« Nous devons contrôler le cerveau électriquement. »
Publié le 30 Août 2024
Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau.
» Ces propos du Pr. Jose Delgado, physiologiste à l’Université de Yale, ont été transcrits le 24 février 1974 dans l’édition du Procès verbal des séances du Congrès américain, numéro 26, vol. 118.
Les armes non létales psycho-technologiques ou armes à énergie dirigée
Malgré ou grâce à de telles déclarations, les recherches du Pr. Delgado (né à Ronda, Malaga, en Espagne, le 8 août 1915) ont été financées par l’US Air Force. Quand, en 1977, les révélations de la Commission d’enquête du gouvernement concernant les recherches de la CIA sur les techniques de modification du comportement dans le cadre du projet MKultra, ont déclenché un scandale, ce type de discours s’est fait plus rare. Sous couvert de préserver la sécurité nationale, la CIA expérimentait sur des personnes, en Amérique et à l’étranger, sans leur consentement, différentes substances et méthodes de pressions psychologiques (comme l’effacement de la mémoire, la résistance hypnotique à la torture, les sérums de vérité, la suggestion post-hypnotique, induire rapidement l’hypnose, la stimulation électronique du cerveau, les irradiations non ionisantes, induire par micro-ondes des « voix » qui semblent naître à l’intérieur du crâne, et une foule d’autres technologies encore plus inquiétantes). La CIA a assuré que ce programme avait pris fin mais d’autres toujours secrets et classifiés ont pris le relais et les progrès scientifiques ont permis le développement d’armes psycho-technologiques qui peuvent être utilisées à distance.
Déclarations d’intention et nouvelles technologies
Depuis plusieurs années, on assiste au développement d’armes non létales toujours plus sophistiquées dont certaines ont déjà été utilisées dans le cadre de conflits armés (guerre du Golfe entre autres). Elles font aussi leur apparition dans des opérations civiles de maintien de l’ordre pour le contrôle des foules. En effet, les armes non létales sont à usage double, ce qui signifie qu’elles peuvent être utilisées contre des civils, car leurs caractéristiques correspondent aussi bien aux objectifs des forces armées qu’à ceux des forces de l’ordre. Luc Mampaey, attaché de recherche au GRIP (Groupe de Recherche et d’Information sur la Paix et la Sécurité) fait remarquer que de nombreux observateurs estiment qu’elles risquent donc de contribuer à un renforcement de l’arsenal répressif y compris dans nos fragiles démocraties, et de conduire à une militarisation croissante des opérations de police, adoptant des tactiques et un armement de plus en plus sophistiqué.
Toujours d’après Luc Mampaey, les armes non létales peuvent devenir un redoutable instrument pour maintenir la domination des puissants et il cite un officiel de l’OTAN : «Dans un intéressant et équilibré rapport d’octobre 1997, Luc Lyell, rapporteur de la Commission des Sciences et des Technologies de l’Assemblée de l’Atlantique Nord, exposait quelques-unes des possibilités d’utilisations des armes non létales. On peut y lire que »de telles utilisations d’armes non létales permettraient de mener des opérations non guerrières qui seraient politiquement plus acceptables, ce qui explique l’intérêt que présentent ces arme. »» (Les rapports européens ont montré que ces armes présentent des risques réels pour la santé et viennent en règle générale s’ajouter aux armes conventionnelles.)
Actuellement, on trouve encore des déclarations d’intention dans certains documents militaires qui inquiètent les chercheurs et le Parlement européen mais le secret-défense empêche les débats entre intervenants aux formations et horizons divers sur l’état actuel des recherches et l’utilisation de ces technologies.
Dans un article sur le système radar américain HAARP qui pourrait éventuellement servir à manipuler les émotions et le comportement, le journaliste A. Gossens cite un extrait d’une revue militaire : « Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s’en faut. Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The Revolution In Military Affairs – Stategic Studies Institute-US Army War College) qui n’est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: « Nos valeurs changent et la technologie s’ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l’armement psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l’ère de l’électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie) pouvant manipuler l’esprit de nos ennemis tant à l’intérieur du pays qu’à un niveau international… Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée… Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d’armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques avancées… » [fin de citation] »
Les effets des armes non létales
La panoplie des armes non létales, qui sont d’ailleurs capables de provoquer la mort, comprend différentes catégories de technologies qui permettent aussi bien d’entraver les mouvements, d’envoyer une décharge électrique dissuasive que de rendre malade ou d’influencer le comportement. En effet ces armes peuvent provoquer des réactions psychologiques et physiques.
Un rapport de l’US Air Force de 1998 décrit l’arsenal d’articles »antipersonnels » disponibles:
• infrasons / VLF ou son à très basses fréquences « qui désorientent et effrayent », « gênant le fonctionnement des organes, en entraînant nausées et spasmes du système digestif »;
• inhibiteurs neuraux : frappent les personnes d’incapacité, paralysant les connexions synaptiques »;
• « hallucinogènes » ou « narcotiques qui désorientent, rendent confus et frappent d’incapacité »;
• « calmants » ou « sédatifs transmis par les poumons ou la peau »; • « bêtabloquants » ou « fléchettes tranquillisantes et balles anesthésiques »;
• « fusils électroniques » ou « pistolets qui assomment », « et affaiblissent le système nerveux central »;
• « impulsions micro-ondes puissantes (HPM = High Power Microwave) » qui « induisent confusion, stupeur et coma chez les personnes et les animaux »;
• « projectiles non pénétrants » ou « systèmes qui écrasent, déforment, délitent, dont des grenades à fléchettes »;
• « balles en cire, bois et plastique » dont « les effets varient selon la forme, les matériaux, et la vitesse »;
• « lasers à faible énergie » y compris des « fusils laser »;
• « munitions optiques » ou « grenades éblouissantes. »
Extrait de Armement non létal : un travail de structuration pour une intégration future, USAF, 98. Selon un rapport européen les pays producteurs d’armes non létales les plus cités sont la Chine, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne et la Russie. © Article de Luc Mampaey du GRIP (Groupe de Recherche et d’Information sur la Paix et la Sécurité) © Extrait de l’article de Marc Filterman (expert radar et électronique de défense) sur la résolution européenne (mentionné dans la deuxième partie du texte). Un extrait de son livre « les armes de l’ombre, » éd. Carnot est également cité dans le texte. »
Source :
http://psychotrope.canalblog.com/archives/2006/10/08/2910381.html Du 08 octobre 2006.
Source : Collectif 1815
Collectif de soutien aux victimes EHS/MCS menacées sur leur lieu de vie.
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Que ceux qui s’imaginent que c’est de la Fake News ou de la « Science Fiction » regardent la vidéo et les liens ci-dessous. Demandez vous pourquoi que pour une « Pandémie » qui n’était en réalité qu’une « Plandémie » les peuples des pays occidentaux ont été mis dans l’obligation d’accepter le « Toxin » Covid 19 ? Pourquoi une telle peur a été distillée par les médias Mainstream ?
Lire également : Le NEUROPHONE NF3 du Dr. Patrick Flanagan et l’utilisation du Neurophone
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