Ordre des Médecins, ça va mal finir
par AIMSIB
En ce début septembre 2023, l’incendie de la révolte semble se propager à toute la communauté médicale francophone.
En Belgique d’abord, où les sanctions ordinales qui accablent les médecins vraiment attachés au sort de leurs patients prennent la plume en dénonçant «une dérive mafieuse» de leurs représentants.
Naissance de l’Ordre Universel des Professions de Santé également, bravo à lui, qui s’attachera à rejuger les médecins condamnés.
Au Québec ensuite, où un «médecin de la base» réclame avec insistance à ses autorités de tutelle que le sujet de la vaccination Covid soit enfin analysée avec indépendance.
Du Luxembourg enfin, où le Dr Benoît Ochs est enfin parvenu à démontrer que sa condamnation n’avait été obtenue qu’au prix d’un incroyable déni de justice.
Pendant ce temps-là, en France, le rouleau compresseur ordinal s’emballe toujours plus, deux ans d’interdiction d’exercice contre un médecin qui s’élevait contre la dangerosité du Gardasil, pour «avoir manqué à son obligation déontologique d’apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé et de l’éducation sanitaire» (*).
La liberté ou la soumission, la belle médecine ou le fric à tous les étages, et cette colère qui monte partout… Bonne lecture.
1- Belgique : Lettre ouverte d’un collectif de médecins envoyée à la Presse et à l’Ordre
Bruxelles, le 13 septembre 2023
MISE EN DEMEURE de l’ORDRE DES MÉDECINS et des dirigeants des Ordres régionaux et de l’Ordre national. ENVOIS par courriers recommandés et par courriers ordinaires. Copie envoyée à la Presse.
Messieurs les Présidents, vice-Présidents et Membres effectifs des Ordres des Médecins régionaux et national,
La confiance en notre Ordre a atteint un point de rupture…
Des milliers de médecins ont accepté, jusqu’à aujourd’hui, de se conformer à la Doxa et à la censure imposées par des autorités de santé manifestement sous emprise des grands laboratoires pharmaceutiques et de leurs «experts».
Par prudence, par soumission, pour éviter des ennuis, nous avons longtemps accepté de nous taire et d’obéir. Mais avec nos patients, dans la discrétion de nos cabinets, prudemment, à demi-mot, nous étions déjà nombreux à émettre des doutes et des nuances par rapport au discours officiel que ces autorités tentent de nous imposer.
Nous constatons, parmi nos confrères toujours plus nombreux, une profonde perte de confiance dans l’intégrité et la vraie déontologie du système médical actuel dont l’Ordre des Médecins est censé être le garant.
La colère gronde, parmi les médecins, appelant à un changement radical et immédiat du comportement de notre Ordre faute de quoi nous n’aurons plus d’autre choix que de saisir la Justice, afin de préserver la sécurité de nos patients et afin d’établir les responsabilités pénales et civiles des membres de l’Ordre, à titre collectif et/ou individuel.
Depuis de nombreuses années et encore beaucoup plus gravement depuis mars 2020, il est devenu manifeste que notre Ordre ne nous représente plus, ne défend plus ni la noblesse de l’art de la Médecine, ni les médecins, ni les patients. Cet Ordre est devenu incontestablement le bras armé de la toute puissante industrie pharmaceutique.
Cette industrie est dominée par quelques multinationales devenues plus puissantes que les Etats et qui leur dictent leurs décisions, via leurs cabinets de consultance et leurs experts à leur service qui ont infiltré les autorités de santé nationales et supranationales.
Se prétendant être au service de la santé des patients, cette industrie est en réalité au seul service des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques qui brassent plus de 1200 milliards de dollars par an, dont une grande partie sert à financer le lobbyisme, la propagande marketing et les financements octroyés aux hôpitaux, aux journaux médicaux et aux experts qui, en leur mangeant dans la main, perdent toute liberté de paroles.
Cette industrie pharmaceutique décide insidieusement de la réussite des carrières d’experts qui abondent dans le sens de ses intérêts financiers, docilement, hypocritement, en suivant l’adage de bon sens qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit !
Nous, médecins de terrain, qui voyons souffrir et mourir nos patients, nous ne pouvons plus tolérer que nos pratiques thérapeutiques soient dictées par des experts bourrés de conflits d’intérêts passant du privé au public, travaillant simultanément ou en alternance, au service de l’industrie et au service des autorités de santé publique.
