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Mensonges et Vérités – Épisode « L’Euro numérique », Jean-Paul & Julia | JP & Stéphanie

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Les Films Libres

25 avr. 2025 #cinema #humour #comedy Mensonges et Vérités – Épisode « L’Euro numérique », Jean-Paul & Julia Casting : JP et Stéphanie Écrit et réalisé par : Stéphanie Reynaud Merci à Lud pour sa direction d’acteurs ! Tourné le 22 avril 2025 à Boulogne-Billancourt #cinema #humour #comedy #television #acting 🌍 MAYLODIE COMMUNITY diffusera désormais Les Films Libres à l’international

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Source : Les Films Libres

32 Réponse(s) à "Mensonges et Vérités – Épisode « L’Euro numérique », Jean-Paul & Julia | JP & Stéphanie"

Toto dit :

29 avril 2025 à 21 h 33 min

Est-ce que l’euro numérique va rendre de plus en plus rapide le black out financier mondial ou bank run suite à l’endettement des pays émergents ? 98.000 Milliards de dette cachée – Une bombe à retardement ? https://www.youtube.com/watch?v=xN95jasoZ3g
Ne pas non plus oublier les relations de dettes croisées entre pays européens.

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1. thérébentine dit :
  
  1 mai 2025 à 19 h 54 min
  
  si ces dettes ont été faites avec des billets de Monopoly imprimés par la FED faut pas s’inquiéter . Il suffit de s’asseoir dessus .
  https://www.monopolypedia.fr/univers/goodies/billets/billets.php
  on peut aussi régler avec du papier journal comme dans » elle boit pas , elle fume pas mais elle cause »
  https://www.youtube.com/watch?v=kCAYfd_P3yY
  https://www.youtube.com/watch?v=No2kM-J1wfA
  
  Répondre
david777 dit :

29 avril 2025 à 19 h 29 min

Nous vivons à une époque où la réalité virtuelle (RV), la réalité augmentée (RA) et les environnements pilotés par l’IA gagnent en sophistication. Ces technologies modernes brouillent la frontière entre réalité et illusion de manière inédite. Un adolescent peut enfiler un casque de RV et se sentir transporté dans un autre monde; un jeu mobile en RA peut superposer des créatures numériques dans les rues de nos villes; une IA avancée peut générer des images, des vidéos et même des voix quasiment indiscernables de la réalité.

La prolifération d’expériences immersives et synthétiques pourrait conditionner nos esprits, en particulier ceux des jeunes et des jeunes adultes, à être vulnérables aux tromperies futures. La Bible nous met en garde contre une époque de grande tromperie dans les derniers jours, où ceux qui « n’ont pas reçu l’amour de la vérité » croiront volontiers aux mensonges (2 Thessaloniciens 2:10-11). Nos technologies immersives pourraient-elles préparer le monde à embrasser la tromperie ultime, annoncée pour accompagner la montée de l’Antéchrist ?https://pleinsfeux.org/delires-numeriques-sommes-nous-conditionnes-pour-la-tromperie-ultime/

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Toto dit :

29 avril 2025 à 18 h 56 min

Quelle que soit la raison de la panne (ici explication par le mix énergétique qui a une faille https://www.youtube.com/watch?v=C1KuURRCZaY) , le résultat sera le même : plus d’argent donc plus d’euro numérique, plus de fonctionnement de la société, intervention de l’armée.
Quand on connaît le projet mondial des transhumanistes qui ne le cachent pas en plus et qui ont parlé d’une pandémie cybernétique à venir, on sait que ce n’est pas pour notre bien.

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1. Toto dit :
  
  29 avril 2025 à 20 h 09 min
  
  On a frôlé le black-out européen : https://www.youtube.com/watch?v=GaIWYL2tZig
  Personne à l’assemblée nationale, sont partis en long week-end ? Alors que se joue l’avenir énergétique de la France. Quand je vous disais qu’ils sont inconsistants et n’ont pas le niveau pour la plupart…
  
  Répondre
thérébentine dit :

29 avril 2025 à 17 h 37 min

& encore un blablateur non scientifique rêvant sur l’IA .
Depuis trois décennies, le discret philosophe
politique & philosophe ne sont que des beaux parleurs

https://usbeketrica.com/fr/article/nick-bostrom-l-influenceur-discret-du-transhumanisme?utm_source=firefox-newtab-fr-fr
Depuis trois décennies, le discret philosophe suédois décline patiemment son programme transhumaniste. Aujourd’hui, avec l’avènement des IA génératives, sa pensée trouve un nouvel écho, jusque dans la bouche des leaders politiques de ce monde.

