Rififi à Brégançon : « Haro sur les clitosceptiques »

Alba dirladada, cafards, vermines et cloportes.

mardi 27 août 2024, par Lionel Labosse

Le 20 août 2024, une photo du couple macronescu en vacances à Brégançon a fait le tour du monde. À ma connaissance notre modeste fil Telegram Perruques jaunes a été le premier à reprendre ladite photo, le 20 août au matin, grâce à un abonné nommé « Vlad ».

Brigitte Macron et le collégien qu’iel détourna. Brégançon, août 2024.

© Mega Agency / tportal

Je ne ferai dans cet article aucun commentaire sur l’entrejambe ni sur les vrais ou faux seins, et je laisse chaque lecteur face à son expérience intime du sexe des anges… ou des démons ! Je refuse d’entrer dans ces détails sordides que chacun peut constater s’il ôte ses défenses d’y voir ! Les heureux élus qui parviendront au bout de cet article auront droit à une exclusivité : les vraies photos non retouchées de Chibritte à Brégançon ! Il s’agit d’aider nos lecteurs à voir l’éléphant dans le salon, à moins que ce ne soit le salon qui soit dans l’éléphant ?

Cet article a été fait en préparation d’une émission pour GPTV avec Mike Borowski diffusée en direct mardi 27 août à 19 h. Cela fait suite à l’émission du 21 juin avec Me Danglehant où paraît-il votre serviteur ne fut pas tant mauvais. Mike Borowski avait déjà fait le point dans un one man show vendredi 23 août, où l’on a appris plein de choses. Il fait le parallèle avec l’affaire Gabrielle Russier, sa liaison avec le jeune Christian Rossi, 16 ans au début de leur liaison, à la fin de sa classe de seconde. Il en paraissait beaucoup plus et une photo de lui à l’âge de 18 ans le montre plus viril à lui seul que tout le gouvernement Attal réuni ! Cela me rappelle une vidéo de propagande de la télévision d’État Arte (juin 2021), qui tentait de nous faire avaler ce scandale d’État !

Rappelons d’entrée que malgré les dénégations de la presse macroniste, Emmanuelle Anizon a révélé un point essentiel avec son livre L’Affaire madame : « Le couple s’est connu alors qu’Emmanuel Macron avait 14 ans », (Libération, 16 mars 2024 ; voir cet article).

Jean-Dominique Michel avait publié le 21 août un message qui m’avait, par un jugement trop hâtif, semblé inexact, d’où cet article. Il écrivait « La publication de cette photo (comme de celle d’hier) a évidemment été approuvée par l’Élysée ! »
Dans un premier temps, je lui ai répondu (en privé) « Je ne pense pas. Ces photos sont seulement visibles dans la presse de certains pays de l’Est, où nous sommes allés les repêcher ».
Il y a ce reportage du journal slovène Večer dont le titre est : « Heureux, ludique et heureux : « C’est ainsi que le président français Emmanuel Macron et sa femme Brigitte font la fête en mer » », et l’édition slovène de Elle dont le titre est putassier : « Pas de robe translucide, Brigitte Macron au milieu de la mer, à travers le maillot de bain en une partie bleu céleste porte cette pièce parfaite ».
Il s’agit du même photographe (non autorisé) ou du moins de la même agence (Profimedia / The Mega agency) que les photos croates de 2021, que vous retrouverez sur le site tportal. Je vous suggère de visionner le diaporama entier, notamment la n°7 (ci-dessous). Tout cela était dans Faits & Documents et dans Pressibus (sans parler de mon modeste site) depuis 2 ans…

Brigitte Macron au fort de Brégançon, août 2021.