Nous ne pouvons plus tolérer que des chefs de services d’hôpitaux arrosés massivement par les laboratoires pharmaceutiques terminent leurs carrières au sommet de l’Ordre des médecins et nous mènent à la baguette pour nous contraindre à devenir les simples prescripteurs des traitements les plus lucratifs pour plaire à l’ogre pharmaceutique.
Le «Lancet Gate» avait pourtant dévoilé aux yeux du monde scientifique à quel point même les plus grands journaux médicaux sont gangrenés par une corruption intolérable qui travestit la science, avec des données falsifiées, discréditant les molécules anciennes, au profit des produits encore sous brevets qui procurent des bénéfices royaux.
La Justice a eu beau frapper de très lourdes sanctions, jusqu’à plusieurs milliards de dollars d’amendes, des multinationales comme PFIZER, condamnées pour publicité mensongère, tromperie et études faussées, l’Ordre des Médecins a malgré tout continué à faire mine d’ignorer cette gangrène de la corruption et des conflits d’intérêts qui détruit notre métier et la qualité de nos soins, au détriment de la santé et de la vie de nos patients.
Des associations de journalistes comme OPEN PHARMA ont eu beau mettre en lumière les financements privés qui amènent des institutions comme l’OMS et SCIENSANO à être sous l’emprise du diktat des grands labos, l’Ordre a continué à dérouler le tapis rouge devant la propagande marketing de ces firmes cyniques, obsédées par leurs seuls profits financiers, comme si cette propagande représentait la Science et la Vérité absolue.
La loi impose à tous les médecins, y compris aux dirigeants de l’Ordre, à déclarer leurs conflits d’intérêts pour tenter de s’opposer à cette gangrène. Mais notre Ordre n’a vu aucun inconvénient à ce que soit nommé vice-président de l’Ordre national, un médecin (photo), le docteur Christian Melot, qui déclare ses conflits d’intérêts dans le domaine de la vaccinologie, tout en se vantant, dans la presse, de persécuter des dizaines de médecins qui ont osé émettre des critiques concernant la faible efficacité et la toxicité des injections expérimentales anti-Covid.
Comment peut-on être simultanément juge et partie ?
La Loi de 2002 sur la protection des patients nous impose, à nous médecins, d’informer nos patients, de manière complète, pour obtenir leur consentement libre et éclairé. Une circulaire de l’Ordre nous a imposé le contraire, dès janvier 2021, en plein début d’une expérimentation médicale de masse, en nous menaçant de sanctions sévères si nous n’assurions pas la «promotion» inconditionnelle de ces injections expérimentales.
Non seulement l’Ordre nous contraint à enfreindre la Loi, ce qui est déjà d’une gravité extrême, mais ce qui est encore plus indécent, c’est que vous nous forcez à piétiner l’essence même de notre métier, du service dévoué à nos patients, de la balance bénéfices/risques, du Primum Non Nocere. C’est l’esprit et le cœur même de notre Serment d’Hippocrate que vous nous forcez à trahir.
Les études scientifiques avaient déjà mis en lumière depuis 20 ans qu’une immunité collective est impossible avec les coronavirus pour lesquels les mutations sont bien trop rapides, les vaccins imparfaitement immunisants et la mémoire immunitaire trop courte, sans même mentionner le réservoir animal de ces virus les faisant ressurgir sans cesse. Malgré ces évidences scientifiques, l’Ordre a fait mine de croire dans le dogme d’une vaccination miraculeuse de toute la population, avec une nouvelle technologie prétendument sûre et efficace, alors que, depuis 20 ans, l’ARN messager avait montré son absence de fiabilité et sa dangerosité.
Malgré que des médecins lanceurs d’alerte vous ont informé inlassablement des graves effets secondaires de ces injections expérimentales qu’ils constatent parmi leur patientèle, malgré nos tentatives répétées d’ouvrir le dialogue avec l’Ordre des médecins, nous constatons que vous conservez une rigidité extrême dans votre posture et que vous restez radicalement fermés à tout débat déontologique, fermés à la liberté d’expression et à la liberté thérapeutique.