« L’intelligence artificielle pourrait permettre de faire de grandes choses : développer de nouveaux médicaments, (…) améliorer la production agricole pour lutter contre l’insécurité alimentaire mondiale et sauver d’innombrables vies dans le cadre de la lutte contre la crise climatique. Mais si l’IA peut faire beaucoup de bien, elle peut aussi faire beaucoup de mal. Ces menaces, souvent qualifiées de risques existentiels, pourraient mettre en péril l’existence même de l’humanité. Il ne fait aucun doute qu’elles exigent une action mondiale. »

Nous sommes le 1er novembre 2023. Kamala Harris s’apprête à participer au premier sommet mondial sur la sécurité de l’intelligence artificielle à Bletchley Park, dans la banlieue de Londres. La vice-présidente des États-Unis tient un discours aux accents apocalyptiques. Mais ses mots résonnent avec ceux d’autres leaders politiques et économiques. Depuis le lancement de ChatGPT, un an plus tôt, pas un jour ne passe sans que ne soient évoqués les périls qui accompagnent le développement de l’IA. Et dans toutes les bouches, du Premier ministre britannique Rishi Sunak à la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, en passant par les grands patrons de la Silicon Valley, une même formule : « risques existentiels ».
Chewing-gums à la nicotine

Nick Bostrom n’a pas attendu ChatGPT pour employer cette expression. Cela fait plusieurs décennies que le philosophe suédois, reconnu aujourd’hui comme l’une des figures de proue de la pensée transhumaniste, parle de « risques existentiels ». C’est dire l’influence de cet homme de 51 ans, qui n’a pourtant rien d’une figure médiatique. Bostrom a tendance à fuir les plateaux de télévision et évite les mondanités. « Nous sommes tous passionnés par ce que nous faisons, mais Nick, c’est autre chose, c’est un perfectionniste. Il est totalement dédié à ce qu’il fait, jour et nuit », explique Anders Sandberg, son collègue à Oxford, qui le connaît depuis les années 1990.

« C’est un peu le Lénine du transhumanisme. Il l’a rendu respectable. »

Franck Damour, professeur associé à l’Université catholique de Lille

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L’emploi du temps de Nick Bostrom est réglé comme du papier à musique. Son déjeuner, un cocktail de fruits, légumes, protéines et graisses qu’il passe au mixeur, il le boit à son bureau. Les livres audio, il les dévore en lecture accélérée, trois fois la vitesse normale. Il ne boit pas, ne fume pas et mâche parfois des chewing-gums à la nicotine, car ils favoriseraient la concentration. Sa femme et son fils vivent au Canada, lui à Londres. Le philosophe n’aime pas les étiquettes ni les généralités, choisit ses mots avec soin, et se plaint que l’on tente de réduire sa pensée à quelques phrases chocs. Il est tout à sa mission : penser l’avenir de l’humanité et assurer sa survie. « C’est un peu le Lénine du transhumanisme, ose Franck Damour, professeur associé à l’Université catholique de Lille, il a réussi à donner une autre dimension à des idées marginales, partagées par peu de personnes. Il a rendu le transhumanisme respectable. »

La trajectoire de Nick Bostrom est celle d’une vie consacrée au savoir, une vocation qui prend forme à l’adolescence. « Enfant, je détestais l’école, je ne lisais aucun livre, raconte le philosophe. Ce n’est qu’à 15 ans que j’ai découvert qu’il existait tout un monde de connaissances. J’ai décidé alors de me consacrer à mon développement intellectuel. Je me suis fixé un programme intense, en philosophie, en littérature et en sciences. Et depuis, je n’ai jamais arrêté… »

Marqué d’abord par Nietzsche et Schopenhauer, il explore rapidement les écrits de technologues comme Hans Moravec ou Eric Drexler. Son cursus universitaire est un sans-faute : diplômé en philosophie, physique et neurosciences, il soutient sa thèse à la London School of Economics avant d’enseigner à Yale, puis de rejoindre Oxford. Dans la vénérable institution britannique, il croise la route et les idées de Derek Parfit, grande figure de la philosophie analytique, qui s’intéresse déjà à des questions qui deviendront chères à Bostrom, comme notre responsabilité morale à l’égard des générations futures. Pendant un temps, avec son compatriote Anders Sandberg, il loue même une chambre dans la demeure de Parfit. Mais c’est la découverte des premiers forums de discussion transhumanistes, dans les méandres balbutiants du Web, qui marque un virage décisif dans son parcours.
caption
Rêve de post-humanité

