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Persistance de la protéine S1 du CoV-2 du SRAS dans les monocytes CD16+ des séquelles post-aiguës du COVID-19 (PASC) jusqu’à 15 mois après l’infection

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Bruce K Patterson¹, Edgar B Francisco¹, Ram Yogendra², Emily Long¹, Amruta Pise¹, Hallison Rodrigues¹, Eric Hall³, Monica Herrera³, Purvi Parikh⁴, Jose Guevara-Coto^{5 6}, Timothy J Triche⁷, Paul Scott⁷, Saboor Hekmati⁷, Dennis Maglinte⁷, Xaiolan Chang⁸, Rodrigo A Mora-Rodríguez⁵, Javier Mora⁵

Affiliations

PMID: 35082777
PMCID: PMC8784688
DOI: 10.3389/fimmu.2021.746021

Free PMC article

Résumé

La récente pandémie de COVID-19 constitue un défi thérapeutique au stade de l’infection aiguë, mais la reconnaissance de symptômes chroniques de COVID-19, appelés séquelles post-aiguës de l’infection par le SRAS-CoV-2 (PASC), pourrait toucher jusqu’à 30 % de toutes les personnes infectées. Le mécanisme sous-jacent et l’origine de cet état immunologique distinct, trois mois ou plus après l’infection initiale, ne sont toujours pas élucidés. Nous avons étudié la présence de la protéine S1 du SRAS-CoV-2 chez 46 personnes. Nous avons analysé les sous-ensembles de lymphocytes T, de lymphocytes B et de monocytes chez les patients atteints de COVID-19 grave et chez les patients présentant des séquelles post-aiguës de COVID-19 (PASC). Les niveaux de monocytes intermédiaires (CD14+, CD16+) et non classiques (CD14Lo, CD16+) étaient significativement élevés chez les patients PASC jusqu’à 15 mois après l’infection aiguë par rapport aux contrôles sains (P=0,002 et P=0,01, respectivement). Un nombre statistiquement significatif de monocytes non classiques contenaient la protéine S1 du SRAS-CoV-2 chez les patients sévères (P=0,004) et les patients PASC (P=0,02) jusqu’à 15 mois après l’infection. Les monocytes non classiques ont été triés chez les patients PASC par cytométrie de flux et la présence de la protéine S1 du SRAS-CoV-2 a été confirmée par spectrométrie de masse. Les cellules de 4 des 11 patients COVID-19 sévères et de 1 des 26 patients PASC contenaient des cellules mononucléaires du sang périphérique ddPCR+, cependant, seul de l’ARN SARS-CoV-2 fragmenté a été trouvé chez les patients PASC. Aucune séquence complète n’a été identifiée, et aucune séquence pouvant expliquer la protéine S1 observée n’a été identifiée chez aucun patient. Le fait que les monocytes non classiques puissent être une source d’inflammation dans le cas du PASC justifie une étude plus approfondie.

Mots clés : CCR5 ; COVID-19 ; PASC ; protéine S1 du CoV-2 du SRAS ; fractalkine ; monocytes non classiques.

Déclaration de conflit d’intérêt

BP, AP, HR, EL et EF sont des employés d’IncellDx, Inc. TT, PS, SH et DM sont des employés d’Avrok Laboratories, Inc. Les autres auteurs déclarent que la recherche a été menée en l’absence de toute relation commerciale ou financière qui pourrait être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Article original en anglais ici : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35082777/

10 Réponse(s) à "Persistance de la protéine S1 du CoV-2 du SRAS dans les monocytes CD16+ des séquelles post-aiguës du COVID-19 (PASC) jusqu’à 15 mois après l’infection"

Minus Habens dit :

8 juin 2022 à 7 h 09 min

Je connais personnellement et de près plusieurs personnes d’âge moyen (entre 40 et 60 ans) en bon état physique (non injectées) qui ont contracté la maladie en 2020 / début 2021 et qui ont littéralement failli y laisser leur peau.
Deux d’entre elles manifestaient cycliquement des symptômes très invalidants (fatigue extrême, poussées de fièvre, brouillard mental, amnésie temporaire, etc) plus d’un an après le pic de la maladie. Il semblerait que ces phénomènes aient fini par cesser à la date d’aujourd’hui.
Sans aller jusqu’à ces extrêmes, j’en connais d’autres que la maladie (raisonnablement identifiable au covid puisque l’agueusie et l’anosmie étaient présentes parmi les autres symptômes connus, dont un taux de saturation en oxygène inférieur à la normale), a très sérieusement éprouvés.

