même son obligation aux jeunes enfants. Mais depuis cette vaccination l’incidence des cancers du foie a été multiplié par 2 à 4 dans les pays occidentaux et a triplé en France. L’exemple du premier vaccin anticancer utilisé en France montre que les beaux espoirs peuvent parfois se transformer en cauchemars.
Les prédictions des défenseurs du vaccin n’ont absolument pas tenu compte de l’évolution des taux de cancer mais seulement de ceux des infections aux HPV des vaccins et des anomalies cytologiques bénignes. Mais infection et anomalies cytologiques bénignes ne sont pas des cancers et n’en constituent pas des témoins fiables de leur probabilité de survenue dans les années à venir (les anomalies de bas degré dites CN1 ne précèdent un cancer que dans 1% des cas, les CN2 que dans 5 % des cas et les CN3 dans 12 % des cas et ce au terme d’une évolution de plusieurs dizaines d’années durant lesquels le passage au cancer invasif peut être prévenu par le dépistage par frottis classique). La disparition spontanée de ces anomalies bénignes constitue la règle générale.
Toutes les « études » prédisant la disparition du cancer du col reposent uniquement sur l’évolution des infections à HPV, et s’appuient la croyance que l’immunité vaccinale durera toute la vie et l’hypothèse que le cancer ne peut pas apparaître sans les virus HPV visés par les vaccins. D’après les courbes de diminution observée des souches HPV qu’ils surveillent (seulement celles des vaccins), ils prétendent prédire la date d’éradication (impossible) du virus et, en ajoutant 10 à 20 ans, celle de la disparition espérée du cancer. A l’incertitude d’une prédiction sur la disparition du virus (qui peut muter ou se faire remplacer par l’une des 190 autres souches de HPV) ils ajoutent celle d’un lien de causalité exclusif non démontré entre HPV des vaccins et cancer. Mais l’évolution observée après vaccination dément jusqu’ici totalement leurs rêves comme nous le verrons plus loin.
Les cancers prétendument du HPV n’en sont pas mais seulement des cancers avec HPV.
La contamination HPV n’effraie, à juste titre, personne. Pour vendre le Gardasil les fabricants du Gardasil et leurs complices brandissent le spectre du cancer et prétendent que certains d’entre eux en seraient la conséquence directe utilisant même le terme de « cancers du HPV ». Or La très grande majorité des cancers ne sont pas dus à une cause unique mais sont multifactoriels. Les cancers prétendument « du HPV » n’échappent pas à cette règle.
Cancer du col de l’utérus.
Avant la mise sur le marché du Gardasil tous les articles recherchant les origines du cancer du col de l’utérus mettaient en évidence de très nombreux facteurs statistiquement liés à sa survenue dont : la précocité des rapports sexuels, leur grande fréquence, le nombre élevé de partenaires, les infections vaginales à bactéries, chlamydias et virus dont l’herpès et les HPV, le tabagisme, le Sida, la prise de traitements immuno- suppresseurs chez les porteurs de greffe, la prise prolongée de contraceptifs, le nombre d’enfants supérieur à 4…Depuis la mise sur le marché du Gardasil les articles sur le sujet parlent plus de ces facteurs étiologiques et ne font que répéter le crédo de big pharma « les HPV sont les seuls responsables » sans en apporter de preuve scientifique réelle.
Cancer de l’anus.
Le comportement sexuel et l’immunosuppression sont les principaux facteurs de risque de cancer anal. Chez les hommes le cancer de l’anus s’observe dans plus de 90% des cas chez les homosexuels adeptes de la sodomie passive2 et particulièrement s’ils souffrent du Sida3 et multiplient les partenaires. Ainsi en 2005-20084, l’infection par le VIH augmentait, par rapport à la population générale, le risque de cancer anal par 109 chez les homosexuels, 49,2 pour les hétérosexuels et 13,1 pour les femmes. Chez un homme hétérosexuel indemne du Sida, le risque de cancer anal est infime, même s’il est fortement porteur de HPV. Cette simple constatation montre que le cancer de l’anus n’est pas principalement un « cancer du HPV » mais davantage un « cancer du sida et de la sodomie passive » et que même s’il était efficace contre le cancer le Gardasil n’aurait aucun intérêt pour les hommes hétérosexuels.
Cancers ORL.
Là encore aucune preuve de la responsabilité directe des HPV n’existe. La spectaculaire déclaration de Michael Douglas accusant « le HPV acquis lors de cunnilingus d’être responsables de son cancer ORL » a été démentie ultérieurement par l’intéressé qui a reconnu qu’il s’agissait en réalité d’un cancer de la langue secondaire à son alcoolisme et son tabagisme ancien.
