Port du masque à l’école : des solutions pour protéger nos enfants

b9723324330z.1_20200427205356_000gdffuepr9.1-0-300x168Hier, sur les réseaux sociaux, une maman m’a interpellé pour me demander d’écrire ou de faire une vidéo pour aider les parents et les enfants, par des outils pratiques, à traverser la folle injonction du port du masque toute la journée à l’école, avec le moins de dégâts possible. Ce présent article, qui s’adresse aux parents et aux professeurs et chefs d’établissements, peut également être aidant pour les salariés et patrons obligés de porter le masque ou de faire respecter son port dans leur structure.

L’idée de cette maman en quête de solution m’a parue intéressante et j’ai commencé à faire le point sur les outils qui pouvaient permettre à tout un chacun de s’apaiser, de se sentir mieux, de sortir de la peur et du stress et de supporter au mieux les contraintes actuelles.

Il est évident que la mesure actuelle du port du masque obligatoire en continue, sous peine de sanction plus ou moins lourdes suivant le bon vouloir des chefs d’établissements (car au bout du compte ce sont bien eux qui décident de l’application plus ou moins zélée des consignes de l’état), nous place, nous personnes conscientes des effets dangereux du port prolongé du masque, dans une posture de colère, de peur, de tristesse, d’impuissance et de stress face à la souffrance de nos enfants, des élèves, des employés et face à cette hystérie de nos états et de ceux qui les suivent.

Cette souffrance viscérale qu’engendre la souffrance de nos enfants lorsque nous ne trouvons pas de solution utile et cette impuissance à pouvoir les soulager, est pour certains parents (dont je fais partie) insupportable. Ce vécu provoque des inconforts émotionnels, physiques et psychologiques délétères qui peuvent mener à des actes inadaptés, désespérés et à la maladie.

Je parle ici de la conséquence sur les parents… Pour ce qui est des effets de cette folie sur les enfants, les parents conscients ont des raisons de s’inquiéter :

Sur le plan physiologique, mettre un obstacle plus de 8h par jour (1/3 d’une journée de 24h) devant les orifices qui nous servent à respirer, parler, manger, boire, chanter, sentir, rendre visible une expression émotionnelle… Empêcher le libre échange vital des éléments gazeux qui viennent nourrir notre vie et qui permet d’extraire les toxines accumulées dans notre corps (70% des déchets du corps sont extraits via l’émonctoire des poumons)… Nier, par la menace et les sanctions, les inconforts, les pathologies et la souffrance que peut induire le port prolongé du masque… Autant de moyens qui mèneront à une situation sanitaire bien plus grave que ce virus, qu’on essaye par tous les moyens de maintenir artificiellement à coup d’information catastrophistes qui ne s’appuient que sur des mensonges, des non dits et des manipulations. Autant de moyens qui nuisent à la santé physique, émotionnelle et psychologique de nos enfants et des adultes de plus en plus contraints partout au même dispositif.

Lorsqu’on est un soignant intelligent, et lorsqu’on prescrit un remède, on veille à ce que le moyen de soulager la souffrance, que ce soit un médicament, une chirurgie, une manière de s’alimenter, une méthode, une intervention manuelle, énergétique ou un outils pratique, apporte un soulagement plus grand que les éventuels effets indésirables ou secondaires qu’il peut provoquer… C’est le rapport bénéfices/inconvénients. Lorsque les effets secondaires sont plus désagréables ou dangereux que les effets de la pathologie originelle, on arrête le traitement et on cherche une solution plus adaptée… Simple question de logique et de bon sens.

Et aujourd’hui le port du masque tel qu’il est imposé n’est pas adapté, dans les conditions sanitaires actuelles qui montrent que la dangerosité du virus n’est plus d’actualité, au besoin de santé, et il va à l’encontre de la règle élémentaire bénéfices/inconvénients. Depuis la rentrée, de plus en plus de témoignages de parents et de professionnels de santé indiquent que les médecins qui dénoncent la dangerosité du port du masque pour la santé ont raison. Pour l’instant on parle de maux de tête, d’infections des yeux, du pourtour de la bouche, de difficultés respiratoires, de crise d’asthme, de recrudescence d’acné, de crise d’angoisse, de sentiment de culpabilité, d’impuissance… Ca ce sont les retours au bout de 3 jours de port du masque… Imaginez les conséquences à moyen et à long terme…