Dans ces conditions, entendre et lire des affirmations du type « le covid est une grippette », « le covid est une maladie médiatique », « le covid n’existe pas », « le covid long est une maladie mentale », etc. est proprement insupportable. Des médecins de « plateau alternatif » même se risquent à prononcer parfois de telles paroles de café du commerce.

De deux choses l’une.
Ou bien l’on a affaire à des agents de désinformation dans leurs œuvres, leur but étant de ridiculiser et décrédibiliser les combattants de la résistance contre l’opération covid par la réduction sous-entendue à » voyez ce sont les mêmes fous qui disent que la terre est plate ! « .
Ou bien, ce sont de dangereux inconscients (pour ne pas dire plus), qui répètent bêtement mais non sans conséquences néfastes, les paroles soufflées par les premiers, appelés par Volkoff « agents d’influence ».
Il faut savoir qu’il existe de multiples sites d’apparence sérieuse qui décrivent des vérités scientifiques ou théologiques dérangeantes, mais auxquelles ils mêlent (à petite dose, et c’est suffisant) les extra-terrestres ou la platitude de la terre.

Oui, le monde est dangereux. Le métier de guerrier de la vérité exige toutes les qualités du guerrier, dont une prudence extrême et une vraie formation (avec des livres, pas des « vidéos », armes d’influences conçues au départ pour atteindre les illettrés (même si certaines sont pertinentes).

Je renvoie une fois de plus aux 6 ou 7 ouvrages classiques de Vladimir Volkoff, aux conférences de Youri Bezmenov, Pierre Nord, Marcel de Corte, etc.

M. H.

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1. Lipper dit :
  
  8 juin 2022 à 8 h 46 min
  
  Vous semblez oublier le plus important dans vos élucubrations : Ce qui a conduit à ce que vous tenez pour vrai, c’est uniquement le REFUS, l’INTERDICTION de soins !
  Interdiction de soigner, les médecins qui ont osé guérir leurs patients se sont retrouvés poursuivis, et le sont encore, par le conseil de l’ordre ! Suspendus, radiés pour avoir osé défier la propagande dictatoriale qu’on nous sert encore aujourd’hui !
  Ce que ne nous dit pas cette étude sur 46 patients c’est s’ils ont été injectés ou pas !? Le refus de reconnaître les dégâts de ces injections est hallucinant !
  
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  1. Minus Habens dit :
    
    8 juin 2022 à 13 h 24 min
    
    Cher ami, il est inexact d’affirmer que « c’est uniquement le REFUS, l’INTERDICTION de soins ! »
    
    C’est LA CONJONCTION de :
    
    – L’INFECTION PAR LE VIRUS DU COVID, qui, entre autres joyeusetés contient des séquences du HIV, de la malaria, etc. Cf. les brevets découverts par le Pr. Fourtillan, ils sont en ligne sur verite-covid19.fr (oublier les bêtises qui figurent par ailleurs sur ce site).
    ET
    – LE REFUS DE SOINS, qui est sans conséquence sur un bien-portant (!).
    
    Dans les cas que j’ai indiqué, aucun n’avait été injecté. Dans les cas gravissimes, les proches ont fini par se procurer de l’hydroxychloroquine, mais trop tard. Les malades n’ont reçu que vitamines D et C ainsi que du zinc. Ils ont refusé d’être hospitalisés. Dans les cas moins sévères deux ont été hospitalisés à leur demande au bout d’un certain temps. Ils y ont reçu des antibiotiques et de la cortisone, placés sous oxygène, un seul a été intubé quelques jours.
    
