Mort d’un homme à la gendarmerie de La Queue-lez-Yvelines

Un réfugié russe a été arraisonné par les gendarmes des Pyrénées-Atlantiques, ce samedi 11 janvier 2014, alors qu'il tentait de prendre la mer à bord d'un radeau de fortune pour rejoindre l'Espagne (photo d'illustration).

Un réfugié russe a été arraisonné par les gendarmes des Pyrénées-Atlantiques, ce samedi 11 janvier 2014, alors qu’il tentait de prendre la mer à bord d’un radeau de fortune pour rejoindre l’Espagne (photo d’illustration). Crédit : AFP / DENIS CHARLET

Un homme est décédé dimanche matin dans une cellule de la brigade de gendarmerie de La Queue-lez-Yvelines (Yvelines), qui l’avait interpellé la veille pour conduite en état d’ébriété.

Un homme de 45 ans est décédé dimanche matin dans une cellule de la brigade de gendarmerie de La Queue-lez-Yvelines (Yvelines), qui l’avait interpellé la veille pour conduite en état d’ébriété, a indiqué lundi une source proche du dossier. Cet homme qui « avait été interpellé samedi pour conduite en état d’ébriété (…) est décédé dans une cellule » où il avait été placé pour dégrisement, a précisé cette source, confirmant une information du Parisien.

« La personne n’avait pas de médicaments sur elle », a ajouté cette source sans donner plus de détails sur les circonstances du décès. Une autopsie devait avoir lieu dans la journée. Selon Le Parisien, cette personne, un adjoint au maire de Villiers-le-Mahieu, une autre commune des Yvelines, « aurait succombé à une crise cardiaque ». « Le défunt n’aurait pas précisé aux enquêteurs qu’il était malade (…) Selon sa famille, en revanche, son épouse a prévenu les gendarmes qu’il était cardiaque« , écrit le journal.

La procédure comprend une « surveillance régulière »

Une enquête a été ouverte après la saisie de l’inspection générale de la gendarmerie générale, a indiqué le procureur de la République de Versailles Vincent Lesclous, sans faire de commentaires. Lors d’une procédure de dégrisement, la personne est placée « en chambre de sûreté pour lui permettre de retrouver ses esprits avant d’être entendue par les enquêteurs », précise une source de gendarmerie. La personne est alors sous surveillance régulière « pour s’assurer qu’il n’y a pas d’incidents ». Les heures de dégrisement sont comprises dans la durée de la garde à vue.

Source :  RTL info

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