Pire que tout ce que nous aurions pu imaginer de la part de notre Ordre, censé défendre la déontologie médicale, nous constatons que vous continuez, avec acharnement, à persécuter des dizaines de nos confrères les plus consciencieux en les sanctionnant lourdement, un par un, les privant du droit d’exercer la médecine pour des durées de trois mois à deux ans, simplement parce qu’ils ont osé émettre des critiques envers la gestion de la crise sanitaire et qu’ils ont alerté la population sur les risques des injections expérimentales à ARN messager produisant une protéine SPIKE toxique.
Suite à la censure que vous nous avez imposée, nos concitoyens ont été injectés pratiquement de force, sans l’obtention de leur consentement libre et éclairé, sans avoir été informés des risques encourus. Les conséquences de cette politique désastreuse sont maintenant criantes, sous nos yeux. Nous le constatons quotidiennement chez nos patients, toujours plus nombreux, qui sont abîmés, voire détruits par ces produits faussement appelés «vaccins».
Comment pouvez-vous encore nier la dangerosité et la très faible efficacité de ces injections géniques expérimentales et leur balance bénéfice-risque défavorable ? Ce pseudo-vaccin tue ou handicape plus que le virus initial dont la gravité s’est, par ailleurs, fortement atténuée avec Omicron.
Le dérèglement du système immunitaire causé par ces pseudos-vaccins est manifeste avec une auto-immunité provoquée par la synthèse d’une protéine virale qui pousse notre système immunitaire à considérer nos propres cellules comme étant étrangères.
Nous, médecins de terrain, constatons une forte augmentation des troubles gynécologiques, des myocardites, des Guillain-Barré, des névrites, des rechutes de maladies auto-immunes en rémission, mais également la réapparition d’infections auparavant sous contrôle telles que Lyme, zonas, mononucléoses, CMV…
Nous constatons également la réapparition de cancers en rémission, l’apparition de cancers de novo à progression très rapide appelés «turbos cancers» avec un mécanisme d’action d’altération de la balance IgG4/IgG2 avec suppression de plusieurs mécanismes de défense antitumorale.
L’Ordre des médecins entend-il vraiment poursuivre la censure sur ces informations vitales qu’il est pourtant urgent de transmettre à la population pour l’informer des risques de cette expérience médicale désastreuse ?
Comment l’Ordre a-t-il pu exiger de notre part de violer le principe de précaution (Primum non nocere), d’autant plus avec des produits expérimentaux sur une population saine, sur des enfants, des jeunes, des femmes enceintes mettant en danger leur santé et leur vie, ainsi que celles de leurs fœtus ?
Comme l’a exprimé l’Ordre des Médecins en France, lors de l’audition du professeur Christian Perronne, il était pourtant du devoir des médecins lanceurs d’alerte, d’informer la population. Cet Ordre en France a indiqué clairement que le prétendu «devoir de réserve du médecin» n’est pas d’application, lorsque la santé et la vie de la population sont en jeu.
Dans le cas contraire, comment aurions-nous pu mettre un terme aux scandales sanitaires du passé, du Softenon au Mediator, des prothèses PIP au scandale des Opioïdes qui ont fait tant de victimes, jusqu’à ce que des médecins lanceurs d’alerte fassent éclater la vérité ?
En conclusion, par votre politique de la terreur, l’Ordre des médecins se rend coupable de harcèlement des lanceurs d’alerte (faute punissable pénalement), de censure du débat scientifique et, en conséquence, de mise en danger de la vie d’autrui, nous privant du droit fondamental d’informer nos patients et la population sur les dangers de cette expérience médicale à grande échelle. Nous ne pouvons plus tolérer votre attitude de harcèlement de nos confrères intègres et consciencieux qui n’ont pourtant fait que respecter la Loi et l’essence même de notre Serment. Vous croyez-vous vraiment au-dessus de la Loi, au-dessus de toute Science et de toute logique ?
Pour que vous ne puissiez pas feindre votre ignorance, nous vous soumettons à nouveau, à la fin de cette lettre ouverte, une vingtaine de publications que vous devriez, en tout état de cause, déjà avoir reçues et lues et qui relèvent de la science non-subsidiée et non pas des recommandations venant «d’experts» sous emprise de l’industrie pharmaceutique.
Nous sommes consternés que vous n’ayez pas encore pris en compte les nombreux messages que nous vous avons envoyés, lors de ces trois dernières années. Nous vous avons imploré à de nombreuses reprises d’enfin ouvrir les yeux. Vous n’avez rien voulu voir et rien voulu entendre.