Au milieu des années 1990, si quelques précurseurs du transhumanisme ont déjà ouvert la voie – ainsi du futurologue Fereidoun M. Esfandiary (alias FM-2030) et du philosophe britannique libertarien Max More –, les premières listes de diffusion sur Internet permettent de réunir une communauté qui entrevoit dans les progrès de la technologie la possibilité de dépasser notre condition humaine, d’en finir avec le vieillissement et la mort, et de partir à la conquête de l’univers. « Nous nous vivions comme des marginaux qui prenaient les hypothèses de la science-fiction au sérieux. Des choses énormes arrivaient, que le reste du monde ignorait, se souvient Robin Hanson, professeur associé à l’université George-Mason, en Virginie. Anders Sandberg se souvient aussi du bouillonnement intellectuel de l’époque : « Imaginez si vous pouviez assister aux débats des futuristes italiens ou des premiers surréalistes ! »

Nick Bostrom se rend compte qu’il n’est pas seul à rêver de post-humanité. Mais la jeune communauté est encore désorganisée, quelque peu folklorique et surtout marquée par l’influence des libertariens californiens, zélotes du marché et pourfendeurs de l’État. Il s’agit de fédérer au-delà de cette sensibilité politique, de donner un vernis plus académique à l’idée de post-humanité, de montrer que le progrès technologique ne va pas sans risques. En somme, de rassurer. C’est d’autant plus nécessaire que ceux que Bostrom et ses amis appellent les « bio-conservateurs », opposés à la génétique et à toute manipulation de la nature humaine, exercent à l’époque une grande influence aux États-Unis, notamment au sein du Conseil de bioéthique de George Bush père. Parmi eux, le physicien Leon Kass, critique de la recherche sur les embryons et du clonage humain, et l’influent politologue Francis Fukuyama, célèbre pour avoir prophétisé « la fin de l’Histoire » et qui, dans un article de la revue Foreign Policy publié en 2004, qualifiera le transhumanisme d’« idée la plus dangereuse de la planète ».
Au nom des générations futures

En compagnie du philosophe David Pearce, Nick Bostrom fonde en 1998 la World Transhumanist Association (WTA). De quoi doter ce courant de pensée d’une structure internationale et d’une assise intellectuelle. « Il se veut un expert et entend rassembler tout le monde, souligne Apolline Taillandier, chercheuse à Cambridge et autrice d’une thèse sur le transhumanisme. Il ne prend pas position politiquement, mais reste proche des libertariens. »

« Ce serait un drame si l’intelligence des machines n’était pas développée à sa pleine capacité »

Après avoir rejoint Oxford en 2002, Nick Bostrom publie un premier article sur le concept de « risques existentiels ». Selon lui, le développement des nanotechnologies, des biotechnologies et de l’intelligence artificielle ferait peser une menace inédite sur l’humanité. Parce que ces champs de recherche pourraient échapper à notre contrôle, ou alors être utilisé à des fins malveillantes. D’après le philosophe suédois, cette triple menace pourrait même conduire à l’extinction de l’humanité, contrairement à d’autres catastrophes, certes terribles mais dont l’espèce humaine pourrait se relever, « de simples ondulations à la surface de l’océan de la vie », pour citer ses mots. Outre la diffusion de virus, d’armes biologiques inédites ou l’émergence d’une IA à même de se débarrasser purement et simplement des Hommes, c’est la perspective de devoir renoncer à la post-humanité qui inquiète Nick Bostrom. « Ce serait un drame si l’intelligence des machines n’était pas développée à sa pleine capacité », écrit-il, convaincu que, pour se prémunir des dangers de la technologie, le salut viendra justement… de l’innovation technologique.

Ce point de vue, il le détaille dans un article titré « Astronomical waste », qui deviendra le texte de référence du mouvement dit « long-termiste », qui prône la prise en compte, dans les décisions politiques et stratégiques, des intérêts des générations futures, celles qui verront le jour dans des centaines, voire des milliers d’années. Si l’on suit cette logique, pour chaque retard que nous accusons dans le champ technologique, ce sont des vies futures que nous sacrifions, un potentiel que nous ne réalisons pas. Une conception arithmétique et quantitative du monde, soumise à caution, où l’humain se voit réduit à sa capacité d’innovation et de création.