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    1. Irea dit :
      
      8 juin 2022 à 14 h 06 min
      
      Donc manquement de soins dès les premiers symptômes ( Macrolide + Ivermectine par exemple, associées au Zn, Vit C et D, Aspirine)
      Et éventuellement un peu d’oxygène à domicile, avec surveillance de la Sat et de divers autres paramètres par un médecin compétent
      
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2. Superman dit :
  
  8 juin 2022 à 10 h 11 min
  
  Cher M.H.
  
  Permettez moi de vous faire observer qu’il n’existe pas seulement 2 solutions comme vous l’affirmez dans votre démonstration mise en exergue par votre « de 2 choses l’une »…
  
  Bien mal m’en prendrait de vous imposer ma vision, par ailleurs.
  
  Mais, si cela peut initier une lueur de considération à votre réflexion, l’exosome du Sars a permis, et permet, de remettre en cause ce que nous qualifions de « bonne santé »… Tous, nous avons dans notre entourage, des sportifs, des coriaces, des endurants… qui manifestent une défaillance durable depuis l’apparition de cette maladie, nommée COVID par l’OMS.
  
  Cependant, les conséquences d’infections provoqués par d’autres bactéries ou « virus » plus classiques, nous laissent systématiquement des traces, parfois sur du long terme, parfois à vie (angines, grippes). Mais comme nous avons été fortement sensibilisés par la médiatisation abrutissante de la « star » Covid (lorsque Tedros Adhanom Ghebreyesus avait épelé le nom C.O.V.I.D, tout le monde avait failli applaudir, souvenez-vous..), tout le monde est focalisé sur les effets, très contraignants pour certains, c’est évident.
  
  Ces conséquences de maladie à long terme n’existeraient pas dans un monde où nous aurions un autre rythme de vie, d’alimentation, et de considération d’autrui… C’est très utopique, certes, mais nous sommes malades parce que nous ne savons pas « vivre » selon Hippocrate et les pères de la médecine grecque..
  
  Le corps humain, dans sa conception, est pourvu d’un extraordinaire potentiel d’adaptation et de régénération externe mais également interne, n’en doutons pas. Ses filtres internes et ses cellules, pour ne citer que ces fonctions parmi tant d’autres, lui permettent même de survivre en cas de contamination par les plus puissants poisons (foie, vésicule et par extension, son mécanisme d’autophagie – processus récompensé du prix nobel en 2016 – PR. Yoshinori Ohsumi).
  L’hypothèse est donc, qu’il ne s’agit pas de faire du sport, de manger bio et de « paraître » en forme pour démontrer le bon fonctionnement de nos organes, sans vouloir être péjoratif, pardonnez moi. La question est : connaissons nous le véritable mode d’emploi du corps humain et toutes ses interactions avec le milieu subtil avec lequel il échange constamment? connaissons nous les réels tenants et aboutissants de l’existence de nos cellules et de leur fonctions?
  
  Je ne prétends pas avoir les réponses; mais j’ai pu observer concrètement l’extraordinaire capacité du « corps » à pouvoir guérir, par certaines pratiques simples, alors que la médecine scientifique « contemporaine » n’a pas su apporter un seul début de solution… (Et je ne vous parle pas de charlatanisme de bas étage ou de pseudo gourou guérisseur jouant du tambourin… )
  
  Cette même médecine traditionnelle, qui à ce jour n’en sait pas plus sur ce fameux Covid, devrait à mon sens, profondément se recentrer sur le fonctionnement simple de nos organismes avant d’émettre des hypothèses qui se contredises et qui n’apportent que crainte d’un côté, ou faux espoirs, de l’autre, en ne misant que sur le salut de traitements ou protocoles extérieurs… Et je crois que nous sommes d’accord, ce ne sont pas les vaccins qui ont permis de nous en débarrasser.
  
  Le covid a remis en doute beaucoup de convictions et en a renforcé d’autres.
  Le « guerrier de vérité » comme vous le nommez, s’il se trompe de chemin, rallonge la durée de sa quête, mais en sortira plus fort, c’est incontestable. La Voie directe n’en est que plus ardue.
  
  Mais tout ça ne reste qu’un humble avis…
  
  Bonne route l’ami!
  
