Parents & Citoyens France : Témoignages de parents

Eva :
Je suis maman de 2 enfants : 6 ans et 3 ans.
Avant la naissance de mes enfants j’étais déjà très méfiante envers l’industrie pharmaceutique et la plupart des médecins en France (car ils soignent les symptômes, avec plein de médicaments, et ne cherchent pas la cause). En revanche, mon époux est pour les vaccins, mais uniquement pour DTP, car il a très peur de ces 3 maladies.
Après la naissance de notre fille ainée, j’ai réussi à résister à la pression de mon mari jusqu’au 3 ans de l’enfant. Mon mari est fils de médecins, ceux-ci nous faisaient subir également beaucoup de pression. Par contre, notre pédiatre était très bien. Elle nous a expliqué, pour chaque maladie, les risques liées à la maladie et les risques du vaccin, elle avait son propre avis sur la vaccination et était contre la vaccination obligatoire. Même si elle a insisté sur un très faible risque d’attraper les maladies tétanos, poliomyélite et diphtérie et sur un risque plus important de la vaccination du fait de présence de l’aluminium, mon époux n’était pas convaincu. Nous avons donc fait un compromis: nous ne faisons pas tous les vaccins obligatoires, mais uniquement le DTP
Malheureusement, il n’existait pas de DTP pour l’âge de notre fille (3 ans et 2 mois). Nous avons donc fait le Tétravac acellulaire. La première injection s’est bien passée, notre fille a juste été fatiguée le soir. Après l’injection, notre pédiatre avait appliqué un cataplasme d’argile verte. La 2ème injection, notre fille ne voulait pas la faire. Mais ça a été fait quand même. Par contre, il était impossible de lui appliquer le cataplasme d’argile.
Le soir au moment de se coucher, notre fille a commencé à hurler. Rien ne pouvait la consoler. Elle a hurlé pendant 4 heures et ensuite elle a eu une insomnie toute la nuit. Le lendemain nous avons appelé notre pédiatre qui a dit que c’était dû au vaccin, mais que ça allait s’estomper. J’ai également fait le signalement à la pharmacovigilance. Je précise que c’est assez compliqué et on a l’impression que c’est fait pour décourager ceux qui veulent signaler un problème. A la pharmacovigilance ils m’ont confirmé que c’était bien un effet du vaccin.
L’effet restait très fort pendant une semaine : donc hurlement et insomnie. Ensuite ça a commencé à diminuer progressivement. Mais les symptômes de l’autisme qui étaient déjà présents chez notre fille, se sont multipliés. Et ces symptômes sont toujours là, à 6 ans passés.
Notre 2ème fille a 3 ans et 2 mois aujourd’hui. Elle n’est pas vaccinée. Mon mari ne parle pas du tout de vaccination, ses parents non plus. Mais mon mari continue à avoir très peur du tétanos, polio et diphtérie.
Concernant l’école. Pour ma grande, la directrice de l’école nous a beaucoup harcelés pour avoir tous les vaccins. Elle nous a menacés de faire remonter notre cas à l’académie. Ensuite la pass sanitaire est arrivé et cette directrice ne s’est pas vaccinée contre le Covid. Elle nous a donc lâchés avec les vaccins de notre fille. On va voir pour la 2ème fille qui va entrer à l’école en septembre.
Concernant les soins. Notre pédiatre n’étant pas vaccinée contre le Covid, ne pouvait plus exercer. Nous avons donc changé de pédiatre. Le nouveau est très bien, mais il a dit dès le premier rendez-vous : « j’aurais pu vous dénoncer car vos enfants ne sont pas vaccinés, mais je ne le ferai pas ». Depuis, à chaque visite, il parle des vaccins, me fait une ordonnance pour les vaccins. Il n’est pas menaçant, mais la pression est forte et présente.