Ici réside une clé de compréhension essentielle de la pensée du philosophe suédois : le futur, si l’on parvient à juguler les risques existentiels, sera nécessairement radieux. Un nouvel horizon s’offrira alors à l’homme grâce à la technologie. « C’est un thème classique des transhumanistes, observe le sociologue Nicolas Le Dévélec, auteur de l’essai Le mythe de l’humain augmenté (Écosociété, 2021) et de Le Transhumanisme (PUF, 2024). Le mythe de l’abondance, de la croissance, de la fin du travail, de la délivrance par la technique… alors qu’il s’agit surtout d’une ultra-dépendance technologique. »
Nick Bostrom en 10 dates clés

1973 : Naissance à Helsingborg, en Suède
1996 : Découverte des premiers forums transhumanistes en ligne
1998 : Fondation de la World Transhumanist Association avec David Pearce
2002 : Nick Bostrom intègre l’université d’Oxford, en Angleterre
2002 : Publication de son premier article sur le concept de « risques existentiels »
2005 : Création du Future of Humanity Institute, un think tank rattaché à Oxford
2006 : Publication de la Lettre d’Utopie
2014 : Publication de SuperIntelligence, traduit en 19 langues
2015 : Discours à l’ONU sur les risques liés à l’intelligence artificielle
2024 : Publication de Deep Utopia: Life and Meaning in a Solved World

Bostrom s’inscrit bel et bien dans les canons transhumanistes. En témoigne sa Lettre d’Utopie, publiée en 2006 : « Votre corps est un piège mortel, pointez votre plus grand fusil vers le vieillissement et ouvrez le feu, écrit-il. Il faut que votre cerveau se développe au-delà des frontières du génie du genre humain. » Coûte que coûte, il s’agirait de dépasser notre condition. « La nature humaine n’a pas de valeur en soi pour Bostrom, résume Apolline Taillandier, chercheuse à Cambridge. Ce qu’il valorise, ce sont les capacités cognitives et la rationalité. Sa vision de l’humanité correspond à ce qu’il incarne en termes de genre, d’ethnicité, de position sociale, de diplômes. » Dix-sept ans après la publication de sa lettre, en 2023, un vieux mail de Bostrom sera exhumé, dans lequel il écrivait que « les noirs sont plus bêtes que les blancs ». Le philosophe s’excusera, tout en accusant « une armée de moustiques assoiffés de sang » de le distraire de ce qui est vraiment important.
Superintelligence

Nick Bostrom ne s’arrête jamais, publie beaucoup. Ses écrits sont sinueux, complexes, des « jeux de l’esprit » selon l’expression du sociologue Alberto Romele, dans la plus pure tradition de la philosophique analytique. Ils sont longtemps restés cantonnés à des cercles d’experts. Du moins jusqu’à la création du Future of Humanity Institute en 2005. Ce think tank, créé grâce aux deniers de l’entrepreneur et futurologue britannique James Martin, qui fait don de 100 millions de dollars à Oxford, entend d’emblée jouer un rôle d’influence auprès des politiques, fort du prestige et des réseaux de l’université. « C’est un lieu où se concentrent différentes formes de capital, symbolique, culturel et économique, souligne Apolline Taillandier. On peut y croiser un ancien directeur de la Banque mondiale, des décideurs en tout genre, c’est une étape supplémentaire dans l’institutionnalisation du discours de Bostrom. »

Mais c’est avec la publication en 2014 de Superintelligence que le philosophe suédois touche enfin le grand public. Dans cet essai écoulé à plus de 100 000 exemplaires, encensé par Bill Gates et Elon Musk, le philosophe suédois déploie sa vision du futur de l’intelligence artificielle. Si Bostrom ne souscrit pas à « l’hypothèse cyborg » – celle d’une fusion entre l’homme et la machine au moyen d’interfaces technologiques –, il croit fermement à l’émergence d’une intelligence artificielle générale, « un système qui surpasse largement les humains dans tous les domaines cognitifs », et appelle une nouvelle fois à tout mettre en œuvre pour contourner les périls associés à cette évolution. « Il existe différents types de risques existentiels, nous confie Nick Bostrom. Mais ce dont mon livre parle le plus, c’est le problème de l’alignement, le risque de construire des IA superpuissantes qui ne soient pas alignées sur nos priorités. C’est surtout un problème technique auquel il faut répondre. »

« L’avenir sera nécessairement technologique, c’est inévitable. Il faut donc changer l’être humain, l’adapter, pour ne pas changer le monde »

Nicolas Le Dévélec, sociologue, politologue et auteur de l’ouvrage Le transhumanisme (PUF, « Que sais-je », 2024)

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Ses détracteurs pointent un livre aux bases scientifiques douteuses, très spéculatif, sans grande originalité, qui fait une synthèse de conversations qui ont cours depuis des décennies dans les cercles transhumanistes. « Son concept majeur, c’est que le futur est important… On ne peut pas parler de nouveauté, pointe son vieux camarade Robin Hanson. Nick évoque un scénario où, soudainement, une seule machine s’améliore de manière radicale et prend le contrôle du monde. Mais la technologie ne progresse pas comme ça, c’est beaucoup plus graduel. On ne se réveille pas un matin avec une super IA ! »

