PfizerGate : La vérité tragique derrière les vaccins COVID : 50 000 Britanniques sont morts subitement en 8 mois à cause de la vaccination qui a provoqué un compte à rebours de 5 mois avant la mort.
Les études semblent se préciser en angleterre. Quand aurons-nous les mêmes pour la France ?
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« Une analyse des données officielles de l’ONS révèle qu’environ cinq mois après l’administration de chaque dose du vaccin Covid-19, les taux de mortalité des personnes vaccinées augmentent de manière significative par rapport aux personnes non vaccinées dans chaque groupe d’âge. »
Alors que le bilan des décès s’alourdit, une ombre noire s’est abattue sur la Grande-Bretagne.
Les données officielles révèlent que depuis avril 2022, 407 910 décès ont eu lieu, avec 47 379 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Au fur et à mesure que l’enquête s’approfondit, il est devenu de plus en plus clair que les vaccins Covid-19 sont la cause la plus probable de cette perte de vie sans précédent en Grande-Bretagne. Les preuves sont accablantes, avec une corrélation étonnante entre le déploiement des vaccins et le pic des décès.
On nous avait dit que les vaccins apporteraient espoir et guérison au milieu d’une prétendue pandémie mondiale. Mais maintenant, il semble qu’ils aient plutôt apporté encore plus de dévastation et de douleur.
L’Office for National Statistics a publié les chiffres hebdomadaires des décès enregistrés en Angleterre et au Pays de Galles, et les données les plus récentes révèlent une augmentation troublante.
Au cours de la semaine se terminant le 11 décembre, 11 694 décès ont été enregistrés, avec 687 décès en excès par rapport à la moyenne quinquennale 2016-2019 + 2021 et 999 décès en excès par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Si le Covid-19 est souvent accusé d’être à l’origine de telles augmentations, cette fois, les chiffres racontent une histoire différente. Sur l’ensemble des décès, seuls 326 ont été attribués à la maladie présumée, soit à peine 2,8 %.
Quelle est donc la cause de cette hausse des décès ?
Meanwhile, according to Public Health Scotland (PHS), Scotland suffered 1,257 deaths in the week ending 27th November, resulting in 127 excess deaths. SOURCE
Entre-temps, selon le Public Health Scotland (PHS), l’Écosse a connu 1 257 décès au cours de la semaine se terminant le 27 novembre, ce qui a entraîné 127 décès supplémentaires.
Selon l’Office for National Statistics, un nombre excessif de décès a été enregistré chaque semaine en Angleterre et au Pays de Galles depuis avril 2022. Pour découvrir toute l’ampleur de cette tragédie, nous avons creusé dans les données, en analysant le nombre hebdomadaire de décès au cours des six derniers mois et en les comparant à la moyenne sur cinq ans. Nous avons découvert une tendance inquiétante, comme le montre le graphique ci-dessous.
En approfondissant le mystère de la surmortalité en Angleterre et au Pays de Galles, nous avons découvert une possibilité inquiétante : les vaccins Covid-19 pourraient être en cause.
Selon l’Office for National Statistics, des décès en excès ont été enregistrés chaque semaine depuis avril 2022. Alors que les données semblaient initialement indiquer d’autres causes, un examen plus approfondi révèle une corrélation étonnante entre le déploiement de l’injection de rappel de l’hiver 2021 et le pic de décès.
Pour découvrir toute l’étendue de cette tragédie, nous avons creusé dans les données, analysant le nombre hebdomadaire de décès au cours des huit derniers mois et les comparant à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Parce que le graphique ne révèle pas la véritable image, nous avons téléchargé les données sur les décès à partir du tableau de bord Covid-19 de Public Health Scotland, ce que vous pouvez également faire ici, et nous avons calculé le nombre total de décès entre la semaine 16 et la semaine 47 de 2022.
Selon les données, il y a eu 34 316 décès durant cette période dans la moyenne quinquennale 2015-2019 et 38 611 décès durant cette période en 2022.