Où cela va-t-il s’arrêter ? Que faites-vous des faits réels, de la souffrance et des nombreux morts qui auraient pu être évités avec une prise en charge précoce de la Covid et avec une information loyale et complète sur les dangers des injections expérimentales à ARNm ?
Que vous faut-il pour mettre un terme à cette persécution intolérable contre nos confrères intègres qui respectent la Loi de 2002 et leur Serment d’Hippocrate et que vous suspendez les uns après les autres de leur droit d’exercer la médecine, sous prétexte de délits d’opinion ?
Souhaitez-vous vraiment une nouvelle «science» de la pensée unique se pliant aux décisions imposées par de prétendus experts au service d’une industrie pharmaceutique obsédée par des intérêts financiers privés ?
Nous attirons fermement votre attention sur le fait que votre comportement, à titre collectif et individuel, pourrait être considéré par les Tribunaux comme de l’abus de pouvoir, du harcèlement de lanceurs d’alerte, de la censure du débat scientifique et, en conséquence, de la mise en danger de la vie d’autrui, ce qui entraînerait votre condamnation pénale, ainsi que votre responsabilité civile vis-à-vis des soussignés.
Votre rôle était de défendre la déontologie médicale. Vous vous êtes manifestement trompés de cible. Malgré nos demandes multiples, vous n’avez pas retrouvé votre lucidité et votre intégrité. Il était de votre devoir de sauver cette médecine qui s’enlise dans les conflits d’intérêts et dans une grave dérive financière, pour ne pas dire «mafieuse».
Votre mission était de préserver une médecine réellement dévouée à la santé et au bien-être de la population, à laquelle, par Serment, nous avions tous souscrit.
Cette mission, Messieurs les dirigeants de l’Ordre, vous l’avez trahie.
Si vous poursuivez, ne fût-ce qu’un jour de plus, votre œuvre délétère, nous n’aurons plus d’autre choix que de déposer des plaintes au Civil et au Pénal contre l’Ordre, ses présidents et membres effectifs. Humainement, scientifiquement, déontologiquement, éthiquement, en tant que membres cotisants de l’Ordre des médecins, nous ne pouvons plus cautionner la dérive actuelle que nous subissons, les principes fondamentaux de notre profession étant littéralement piétinés par notre Ordre.
Humainement, scientifiquement, déontologiquement, éthiquement, en tant que membres cotisants de l’Ordre des médecins, nous ne pouvons plus cautionner la dérive actuelle que nous subissons, les principes fondamentaux de notre profession étant littéralement piétinés par notre Ordre.
En conséquence, nous vous mettons en demeure de cesser immédiatement de sanctionner les médecins lanceurs d’alerte, qui dénoncent «la mauvaise gestion de la crise Covid par les autorités» et d’envoyer, endéans les 10 jours ouvrables, votre réponse à la présente au docteur Alain Colignon. A défaut d’un engagement écrit de votre part, nous devrons porter, devant les Tribunaux, cette situation de harcèlement, de censure et de mise en danger de la vie de nos patients.
À titre symbolique, nous avons rassemblé quinze signatures sur cette lettre de mise en demeure. Mais dans les faits, nous sommes des milliers de médecins à faire le même constat et à partager la même indignation.
La présente lettre vous est envoyée sous toute réserve généralement quelconque et sans aucune reconnaissance préjudiciable, ni renonciation aux droit des soussignés.
Veuillez agréer, messieurs les présidents, vice-présidents et membres effectifs de l’Ordre des Médecins, nos salutations distinguées.
2- L’ordre Universel des Professions de Santé vous attend
3- Lettre d’un médecin à Mauril Gaudreault, président du Collège des Médecins du Québec
Québec, le 01/09/2023
• https://reinfoquebec.ca/lettre-dun-medecin-a-mauril-gaudreault-president-du-cmq
Monsieur Mauril Gaudreault,
À l’heure où les experts de plateaux de télévision tels la chroniqueuse pharmacienne Diane Lamarre ou l’infectiologue Karl Weiss essaient de se convaincre eux-mêmes et de convaincre les Québécois qu’il est toujours pertinent de se faire «vacciner» et que le Comité national consultatif sur l’immunisation recommande toujours dans une récente déclaration l’inoculation expérimentale des Canadiens, enfants et femmes enceintes y compris, votre silence ainsi que celui de ces sociétés savantes que sont à vos yeux l’INSPQ et l’INESSS est plus qu’inquiétant. Vous connaissez sans doute l’adage «Qui ne dit mot consent». Les Québécois méritent mieux que de se faire informer par des médias largement subventionnés par le gouvernement et qui ne servent en fait qu’à relayer le message de ce dernier. Je compte interpeller à nouveau M. Gerlier-Forest et Mme De Guise, dirigeants de l’INSPQ et de l’INESSS, afin qu’ils répondent par la voix de leurs comités scientifiques respectifs aux appréhensions de médecins, scientifiques et citoyens membres du collectif Réinfo Québec concernant les graves dangers de ces produits à base d’ARN messager qui n’ont jamais rien donné qui vaille et qui sont tout sauf un success story (cf. l’excellent livre de la généticienne Alexandra Henrion-Caude sur le sujet*).