Qu’importe ces objections, le message de Bostrom se diffuse. Le philosophe est invité à l’ONU, prononce des conférences TED et, surtout, fait des émules. Parmi eux, William MacAskill, 36 ans, formé lui aussi à Oxford, qui côtoie son aîné au Future of Humanity Institute. Le jeune homme est aujourd’hui la principale figure du mouvement dit « altruiste efficace », une variante du long-termisme qui contribue à donner un nouvel écho aux idées de Bostrom.

Son approche, consistant à réfléchir à la façon de faire le bien de la manière la plus efficace possible, s’inscrit dans la perspective « conséquentialiste » du Suédois : une action moralement bonne n’est pas guidée par des principes, un idéal, c’est celle dont les conséquences sont les meilleures. Un raisonnement qui conduit McAskill à affirmer qu’il vaut mieux être trader à Wall Street et redistribuer une partie de ses revenus que s’engager dans la voie humanitaire. Ou qui fait dire à Nick Beckstead, autre figure de proue du mouvement, que les vies des Occidentaux ont plus de valeur, car ces derniers génèrent plus d’innovation et de richesse. Une approche qui ne remet aucunement en question les racines des inégalités ou de la pauvreté.

Le long-termisme, lui, prolonge la réflexion de Bostrom sur les potentialités humaines à réaliser, ces vies futures dont nous serions responsables, tellement nombreuses en théorie qu’elles rendent les nôtres et les enjeux contemporains, écologiques ou sociaux dérisoires, voire anecdotiques. Toute une galaxie intellectuelle se structure désormais en se nourrissant, plus ou moins consciemment, de la pensée de Bostrom. Une constellation baptisée « TESCREAL » par le philosophe Emile P. Torres et la chercheuse en éthique de l’intelligence artificielle Timnit Gebru, pour « transhumanisme, extropianisme, singularité, cosmisme, rationalisme, altruisme efficace et long-termisme ».
Plus fort que le progrès

L’onde de choc générée par l’arrivée de ChatGPT offre une nouvelle caisse de résonance au concept de « risques existentiels ». Bostrom se retrouve ainsi associé au camp des « AI doomers », ces oiseaux de mauvais augure critiquant les « accélérationnistes » qui entendent se jeter à corps perdu dans le développement de l’IA. Mais la distinction est purement rhétorique tant les deux « camps » se retrouvent dans une même vision d’un futur hyper-technologique : « L’avenir sera nécessairement technologique, c’est inévitable, c’est un discours eschatologique. Il faut donc changer l’être humain, l’adapter, pour ne pas changer le monde », décrit le chercheur Nicolas Le Dévélec, qui pointe « une vision totalement dépolitisée de la société ».

De fait, Nick Bostrom ne s’intéresse pas à la politique. D’après lui, elle sera rendue caduque par le développement technologique. Pas plus qu’il ne s’intéresse à la crise environnementale, aux inégalités ou à la justice, autant de questions censées être réglées par l’innovation. « Bostrom est post-politique, résume Franck Damour. Pour lui, la société, le collectif politique n’existent déjà plus. Ce qui importe, c’est la dimension cosmique de l’espèce humaine, sa perpétuation. » Un discours radical, « beaucoup plus fort que le récit classique du progrès », selon l’historien, qui vient légitimer le fait que le développement technologique soit entre les mains d’acteurs globaux comme Google. « Le transhumanisme accompagne très bien le capitalisme néolibéral. Et plus nous discutons de tout ça, plus nous aurons de la peine à penser des futurs alternatifs », confirme le sociologue Alberto Romele, professeur associé à Sorbonne-Nouvelle.

« Je ne suis pas une pom-pom girl de la tech ! »

En cette époque trouble, où l’accélération technologique n’a jamais fait aussi peur, la grille de lecture radicale de Bostrom gagne du terrain : « Je parle depuis des décennies du pouvoir transformateur de l’IA ou des manipulations du cerveau. Et toutes ces idées sont aujourd’hui considérées par un large public », observe Nick Bostrom qui, s’il récuse le terme, s’inscrit plus que jamais dans la veine transhumaniste. Profondément convaincu de la pertinence de ses projections, il consacre même un nouvel essai, titré Deep Utopia: Life and Meaning in a Solved World (Ideapress Publishing, 2024) au sens de la vie dans un monde où l’IA aura résolu tous nos problèmes et où les machines nous surpasseront.