Je voulais également évoquer un épisode. Quand notre grande fille allait sur ses 2 ans, elle a eu la roséole. Nous ne connaissions pas cette maladie et avons eu très peur quand notre fille a eu les éruptions partout et était très très fatiguée. Notre pédiatre ne travaillait pas au cabinet ce jour là. Et nous ne voulions pas aller aux urgences, car c’était en plein Covid. Nous avons donc cherché un autre médecin et nous sommes tombés sur une secrétaire qui nous a dit que justement il y a un créneau le jour même avec une pédiatre. La secrétaire a commencé à prendre nos coordonnées et a demandé notamment si notre fille avaient tous les vaccins. Mon mari qui était au téléphone a répondu que non, aucun. La secrétaire a dit que dans ce cas la docteur ne pouvait pas nous recevoir. Mon mari a bien insisté que notre fille était très mal et qu’on ne voulait pas aller aux urgences en plein Covid. La secrétaire refusait toujours. Comme le ton montait, c’est la pédiatre en question qui a pris le relais. Elle a confirmé qu’elle ne recevrait pas notre enfant car non vaccinée. Mon mari a dit qu’elle n’avait pas le droit. Sur quoi la docteur a répondu que si mon mari insiste, elle allait nous dénoncer. Mon mari a demandé : dénoncer à qui ? Et la docteur a raccroché.
Nous avons porté plainte à l’Ordre de médecins pour plusieurs articles (nous avons été aidés bénévolement par une association). Quand je suis venue témoigner à l’ordre des médecins, le médecin qui s’occupait de notre affaire insistait beaucoup pour savoir si notre fille était maintenant entièrement vaccinée et il affirmait que la docteur avait bien fait de ne pas nous recevoir. La docteur en question n’était pas venue à cette séance.
Plus tard nous avons reçu un épais dossier avec la réponse de l’Ordre de Médecins, disant que la docteur n’a rien fait de mal et que l’affaire était transmise au tribunal. Dans le dossier nous avons trouvé le témoignage écrit de la docteur et de sa secrétaire. Elles affirmaient toutes les 2 que mon mari était contre les vaccins, qu’il l’avait dit au téléphone. C’est faux bien évidemment. Les deux femmes affirmaient également que c’est mon mari qui avait raccroché. La docteur écrivait également que notre enfant était en danger et qu’il fallait absolument le signaler. L’association qui nous aidait nous a conseillé de retirer notre dossier du tribunal, car comme c’était parti, on allait perdre et payer plus de 2 000 euros de frais. C’est ce que nous avons fait, avec beaucoup de regret.
Nous avons appris par la suite que cette docteur a fait subir beaucoup de pression et de menaces aux autres parents, notamment quand il y avait un retard de vaccination sans que les parents ne soient contre les vaccins.

Sabine :

Je suis une petite fille 6 et demi née en Août 2017 naissance normale sans aucune complication et en bonne santé.
Dès la naissance ne présentait aucune anomalie.
Je soupçonne que les 2 premiers vaccins Prevenar13 lui avoir causée des troubles aux niveaux du système du neuro dévelopemmental et à 10 mois nous avons constaté qu’elle secouait la tête : on pensait que c’était une manifestation de joie, Elle a commencé à marcher tardivement elle n’écoutait pas elle écrivait partout sur les murs et jouait dans les toilettes elle jetait par la fenêtre des objets elle n’était pas consciente du danger ex : un jour dans un parc je regardais ailleurs tout d’un coup , elle disparait on l’a retrouvée de l’autre côté de la route heureusement que c’était un dimanche, il y avait beaucoup de monde.
A 2 ans elle ne parlait toujours pas et elle avait les lésions d’eczéma de la peau.
Nous avons consulté son pédiatre pour le langage; qui disait que c’était normal jusqu’à la maternelle. Elle avait effectué un test d’audition mais n il y avait rien d’anormal. Pour l’eczéma elle ne savait pas trop si c’était l’eczéma ou la gale et elle n’a pas souhaité pousser les recherches plus loin donc elle avait prescrit 2 crèmes une pour l’ éczéma et l’autre pour la gale à base de cortisone.
Et à 3 ans le doute persistait , il n »y avait aucune évolution au contraire.
Comme j’étais dans le déni, je ne voulais pas entendre ni reconnaître que ma fille était autiste.
La pédiatre nous a envoyés alors chez l’orthophoniste et à ce moment-là, cette dernière nous a demandé de faire un diagnostic de Tsa à l’hôpital Colombiere à Montpellier. Le verdict tombe, ma fille avait un autisme lourd son niveau mental a été estimé à un enfant de 3 mois
Quand la directrice du centre m’avait annoncé son handicap et que c’était lié à un problème génétique j’étais en larmes , je soutenais que ma fille était en bonne santé et que c’était la vaccination qui l’avait détruite et les services de santé étaient les seuls responsables .