Mais le gouvernement, les agences et le médias voudraient nous faire croire que les HPV sont les seuls responsables de ces cancers chez les hommes pour justifier la vaccination de tous les garçons et doubler ainsi le marché du Gardasil jusqu’ici limité aux filles.
Ces cancers rares et peu mortels, ne constituent pas un problème sanitaire majeur.
Ces cancers qu’on prétend prévenir par Gardasil sont rares (6/100000 pour le col de l’utérus et moins de 1/100000 pour le cancer anal) et leurs traitements efficaces en obtiennent la guérison dans près de 70 % des cas.
En France moins de 1000 femmes meurent chaque année de cancer du col de l’utérus dont près de 800 n’ont pas fait de dépistage cytologique tous les 3 ans qui leur aurait évité un cancer invasif.
Les cancers de l’anus peuvent être prévenues par le traitement des condylomes évolutifs5 et leur diagnostic précoce permet une guérison dans plus de 95% des cas notamment grâce à leur forte sensibilité à la radiothérapie.
A eux trois les cancers avec HPV sont responsables chaque année d’environ 1500 morts soit 1 % de la mortalité due aux cancers, vingt fois moins que le poumon (31 100 morts), 12 fois moins que le côlon-rectum (17 000), le pancréas (11 400), le sein (12 100) ou la prostate (8100)… Ils ne constituent donc pas un sujet prioritaire de santé publique justifiant les dépenses considérables que constituerait la généralisation du Gardasil.
Le Gardasil est le vaccin le plus cher jamais vendu et le plus rentable pour les fabricants.
Chaque dose qui coute moins d’un euro à fabriquer est vendue plus de 120 euros en France. Les 300 millions de doses vendues dans le monde ont déjà rapporté plus de 40 milliards aux fabricants. Cette rentabilité exceptionnelle leur assure une puissance financière considérable qui leur permet beaucoup d’incitations financières, de partenariats, de sponsorings, voire de corruption d’élus, de sociétés savantes ou d’agences sanitaires qui expliquent les campagnes de propagande actuelles. Depuis de nombreuses années l’industrie investit beaucoup plus dans la promotion de ses produits mis sur le marché que dans la recherche de nouveaux médicaments.
En France les 200 millions d’euros annuels nécessaires pour vacciner une classe d’âge, dans l’espoir d’obtenir une improbable diminution de mortalité dans 20 ou 30 ans (après 4 ou 6 milliards de dépense !) seraient beaucoup plus utiles pour améliorer immédiatement notre système de santé à l’agonie.
Mais pour les actionnaires de Merckx et leurs affidés la vaccination est tellement plus rentable …
Le Gardasil ne protège pas les populations des cancers avec HPV
L’exemple de l‘Australie est démonstratif.
Ce pays a organisé la vaccination anti HPV systématique pour des filles de 12 -13 ans dès 2007, avec vaccinations de rattrapage pour les 14-26 ans dès 2009. Depuis le nombre annuel de cancers invasifs est passé de 758 en 2007 à 945 en 2019 et l’incidence (nombre de nouveaux cas pour 100000 femmes) des cancers invasifs du col a augmenté de 3% (de 7/100000 à 7,2/100000).
Lors du journal télévisé A2 du 19/9 le journaliste s’efforçait de décrédibiliser notre livre a confirmé la réalité de cette augmentation du nombre de cancers depuis la vaccination mais prétendu qu’elle ne s’observait que chez les femmes âgées non vaccinées ; mensonge délibéré ou ignorance ? Sil avait lu notre livre, ou consulté le site officiel de l’agence sanitaire australienne il aurait appris que le plus inquiétant de cette augmentation est qu’elle affecte particulièrement des femmes vaccinées lorsqu’elles avaient entre 15 et 24 ans (Elles ont maintenant entre 30 et 39 ans).
Dans le groupe des 30-34 ans le nombre annuel de nouveaux cancers est passé de 71 en 2007 à 133 en 2019 tandis que l’incidence a augmenté de 44% (de 9,7 en 2007 à 14 en 2019). Cette aggravation du risque de cancer invasif est illustrée par la courbe suivante que chacun peut obtenir sur internet auprès de l’agence sanitaire australienne à l’adresse https://www.aihw.gov.au/reports/cancer/cancer-data-in-australia/contents/cancer-incidence-by-age-visualisation .