« Je ne pense pas qu’il faille se jeter dans la technologie, se faire des implants cérébraux ou ce genre de choses. Je crois à quelque chose de graduel qui pourra un jour nous rendre différents de ce que nous sommes aujourd’hui. On me prend pour un fou, un fanatique obsédé par les risques existentiels, mais ma réflexion est beaucoup plus complexe. Je ne suis pas une pom-pom girl de la tech ! », tente de rassurer Nick Bostrom. Homme de scène – étudiant il s’est essayé au stand-up –, le professeur à Oxford sait s’adapter à son public. Mais la vice-présidente des États-Unis a beau lui emprunter ses concepts, le philosophe suédois n’a pas changé depuis le temps des premiers forums transhumanistes.

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1. Toto dit :
  
  29 avril 2025 à 20 h 10 min
  
  Merci pour ces infos.
  
  Répondre
david777 dit :

29 avril 2025 à 14 h 33 min

le début de l’euro numérique et la fin du cach, c’est pour mieux t’ésclavager mon enfant. CHAPITRE 13 |
LIVRE DE L’APOCALYPSE
01 Alors, j’ai vu monter de la mer une Bête ayant dix cornes et sept têtes, avec un diadème sur chacune des dix cornes et, sur les têtes, des noms blasphématoires.

02 Et la Bête que j’ai vue ressemblait à une panthère ; ses pattes étaient comme celles d’un ours, et sa gueule, comme celle d’un lion. Le Dragon lui donna sa puissance et son trône, et un grand pouvoir.

03 L’une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa plaie mortelle fut guérie. Émerveillée, la terre entière suivit la Bête,

04 et l’on se prosterna devant le Dragon parce qu’il avait donné le pouvoir à la Bête. Et, devant elle, on se prosterna aussi, en disant : « Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ? »

05 Il lui fut donné une bouche qui disait des énormités, des blasphèmes, et il lui fut donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois.

06 Elle ouvrit la bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et sa demeure, contre ceux qui demeurent au ciel.

07 Il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre, il lui fut donné pouvoir sur toute tribu, peuple, langue et nation.

08 Ils se prosterneront devant elle, tous ceux qui habitent sur la terre, et dont le nom n’est pas inscrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, depuis la fondation du monde.

09 Si quelqu’un a des oreilles, qu’il entende.

10 Si quelqu’un doit aller en captivité, il ira en captivité ; si quelqu’un doit être tué par l’épée, il sera tué par l’épée. C’est ici qu’on reconnaît la persévérance et la foi des saints.

11 Puis, j’ai vu monter de la terre une autre Bête ; elle avait deux cornes comme un agneau, et elle parlait comme un dragon.

12 Elle exerce tout le pouvoir de la première Bête en sa présence, amenant la terre et tous ceux qui l’habitent à se prosterner devant la première Bête, dont la plaie mortelle a été guérie.

13 Elle produit de grands signes, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre aux yeux des hommes :

14 elle égare les habitants de la terre par les signes qu’il lui a été donné de produire en présence de la Bête ; elle dit aux habitants de la terre de dresser une image en l’honneur de la première Bête qui porte une plaie faite par l’épée mais qui a repris vie.

15 Il lui a été donné d’animer l’image de la Bête, au point que cette image se mette à parler, et fasse tuer tous ceux qui ne se prosternent pas devant elle.

16 À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front,

17 afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là : le nom de la Bête ou le chiffre de son nom.

18 C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six.

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thérébentine dit :

29 avril 2025 à 14 h 07 min

& l’IA sans jus a les mains liées .
Voui le courant coupé fini de faire bosser IA & robots .
On voit dans un film catastrophe un pilote à l’ancienne qui contrôle le gonflage des pneus en appuyant dessus
son copilote la charrie la technique est plus précise
& en vol grosse cata les trucs automatiques ne fonctionnent pas & dans la tempête le vieux pilote à l’instinct = une longue expérience sauve avions & passagers
le copilote s’incline l’homme est bien

Au fait dans le kit de survie de Macron le liquide en pièces métalliques & billet papier est conseillé ? Pâce que dans ce cas le tout « monnaie dématérialisée » n’est pas prévue pour tout de suite .

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Ray5 dit :

29 avril 2025 à 13 h 44 min

Je suis de ceux qui, depuis longtemps , réfutent le narratif, quel qu’il soit que merdias et journalopes servent à une populace transformée en Zombies.

Cette » panne » serait un excellent entraînement en situation réelle .

Ajouter que merluche, le socialo-pas franc et pas vraiment maçon non plus, après s’être félicité de l’importance croissante des musulmans en terre de Franc chrétienne , déclare qu’ils devraient former des milices contre le racisme dont ils souffrent !!