Anapurna
Je suis maman d’une petite fille de 7 mois, elle a eu ces 2 premières injections à 3 mois et elle a réagit dans les minutes qui ont suivi par une brachycardie nette, elle est devenue très pâle, regard figé, le tour d’un œil est devenu tout rouge, la paupière a gonflé et est resté gonflée plusieurs jours.. depuis nous avons vu plusieurs docteurs et pédiatres qui mettent ça sur le compte d’une réaction à la douleur. Pour le docteur qui a procéder à la vaccination c’est plutôt une réaction allergique. Nous avons vu un allergologue qui ne trouve pas nécessaire de faire des tests, pour lui c’est un malaise vagal.
Aujourd’hui notre enfant n’étant pas en collectivités nous faisons le choix d’attendre et projetons de quitter la France, c’était déjà dans nos intentions avant ça, alors cela met un coup d’accélérateur à ce projet.
A force de recherches et lisant beaucoup de témoignages nous avons pris conscience de la dangerosité des injections intensives faite à nos enfants. Nous faisions confiance naïvement, cela nous a permis d’ouvrir les yeux.

Chloe :
Ma fille a reçu toutes ses injections(1) sans mon consentement. ( Son père voulait qu’ elle aille rapidement chez l assistante maternelle…. J étais contre.) Et en plus celui qu’on m a poussé à faire lorsque j étais enceinte contre la grippe en hiver 2018, car je travaillais à l hôpital.

Elle a eu des convulsions ( mais je ne me rappelle plus quand exactement ; je faisais une dépression post partum, tout est flou) elle a eu rapidement de l eczéma, des érythèmes fessiers. Puis a déclaré une allergie au pollen et au gluten. Aujourd’hui elle a 5 ans

(1) Hexyon + Prevenar 13 , 3 fois en même temps à 2 , 4 et 11 mois
Neisvac à 5 mois et 12 mois, la seconde dose le même jour que la première dose de Priorix, seconde dose à 18 mois

Clotilde :

Bonjour, je témoigne aujourd’hui en tant que parent. En tant que jeunes parents aux moments des faits, nous avons basculé dans les inquiétudes de la santé de notre nourrisson après des vaccins.
Nous sommes en avril 2016, ma fille a alors 6 mois et vient d’avoir sa 2ème dose des vaccins Prévenar13 et Infanrix Hexa.
La semaine qui a suivi ces deux injections, ma fille a des absences, elle a le regard dans le vide et ne répond pas à nos stimulations. Elle convulse dans son cosy lors d’un trajet en voiture. Nous allons aux urgences où une neuropédiatre la voit faire une de ces absences» mais notre fille ne reconvulsera pas à l’hôpital. Nous rentrons chez nous avec pour seule consigne de la filmer si cela se reproduit.
Puis, de nouveau, ma fille convulse chez nous dans les bras de son papa alors qu’elle prenait son biberon. Nous retournons donc aux urgences. La neuropédiatre la voit faire une nouvelle convulsion et nous demande de la filmer.
S’en suit une batterie d’examens : Scanner, IRM, EEG… le verdict tombe : votre fille est épileptique. Elle aura convulsé 3 fois et toujours sans fièvre. Elle restera hospitalisée 4 jours sans faire de crise supplémentaire.
Elle a 6 mois et est contrainte de prendre un traitement anti épileptique et a un suivi régulier avec la neuropédiatre. Elle prendra son traitement pendant 1 an et demi (de 6 mois à 2 ans) et ne fera aucune autre convulsion même après l’arrêt de son traitement.
Aujourd’hui elle a 8 ans et a été diagnostiqué dysphasique il y a 3 ans. Ce trouble durable du langage est lié au traitement anti épileptique qui a «endormi» ses neurones pendant une période où l’enfant développe son langage.
Nous ne saurons jamais si ce sont les vaccins qui sont la cause de ces convulsions. A ce jour, elle n’a jamais eu d’autres vaccins malgré des pressions du corps médical à chaque rdvs.

Chloë :

Quand mes deux plus jeunes avaient un an et deux ans le pédiatre a proposé le vaccin contre la coqueluche.
L’aînée, l’ayant eu assez forte, j’ai accepté pour leur éviter cette épreuve de trois semaines.
Au moment de leur vaccination, il n’y avait aucun cas de coqueluche dans les environs, ni à l’école de l’aînée (7ans).
Pourtant une semaine après la vaccination – fin septembre – elles ont toutes les deux déclenché la coqueluche et bien pire que celle de leur sœur. Leurs quintes de toux ont duré plusieurs mois.
Nous avons fini par aller à la mer durant les vacances de Pâques pour les changer d’air et espérer la fin des quintes. Pour une des deux ce fût terminé.
La plus jeune s’est mise à avoir des quintes qui se terminaient par des évanouissements. Un jour, elle a eu 5 évanouissements dans la même journée. Et là… c’était trop je l’ai emmenée chez une autre médecin. Et ce médecin homéopathe l’a guérie.

Après cette mésaventure très déplaisante et très fatigante pour tous, j’ai refusé tous les vaccins.

Depuis, je suis grand-mère et j’ai écouté les 8 vidéos de Thierry Casasnovas très bien sourcées au sujet des vaccins.

Récemment mon mari a acheté le livre « Les Tortues jusqu’en bas » qui démontrent à quel point les études des vaccins sont truquées…
Et ce livre – à lui seul – suffirait à abolir cette obligation vaccinale.
Voici les livres, ci-joint…

Jeanne :

Voici le témoignage concernant mon fils né en 2012.

Timoté est né sans soucis de santé et se développait normalement jusqu’à ce qu’il reçoive sa première double vaccination avec les vaccins Infanrix hexa et Prevenar13 et le soir même, il a fait 40°C de fièvre sauf que ça a duré 5 jours consécutifs, Dans le même laps de temps, il a perdu son éveil et son tonus de bébé acquis. Et 10 jours après les injections, il a démarré des sursauts à répétition, il s’avérait que c’était de l’épilepsie.
Son développement derrière ça, à été très long, s’en suit la visite médicale du 4 ème mois où j’évoquais ce qu’il se passait et la puéricultrice de la pmi, me disait qu’il fallait pas que je m’inquiète, que ça allait se remettre correctement. Sauf qu’en fait, ça s’est pas amélioré pour autant. Son éveil et son tonus étaient amoindris… J’ai alors décidé de passer par une pédiatre. Comme, elle voyait pas ce qu’il faisait, elle s’est pas inquiétée plus que ça….

A l’époque, j’étais trop naïve, pas assez de caractère pour dire stop, il y a un gros soucis, faites quelque chose…. il a reçu ses autres vaccins derrière ROR, Infanrix Quinta, Prevenar13. Puis vers ses 10 mois et demi, il a fait une convulsion à 38°C degrés. Il est parti en ambulance aux urgences. Les internes l’ont ausculté , et ont vu ce qu’il fasait. Ils m’ont alors posé des questions, je leur ai expliqué que ça avait commencé suite à sa première vaccination, ils m’ont dit que c’était une coïncidence et s’en suit une hospitalisation ( 14 jours), avec toute une batterie d’examens. EEG, prise de sang, test d’urine, et le verdict tomba avec épilepsie myoclonique du nourrisson, à partir de là, il a débuté un traitement avec prise en charge par un CAMSP pour l’aider dans son développement. Avec différents professionnels.
Une recherche génétique sera lancée aussi.
Timoté a su s’asseoir à 15 mois puis a marché à 2 ans. Et à partir de là, j’ai eu un déclic de dire STOP dès qu’il le fallait et de faire entendre de faire des examens pour son épilepsie fort présente.

A ses 1 ans et demi, il va faire une IRM, qui n’a révélé rien d’anormal , il a eu aussi un EEG de 24h, plus de 200 crises pointées entre sa journée et sa nuit… bref, la catastrophe….. on a jonglé sur différentes molécules.

Je quitte le Nord après la séparation avec son géniteur quand il avait 2 ans et 3 mois. J’arrive à Châtillon-sur-Seine (Côte d’Or) fin décembre 2014. Dijon, reprend le relais ensuite pour son suivit médical.
Première rencontre avec son neuropédiatre en mars 2015 et qui a demandé de refaire tout un bilan prise de sang, IRM, EEG, parcours génétique ( génome) et le verdict est tombé pour tout.

Encéphalopathie avec épilepsie sévère pharmaco-résistante et vers ses 3 ans le génome révélera une anomalie génétique sur un gène spécifique le ARHGEF9 , lié à l’X. Ce qui veut dire que c’est moi qui en était porteuse et un test familial a été fait. On sait que c’est une transmission de la mère à l’enfant uniquement. Cela fait partit des maladies infantiles rares du X fragile.

Moi, j’ai fais comprendre que certes Timoté avait son anomalie mais la vaccination lui a fait beaucoup de tort lors de sa première double injection. Il a évoqué de faire une déclaration pharmaco-vigilance mais il n’y a pas eu de suite.

Dans son développement cognitif, Timoté ne parle pas, il est hypotonique global et hyperlaxe ligamentaire, TSA, il est devenu propre à 7 ans et demi, il a des troubles de l’apprentissage, de la concentration, de comportements… il a dit son premier mot à 4 ans et 3 mois. Aujourd’hui, il ne dit que 8 mots. Dans son malheur, il marche et fait pleins d’activités physiques ( vélo, ballon, monter sur un skateboard,….)

Si j’avais eu cette niaque depuis le début, j’aurais réagit différemment dès le début.

Timoté ne connaîtra jamais le cursus scolaire lambda. Il est en IME pour déficience sévère.

Carole :

Voici le témoignage concernant mon fils Timoté né en 2012.

Timoté est né sans soucis de santé et se développait normalement jusqu’à ce qu’il reçoive sa première double vaccination avec les vaccins Infanrix hexa et Prevenar13 et le soir même, il a fait 40°C de fièvre sauf que ça a duré 5 jours consécutifs, Dans le même laps de temps, il a perdu son éveil et son tonus de bébé acquis. Et 10 jours après les injections, il a démarré des sursauts à répétition, il s’avérait que c’était de l’épilepsie.
Son développement derrière ça, à été très long, s’en suit la visite médicale du 4 ème mois où j’évoquais ce qu’il se passait et la puéricultrice de la pmi, me disait qu’il fallait pas que je m’inquiète, que ça allait se remettre correctement. Sauf qu’en fait, ça s’est pas amélioré pour autant. Son éveil et son tonus étaient amoindris… J’ai alors décidé de passer par une pédiatre. Comme, elle voyait pas ce qu’il faisait, elle s’est pas inquiétée plus que ça….

A l’époque, j’étais trop naïve, pas assez de caractère pour dire stop, il y a un gros soucis, faites quelque chose…. il a reçu ses autres vaccins derrière ROR, Infanrix Quinta, Prevenar13. Puis vers ses 10 mois et demi, il a fait une convulsion à 38°C degrés. Il est parti en ambulance aux urgences. Les internes l’ont ausculté , et ont vu ce qu’il fasait. Ils m’ont alors posé des questions, je leur ai expliqué que ça avait commencé suite à sa première vaccination, ils m’ont dit que c’était une coïncidence et s’en suit une hospitalisation ( 14 jours), avec toute une batterie d’examens. EEG, prise de sang, test d’urine, et le verdict tomba avec épilepsie myoclonique du nourrisson, à partir de là, il a débuté un traitement avec prise en charge par un CAMSP pour l’aider dans son développement. Avec différents professionnels.
Une recherche génétique sera lancée aussi.
Timoté a su s’asseoir à 15 mois puis a marché à 2 ans. Et à partir de là, j’ai eu un déclic de dire STOP dès qu’il le fallait et de faire entendre de faire des examens pour son épilepsie fort présente.

A ses 1 ans et demi, il va faire une IRM, qui n’a révélé rien d’anormal , il a eu aussi un EEG de 24h, plus de 200 crises pointées entre sa journée et sa nuit… bref, la catastrophe….. on a jonglé sur différentes molécules.

Je quitte le Nord après la séparation avec son géniteur quand il avait 2 ans et 3 mois. J’arrive à Châtillon-sur-Seine (Côte d’Or) fin décembre 2014. Dijon, reprend le relais ensuite pour son suivit médical.
Première rencontre avec son neuropédiatre en mars 2015 et qui a demandé de refaire tout un bilan prise de sang, IRM, EEG, parcours génétique ( génome) et le verdict est tombé pour tout.

Encéphalopathie avec épilepsie sévère pharmaco-résistante et vers ses 3 ans le génome révélera une anomalie génétique sur un gène spécifique le ARHGEF9 , lié à l’X. Ce qui veut dire que c’est moi qui en était porteuse et un test familial a été fait. On sait que c’est une transmission de la mère à l’enfant uniquement. Cela fait partit des maladies infantiles rares du X fragile.

Moi, j’ai fais comprendre que certes Timoté avait son anomalie mais la vaccination lui a fait beaucoup de tort lors de sa première double injection. Il a évoqué de faire une déclaration pharmaco-vigilance mais il n’y a pas eu de suite.

Dans son développement cognitif, Timoté ne parle pas, il est hypotonique global et hyperlaxe ligamentaire, TSA, il est devenu propre à 7 ans et demi, il a des troubles de l’apprentissage, de la concentration, de comportements… il a dit son premier mot à 4 ans et 3 mois. Aujourd’hui, il ne dit que 8 mots. Dans son malheur, il marche et fait pleins d’activités physiques ( vélo, ballon, monter sur un skateboard,….)

Si j’avais eu cette niaque depuis le début, j’aurais réagit différemment dès le début.

Timoté ne connaîtra jamais le cursus scolaire lambda. Il est en IME pour déficience sévère.

Claude :

Bonjour,
Suite à l’article paru dans Nexus,je tenais à réagir pour mettre en lumière la confusion (que certains entretiennent à dessein) entre vaccins obligatoires et les rappels recommandés .
De plus,beaucoup de professionnels n’ont pas les compétences de vérifier les vaccinations pour les enfants et s’arrogent le droit de priver des enfants de séjours en centres de loisirs sur une connaissance biaisée sur les obligations vaccinales.
Personnellement,un centre de loisirs avait refusé la candidature de mon fils sur le prétexte fallacieux qu’il n’était pas à jour de ses vaccinations.
J’ai pris contact avec la responsable de la structure pour lui rappeler les obligations vaccinales légales et le caractère recommandé des rappels .
Mon fils avait effectué les vaccinations légales mais n’avait pas effectué le rappel recommandé pour le DTP à 11-13 ans.
Il était donc totalement discriminatoire de lui refuser toute inscription au centre de loisirs .
Mon fils fut accepté dans la journée .
Fréquemment, je dois batailler avec des médecins qui remarquent l’absence de rappel pour mon fils et qui essaient de me forcer en laissant croire que le rappel est obligatoire .
J’ai même un médecin qui a essayé de me culpabiliser au cas où mon fils décéderait du tétanos.
Ces pratiques sont intolérables et doivent être dénoncées car beaucoup de parents n’osent pas s’opposer à un médecin .
Je vous souhaite une excellente journée .

Pour prendre contact ou témoigner :

Collectif Parents & Citoyens France

pa*********************@gm***.com.

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