Dans le groupe d’âge des 35-39 ans le nombre annuel de nouveaux cancers a augmenté de 40% (de 101 en 2007 à 142 en 2019) tandis que l’incidence a augmenté de 20% (de 12,9 en 2007 à 15,8 en 2019)
Globalement l’effet observé sur l’incidence du cancer du col est paradoxal et très angoissant comme l’a dramatiquement illustré la triste histoire de Sarah Tait, championne olympique d’aviron lors des JO de Londres en 2012 qui est morte en 2016, à 33 ans, d’un cancer du col plusieurs années après avoir été vaccinée par Gardasil6.
En Australie la vaccination Gardasil n‘a pas non plus protégé les filles d’une forte augmentation des cancers du canal anal
En Grande-Bretagne aussi l’échec actuel de prévention des cancers est patent.
L’OMS et les médias prétendent que « le Gardasil va bientôt éradiquer le cancer du col en Grande-Bretagne » en se basant sur de simples simulations aux hypothèses grossièrement fausses. Mais le réel s’exprime dans les registres du cancer et dément cruellement leurs promesses. Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK : « au cours de la dernière décennie, au Royaume Uni entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »
De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13 /100 000 à 9 /100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9 /100 000 en 2006 – 2008 à 10 /100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée au 22/9/23.
Cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupe d’âges objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées et une augmentation nette d’incidence chez les femmes plus jeunes qui ont été vaccinées pour plus de 80% d’entre elles.
À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19% des cancers invasifs passée de 16 /100 000 en 2007 à 19 /100 000 en 2016 – 2018, (dernière période publiée en septembre 2023).
En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer du col que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné et un taux d’incidence européens standardisée 2022 dans la population globale de 10/100000 (67% plus élevée qu’en France).
En Suède, l’incidence des cancers invasifs du col a augmenté depuis la vaccination
En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66% de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24 /100 000 à 8 /100 000). La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs de 7 /100 000 en 2006 – 2009 à 11.5 /100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et pour se stabiliser ensuite à 10 /100 000 en 2020 (22% au-dessus du taux d’avant la vaccination)
Cette augmentation d’incidence est reconnue les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.
Ces constatations et l’incidence des cancers invasifs estimée par l’OMS à 13/100000 en 2022 sont difficilement compatibles avec les résultats d’un article de 2020 prétendant que la vaccination avant 17 ans diminuerait « le risque de cancer invasif de plus de 85%. »
En Norvège, l’incidence des cancers invasifs du col a augmenté depuis la vaccination
La vaccination HPV a débuté en automne 2009 pour les Norvégiennes. La consultation du registre norvégien du cancer montre que l’incidence de ce cancer a augmenté dans la population générale depuis la vaccination passant de 12,1 /100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 (2 fois plus élevée qu’en France !).
Et, comme en Australie, Grande -Bretagne et Suède l’augmentation d’incidence a été particulièrement forte dans le groupe d’âge les plus vacciné celui des 24-29 ans (de 12 en 2010 à 21,7 en 2020)
Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur l’infection par les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies bénignes mais s’est jusqu’ici révélée inefficace contre la survenue des cancers invasifs du col de l’utérus
Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles7 : « Le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou.
Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »
Pourquoi, le Président, fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ?
Dès les premières années de la vaccination scolaire l’incidence des cancers du col a augmenté dans les pays qui l’ont instauré tandis qu’elle baissait en France :
En France, en 2018, l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS).
Dans les pays apôtres de la vaccination scolaire le risque de cancer invasif du col de l’utérus est plus élevé qu’en France : +18% en Australie (7,1/100000), +67% en Grande-Bretagne (10/100000), +117% en Suède (13/100000), +125% en Norvège (13,5/100000).
Pourquoi, le Président, fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les mauvais résultats cancérologiques de ses modèles ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?
Le Gardasil expose à de nombreuses complications parfois graves.
Le Gardasil n’est pas seulement inefficace contre le cancer il est parfois suivi de complications graves, niées en France, mais constatées dans de nombreux pays.
En France, le calvaire de Marie-Océane 8 9 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges en première instance.
L’ANSM a précisé dans son rapport de 2015 sur la toxicité du Gardasil10 « En France, après consultation du centre régional de pharmacovigilance en charge du suivi national de la vaccination HPV, 14 cas ont été notifiés parmi lesquels 5 cas semblent imputables à la vaccination » et conclue « La présente étude est la première étude pharmaco épidémiologique à suggérer une augmentation du risque de syndrome de Guillain-Barré associé à la vaccination anti-HPV »
La notice de l’Agence Européenne du médicament11 mentionne comme complications neurologiques possibles du Gardasil : Encéphalomyélite aiguë disséminée*, Sensation de vertige*, syndrome de Guillain-Barré*, syncope parfois accompagnée de mouvements tonico-cloniques*sans donner d’évaluation chiffrée des risques.
Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant traiter d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue de complications.
De nombreux procès sont en cours aux USA 12 13 14. Comme la loi exonère les fabricants de leur responsabilité dans la survenue des complications les avocats des plaignants focalisent souvent leurs plaintes sur le défaut d’informations ou sur leur caractère mensonger. Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.
Plus d’une centaine de plaintes différents sont en cours dans différents états. En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance regroupant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil 15 16 en action collective fédérale et les premières audiences devraient se tenir bientôt.
L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu les experts de la commission. « La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux Etats-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».
La vérité va-t-elle bientôt être reconnue en justice aux USA et les indemnisations méritées accordées aux victimes ?
Dans l’immédiat ne cédez pas aux propagandes mensongères qui fleurissent partout n’acceptez pas que ce vaccin inefficace contre le cancer et dangereux soit injecté à nos enfants pour le seul profit des actionnaires de Merk et de leurs nombreux complices.
1 POUR ÉRADIQUER LES CANCERS HPV-INDUITS, IL Y A UNE SOLUTION : LA VACCINATION « Dans ce pays, le succès de la campagne de vaccination, associé au dépistage, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années »
2 Daling JR, Weiss NS, Hislop TG, Maden C, Coates RJ, Sherman KJ, Ashley RL, Beagrie M, Ryan JA, Corey L. Sexual practices, sexually transmitted diseases, and the incidence of anal cancer. N Engl J Med. 1987 Oct 15;317(16):973-7. doi: 10.1056/NEJM198710153171601. PMID: 2821396.
3 Melbye M, Cote TR, Kessler L, Gail M et Biggar RJ. Incidence élevée du cancer anal chez les patients atteints du SIDA. Le Groupe de travail Sida/Cancer . Lancet 1994 ; 343 : 636-639.
4 Piketty C, Selinger-Leneman H, Bouvier AM, Belot A, Mary-Krause M, Duvivier C, Bonmarchand M, Abramowitz L, Costagliola D, Grabar S. Incidence of HIV-related anal cancer remains increased despite long-term combined antiretroviral treatment: results from the french hospital database on HIV. J Clin Oncol. 2012 Dec 10;30(35):4360-6. doi: 10.1200/JCO.2012.44.5486. Epub 2012 Oct 22. PMID: 23091098.
5 Palefsky JM, and ANCHOR Investigators Group. Treatment of Anal High-Grade Squamous Intraepithelial Lesions to Prevent Anal Cancer. N Engl J Med. 2022 Jun 16;386(24):2273-2282. doi: 10.1056/NEJMoa2201048. PMID: 35704479; PMCID: PMC9717677.
6 https://reseauinternational.net/une-championne-olympique-meurt-du-cancer-du-col-de-luterus-apres-avoir-ete-vaccinee-avec-le-vaccin-contre-le-cancer-du-col-de-luterus/
7 https://finance.yahoo.com/news/parents-arms-over-california-assembly-164300338.html?fr=sycsrp_catchall
8 Bourguignon https://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/11/25/21551-gardasil-calvaire-doceane
9 https://www.maxisciences.com/vaccin/cancer-de-l-uterus-les-effets-secondaires-du-vaccin-gardasil-de-nouveau-mis-en-cause_art31425.html
10 https://ansm.sante.fr/uploads/2021/01/18/ansm-gardasil-hpv-rapport-septembre-2015-version-2-3.pdf
11 https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/gardasil-epar-product-information_fr.pdf
12 The HPV Vaccine On Trial: Seeking Justice For A Generation Betrayed Paperback – September 25, 2018
by Mary Holland
13 March 1, 2023: In addition to the Gardasil cases pending in the MDL in federal courts, there are a large number of Gardasil vaccine lawsuits pending in California state courts. Many of the state court Gardasil cases were filed first and a group of them were scheduled to go to trial beginning in September of this year. https://www.millerandzois.com/products-liability/gardasil/
14 https://www.baumhedlundlaw.com/blog/2022/august/judicial-panel-consolidates-gardasil-lawsuits-in/
15 https://childrenshealthdefense.org/defender/les-plaignants-attendent-leur-jour-au-tribunal-alors-que-le-comite-judiciaire-consolide-des-dizaines-de-proces-contre-le-vaccin-vph-gardasil-de-merck/?lang=fr
16 https://www.mondialisation.ca//les-proces-americains-contre-le-gardasil-rappellent-les-dangers-du-vaccin-contre-le-papillomavirus-de-plus-en-plus-impose-en-france/5672066
Source : Gérard Delépine
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