Ce déchet de l’humanité ment encore plus qu’il ne respire . Ces « protégés » malheureusement par l’injustice chronique et les politicards tous corrompus jusqu’à l’os, sont les principaux auteurs de crimes , délits et autres viols et décapitation sont victimes le français autochtones.

Une telle morgue, un tel mépris de la france, de son peuple témoigne , s’il en était besoin, que tous ces raclures: estimées entre 450.000 en France, socialo-franc-mac -sioniste nazis ont couvert les 2 coups d’Etat de leur maître , bâtard des roths qui l’ont placé et maintenu à la présidence à la têt de l’état par usurpation totale, avérée, criminelle et attentatoire à notre constitution. Cet usurpateur , faux élu mais vrai dictateur doit être chassé avec ses sicaires en urgence.

Réveillez-vous français !!! Notre patrie est déjà ruinée – son peuple appauvri -malade par suite d’injections criminelles sciemment exécutées pour éradique le peuple souverain de France . Sortez de votre déni voir votre léthargie car l’incendie ravagg la nation France.

Répondre
1. Poilagratter dit :
  
  29 avril 2025 à 14 h 57 min
  
  Roseanne Barr dit que la promotion du musulmanisme en Occident est une attaque contre Le genre féminin. Diviser pour mieux régner.
  
  Répondre
Poilagratter dit :

29 avril 2025 à 13 h 23 min

Le fils de l’alerteur Mickaël Jaco sur beforeitsnews est mort …a 31 ans Michelangelo Jaco. Bizarre Alex jones porte plainte pour tentative d’empoisonnement de sa fille aussi………

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Toto dit :

29 avril 2025 à 12 h 03 min

Bonjour sujet annexe mais voilà grosse panne d’électricité en Espagne et au Portugal ainsi que dans le sud de la France. De quoi cela provient ? Aucune idée sauf que je me rappelle que le WEF avait évoqué des pandémies cybernétiques. Qu’est-ce que la cybernétique ? définition : « Science des communications et de la régulation dans l’être vivant et la machine.
La cybernétique est à l’origine de l’informatique. »
Le sujet a été étudié avec un rapport mais que de l’œuf et de la poule au commencement, qui annonce qui ?
https://reports.weforum.org/docs/WEF_Global_Cybersecurity_Outlook_2025.pdf
Est-ce un évènement avant un plus grand, un black out généralisé? Il y-a-t-il un rapport avec le futur « kit de survie », panne plus généralisée et plus longue ? Origine naturelle pour les uns, sabotage pour les autres? On ne sait pas encore. Ou entraînement ou prévention, risque d’attaque électro-magnétique ou évènement naturel à venir ?

Répondre
1. Toto dit :
  
  29 avril 2025 à 12 h 04 min
  
  Ce qui retient l’attention : activation de l’armée.
  
  Répondre
  1. Toto dit :
    
    29 avril 2025 à 12 h 17 min
    
    Ou tout simplement une centrale a disjoncté et cela a entraîné en chaîne toutes les autres. Ce qui me fait émettre l’hypothèse suivante que l’euro numérique pourrait aussi subir ce désagrément dans une sorte de configuration en cascade.
    
    Répondre
  2. Poilagratter dit :
    
    29 avril 2025 à 13 h 25 min
    
    Oui soit ils mettent en place la dictature ,
    soit il y a vraiment une épuration des illuminati…..
    
    Répondre
    1. Toto dit :
      
      29 avril 2025 à 13 h 43 min
      
      Ou alors, ils nous ont emmené vers le tout électrique pour déclencher sciemment un black-out ou alors ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. D’ailleurs Elon Musk avait déjà alerté : https://gocar.be/fr/actu-auto/electrique/elon-musk-alerte-sur-les-risques-dun-black-out-mondial-en-2025
      
      Répondre
      1. Poilagratter dit :
        
        29 avril 2025 à 14 h 51 min
        
        Oui ça peut faire partie du Plan extra terrestre de guerre via Haarp ( volcans tremblements de terre tsunamis, inondations et blues Beam ( feux), corruption des politiciens ( injections mortelles) et destruction de l’économie sociale ( la 5G et Les panneaux solaires au dessus de nos corps interféré par l’électromagnétisme) Selon Lacerta une reptilienne Terrestre qui précise que eux ne sont pas nos ennemis mais que des extra terrestres veulent la terre ne serait ce que pour l’hydrogène de l’eau et ils ont des bases sur terre, Ou viennent souvent.
        Avec ces Infos sur la méthode de guerre, cette fois, je la crois.
      2. Toto dit :
        