Pour ce qui concerne l’apprentissage à proprement parler dans ces conditions, une mauvaise oxygénation du cerveau induit des problèmes attentionnels, de concentration, de mémorisation… Je ne parle pas ici de l’aspect psychologique qu’induit la peur de la sanction au cas ou le masque serait mal ou pas porté. Je ne parle pas non plus de la peur de contaminer ses êtres chers et les autres dont nous rabattent les oreilles les médias pour nous culpabiliser et nous faire accepter l’inacceptable. Je parle encore moins des incohérences des règles imposées qui nous font croire que le virus ne circule plus lorsqu’on est assis, que le virus ne passe pas par les cotés du masque, que le virus disparaît dès qu’on passe le portail de l’école… Autant de mensonges tellement énormes qu’ils mènent à la confusion mentale, à la perte de repère et au final à l’acceptation de fonctionnements qui mettent en danger notre vie même… Ayant beaucoup accompagné de victimes de pervers narcissiques et ayant étudié le sujet de prêt, je constate aujourd’hui les mêmes stratégie perverses de la part de nos dirigeants et de ceux qui les suivent et je constate les mêmes symptômes sur leurs victimes (la majorité du peuple) sur le plan collectif… un abandon de son pouvoir, de son intelligence, de sa vitalité aux mains de son bourreau. Sachez que de telles attitudes perverses peuvent mener à la mort… Par suicide, par maladie, par épuisement mental et physique lié au stress chronique.

Pour en revenir aux conditions d’apprentissage de nos enfants, je tiens ici à préciser que la peur a un effet très toxique sur l’organisme : en contractant les tissus, elle empêche la libre circulation de l’information chimique et électromagnétique nécessaire au bon fonctionnement du corps et du cerveau. La confusion mentale gène aussi la réflexion, la prise de recul, la concentration, l’attention, la mémorisation. Vous l’aurez compris, apprendre dans ces conditions est pour le moins compliqué.

Mais parlons de solutions… Dans ma pratique professionnelle, je propose toute une palette d’outils simple et efficaces qui aident à sortir de l’angoisse, du stress, du sentiment d’impuissance… Des outils qui permettent aussi de favoriser l’ouverture de conscience, le retour à la confiance en soi, l’apaisement, la stabilité… Autant d’outils qui permettent progressivement un retour à un équilibre de santé optimum, tant sur le plan physique, qu’émotionnel et psychologique.

Oui mais… Parce-qu’il y a un mais… Ces outils s’appuient beaucoup sur le travail de la respiration. Car la plupart des pratiques liées à la détente, à la stabilité, à la confiance en soi, s’appuient sur la respiration. Il existe toutefois quelques pratiques efficaces telle que la Gymnastique Sensorielle ou la méditation Pleine Présence qui ne focalisent pas l’attention sur la respiration, mais le souffle est tout de même un outils très présent pour favoriser la pleine santé. Et savez-vous pourquoi ? Parce que la respiration, tout comme le mouvement, c’est la vie… Dans toutes les pratiques et médecines orientales telles que le yoga, le tai chi, le Qi gong, l’ayurveda, la médecine chinoise… le souffle (le Chi en chine, le Ki au japon, le Prana en inde) est un élément fondamental de notre équilibre de vie, de notre pleine santé globale. Sur le plan énergétique il est la source de la CONSCIENCE.

Beaucoup d’outils que je propose pour entrer rapidement dans la détente s’appuient donc sur la respiration… Et aujourd’hui on nous empêche de respirer… On nous empêche de vivre… On nous empêche d’apporter à notre corps et à notre esprit l’essence de nos besoins fondamentaux.

Alors je vous partage plus bas quelques outils pratiques qui vous permettront à vous et vos enfants de retrouver un certain équilibre, un certain apaisement. Mais au delà de notre besoin fondamental de retrouver notre confort et notre sérénité y a une chose qui devient incontournable aujourd’hui tant les limites de nos droits fondamentaux à la vie ont été bafoués. Et le plus puissant outil de mieux être et de retour à la vie que je connaisse  est :

L’ACTION

Je m’explique : Lorsqu’on se sent coincé, lorsqu’on se sent frustré, lorsqu’on se sent impuissant, restent bloqué à l’intérieur de nous un bouillonnement de colère, de tristesse, de peur, de frustration… Autant d’émotions qui, si elles ne sont pas exprimées (sorties à l’extérieur) envahissent notre espace mental et physique et finissent par nous faire du mal. Une émotion non exprimée est délétère car une émotion est faite pour transmettre un message. Elle est faite pour exprimer (mettre en lumière) un inconfort lié à un événement, une personne ou des pensée, pour nous-même (afin que nous prenions les mesure nécessaires pour corriger ou supprimer ce qui nous met dans l’inconfort) mais aussi pour l’extérieur afin que la ou les personnes qui reçoivent cette émotion puissent s’adapter à notre inconfort. L’émotion est une messagère et si nous la réprimons, si nous ne l’écoutons pas, elle reste bloquée dans notre corps et finit par faire beaucoup de dégâts sur notre santé. Sur le plan de la communication avec l’extérieur, sa répression nous empêche de donner ou de recevoir une information claire destinée à un rapport équilibré et nourrissant avec autrui. Elle nous empêche surtout de recevoir de l’aide lorsqu’on en a besoin.