© Mega Agency / tportal

Évidemment la question de savoir si les photos sont posées est quand même pertinente : sachant que les macronescu se sont fait piéger il y a 2 ans, et qu’en conséquence ils ont fait construire une piscine à nos frais à Brégançon, pourquoi tentent-ils à nouveau le diable ?
J’ai une réponse : la presse torcheculière est bourrée depuis juillet de reportages avec des truellées de photos, qui elles sont autorisées. En voici un parmi des centaines, qui – ironie du sort – a été publié par Au Féminin le jour même où éclatait le buzz mondial : « Brigitte Macron à Brégançon : ce sport surprenant qu’elle pratique en vacances est bon pour la santé après 60 ans ». Remarquons au passage qu’on nous refait le coup du Tancarville de l’âge : 60 ans selon la presse, 71 selon la police, 80 selon les manifestants !
Comme l’a fort justement remarqué Jean-Dominique Michel, l’ingénierie sociale a dressé les Français à ne pas voir l’éléphant dans le salon. Ils ont des « défenses d’y voir » ! Je l’ai testé la semaine dernière en essayant de parler de Chibritte à un prof d’histoire qui ne me connaissait pas. J’ai tout de suite battu en retraite devant la salve [1] de « complotiste », « extrême drouâteuh », « antimythe » que cela m’a valu… Impossible à penser pour ces gens-là, dressés par des décennies de « syndicalisme »… Ils sont foutrement Charlie quand il s’agit de cracher sur les religions, mais pas de se foutre de la gueule des parasites de la République. La notion de « Mazarinade » est tombée dans les oubliettes de l’histoire.

Or j’ai regardé plus attentivement non seulement la photo de la discorde, mais aussi l’ensemble des reportages, et je ne pense pas que tout cela soit si innocent que le cliquet « autorisé » / « non autorisé », ce qui donnerait finalement raison à JDM. D’ailleurs, dans la foulée de la polémique mondiale, un journal people français (Public) a repris l’info (mais pas la photo), en tentant d’y coller l’éternel mensonge de la presse putasso-macronière : « les deux femmes qui ont propagé la rumeur sur Internet ont été jugées en juin en diffamation devant le tribunal correctionnel de Paris. La décision a été mise en délibérée (sic) au 12 septembre 2024 ». Et toute la presse à ragots a été appelée à la rescousse, comme Femme actuelle par exemple, repris par Yahoo avec une photo de la « trumpiste » Candace Owens, en mode inversion accusatoire. Un peu plus bas dans l’article de Femme actuelle, on peut contempler ce tableau de chasse du mannequin emperruqué de LVMH :

Femme actuelle, homme factuel !

