« NANOFORMES TOXIQUES DANS LE VACCIN PFIZER-BIONTECH ». Etude « explosive » dans POLICE EXPOSURE. Publié par le biochimiste Segalla en Italie et aux USA
Index du contenu
- PLAINTE DU SYNDICAT DE POLICE SUR LA «DROGUE IMPARFAITE»
- LE PHÉNOMÈNE ROS PROVOQUE DES DYSFONCTIONNEMENT ET DES ALTÉRATIONS DES ORGANES HUMAINS
- LES EXCIPIENTS MYSTÉRIEUX ET DANGEREUX « ALC »
- LES GRAVES DÉFAUTS DE PFIZER ET EMA SUR LES NANOFORMES
- LES ÉLECTROLYTES DISPARAIENT DU NOUVEAU COMIRNATY
- L’UTILISATION CONSCIENTE DES COMPOSANTS TOXIQUES
- LE CRIME ALLÉGUÉ POUR LA COMMERCIALISATION D’UN MÉDICAMENT IMPARFAIT
de Fabio Giuseppe Carlo Carisio
« Tout aussi incompréhensiblement non conforme et en contraste évident avec la pratique réglementaire et toxicologique désormais consolidée relative aux nanoformes, apparaît ce qui est rapporté dans la section 11 (Informations toxicologiques) de la fiche de données de sécurité Pfizer-BioNTech, en référence au produit Comirnaty : « Aucune enquête approfondie n’a été menée sur les propriétés toxicologiques » (Figure 10) ».
Ce qui a été rapporté en exclusivité par une enquête de Gospa News en février 2022 s’élève désormais à la dignité d’une publication scientifique internationale et aboutit même à la plainte d’un syndicat de la police d’État !
Sans se connaître, le journaliste, c’est-à-dire l’écrivain, et le biochimiste Gabriele Segalla sont arrivés à la même découverte sensationnelle à des moments presque identiques en analysant la documentation confidentielle publiée par la société pharmaceutique new-yorkaise pour obtenir l’autorisation d’utiliser en urgence des sérums de gènes d’ARNm. pour le Covid par la Food and Drug Administration (FDA), l’organisme américain de réglementation des médicaments.
Pour Gospa News, c’est le meilleur certificat de solidité de nos recherches scientifiques à jeter face aux fact-checkers payés par l’Union européenne, où les intérêts du groupe Bilderberg sont mêlés à ceux de l’université dont l’actuel ministre de Bravo Orazio Schillaci , à cause duquel nous avons été bannis ou exclus de divers réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, YouTube) .
Pour le chercheur lombard Segalla, PDG et scientifique en chef de Multichem R&D Italie (Rozzano, Milan), il s’agit d’un record scientifique mondial dans le domaine des vaccins !
Ses recherches, «menées pour des raisons scientifiques et éthiques» par un chercheur indépendant et sans aucun financement, ont été publiées dans le Carnet 2 d’octobre 2022 de la revue scientifique italienne Disinfection et ont ensuite eu un énorme écho avec la publication révisée dans l’International Journal of Vaccine en aux USA le 26 janvier 2023. L’auteur est docteur en Chimie Pure (Chimie Organique – Biologique), spécialiste de la Chimie des micro-émulsions et des systèmes colloïdaux.
Jusqu’à présent, en effet, aucun scientifique n’avait découvert dans une seule étude publiée 4 causes différentes et inconnues de la criticité toxicologique des nanoparticules lipidiques utilisées comme porteurs d’ARNm de l’antigène protéique Spike PS2 (en elle-même, à son tour, hautement toxique comme l’ont établi d’autres Recherche précédente).
Des médecins de l’ hôpital universitaire Thomas Jefferson de Philadelphie avaient constaté , avec une étude empirique sur des souris, le danger hautement inflammatoire de ces nanomatériaux en raison de leur risque d’« inhiber » ou d’« altérer » les réponses immunitaires de manière « durable » avec le risque de dommage héréditaire. Les chercheurs ont évidemment pris des précautions en affirmant que les effets indésirables sur des animaux de laboratoire plus semblables à ceux des humains en termes de constitution génétique ne se produiraient pas nécessairement également chez les humains.
Mais cela a suffi à déclencher une alarme inquiétante qu’aujourd’hui l’étude du biochimiste italien non seulement renforce mais détaille dans la pathogénie probable (l’origine physiologique) de tels effets indésirables.
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