Et pour que ces instituts à la bureaucratie étourdissante sortent de leur mutisme et répondent enfin aux questionnements de citoyens de plus en plus nombreux qui, en plus d’avoir expérimenté eux-mêmes l’inefficacité de ces produits, en constatent maintenant, pour peu qu’ils sortent des ornières des TVA et Radio-Canada de ce monde, les réels dangers et la hausse de la mortalité toutes causes chez celles et ceux qui ont reçu ces substances que l’industrie et les autorités sanitaires ont qualifié à tort de vaccins.
Ma demande est double :
- Que le Collège des médecins du Québec accuse réception de ce courriel non pas simplement par une réponse électronique automatique mais bien par une réponse humaine, de personne à personne,
- Que le Collège exhorte ces Think tank que sont l’INSPQ et l’INESSS à bien daigner répondre aux lettres du collectif Réinfo Québec d’abord acheminées à vous-mêmes puis ensuite, à votre demande, aux instituts en question.
Comme dit précédemment, je veux bien les relancer de mon côté mais si vous le faites en plus cher Dr Gaudreault, alors là les choses peuvent bouger. Il y va de l’intérêt supérieur de la médecine et de la science, il y va de la santé de millions de Québécois, il y va d’un rendez-vous avec l’Histoire. Serez-vous du bon côté ?
Primum non nocere.
Simon Ruelland MD
4- Luxembourg, interview du Dr Benoit Ochs
Condamné à un an d’interdiction d’exercice, sanction obtenue par déni de justice dont l’authenticité a été confirmée par la Cour d’Appel du Luxembourg !
Notes et sources
(1) «Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations : The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs» https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X
• «BNT162b2 COVID-19 vaccination in children alters cytokine responses to heterologous pathogens and Toll-like receptor agonists https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2023.1242380/full
(2) «Irrgang P, Gerling J, Kocher K, Lapuente D, Steininger P, Habenicht K, Wytopil M, Beileke S, Schäfer S, Zhong J, Ssebyatika G, Krey T, Falcone V, Schülein C, Peter AS, Nganou-Makamdop K, Hengel H, Held J, Bogdan C, Überla K, Schober K, Winkler TH, Tenbusch M. «Changement de classe vers des anticorps IgG4 non inflammatoires spécifiques aux pointes après une vaccination répétée de l’ARNm du SRAS-CoV-2». Sci Immunol. 22 décembre 2022 : eade2798. doi : 10.1126/sciimmunol.ade2798. Epub avant impression. PMID : 36548397.
• Vidarsson G, Dekkers G, Rispens T. «Sous-classes et allotypes d’IgG : de la structure aux fonctions effectrices». Immunol avant. 2014 octobre 20 ; 5:520. doi : 10.3389/fimmu.2014.00520. PMID : 25368619 ; PMCID : PMC4202688.
• Akdis CA, Akdis M. «Mécanismes de tolérance immunitaire aux allergènes : rôle de l’IL-10 et des Tregs». J Clin Invest. 2014 novembre ; 124(11) : 4678-80. doi : 10.1172/JCI78891. Publication en ligne du 3 novembre 2014. PMID : 25365074 ; PMCID : PMC4347251.
• Aalberse RC, Stapel SO, Schuurman J, Rispens T. «Immunoglobuline G4 : un anticorps étrange». Clin Exp Allergie. 2009 avril ; 39(4):469-77. doi : 10.1111/j.1365-2222.2009. 03207.x. Epub 13 février 2009. PMID : 19222496.