© Femme actuelle, 21 août 2024

Une autre lécheuse d’anus de la macronie nommée Alba Ventura nous qualifie, comme les juifs le furent par les nazis, de « cafards » et de « vermine », avec toujours l’appel à la « modération », comprenez « censure », et irrémédiablement le même mensonge sur le prétendu « procès en diffamation » (C’est à croire que ces journalopes touchent 10 000 € en liquide à chaque fois qu’ils collent cet élément de langage dans un article). Le verbatim de son vomi est fourni par Égalité & Réconciliation. Si nous sommes des « vermines », ce genre de journalopes sont des punaises de lit. Inutile de leur proposer un débat contradictoire pour leur faire avaler le caca cocaïné du Fürhoncle dont ils se pourlèchent les lèvres (la proportion de poudre doit les protéger de l’E. coli). Rappelons que la sortie de la députée RN Pascale Bordes (réélue en juillet dernier dans le Gard) sur la consommation de psychotropes du mari de Jean-Michel n’a donné lieu à aucun démenti ni plainte, alors que ce petit monsieur n’arrête pas de porter plainte. Il y a une seule solution pour se débarrasser des punaises de lit.
Dicier Maïsto n’y croit pas non plus, et rappelle que ELLE « voit la licence de son édition française appartenir au milliardaire tchèque Daniel Křetínský ». Cependant ce brave garçon n’a pas récupéré les couilles de Chibritte, car il se gargarise encore et encore, comme la plupart des brigittologues de la 11e heure, avec des déclarations de faux-cul du style « je me moque éperdument du physique de l’épouse du président et de tout ce qui est raconté sur elle par rapport à son genre, réel ou supposé. Je m’en moque, m’en fous, m’en cogne, comme des millions de Français ». Eh Didier, tu te fous de notre gueule ou quoi ? Ces « millions de Français » que tu invoques sont les mêmes que ceux qui se sont fait injecter un poison et ont fait injecter leurs enfants avec un poison. Alors choisis ton camp. Il faudrait vérifier au passage si l’édition slovène de Elle est indépendante ou non de l’édition française. On connaît le combat désespéré de Nexus édition française pour faire reconnaître son indépendance de l’édition australienne d’origine sur laquelle Wikipédia déverse des wagonnées de calomnies. Didier Maïsto, qui est un journaliste professionnel, devrait être capable de préciser ce point.
Le problème, pour nos amis de l’info soi-disant indépendante, est que choisir leur camp revient à reconnaître que Xavier Poussard est le premier journaliste de France et qu’ils ne lui arrivent pas à la cheville. Dur pour l’égo, cher Didier Maïsto. Les brigittologues de la 11e heure se comportent exactement comme les covidistes qui se réveillent au bout de 3 ans : ils ne reconnaissent qu’une part minime de l’arnaque, mais sont tellement honteux de s’être fait arnaquer, qu’ils persistent à croire que quand même le passe sanitaire c’était une bonne chose, ou le vaxin, ou le confinement, ou les masques, etc. Non les gars : c’était une arnaque à 100 %, et Chibritte est aussi une arnaque à 100 %, dont la bite n’est que le produit d’appel. Les journalistes, par exemple, qui ont traité les interventions de ce détourneur de mineur dans le domaine de l’Éducation, sans rappeler son détournement de mineur, sont malhonnêtes ; et Didier Maïsto a-t-il seulement pris connaissance du dossier pour proclamer de telles âneries ?
Autre hypothèse : ces mâles blancs dominateurs aux cheveux caducs ont tellement honte de s’être fait doubler par une jolie négresse étasunienne (une sorte d’Aya Nakatruc qui aurait un cerveau), qu’ils minimisent la portée de ce qu’elle a déniché quand eux, qui l’avaient sous les yeux, ont détourné les yeux… La leçon de François Rabelais est bien oubliée : la bite de Chibritte est un os dont seuls les élus ont su « sucer la substantifique moelle », pendant que les ignares blasés hurlaient au « Cornecul » ! Eh oui, moi aussi je suis professeur de français, et si Madame aimait proclamer « nous limons » face à ses élèves, je préfère « sucer ». Chacun ses mœurs !
Florian Philippot fait encore pire que Didier Maïsto. Son direct de vendredi 23 août est intitulé : « Macron : l’incroyable photo qui fait le tour du monde ! ». Malgré ce titre qu’on pourrait qualifier de « putaclic », Philippot ne fait que nous ressortir son éternel speech sur le « torchon européen » qui remplace le drapeau français sur le bateau. Il ne dit pas un mot sur la raison du « tour du monde ». Il n’a pas vu l’éléphant dans le salon ? Il y a pourtant pire que le drapeau français remplaçant le drapeau européen ; il y a carrément un président français remplacé par un agent étasunien. Pas étonnant que Philippot invite André Bercoff aux assises de la souveraineté d’Arras. Bercoff, le « contrôleur d’opposition » selon Xavier Poussard (voir le numéro 526 de Faits & Documents (février 2023), qui rappelle la participation régulière de Bercoff « aux « œuvres » du Keren Kayemeth LeIsrael (KKL) qui achète des terres en Palestine occupée »). Si Bercoff n’a pas dit un mot du brigittegate, et peut-être s’il contrôle, pour reprendre le mot de X. Poussard, ce sujet, ne serait-ce pas parce que ce sujet est porté par une publication qui a fait son portrait ?

Voici le journal croate Story qui reprend les photos de 2021 et les compare à celles de 2024 (qu’il n’a pas reprises car il n’a sans doute pas les droits, mais il pointe vers le journal Glossy (ci-dessous), avec un titre qui n’est clairement pas issu du cabinet de Mimi Marchand : « Photos de Brigitte Macron en maillot de bain : Tout le monde est choqué par ce à quoi la première dame de France ressemble ».

Le journal serbe Glossy n’y va pas non plus avec le dos de la rombière : « Tout le monde commente la même chose : les photos d’Emmanuel et de Brigitte Macron des vacances répandent la foudre sur les médias sociaux ». Tu sais lire, Florian ? Serait-il hors-sujet d’établir un lien entre ces publications dans les pays de l’Est et un voyage subit de notre Fürhoncle en Serbie ?

Je vous invite à scruter toutes les photos, pas seulement celles du Premier dame. Sur une photo, on voit une tripotée d’enfants non identifiés, comme d’ailleurs toutes les personnes sur le bateau. Zoé Sagan avait publié le 5 août cette annonce sur l’« homme flouté » : « Hier Zoé Sagan a envoyé par mail le célèbre nom de l’homme flouté à gauche sur la photo qui passe ses vacances avec Emmanuel Macron et depuis les officines ferment les comptes X comme les comptes en banque. » Or l’homme flouté en question n’est pas du tout flouté sur les photos de Glossy… mais je ne sais toujours pas qui c’est…
N’est-il pas étonnant qu’un homme si puissant, un couple si passionnant, ne soit pas entouré de personnalités du monde des arts, des lettres & des abdominaux ? Pourquoi ne pas avoir invité le capitaine de pédalo Hollande, ou le merveilleux couple Goebbriel Anal / Veran-tan-plan, qui adorent également le pédalo ? (à moins que la soirée privée de Goebby avec son ex au palais d’Iéna n’ait rafraîchi l’atmosphère ?)

