Nos urgences crèvent mais ils ont décidé de faire la chasse à la maladie fantôme (232 sites d’injections)avec un produit qui induit 1 effet indésirable grave pour 25 piqués

(A voir : 2 articles, on marche vraiment sur la tête !!!)

Publié le21 août 2024parpgibertie

Ils recommencent, zéro cas en France, des vaccins inadaptés , des toubibs rémunérés près de 100 euros de l’heure

Vaccin Jynneos provoque effets indésirables graves mais ACAM2000 (du même fabricant Bavarian Nordic) remporte la palme : taux d’incidence d’effets indésirables graves de 1 sur 25[4%] Pas recommandé à ceux qui ont déjà souffert d’eczéma: risque mortel (vaccine eczémateuse)

Le vaccin secondaire contre la variole du singe ACAM2000 – OMFG J’ai déjà décrit à quel point les taux d’incidence des effets indésirables graves sont élevés pour le principal vaccin utilisé (Jynneos), mais celui-ci remporte la palme. Et celui-ci présente également un taux d’incidence d’effets indésirables graves de 1 sur 25. [4%] Il n’est pas recommandé aux personnes ayant déjà souffert d’eczéma ou de tout autre type d’affection cutanée. Selon le NIH, jusqu’à 30 % de la population a souffert d’eczéma au cours de sa vie. De plus, le vaccin ACAM n’est pas recommandé si vous êtes en contact avec une personne qui a ou a eu de l’eczéma, car il peut provoquer une vaccine eczémateuse, et vous pourriez tous les deux en mourir.

Et si nous ne donnions pas de longs et gênants câlins à des personnes dont le corps est couvert de pus ou si nous ne participions pas à des rapports sexuels homosexuels non protégés en groupe, comme le montrent les études ? Le bon sens vous protégera. Peu importe le nombre d’autorités sanitaires et de médias du monde entier qui tentent de vous effrayer, c’est le bon sens élémentaire qui vous empêchera de contracter la maladie.

https://aimsib.org/2022/06/05/houleux-mariage-a-trois-autour-de-monkeypox/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR1jPIRfgKF-HHIEChoc4usA-5P9rDDaRgEKnoqtf9m38PVFojvBHtufFTE_aem_JiNDrKwhlHDt7ceStg3TCg… « Croire que cette vaccination des contacts aurait été un formidable succès contre la variole joue évidemment un rôle très important pour vouloir reproduire et imposer la même stratégie aujourd’hui. C’est cela qui est inquiétant »

@BanounHelene

La vaccination anti-variolique en période épidémique a été plus que désastreuse! Voir les articles ci-dessous https://aimsib.org/2022/06/05/houleux-mariage-a-trois-autour-de-monkeypox/… https://aimsib.org/2022/05/22/les-espagnols-risquent-de-mourir-en-masse-du-monkeypox/… https://aimsib.org/2020/05/10/eradication-de-la-variole-la-desastreuse-vaccination-des-sujets-contacts/… https://aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commence/

Source : PGibertie

Un « mur de la honte » aux urgences de Brest : les personnes âgées qui ont attendu plus de douze heures recensées

Le « mur de la honte » s’agrandit devant les urgences au CHU de Brest. Des soignants recensent les initiales de patients de plus de 75 ans qui ont passé plus de douze heures aux urgences. Selon la CGT, ils sont 130 dans cette situation depuis le 10 juillet, dont une quarantaine, plus de 20 heures.

Le  » mur de la honte » à Brest recense les plus de 75 ans restés plus de 12 heures aux urgences depuis le 15 juillet © Radio France – Valérie Le Nigen

« Madame C, 27 heures aux urgences le 6 aout » ou encore « monsieur T, 29 heures aux urgences le 27 juillet. » Sur chaque feuille A4, une initiale, le nombre d’heures et la date. Les feuilles sont de plus en plus nombreuses sur « le mur de la honte ».

Ce mardi 20 août, le vent fait voler les feuilles. Thomas Bourhis et Stéphane Vialas, deux infirmiers représentants CGT les retiennent sur les panneaux de plus en plus chargés : « Une étude de la AP-HP indique que rester une nuit aux urgences augmente de 40% les risques de mortalité pour les plus de 75 ans. On a donc décidé de recenser les patients de plus de 75 ans qui passent plus de 12 heures aux urgences. On a commencé le 15 juillet et on est déjà à 130, dont une quarantaine avec plus de 20 heures. »

Un mouvement de grève a démarré mi juillet aux urgences du CHU de Brest © Radio France – Valérie Le Nigen

« Cela fait penser aux photos des hospices des années 1900 »

Selon la CGT, ces délais d’attente sont liés à un manque de personnel pour les examens complémentaires et l’absence de lits dans des services où certaines de ces personnes âgées pourraient être hospitalisées.

« La situation aux urgences est un reflet et un entonnoir de la situation générale« , expliquent les deux syndicalistes. Avec ce mur de la honte, on veut aussi attirer l’attention sur les conditions d’attente. On a ouvert un espace pour 22 brancards où les personnes attendent sans aucune intimité, qu’ils soient nus ou non. Cela fait penser aux photos des hospices des années 1900. »

Des chiffres contestés par la direction qui donne plus de personnes concernées que la CGT !

Contactée par la rédaction de France Bleu Breizh Izel, la direction du CHU de Brest a publié un communiqué de presse à 20 H 00 ce 20 août. Dans ce communiqué de presse, la direction conteste les chiffres de la CGT. Selon elle, « entre le 10 juillet et le 07 août, 969 patients de +75 ans ont été accueillis aux urgences avec un délai moyen de prise en soins de 10h58. 71 patients de +75 ans (soit 7%) ont été pris en soins sur une durée supérieure à 23 heures ». Or, selon la CGT, seulement 40 personnes de plus de 75 ans ont attendu plus de 23 heures. Selon la direction, tout âge confondu, le délai moyen de prise en soins aux urgences adultes sur cette même période a été de 8h22. Dans ce communiqué, la direction rappelle surtout que l’attente ne signifie pas une absence de soin des patients : « les délais de prise en soins peuvent s’expliquer, notamment pour les cas médicaux les plus complexes, par la nécessité de réaliser des examens complémentaires pour s’assurer du meilleur diagnostic. » Quant à l’insuffisance des lits pointée par la CGT, la direction rappelle l’ouverture ces dernières années de 58 nouveaux lits.

Source : France Bleu

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *