Où va le monde ? Aujourd’hui, les États-Unis d’Amérique.

Introduction 

Chers lecteurs, je vous rappelle ma ligne éditoriale, inchangée depuis la naissance de ce blog, le 13 avril 2012 :

• Des analyses, qui s’appuient sur du bon sens et des faits, si dérangeants soient-ils. Je pense que c’est en nommant et en sachant les choses, qu’on peut les comprendre et donc mieux les gérer.
• Des écrits, dont je vous demande de ne pas croire un seul mot … mais de les vérifier !!! Je vous donne accès à mes sources, afin que vous puissiez forger Votre vérité, la seule qui compte à mes yeux.

Nous poursuivons la série consacrée à différents pays, acteurs du véritable changement de monde, en cours. Le format du blog (de 500 à 800 mots pour un temps de lecture, de 3 à 5 minutes) m’amène nécessairement à une analyse succincte.

Les approfondissements, suites et conséquences, positives et négatives, nécessitent plus de temps et de place. Ils sont donc développés, dans les rendez-vous d’Hubert (de 3 000 à 5 000 mots, pour un temps de lecture, de 25 à 45 minutes).

Le déclin de l’hégémon se poursuit :

Les fidèles lecteurs de mes différents écrits sont parfaitement informés de la continuelle dégradation des États-Unis d’Amérique, pratiquement sur tous les plans. Avec le recul de plus d’une année, nous pouvons situer le point précis du basculement de l’hégémonie washingtonienne. C’est le déclenchement le 24 février 2022, par Vladimir POUTINE, de l’opération militaire spéciale (OMS) en Ukraine.

En effet, cet événement ainsi que ses suites et conséquences ont montré au monde, en son ensemble, que la puissance militaire et politique américaine, n’étaient plus une réalité et qu’il était possible de s’y opposer sans être pillé et/ou anéanti.

Sur le plan intérieur, la déliquescence américaine a commencé avec l’arrivée inattendue du républicain, Donald TRUMP, à la présidence des États-Unis, le 20 janvier 2017. L’état profond américain et son allié, le parti démocrate, n’ont pas pardonné à « l’ami Donald », le fait que non seulement, il n’avait rien contre « l’ami Vladimir », mais qu’il jugeait utile de le rencontrer et d’avoir des projets en commun. Au pays de l’oncle Sam, le sentiment anti-russe et le Maccartisme sont toujours vivaces.

Fausses accusations de collusion avec la Russie, tentatives de destitution, fraudes électorales de masse… tout a été mis en œuvre par les néocons, pour que « le Donald » ne soit pas réélu en 2021. Cette période trouble a accentué la profonde fracture du pays entre républicains et démocrates et surtout, entre trumpistes et antitrumpistes. Pendant sa campagne de 2016, puis sa présidence, depuis son départ et jusqu’à son début de campagne actuel, c’est une guerre frontale entre TRUMP et l’état profond américain auquel nous assistons.

L’élection de « l’ami Joe » en 2021, a marqué l’accélération du délabrement de la politique intérieure du pays et sa perte de crédibilité, sur le plan international. L’épisode de « la fuite d’Afghanistan », a marqué à tout jamais, les pays du monde entier.

Où en est l’Amérique aujourd’hui ? Officiellement dirigée par un vieillard sénile, mais en réalité par l’état profond, elle n’a toujours pas compris que « l’aventure ukrainienne » se terminerait militairement par la victoire de la Fédération de Russie. Certains reconnaissent pourtant cela… à demi-mot.

« Joe l’Indien » est tellement englué avec ses nombreuses malversations et celles de son fils Hunter, comme je vous en ai informé dès le mois de décembre 2019, qu’il lui sera difficile d’être candidat à sa réélection en 2024. D’autant plus qu’une procédure de destitution est officiellement lancée à son encontre.

Pour masquer la défaite de l’OTAN en Ukraine, l’état profond a ouvert un deuxième front en Palestine. Il était persuadé qu’en aidant Israël dans sa guerre contre les Palestiniens, les USA retrouveraient leur rôle de « gendarme du monde ». Cette « diversion » entérine l’abandon de l’Ukraine, en rase campagne.

Mauvaise pioche ! La résistance palestinienne à l’occupation israélienne est beaucoup plus large que le simple Hamas, comme les « merdias de grand chemin » tentent de nous le faire accroire. De plus, la brutalité de la riposte israélienne, à l’égard des civils à Gaza et en Cisjordanie est d’un niveau tel, que le monde entier et même certains israéliens, sont horrifiés de ce véritable génocide.

Les USA sont directement responsables de cela, du fait qu’ils fournissent l’armement à l’armée israélienne et qu’ils encouragent et couvrent des crimes de guerre. De plus, leur veto systématique aux multiples demandes de cessez-le-feu pour des raisons humanitaires, les disqualifient, politiquement à jamais, aux yeux du monde.

Quoi que tentent les usa en matière de déstabilisation du monde multipolaire qui se met en place, via les BRICS… j’anticipe que cela ne réussira pas. Le mouvement de dédollarisation qui s’étend, ainsi que la montagne de dettes sur laquelle ils trônent, va porter un coup fatal à leur économie. Cela va arriver plus vite que beaucoup ne le pensent. Je confirme mon anticipation : probablement en 2024 ou d’ici 2025, au plus tard, le pétrodollar et le roi dollar ne seront plus !!! Dans les proches années, les États-Unis d’Amérique redeviendront une puissance locale. C’en est fini de leur hégémonie.

«  La vérité. C’est que les Américains finiront par se faire détester par tout le monde.
Même par leurs alliés les plus inconditionnels.
Tous les trucages qu’imaginent les Américains sont démentis par les événements »
( Charles de Gaulle)

Chers lecteurs, américanophiles et américanophobes, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.

Pour aller plus loin

Vous souhaitez bénéficier des opportunités présentes lors de toutes les crises. Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de comprendre le dessous des cartes, identifier les occasions à saisir et les exploiter à votre profit. Les rendez-vous d’Hubert sont un guide pratique, pour agrandir votre patrimoine spirituel et matériel.

Source : Sérénité Patrimoniale