Passe sanitaire en Israël : les manifestants de Tel-Aviv l’ont comparé à l’étoile jaune
Beaucoup ont critiqué le fameux point Godwin franchi par des manifestants en France, y compris plusieurs youtubeurs pourtant contestataires. Il faut croire que le politiquement correct fait son chemin insidieusement dans les esprits. S’il peut être excessif – pour le moment – de comparer ce qui se passe aux camps d’extermination de l’époque nazie, qui sait jusqu’où cela ira en fin de compte ? En tout cas, les accusations de discrimination et de ségrégation voire d’apartheid (qui n’est jamais qu’une politique de ségrégation, soit exactement ce qui se présente en ce moment) sont tout à fait fondées, et d’autant plus dans une perspective de provocation à la réflexion et à la méfiance quant à ces dérives pseudo-sanitaires. Je considère donc que ceux qui se laissent « choquer » par ces références sont encore largement perméables à l’idéologie du politiquement correct qui aboutit à interdire la caricature, la satire, et pourquoi pas l’humour ? « Loxosceles
Le court texte qui suit concerne ce qu’Israël a nommé le « passeport vert » — pour ne pas voir à dire passe sanitaire et qui devrait plutôt être nommé « passeport ségrégationniste » — et les manifestations qui en ont résulté, notamment à Tel-Aviv en février dernier. Depuis, l’utilisation de ce « passeport » de la honte avait été levé, mais selon un article publié dans The Jerusalem Post au début du mois, les autorités israéliennes prévoient de le remettre au goût du jour si les citoyens d’Israël ne font pas assez d’efforts pour contenir la « pandémie ». Autrement dit, si les citoyens ne se mettent pas en ligne pour se faire injecter une 1re, une 2e, une 3e « dose », et peut-être bien ensuite une 4e…
Les « cas » augmentent en Israël, dans le pays où l’on compte le plus d’habitants vaccinés au monde, et les mesures restrictives — masques, distanciation sociale, etc. — pointent là-bas à nouveau le bout de leur nez. À noter, que selon le même article du The Jerusalem Post mentionné plus haut, Israël comptait au 4 juillet dernier encore environ 1 million d’injections Pfizer à inoculer presto sous peine que la date de péremption de ces produits expérimentaux ne soit dépassée et qu’il faille tous les jeter à la poubelle. Pour éviter une telle « perte », le gouvernement israélien a demandé au laboratoire Pfizer de repousser cette date d’utilisation, mais Pfizer a refusé. Est-ce la raison pour laquelle le gouvernement israélien prévoit d’injecter une troisième dose de cette substance expérimentale, en priorité aux personnes immunodéprimés ? Et puisqu’il leur faut vacciner plus de monde, les enfants devront y être très certainement soumis aussi plus largement ; sur les 570 000 enfants âgés de 12 à 15 ans qui vivent en Israël, 110 000 ont, au 4 juillet dernier, reçu au moins une première injection.
Pour revenir sur la polémique qui voudrait que toute contestation se termine par se faire traiter d’antisémitisme, afin de diaboliser un mouvement légitime, il nous a paru essentiel de revenir sur les manifestations de février en Israël.
En effet, lors de la manifestation pro-liberté à Tel-Aviv, les manifestants n’hésitaient pas à désigner le passeport vert (comme on l’appelait à cette époque) comme l’étape qui menait à l’étoile jaune que les Juifs devaient porter afin d’être identifiés, dans l’objectif de leur interdire d’entrer dans les restaurants, magasins, cinémas… La discrimination a commencé de cette manière, puis est venu le moment du marquage au bras.
Source : Le Média en 4-4-2
Source : Sott.net
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