Cela signifie que l’Écosse a subi 4 264 décès en excès par rapport à la moyenne quinquennale au cours des 34 dernières semaines.
Le graphique suivant montre le nombre total de décès et de décès excédentaires en Angleterre, au Pays de Galles et en Écosse.
Le nombre moyen de décès sur cinq ans en Grande-Bretagne au cours de ces huit mois est de 360 531. Parallèlement, le nombre total de décès en 2022 en Grande-Bretagne au cours de ces 8 mois est de 407 910. Par conséquent, la Grande-Bretagne a subi 47 379 décès supplémentaires depuis la mi-avril 2022.
Se pourrait-il que les vaccins Covid-19, dont on nous avait dit qu’ils apporteraient espoir et guérison, provoquent au contraire une tragédie inimaginable ?
Eh bien, à mesure que notre enquête sur la surmortalité au Royaume-Uni s’approfondissait, un schéma inquiétant est apparu.
Une analyse des données officielles de l’ONS révèle qu’environ cinq mois après l’administration de chaque dose du vaccin Covid-19, les taux de mortalité des personnes vaccinées augmentent de manière significative par rapport aux personnes non vaccinées dans chaque groupe d’âge.
Les graphiques suivants ont été créés à partir de données extraites du tableau 1 de l’ensemble de données de l’Office for National Statistics sur les « décès par statut vaccinal (janvier 21 à mars 22) », qui peut être consulté sur le site de l’ONS ici, et téléchargé ici.
Le premier graphique montre les taux de mortalité standardisés sur l’âge pour 100 000 personnes-années par statut vaccinal entre le 1er janvier 2021 et le 30 avril 2021.
Comme vous pouvez le constater, les taux de mortalité étaient les plus élevés parmi les non-vaccinés chaque mois. Toutefois, à la fin du mois d’avril 2021, soit cinq mois après l’administration de la première injection de Covid-19 au Royaume-Uni, les choses ont commencé à s’équilibrer entre chaque groupe de vaccination et les personnes non vaccinées.
Mais regardez ce qui s’est passé au cours des quatre mois suivants.
Le premier graphique montre les taux de mortalité standardisés sur l’âge pour 100 000 personnes-années par statut vaccinal entre le 1er mai 2021 et le 30 août 2021.
Le taux de mortalité des personnes vaccinées a commencé à dépasser significativement celui des personnes non vaccinées. À la fin du mois d’août 2022, le taux de mortalité pour 100 000 chez les non-vaccinés était le deuxième plus faible de chaque groupe de vaccination.
Malheureusement, un rapport de suivi publié par l’ONS le 6 juillet 2022 prouve que la situation ne s’est pas améliorée pour la population vaccinée.
En fait, la situation s’est tellement dégradée qu’à la fin du mois de mai 2022, les taux de mortalité étaient les plus bas parmi les non-vaccinés dans chaque groupe d’âge en Angleterre, et les plus élevés parmi ceux qui avaient reçu une, deux ou trois doses du vaccin.
Une analyse plus détaillée des données contenues dans les graphiques ci-dessus peut être lue ici,
Mais le schéma ne s’arrête pas là. Les données montrent que non seulement ce schéma persiste dans les décès toutes causes confondues, mais que chaque dose du vaccin entraîne également une augmentation significative des décès dus au Covid-19.
Entre mars et juillet 2021, les vaccinés ont été responsables de la majorité des décès dus au Covid-19 en Angleterre, les vaccinés à une dose représentant 66 % de ces décès.
Le schéma s’est répété au cours des cinq mois suivants, les décès ayant presque triplé et les personnes ayant reçu deux doses de vaccin représentant la majorité des décès (83 %).
Et au cours des cinq mois entre janvier et mai 2022, les décès ont à nouveau augmenté, les personnes triplement vaccinées représentant la majorité, soit 82 %.
Les preuves sont claires et indéniables : les vaccins ont tué et tuent encore des gens, les conséquences mortelles se manifestant pleinement environ cinq mois après chaque vaccination.
Il s’agit d’une tragédie aux proportions épiques,
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