Alors la solution c’est d’écouter ce qui nous habite et de nous appuyer sur ça pour entrer en action. Parce qu’une émotion a une raison d’être. Parce qu’un inconfort ou une maladie ont une raison d’être et que si nous n’écoutons pas son message, nous nous faisons du mal. C’est ainsi que nous développons toutes les maladies qui viennent parcourir notre chemin de vie : Lorsque nous ne nous écoutons pas, nous ne RESPECTONS pas les messages que nous envoient continuellement notre corps sous forme d’émotions, de petites douleurs, de petites tensions… Et à force de ne pas être entendues ils se transforment en grosse douleurs, en grosses tensions physiques, en maladies… Notre corps à besoin de crier plus fort pour qu’on l’entende.

Ca c’est sur le plan individuel. Mais je suis convaincue que ce qui se passe actuellement sur le plan collectif est là pour nous montrer du doigt, telle une maladie qui s’aggrave, nos incohérences, le non respect, le manque d’amour que nous nous portons depuis longtemps à obéir à un système qui ne respecte plus la vie et qui ne convient plus à personne. Un système délétère qui nous force en permanence de manière insidieuse souvent à ne plus nous respecter et à ne plus respecter autrui ou notre environnement. Un système que nous avons fini par accepter malgré tous les signaux de détresse que nous envoyaient notre corps, notre environnement, notre planète.

Aujourd’hui, dans les classes, les enfants ont mal à la tête, ils sont anxieux, ils développent des infections cutanées, des difficultés respiratoires… Et on leur interdit d’écouter ces symptômes en les obligeant à conserver sur le visage le responsable de leur mal-être. Qu’apprenons nous à nos enfants lorsque nous leur imposons ou que nous ne les protégeons pas suffisamment de cette injonction mortifère ? Nous leur apprenons à ne pas écouter, à ne pas respecter leurs propre signaux de protection interne. Nous leur apprenons à se soumettre à une injonction extérieure qui ne les respecte pas au détriment d’un appel parfaitement adapté de leur corps qui veut les prévenir d’une danger en leur envoyant un inconfort ou une maladie. Nous leur apprenons à accepter l’inacceptable… Nous leur apprenons à accepter ce que nous vivons aujourd’hui, parce que c’est comme ça qu’on a été éduqué… Un conditionnement au non respect, à la non écoute de ses besoins fondamentaux.

Alors, je ne connais pas de meilleur outil que l’action qui s’appuie sur ses besoins fondamentaux et le message de notre corps pour arrêter ce qu’une poignée de fous nous impose : ne pas écouter ses besoins vitaux, ne pas se respecter, mettre en danger sa santé et sa vie et celle de nos enfants….

S’appuyer sur ces signaux que sont les émotions pour AGIR. Car l’action est un formidable outil de libération et de guérisonL’action permet de libérer les tensions accumulées ; elle permet de se sentir utile et de sortir de l’impuissance (source de dépression) ; elle permet d’extraire de notre intériorité et d’utiliser toute l’énergie douloureuse qui s’y est accumulée à force de se taire, de tourner mentalement en boucle autour de notre impuissance, de s’inquiéter, de regarder des vidéos, des informations toutes plus alarmantes les unes que les autres…

Je ne vous propose pas ici d’agresser les professeurs, d’insulter les proviseurs, de hurler votre désespoir en public (quoi que…), de faire des vidéos de révolte (quoi que…) je vous invite juste à agir pour sortir de votre sentiment d’impuissance et d’exprimer votre désaccord de manière plus utile…

Une action n’a pas besoin d’être très visible, très médiatisée, très grandiose… pour être utile et efficace. Gardons à l’esprit que nous ne sommes pas seuls et que la somme de toutes nos petites actions, qui peuvent se donner sous la forme – d’un courrier adressé au chef d’établissement ou d’une académie, d’un témoignage sur les réseaux sociaux ou ailleurs, d’une rencontre entre parents (il suffit d’être deux pour former un groupe et les petits ruisseaux font de grandes rivières), d’un sourire ou d’un regard de soutien même, de conseils, d’écoute et de soutien inconditionnel donnés à son enfant, de refus d’envoyer son enfant à l’école dans ces conditions, la rencontre d’un professeur ou d’un chef d’établissement un peu trop zélé… Pour les professeurs, d’un positionnement clair auprès de ses élèves, de ses collègues ou de sa direction, d’un assouplissement dans les règles de port du masque autorisé aux élèves, d’écoute et de bienveillance tourné vers les enfants, d’ouverture de débat autour du sujet des masques et de la crise afin que les enfants puissent exprimer ce qu’ils ont sur le cœur et qu’ils prennent conscience qu’ils ne sont pas seuls dans leurs désarroi et leur inconfort — aura des conséquences précieuses sur la suite de cette histoire…

