Pétition contre les papouilles présidentielles
dimanche 15 septembre 2024
étition adressée au Ministre des Sports, à Gérard Larcher, Président du Sénat, et à Yaël Braun-Pivet, Présidente de l’Assemblée nationale.
La présente pétition proposée par notre amie Jeanne Aymar de Pecqueron, a pour but que le président de république Emmanuel Macron cesse de faire honte aux Français avec ses embrassades publiques déplacées aux sportifs et autres personnalités avec qui il entre en contact dans le cadre de ses fonctions. Ces attouchements non désirés ne peuvent-ils pas être qualifiés d’« atteintes sexuelles » ?
Déjà lors de la coupe du monde 2018, à défaut de mordiller l’oreille de Vladimir Poutine, Emmanuel Macron faisait titrer 20 minutes : « Emmanuel Macron en fait-il trop pour célébrer la victoire ? ».
Le dimanche 18 décembre 2022, après la finale de la coupe du monde de football suivante au Qatar, perdue face à l’Argentine, Emmanuel Macron avait longuement touché de manière déplacée le joueur Kilian Mbappé.
Le lendemain Europe 1 titrait : « Lourd », « gênant », « malaise total » : pourquoi le comportement de Macron avec Mbappé ne passe pas » : « Le chef de l’État a tenté, à plusieurs reprises, de se rapprocher du joueur, en le prenant dans les bras et en lui murmurant à l’oreille des mots réconfortants. Mais, Kylian Mbappé, le regard hagard, sonné par la défaite, ne semblait même pas écouter le chef de l’État. Il n’en fallait pas plus pour que les internautes se moquent du comportement du président, jugé profondément « gênant ». « Macron qui force Mbappé à lui faire un câlin », « 57 secondes de gênance », « cette image est terrible », « pourquoi Macron nous fait-il honte à chaque fois ? », pouvait-on lire sur Twitter. »
On peut supposer que le président, manifestement très impliqué dans la question transgenre, voulait consoler la star du football de sa rupture récente avec le mannequin transgenre Ines Rau. Krees en a fait une parodie explicite :
Depuis lors, ce comportement ostensiblement tactile n’a cessé de se reproduire, notamment à l’occasion des Jeux Olympiques. Le 14 septembre 2024, lors du défilé des athlètes ayant participé aux Jeux Olympiques, le président s’est livré à de longs attouchements sur la personne du judoka Teddy Riner. Le journal belge Le Soir a titré le lendemain : « Quand Emmanuel Macron rhabille Teddy Riner avant de le décorer » :
« Ce samedi 14 septembre, les champions des Jeux ont défilé à Paris et devant des milliers de fans, plusieurs ont été décorés. Teddy Riner, quintuple champion en judo, a été récompensé de la plus haute distinction en recevant des mains d’Emmanuel Macron la Légion d’honneur ou de l’Ordre national du Mérite. Sous les yeux de 100 000 supporters présents, Emmanuel Macron a donc accueilli le judoka mais l’a également préparé à recevoir cette distinction. Sous les caméras, le président français a été surpris en train d’ajuster la cravate de Teddy Riner et lui refermer un bouton de chemise. La scène surprenante qui circule sur les réseaux sociaux. »
À l’évidence, il est anormal qu’un chef d’État referme le bouton de la chemise d’un autre homme qui ne le lui demande pas, en direct à la télévision. L’on ne touche pas les gens s’ils n’en ont pas envie ! Si l’on ne fesse pas les joues de ce malappris, la prochaine fois ce n’est pas le col qu’il tripotera, mais la braguette !
La Chambre Criminelle de la Cour de Cassation a jugé le 3 mars 2021 (n°20-82.399) que « l’atteinte sexuelle qui caractérise le délit d’agression sexuelle prévu par l’article 222-22 du code pénal suppose un contact physique entre l’auteur et la victime ; le caractère sexuel d’une caresse peut être déduit de la manière dont elle est effectuée et du contexte dans lequel les faits se sont déroulés. »
Ainsi, les caresses et autres comportements tactiles d’Emmanuel Macron auprès des athlètes français qui ne le sollicitent pas relèvent de la définition de l’atteinte sexuelle sur autrui.
Rappelons l’analyse du psychiatre italien Adriano Segatori : « Loin de la « romance à l’eau de rose » entre une professeure et son élève, il s’agirait plutôt d’un « mariage réparateur » d’un viol, l’acte en soi ayant empêché Emmanuel Macron de grandir de façon normale et l’aurait transformé en un « enfant dans un corps d’homme ». Selon lui, la source de la psychopathie du président français est donc liée à un problème de pédophilie. Et, ce dernier ayant dépassé « les tabous » en se mariant avec sa professeure de théâtre de 24 ans son aînée, il est devenu omnipotent : plus rien ne pouvait l’arrêter. Si bien qu’il ne voit pas de problème à favoriser les personnes qui l’aiment et lui obéissent, tout en détruisant ceux qui lui résistent. « Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant », avance le professeur. »
Si les faits que nous reprochons à Emmanuel Macron relèvent de l’article 222-27 du code pénal (« Agression sexuelle commise sur une personne majeure »), l’agression qu’il a subie lorsqu’il était âgé de 14 ans par son professeur de théâtre aujourd’hui connu sous le nom de « Brigitte Macron » constitue une « atteinte sexuelle sur un mineur de quinze ans » (article 227-25 du code pénal). Cet âge de 14 ans est précisé par Libération dans une entrevue avec Emmanuelle Anizon) : le « couple s’est connu alors qu’Emmanuel Macron avait 14 ans ». Ces faits pourraient constituer une circonstance atténuante, mais en tout cas ne sauraient justifier une telle attitude.
Emmanuel Macron est irresponsable, même après son mandat, des actes qu’il accomplit en qualité de Président. Pour les actes qui ne relèvent pas de l’exercice de ses fonctions présidentielles, il bénéficie d’une « inviolabilité temporaire » le temps de son mandat.
Cependant, ce n’est pas parce qu’Emmanuel Macron, lui, est « inviolable » qu’il faut accepter qu’il commette publiquement des atteintes sexuelles sur les autres, qui contraints d’ailleurs par son statut de président de République, ne peuvent pas s’en défendre.
Rappelons qu’en 2023, Luis Rubiales, président de la Fédération espagnole de football, avait été suspendu par la FIFA après avoir embrassé de force Jenni Hermoso lors de la finale de la Coupe du monde féminine de football.
Pour protéger nos athlètes et faire cesser le comportement public tactile & malaisant d’Emmanuel Macron qui fait honte internationalement aux Français : Signez la pétition ».
Jeanne Aymar de Pecqueron
Jeanne Aymar de Pecqueron avait jadis initié une pétition Pour une commission d’enquête parlementaire sur Mme Brigitte Macron, visant à laver la Première dame des ignobles rumeurs transphobes colportées à son sujet par des « vermines » et autres « cafards », selon les dires de l’immense journaliste de TF1 Alba Ventura.
Cette pétition a inspiré un article magistral à Xavier Azalbert de France-Soir : « Honni soit qui « mâle » y pense ».
© altersexualite.com, 2024
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Voir en ligne : Signer la pétition en ligne Rechercher :
Source : altersexualite.com
Lire également : France Soir – Honni soit qui « mâle » y pense : Macron rend mal à l’aise avec ses gestes qui s’apparentent à des attouchements sans consentement ?
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