Pourquoi Choupinet n’a-t-il pas invité Léon Marchand à donner des cours de natation à tous ces petits enfants, ou Teddy Riner à apprendre à ses gardes du corps l’art de l’ippon ? Au sujet de ces enfants, on se rappelle la sortie d’un compte Zoé Sagan (dont il est impossible de savoir si c’est un vrai ou un faux compte) à propos d’un enfant mystérieux sur lequel il s’apprêtait à faire des révélations. Le twitt du 2 août a disparu, mais il en reste trace dans cet article de Qactus : « Vous êtes très nombreux à me demander qui est l’enfant à droite sur la photo et ce qu’il fait là. C’est pour l’instant un secret d’État. Mais les Français vont en entendre parler bientôt ». Un certain Pascal Treffainguy a sorti dans la foulée une série de vidéos reprenant les allégations de Zoé Sagan, notamment celle-ci diffusée en direct le 2 août, avec une affirmation ébouriffante présente dans le descriptif sous la vidéo mais à peine développée dans la vidéo (à 17’) : « Dans la famille CORNE-Q, E est un fils incestueux de R… adopté par le couple M, dont la femme de M est un homme transexuel. E subit les sévices d’un transsexuel père de sa copine d’école, qui est officiellement la mère de la fille, fille qui devient plus tard la mère de l’enfant de E. Bienvenue dans la famille amorrite : maman est ma sœur, papa est le beau-grand-père d’une femme qui est un homme ». Ce monsieur se présente comme résidant au Brésil.
On distingue une autre femme en maillot de bain bleu, celle qui est debout avec un téléphone derrière Choupinet se faisant culbuter, qui montre bien son cul en faisant bronzette. Qui nous montre son cul sur un bateau de la République française au pavillon européen… S’agirait-il d’Emma Jourdan, la petite fille du Premier dame, la dernière lessive qui nous est vendue par la presse torcheculière ? C’est ma tante Hortense, 92 ans, qui m’a suggéré cette identification. Ma tante Hortense est la seule personne au monde à être abonnée à la fois à Voici, à Gala et à Faits & Documents, qu’elle considère comme Gala : « Ah Véran et Attal sont ensemble ! Quel joli couple ! C’est un beau gars comme ça qu’il faudrait à mon neveu, au lieu de ne vouloir fréquenter que des non vaxinés ! »

Brigitte Macron, un joli cul et des seins qui ne sont pas les siens au fort de Brégançon, août 2024.

© Mega Agency / tportal

Sur la photo n°1 de Glossy, une femme est collée par la magie du téléobjectif à côté de l’ex-collégien détourné, torsepoilé, qui exhibe sous le haut jaune d’un bikini une poitrine qui ne fait que souligner, comme le cul de la photo ci-dessus, l’absence de tout équivalent sur les milliers de photos publiées de Chibritte à la mer ou au soleil. C’est un nouvel exemple de ce que Xavier Poussard appelait « misdirection » en une du n° 529 de Faits & Documents. Il s’agit d’une manipulation mentale : le mougeon qui voit distraitement cette photo dans un magazine, associe l’image de gros nibards à l’idée de la personne qui devrait logiquement se trouver auprès de Notre Fürhoncle ; or en réalité il ne s’agit pas de Chibritte, mais de sa prétendue fille ou pire, petite-fille. Idem ci-dessous avec la femme qui montre son cul et ses seins juste derrière Chibritte, de façon à favoriser l’interversion dans l’esprit du mougeon.
Ces photos semblent plus ou moins posées pour le paparazzi qui ne pouvait pas plus ne pas avoir été repéré par les services de protection de Choupinet que le tireur de Trump, car Chibritte dispose ses jambes en nymphette, alors qu’iel a l’air bien plus gauche dans celle où iel s’agrippe à un scooter en plongeuse anadyomène (les graphistes devraient s’en amuser). Sur toutes les photos, comme sur celles de 2023 qui nous ont fait bien rire (ci-dessous) :

