Martyre de l’A10 : les premières constatations ont été déterminantes
“Inass Touloub a enfin un prénom et un nom”. Dans ce constat factuel on percevait la satisfaction du procureur de la République de Blois, Frédéric Chevallier, lors de la conférence de presse qu’il a donnée, jeudi, dans le cadre de l’affaire de la “petite fille de l’A10″.
Il aura fallu plus de trente ans pour identifier cette fillette dont le corps, emmailloté dans une couverture, avait été découvert sans vie le 11 août 1987 en bordure de l’autoroute A10 à Suèvres (Loir-et-Cher). Morsures et brûlures seront retrouvées sur la petite fille dont les membres comportaient des traces d’anciennes fractures. Si l’enquête a rebondi aujourd’hui, c’est d’abord en raison des premières constations réalisées sur la scène de crime
Excellent travail de criminalistique
“Il faut rendre hommage à ces gendarmes en 1987 qui sont arrivés les premiers qui ont fait un excellent travail de criminalistique”, assure le colonel Thomas Andreu, commandant de la….
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