• https://en.wikipedia.org/wiki/IgG4-related_disease
(3) https://www.mdpi.com/1467-3045/44/3/73/htm
• «Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell» Line by 8 Markus Aldén 1 DO, 8 Francisko Olofsson Falla 1 I, 8 Daowei Yang 1 1, 8 Mohammad Barghouth 1 1, 8 Cheng Luan 1 5, Magnus Rasmussen 2 C and & Yang De Marinis 1, Department of Clinical Sciences, Lund University, 20502 Malmö, SwedenInfection Medicine, Department of Clinical Sciences, Lund University, 22362 Lund, Sweden
(4) Lancet Jama myocardites transmission https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099%2821%2900768-4/fulltext
• Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). https://vaers.hhs.gov
• «COVID19 Vaccines for Children and Teens. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/recommendations/adolescents
• EudraVigilance European database of suspected adverse drug reaction reports : How to report a side effect. https://www.adrreports.eu/en/report_side_effect
• Kantarcioglu, B. et al. «An update on the pathogenesis of COVID-19 and the reportedly rare thrombotic events following vaccination». Clin. Appl. Thromb. Hemost. 27, 10760296211021498 (2021).
• Surveillance of Myocarditis (Inflammation of the Heart Muscle) Cases Between December 2020 and May 2021. https://www.gov.il/en/departments/news/01062021-03
• Wise, J. «Covid-19 : Should we be worried about reports of myocarditis and pericarditis after mRNA vaccines ?» BMJ 373, n1635. https://doi.org/10.1136/bmj.n1635 (2021).
• Larson, K. F. et al. «Myocarditis after BNT162b2 and mRNA-1273 vaccination», Circulation https://doi.org/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.055913 (2021).
• Bozkurt, B., Kamat, I. & Hotez, P. J. «Myocarditis with COVID-19 mRNA vaccines». Circulation 144, 471–484 (2021).
• Verma, A. K., Lavine, K. J. & Lin, C.-Y. «Myocarditis after Covid-19 mRNA vaccination». N. Engl. J. Med. https://doi.org/10.1056/NEJMc2109975 (2021).
• Patone, M. et al. «Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection». Nat. Med. 66, 1–13 (2021).
(5) The Lancet : travailleurs de la santé https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3897733
• https://www.mondialisation.ca/les-pseudovaccins-anticovid-injections-geniques-ne-protegent-ni-les-vaccines-ni-leurs-contacts
• https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.06.28.22276926v2.full cette étude britannique en pré-print analysant 22 millions de cas de COVID révèle une «proportion considérablement accrue de cas de SRAS-COV-2, d’hospitalisations et de décès parmi les vaccinés».
• «Israel : les 143 hospitalisés actuels attribués au covid : https://www.jpost.com/health-science/coronavirus-in-israel-what-do-we-know-about-the-143-hospitalized-people
• Service des urgences britanniques, tableau https://assets.publishing.service.gov.uk/Technical-Briefing-19.pdf
• Contagion collective dans un home de personnes âgées https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.27.2100626
Cette dernière publication anglaise est récente (publiée le 8 juillet) et concerne un home de personnes âgées (donc milieu relativement fermé propice à la contagion), où une contagion collective au variant indien (delta) a touché 57% des 42 personnes (résidents et travailleurs). Ils étaient soit non vaccinés (20%), soit vaccinés une fois (5%), soit vacciné 2 fois (75%). Les résultats confirment une fois de plus que le vaccin, chez les personnes âgées, est non seulement moins efficace, mais qu’au final, face à cette infection collective, les non-vaccinés s’en sortent aussi bien que les vaccinés.
• Golan Y, Prahl M, Cassidy A, et al. «Evaluation of Messenger RNA From COVID-19 BTN162b2 and mRNA-1273 Vaccines in Human Milk». JAMA Pediatr. 2021;175(10):1069–1071. doi:10.1001/jamapediatrics.2021.1929 [5] Hanna N, Heffes-Doon A, Lin X, et al.
• https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5475249
• «Detection of Messenger RNA COVID-19 Vaccines in Human Breast Milk». JAMA Pediatr. Published online September 26, 2022. doi:10.1001/jamapediatrics.2022.3581
• https://reinfocovid.fr/les-arnm-vaccinaux-atteignent-les-organes-reproducteurs
• https://www.cell.com/cell/pdf/S0092-8674(22)00076-9.pdf
source : AIMSIB
Source : Reseau International
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