elle porte sa perruque, mais elle a tenu à mouiller la perruque, sans doute après avoir lu nos critiques, contrairement à la photo en perruque et tuba qui semble une farce de Mimi Marchand pour le vieillard (ci-dessus, à côté de la photo du couple veran-anal).
Rappelons que les perruques ou plutôt « extensions » font partie de la partie émergée de l’iceberg, car elles ont été glamourisées en 2022 par Paris Match, repris en chœur par toute la presse torcheculière qui nous présente à longueur d’année Brigitte comme la plus belle femme du monde, en prenant au sérieux la moquerie de Karl Lagerfeld sur les « Plus belles jambes de Paris » (Paris Match, juillet 2017). Sur ce montage on peut remarquer la pose de Choupinet en Hannibal vainqueur des Alpes, qui imite celle de son professeur de théâtre en 2024 vue ci-dessus.
Donc pour en finir avec Brigitte, il est temps pour nous – vermine de brigittologues que nous sommes – chère Alba Dirladada, de venir à résipiscence. Oui, nous confessons nos péchés : nous avons menti. Point de bite dans Chibritte, mais du clito en veux-tu, en voilà ! Du nibard, comme on peut le constater sur la photo de 2021 ci-dessus ; de l’utérus, bref, de la femme, et de la bonne. Leur histoire, c’est Roméo & Juliette, ou pour faire plus français, Héloïse & Abelard. Mais dites-moi, qu’arriva-t-il au précepteur séducteur Abelard ?
Ah, chère Alba, tu as été trop légère avec tes « cafards », tes « vermine », tes « naturopathe ». Tu aurais pu ajouter « doryphore » à l’instar du capitaine Haddock, ou « cloporte », comme notre ami Nono Renflement Brun, interviewé par TV5 Monde jeudi 20 juin : « Vous savez, les parquets des ministères et des palais de la République sont pleins de cloportes. Il y a toujours eu des cloportes, cela fait partie de la vie politique française. Ils sont dans les parquets, dans les rayures des parquets. Il est très difficile de s’en débarrasser ».
Mais qui sont ces « cloportes » ? Nono renflement brun Le Maire ne donnant pas de précisions, nous sommes libres de nos hypothèses. Serait-ce les journalistes lécheurs de pompes ou d’anus ? Serait-ce Mimi Marchand ? Serait-ce Alba Dirladada ? Serait-ce Chibritte lui-même ? Dont un visuel nous propose la solution au blocage actuel qui mettrait tout le monde d’accord ?

Revenons maintenant sur un aspect du reportage qui a fait jaser mais sans aller au fond du sujet. Voici un montage de 4 photos du reportage de Voici repris sur le compte X Destination Télé sous le titre « Emmanuel passe de très bonnes vacances ».

A-t-on déjà vu dans le monde un président de république se livrant à de telles gamineries quasiment nu ? Certes on a l’exemple de soirées bunga bunga de Berlusconi, mais le Cavaliere ne s’y montrait à ma connaissance qu’en cravate. C’est le hasard d’une visite récente au magnifique musée Magnin de Dijon qui m’a mis sur la piste d’une interprétation que pourrait valider un spécialiste comme Bertrand Scholler. J’ai photographié deux tableaux, à gauche Le Festin des Dieux (v. 1635), de Jan Van Bijlert, qui a joué un rôle dans la polémique de la cérémonie d’ouverture des JO, et à droite la version très particulière de Suzanne & les vieillards (1561), d’Alessandro Allori.
Ces tableaux représentent une bacchanale antique et une bacchanale biblique, un viol. Ils ne sont pas de la même époque, mais on remarque une filiation dans cette sorte de calligraphie des corps qui va du maniérisme du XVIe siècle au classicisme de Nicolas Poussin, lui aussi auteur de magnifiques bacchanales, comme Bacchanale devant un terme (1633), que vous trouverez dans cet article. Je ne peux m’empêcher de voir une volonté de mise en scène semblable à celle de la Cène des JO.
Regardez la façon dont les gardes du corps saisissent d’une main ferme l’avant-bras du collégien. C’est la même que dans le tableau d’Alessandro Allori. Et cela va jusqu’à la présence incongrue d’un enfant dans cette scène. La position de Chibritte que personne ne regarde mais qui regarde fixement l’objectif du paparazzi qu’on a laissé volontairement shooter, n’est-elle pas celle d’un metteur en scène ou d’un producteur qui laisse jouer les acteurs en vérifiant derrière le rideau l’effet sur le public ? Cette bacchanale offerte en pâture au monde entier n’est-elle pas une nouvelle cérémonie ? Qu’est-ce qui est mis en scène, sinon le viol non pas de Suzanne mais du petit Emmanuel de 14 ans par son professeur de théâtre ?

