Vous êtes ici: Accueil › Actualités › Messei. Gendarme, musicien : il a la double casquette ← Gien : appel à témoins de la gendarmerie après un accident corporel de la circulation routière Rennes. Il se dénonce aux gendarmes avec ses images pornographiques → Messei. Gendarme, musicien : il a la double casquette Vue(s) : 2 147 À 55 ans, l’adjudant-chef Michel Pringault explique être un passionné de musique. De jazz notamment. | Ouest-France Flers À la retraite depuis début décembre, l’adjudant-chef Michel Pringault a passé 17 années comme tambourineur dans la Garde républicaine. Ce mélomane a ensuite été muté à Messei. C’était le 8 décembre dernier. 8 h. Ce matin-là, à la gendarmerie de Messei, l’adjudant-chef Michel Pringault range définitivement ses cartons. Il est à la retraite. Enfin, en vacances pour l’instant. À 55 ans, ce gendarme est entré à l’école des sous-officiers de gendarmerie de Montluçon (Allier) en 1983. « On m’avait alors dit que le 15 décembre 2017, je serais en retraite. » C’est maintenant chose faite.Ce vendredi, celui qui commandait la brigade proximité de Messei organise un pot pour dire « au revoir » à tous ses collaborateurs. Étrange trajectoire que celle de ce fils d’agent entretien de la mine de Saint-Clair-de-Halouze. « Un instrument martial » Car s’il est entré dans la gendarmerie, ce n’est pas pour courir après les voleurs, mais pour jouer du tambour. Un instrument qu’il a commencé à dix ans, au sein de l’Indépendante de Messei. « Un instrument martial », comme il dit. C’est lors de son service militaire que le musicien amateur perfectionne son jeu. Il se remémore un 14 juillet particulier. Celui de 1982. Un défilé sur les Champs-Élysées ouvert par « 40 tambours ». C’est là que le jeune Ornais rencontre des musiciens de la Garde républicaine et que l’idée d’intégrer la gendarmerie prend forme. Plus jazz que marche militaire Il suit des cours de tambour auprès d’un maître du genre, Robert Goute. Parmi ses camarades musiciens, plusieurs jouent dans des clubs de jazz de la capitale : « Les Trois mouflets, le Baisé salé ou le New Morning ». « J’écoute plus facilement du jazz que de la musique militaire », souffle celui qui cite Miles Davis ou le pianiste Keith Jarrett. Source : Ouest-France Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
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