Faisons avec ce que nous sommes, avec nos capacités… Aucune action n’est inutile, aussi insignifiante puisse-t-elle paraître…. Et je vous assure, ça fait un bien fou de sortir de l’immobilité et du sentiment d’impuissance. Ca libère la tension, ça libère l’esprit, ça redonne confiance, ça fait prendre conscience qu’on a du pouvoir et qu’on peut faire quelque chose… Car oui, on a du pouvoir et un pouvoir bien plus grand que vous ne pouvez l’imaginer. Le bâillon que l’on essaye de nous imposer, qui atteint à notre santé et à notre liberté n’est là que pour nous le faire oublier… Mais eux ont oublié une chose : LA VIE EST TOUJOURS PLUS FORTE. Et rien ni personne ne pourra nous empêcher de protéger nos enfants. L’AMOUR EST L’ENERGIE LA PLUS PUISSANTE qui puisse exister et, qui touche à nos enfant à perdu.

Pour vous aider à vous apaiser, retrouver votre équilibre, votre force, votre inspiration, afin de vous permettre d’appuyer vos actions sur une base stable toujours beaucoup plus efficace qu’une impulsion irréfléchie (mais une réaction spontanée peut également être utile, ne vous privez d’aucun moyen), je partage sur ma chaîne Youtube et sur ce présent blog beaucoup d’outils pratiques : Vous trouverez sous cet article quelques liens qui vous permettront de trouver facilement les plus utiles par les temps qui courent mais n’hésitez pas à vous balader sur mes supports de diffusion, je suis convaincue que ça pourra vous aider. Et si vous vous sentez trop démuni et avez besoin d’une écoute et d’un soutien plus personnalisé, n’hésitez pas à me contacter pour une séance individuelle.

Dans l’immédiat, je vous partage ici un outil de base simplissime et extrêmement efficace qui vous permettra de vous apaiser et de rapidement vous sentir mieux. Cette pratique peut être utilisée en tout lieu et dans toute position. Elle s’adresse à vous mais également à vos enfants, quelque soit leur âge. Elle paraît si simple qu’on pourrait croire qu’elle ne peut fonctionner mais elle est vraiment très efficace pour retrouver son calme, favoriser le sommeil, sortir de ses pensées envahissantes, s’offrir une pose relaxante, sortir de l’angoisse, se stabiliser… Evidemment la pratiquer à travers un masque n’est pas la meilleure des solutions mais elle peut tout de même aider les enfants (et vous-même) de manière très rapide… Le mieux si vous ou vos enfants êtes dans un environnement qui impose le masque est de s’isoler et de retirer le masque (les toilettes peuvent faire l’affaire) pour pratiquer :

L’outil est très simple : fermez les yeux (ce n’est pas une obligation mais ça aide) et inspirez avec beaucoup de douceur sur 3 secondes. Puis expirez, toujours avec douceur, sur 6 secondes ou plus. Posez votre attention sur le ventre plutôt que sur la poitrine pour faire l’exercice et en fin d’expiration poussez très légèrement avec les abdos (en rentrant légèrement le ventre) pour faire sortir l’air. Cet exercice doit vraiment se faire avec toute la douceur, toute la bienveillance, toute la tendresse possible tournée vers vous-même. Détendez votre corps au maximum pour pratiquer (pensez à détendre vos épaules et votre mâchoire toujours sous grande tension en cas de stress). Il se peut que des émotions sortent pendant ou après cet exercices. N’ayez pas peur de ces messages, en sortant, ils vous libèrent déjà.

Voilà, voilà, je sais que cet article n’est pas des plus positifs mais la vie m’a appris que lorsqu’on nous pousse dans nos retranchements on découvre un trésor de ressources dont on ne se croyait pas porteur… Ce temps est arrivé, on nous pousse dans nos derniers retranchements. On cherche à atteindre à l’avenir, à la santé et à la vie de nos enfants, et à celle de tous les êtres humains… Quoi de plus confrontant ? Quoi de plus révoltant ? Quoi de plus porteur de changement ? Je sais que tout ce que nous traversons aujourd’hui de difficultés nous ouvrira à quelque chose de magnifique, à un retour à la conscience de notre immense potentiel et à la vraie beauté qu’est l’humain lorsqu’il accepte de se regarder en face et qu’il apprend à s’aimer tel qu’il est.

On nous pousse dans nos derniers retranchement alors acceptons cette opportunité, sortons de la peur et agissons… Pour nous, pour nos enfants, pour le meilleur… NOUS EN SOMMES CAPABLES.

Avec tout mon amour.

Claire Relience – Somato-psychopédagogue et accompagnante holistique en cabinet et en ligne

 

 

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