Alors chère Alba Dirladada, cher Didier Maïsto, cher Florian Philippot, si l’on regardait enfin droit dans les yeux l’éléphant dans le salon ? Sans parler de l’affaire d’Alger à laquelle j’ai consacré un article, si l’on traitait enfin le dossier dans le dossier ? Revenons à cette campagne d’affichage datée de novembre 2023 en Israël, authentifiée par une photo créditée Ahmad Gharabli / AFP, visible sur un article de Jeune Afrique après avoir été brusquement retirée d’un article de 20Minutes.

Au lieu de nous traiter de « cafards », la « vermine » journalistique ne ferait-elle pas mieux de se poser la question de l’ingérence israélienne dans la politique française au travers de cette affaire qui est censée ne pas en être une ? Aucun journaliste, ni Philippot, ni Asselineau, ni Maïsto, n’ont traité ce fait pourtant avéré. Vous vous rappelez la commission d’enquête de l’Assemblée en 2023 sur les ingérences, et la façon dont les prétendus enquêteurs refusaient d’entendre François Fillon sur l’ingérence étasunienne. L’ingérence était poliment priée de n’être que russe ou chinoise. Bizarrement une seule ingérence n’a pas été évoquée lors de cette enquête. Et nous voilà devant l’éléphant dans le salon, à moins que ce ne soit le salon qui soit dans l’éléphant. Comme, à l’instar de François Fillon je tiens à la vie, je vous laisse terminer. Il faudrait se demander comme François Belliot pourquoi la commission d’enquête sur Charlie Hebdo a été confiée à Meyer Habib. Et s’intéresser enfin au rôle de la triade des contrôleurs de Macron en dehors et derrière Chibritte, qui sont David de Rothschild, Henry Kravis et Bernard Arnault. Je vous renvoie à mes articles précédents, par exemple « Comprendre le #brigittegate pour les Nuls ». Il faudrait aussi revenir sur les mœurs du chef de l’Étron, évoquées jadis dans une vidéo qui a quasiment disparu (et que je vous encourage donc à diffuser et sauvegarder) par un jeune homme qui mériterait d’être interrogé par les journalistes indépendants, Alexis du Réau de la Gaignonnière. Il a sans doute beaucoup de choses à dire, car il ne fut pas qu’un étalon pour le Chef de l’Étron, mais aussi un photographe à la fête de la Rotonde lors de la victoire de 2017.

La brigittologie ne fait pas de pause pendant les vacances. Voici une vidéo signée Darwin sur l’évolution du chibrittus macaca à travers les âges. On est sur le registre de la mazarinade, mais l’air de rien, la brigittologie aura fait de grands progrès pendant cet été de propagande macroniste à haute dose.

Pour féliciter ceux qui sont parvenus au bout de l’article, voici les photos exclusives que vous attendiez tous !

Une info reprise par Jean-Dominique Michel annonçait pour le soir du 21 août l’entrevue planifiée depuis juin de Xavier Poussard par Candace Owens… D’après mes sources autorisées mais confidentielles, une émission aurait bien été enregistrée, avec des difficultés de traduction, et devrait être diffusée prochainement. Cela est confirmé le 27 août par Candace Owens qui annonce l’entrevue pour cette semaine et se moque de Macron qui ose accuser Pavel Durov de favoriser les réseaux pédophiles alors qu’il est au cœur d’un scandale pédophile avec son mari.

Il fallait s’y attendre, deux nouvelles chansons célèbrent déjà cette photo, à retrouver dans notre « Palmarès de la chanson brigittologique » :

Toujours rien ou quasiment rien chez Mélenchon, Le Pen, Philippot, Asselineau, Bercoff & Cie.

 Le 26 août 2024, Jean-Dominique Michel propose une nouvelle vidéo sur l’affaire, mais qui fait l’impasse sur les photos. Elle est censurée sur sa chaîne YT sous un prétexte de droits ; il faut donc la visionner pour l’instant sur X.

Lionel Labosse, brigittologue émérite agrégé de l’université de brigittologie de Ouagagoudou (Burkini Froissé).

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Voir en ligne : La photo de la discorde

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[1] Les Slaves nous sauvent de ces salves !

Source : altersexualite.com