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  1. NiRougeNiBleu dit :
    
    8 juin 2022 à 11 h 17 min
    
    ————Périclès
    
    Périclès fût un fourbe pirate et voleur d’or,
    l’équivalent du mix Henry Morgan et Leon Blum,
    principal voleur de l’or de la banque d’Espagne avec (guillemets) « Stalin », Douglas et quelques autres tera-mafieux génocidaires BIS@Basel (cf. BIS@Château d’OEX 1941 à 1945) dont membres du PCF GeW.
    ————-
    ———— Hippocrate
    
    Cette ordure toxique, receleur de parties du pillage des Jérusalem (c. Papyrus Ebers à titre d’exemple), était un asiatique du même Tonneau Wèi.Ɔⵕ (YH.WH, May®∇) que 伯里克利 ( Περικλής / Périclès » )
    Ce brigand Hippocrate type patrons de Microsoft, Big Pharma ( Pfizer, Moderna, Astr »a Zeneca, etc.) n’était pas plus médecin que vétérinaire, le qualifier « Père de la médecine » est une tartufferie satanique (joyeuse galéjade GeW) particulièrement arrogante et méprisante à l’encontre des Ɔ𐌠ⵕ à l’identité maquillée GOy
    
    Répondre
    1. Minus Habens dit :
      
      8 juin 2022 à 13 h 44 min
      
      Merci pour votre témoignage sur Hippocrate remettant les pendules de l’idéologie à l’heure du réalisme.
      Tiens, je vais vous « renvoyer l’ascenseur » (© Bernard Tapie !).
      La fameuse « vraie démocratie » des Athéniens du V° siècle av J-C dont on nous rebat les oreilles, était finalement assez proche de la prétendue « fausse » d’aujourd’hui (attention, il est nécessaire d’être vacciné pour regarder les images !) :
      
      https://www.henrymakow.com/2016/11/athens-cradle-of-pedophilia.html
      
      M. H.
      
      P.S. J’avais omis de remercier PG pour la publication de cet article, fort opportun. C’est fait.
      
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    2. Superman dit :
      
      8 juin 2022 à 23 h 15 min
      
      Ok, Encore un délire incompréhensible, et?…
      Quel est le message ?
      Quelle lumière mettez vous dans le cœur de ceux qui vous lise ?
      Je commence à croire, cher Nirouge nibleu que vous souffrez d’un déséquilibre certain.
      Je ne vous juge pas, mais pourrais je me permettre de vous suggérer de vous faire accompagner psychologiquement ?
      Vous comprendrez sans doutes l’assertivité dont je fais preuve comme nous sommes entre chercheurs sincères de la Vérité ?
      
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3. bernard dit :
  
  8 juin 2022 à 19 h 18 min
  
  Minus Haben
  
  Ces gens que vous connaissez ont surement pris le vaccin anti grippe ou d’autres vaccins !
  
  Toutes les personnes que je connais qui ne se sont jamais vaccinés aucun n’a été malade covid !
  
  Il y en a qui font des crises de détoxination plus ou moins sévère selon leur alimentation et donc , sont fiévreux , mais ça n’a rien à voir avec vos virus imaginaires dont on vous à bourré le crane !
  Vivement que vous dégagiez tous afin que les gens intelligents puissent à nouveau vivre normalement !
  Allez cherchez toutes vos doses prescrites ainsi que celle de la variole du singe et puis celle de Marburg et foutez la paix au gens normaux et équilibrés ! bandes de dégénérés !!
  
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4. archie bald dit :
  
  8 juin 2022 à 20 h 29 min
  
  Je pense que vous avez raison de vous interroger sur la gravité de la maladie et ses séquelles. Mon expérience personnelle mérite peut être d’être partagée, tant elle est inhabituelle. Sans facteurs de risques, je ne me soigne habituellement pas, attendant que ça passe en cas de crève. Je ne prends même pas d’aspirine ni de calmants.
  
  Début 2020, j’ai été malade comme un chien, comme jamais de ma vie. Avant l’épidémie en fait. Après des symptômes grippaux sévères, y compris pulmonaires, que j’ai du traiter avec des inhalations puisque je ressentais carrément une détresse respiratoire, j’ai fini par en sortir vers 10 jours mais pour entrer dans quelque chose de plus grave.
  