        29 avril 2025 à 17 h 55 min
        
        Aucune fermeture d’esprit à une hypothèse car je sais de mon père que les OVNI existent mais je ne sais pas d’avantage (technologie avancée cachée ? vestige d’une civilisation ancienne retrouvée ? E.T ou démons avec passage d’une autre dimension ( appelée un ciel dans certaines cultures )? vaisseaux du futur et voyages dans le temps ? civilisation souterraine et sous-marine ? ). Ce qui est évident c’est la volonté du « nouvel ordre mondial » qui a été proclamée par des élites, elles-mêmes et ce qui est aussi évident, c’est que nous sommes maltraités.
      3. Toto dit :
        
        29 avril 2025 à 18 h 03 min
        
        https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/civilisations-extraterrestres-5-histoires-extraordinaires-non-resolues-ovnis-etrange-observation-equipage-vol-nice-londres-102162/
        Avec trace des radars.
      4. Toto dit :
        
        29 avril 2025 à 19 h 17 min
        
        OVNI : Analyse des images avec un pilote de chasse (images de l’armée américaine) https://www.youtube.com/watch?v=VdTPXvxFwIQ
      5. Toto dit :
        
        29 avril 2025 à 20 h 04 min
        
        Ou peut-être une technologie type MHD développée par Jean-Pierre Petit, en plus sophistiquée et détenue par une petite élite ? Car avec l’électro-magnétisme, pas de frottements de l’air ou de l’eau.
2. Poilagratter dit :
  
  29 avril 2025 à 13 h 23 min
  
  Non c’est un Plan, Les 3/4 des USA aussi En black-out.
  
  Répondre
  1. Toto dit :
    
    29 avril 2025 à 13 h 52 min
    
    Je ne vois pas d’info là-dessus. Avez-vous des liens ?
    
    Répondre
    1. Poilagratter dit :
      
      29 avril 2025 à 14 h 52 min
      
      Sur beforeitsnews.
      
      Répondre
3. jean-pierre s 82 dit :
  
  29 avril 2025 à 15 h 24 min
  
  Bonjour Toto,
  
  Et si tout simplement le soleil faisait des siennes.
  Et, comme les gens ont la mémoire courte, de temps en temps il se passe des choses…
  Par exemple :
  https://sciencepost.fr/article-l-evenement-de-carrington-encore-plus-important-que-prevu/
  
  Cdt, jp
  
  Répondre
  1. Toto dit :
    
    29 avril 2025 à 17 h 46 min
    
    Bonjour jean-pierre s 82 , c’est une hypothèse tout-à-fait envisageable car il y a eu beaucoup d’aurores boréales même à des endroits inhabituels donc quelque chose se passe aussi avec le soleil et avec la protection de la planète qui vient de son magnétisme naturel lié au noyau terrestre.
    
    Répondre
    1. Toto dit :
      
      29 avril 2025 à 18 h 12 min
      
      Champs électro-magnétiques terrestres évoqués dans cet article mais aussi la prévision de Davos en titre même : https://vtforeignpolicy-com.translate.goog/2025/04/new-tests-of-cybernetic-pandemic-predicted-by-schwab-gates-wef-as-covid-electric-and-internet-blackout-in-eu-countries/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
      
      Répondre
    2. Toto dit :
      
      29 avril 2025 à 18 h 13 min
      
      Champs électro-magnétiques terrestres évoqués dans cet article mais aussi la prévision de Davos en titre même Mise à jour – Cauchemars d’une pandémie cybernétique (prédite par le Forum économique mondial comme Covid). Panne d’électricité dans les pays de l’UE. Présumées « vibrations atmosphériques induites ». : https://vtforeignpolicy-com.translate.goog/2025/04/new-tests-of-cybernetic-pandemic-predicted-by-schwab-gates-wef-as-covid-electric-and-internet-blackout-in-eu-countries/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
      
      Répondre
      1. Toto dit :
        
        29 avril 2025 à 18 h 50 min
        
        Panne électrique une loi crée la même chose en France (donc ici explication d’un effondrement électrique à cause du mix qui en plus va coûter encore plus cher aux Français) : https://www.youtube.com/watch?v=C1KuURRCZaY
      2. jean-pierre s 82 dit :
        
        29 avril 2025 à 19 h 17 min
        
        +++
        
        Cdt, jp
      3. Toto dit :
        
        29 avril 2025 à 19 h 29 min
        
        Dernière hypothèse, un mélange de tout cela avec la vulnérabilité de certains mix énergétiques à Haarp.

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