  De fortes douleurs, invalidantes au point de m’empêcher de me dresser ou de marcher! J’ai une zone inflammatoire à la colonne vertébrale suite à un vieil accident mais les crises ne se produisent que rarement, jamais aussi violemment et avec un facteur déclenchant, comme un excès de sport violent, du bricolage sans précautions… Là rien. Une véritable tornade inflammatoire m’a cloué sur place. On peut dire que j’en ai bavé.
  
  Après encore 2 semaines, j’ai sorti les béquilles pour aller voir mon médecin. 30 minutes de calvaire pour parcourir 800 mètres… On parlait alors à peine de COVID et nous n’avons pas fait le lien. Il a fallu encore 2-3 semaines pour que les dernières douleurs disparaissent. On est entré en confinement mais je n’étais plus malade.
  
  En novembre 2020, rebelotte. La même chose exactement, mêmes symptômes mais en moins intense. Je n’avais pas été malade en 15 ans. Là, deux fois la même année. J’ai évité les béquilles mais c’était quand même violent et presque aussi long.
  
  Avril 2021: idem. symptômes grippaux plus courts et épisode inflammatoire long et intense. Durée environ 6 semaines. Du jamais vu. Ca fait 3.
  
  Début novembre 2021, j’ai un genre de grippe foudroyante qui me colle au lit crevé avec 40 de fièvre. 24 heures après, la fièvre tombe et les symptômes s’atténuent tous sauf une fatigue extrême. Je crois que je suis en train de guérir. En fait cela s’aggrave: je vais de nouveau être cloué au lit, cette fois sans douleur mais juste incapable de bouger, de me lever, même de m’alimenter. Je perds 12 kg en 4 semaines: de 85 à 73. Je n’ai pourtant pas grand chose à perdre. Mon frigo ne sert pas pendant 3 semaines: mes ferments meurent tous : yaourt, levain, kefir… je n’ai même pas consommé ce qui restait.
  
  En décembre, je m’estime guéri et reprends la nourriture; sauf que je passe chaque matin par mal de gorge, toux et douleurs faciales: les sinus. Il faut plusieurs heures, chaque jour, pour que cela s’éclaircisse. Je ne me soigne toujours pas. J’ai repris mon activité mais cela va durer un mois.
  
  Je décide que j’ai une infection des sinus, probablement opportuniste et entreprends de traiter localement: lavages et huiles essentielles… miracle : les pb ORL disparaissent. Je ne dois cependant pas lâcher l’entretien des corps caverneux, sous peine de rechute. Six mois après j’en suis encore là mais c’est sous contrôle. Comme je ne veux pas d’antibiotiques et que les services d’imagerie ne répondent plus, je vais en rester là. C’est gérable et j’ai découvert plein de choses qui compensent largement la nouvelle routine des sinus. On apprend sans cesse…
  Ca fait donc 4 .4 maladies inédites, violentes, invalidantes et souvent douloureuses.
  Moralité, je n’ai jamais été aussi malade. Aussi violemment, avec des symptômes aussi bizarres, multiples et douloureux. Je ne suis pas le genre hypocondriaque et mon médecin me connait à peine. Cela dit, force est de constater que j’ai pris branlée sur branlée, sans en soupçonner l’origine.
  
  Sinon une saleté bizarre jamais rencontrée avant dans ma vie, qui m’aurait infecté en février 2020. J’en subirais depuis séquelles et rechutes, sous des formes bizarres, exotiques.
  
  Je ne doute absolument pas que si j’avais contacté un hôpital, dans chacun des 4 cas, je serais ressorti les pied devant, sous respirateur et en soins « compassionnels ». Mon absence habituelle de recours au médecin m’a certainement sauvé la vie. Si j’avais été dénoncé ou aidé par des personnes bien intentionnées, j’y serais resté aussi. Heureusement, quand je suis malade, je m’isole, me mets à la diète et ça passe en 2-3 jours. Là ça durait des semaines mais je suis têtu…
  
  Ca n’a jamais été aussi dur ni aussi bizarre; je ne doute plus d’un truc inhabituel, genre une saleté artificielle répandue dans la population. Ce serait donc une attaque militaire biologique commise par des Américains sur la population Française. Du terrorisme d’état.
  
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