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Marion Sigaut – Sexologie et Mensonges

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Dossier de Presse

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13 Réponse(s) à "Marion Sigaut – Sexologie et Mensonges"

laluciole dit :

17 avril 2025 à 19 h 35 min

Cette période trouble de dépopulation orchestrée, a été « déguisée » en crise sanitaire, avec pour corollaire :
– des conséquences d' »abêtissement » chimique programmé (taux d’autisme de 1/10 000, autrefois, 1/36, aujourd’hui = Voir ou revoir le film prophétique « idiocracy »).
– des meurtres en EHPAD, et des drames suite aux injections chimiques.
Cette période de dépopulation est déguisée aussi en guerres inutiles (pléonasme) :
– Gaza
– Ukraine
Pour satisfaire des élites financières occultes, pédo-criminelles …
Je crois que j’ai fait le tour !

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Helie dit :

17 avril 2025 à 12 h 00 min

Bonjour aux anges en marche, Karl Zéro à créé une association : »Justice pour les enfants ». Madame SIGAUT travaille-t’elle avec Lui ? Tendresse infinie et Bisouskes.

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Annwn dit :

17 avril 2025 à 7 h 25 min

Aucune question ne présente un aussi grand intérêt que l’étude comparée de la psychologie de l’homme et de la femme. C’est dans cette étude que l’on trouve l’origine de la discorde ou des malentendus qui règnent trop souvent entre les deux sexes et gâtent l’existence.
L’homme ne connait pas la femme dans sa physiologie et dans sa psychologie, c’est pourquoi, souvent, il la blesse sans le savoir et sans le vouloir ; la femme ignore également la nature intime de l’homme et la conduite qu’elle tient à son égard, croyant bien faire, est souvent la cause réelle de tous les maux dont ils souffrent l’un et l’autre. Il est donc de la plus grande utilité de faire connaître à tous les bases scientifiques de la « Loi des sexes », et de répandre le plus de lumière possible sur cette question qui est appelée à servir de base à la vraie morale.
NB : Les conditions climatériques des pays divers, créent des différences ethniques, c’est-à-dire physiologiques, psychiques et, par conséquent mentales des peuples.
Mais quel que soit le degré de leur intelligence, de leurs vertus ou de leurs vices, quelle que soit la prospérité ou la pauvreté de leur commerce, une chose les domine tous : la Loi des sexes, qui fait que partout, sous toutes les latitudes, dans les coins les plus reculés de la Terre, on trouve les deux sexes représentés et toujours suivant l’inflexible loi de leur polarité inverse.
Donc, toutes les différences des peuples s’effacent devant cette loi générale qui les gouverne tous : Un Être de raison et de bonté vit près de l’homme pour tempérer ses passions, pour empêcher ses mauvaises impulsions, pour prévenir ou réparer ses désordres, pour lui ouvrir la voie d’un idéal que seul, cet Être peut lui donner. Sans ce concours avoué (ou inavoué) de la Femme, l’existence de l’homme est incomplète, incohérente, dangereuse même.
Rétablissons l’harmonie sociale du monde en la basant sur la science éternelle et universelle, celle qui reconnaît et fait reconnaître par tous l’immuable « Loi des Sexes ». Cette loi porte en elle toutes les solutions sociales.
Quand les chefs d’État comme les derniers des citoyens auront reconnu cette « Loi », quand ils comprendront les aspirations psychiques et spirituelles de tous les peuples, ils s’uniront dans une fraternité consciente pour conduire le monde nouveau à son but grandiose : L’HARMONIE UNIVERSELLE.
L’homme a unifié le monde par son industrie qui ne connaît pas de frontière, son commerce est international, sa puissance économique est mondiale, il a créé des moyens de transport, des moyens de communication sans fil qui fait courir la pensée à travers l’espace avec la vélocité de l’éclair… Et malgré toutes ces merveilles, le désordre subsiste, les divers peuples se déchirent, la haine les divise et quand les hommes se concertent entre eux, ce n’est pas pour faire le bien, c’est pour faire le mal, pour se donner mutuellement la mort ou créer des entraves à la liberté des autres.
Il faut changer tout cela et se mettre sur un terrain nouveau pour réaliser un accord solide entre les divers peuples, pour se concerter, en vue du Bien général sur les bases d’une vérité démontrée : la différence psychique des sexes.
La Nature a fait deux grandes divisions dans l’Humanité : les sexes qu’elle a créés différents, leur donnant à chacun des facultés spéciales. Chaque sexe doit avoir, dans la société, le rôle que ses facultés lui assignent.
Pour le connaître et l’accepter, les hommes et les femmes ont le devoir d’étudier « La loi des sexes ».
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/psychologieetloidessexes.html

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1. Irea dit :
  
  17 avril 2025 à 16 h 40 min
  
  Lire Les Hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus.
  Lecture facile qui permet de comprendre comment pense chacun des sexes. Ils existent en livre de poche
  
  Sans oublier les petits livres « Pourquoi les femmes ne savent pas lire les cartes routières » et « Pourquoi les hommes n’écoutent jamais rien » de Allan et Barbara Pease.
  Ces deux petits livres (First editions), sont humoristiques, sympas à lire et bien que loin de toute philosophie complexe, expliquent bien les choses.
  
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2. Poilagratter dit :
  
  17 avril 2025 à 19 h 19 min
  
  Un grand nombre de ceux qui se trouvent aula tête de l’état au gouvernement, sont homosexuels, representant par là même ..2% de la population mais 80 % des ministres…..
  Ce ne sont pas eux qui rétabliront quoi que ce soit.
  Dans le corps energetique, des plaques ont été mises ( implants etheriques) pour séparer hommes et femmes par incompréhension induite. . En Suisse un soin sur le Divin féminin de Mezaelle, traite ce point.
  
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  1. laluciole dit :
    
    17 avril 2025 à 22 h 53 min
    
    Pour le début du commentaire ok, exact … Après… J’ai rien compris.
    
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    1. Poilagratter dit :
      
      18 avril 2025 à 11 h 54 min
      
      Donc , notre corps est électromagnétique, autour nous avons une enveloppe énergétique. Cf scientifique Kirlian, la MTC médecine traditionnelle Chinoise ancestrale 4000 ans qu’ils utilisent les méridiens ( artères énergétiques) pour l’acupuncture , l’Ayurveda ( médecine de l’Inde 4000 ans..) rétablit l’équilibre des chakras ( centres énergétiques reliés aux organes environnants).
      Les magnétiseurs le font aussi, y compris à distance car la pensee( intention ) a une action, d’où ce soin de Mezaelle.
      Les fantômes , succubes, ….entités , etc. ..sont invisibles mais bien présents et agissent sur nous à notre insue, y compris par la pose d’implants physiques ( cf médecin à San Diego ) ou énergétiques.
      
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Alf dit :

17 avril 2025 à 7 h 18 min

l’OMS et l’ONU s’appuient sur les travaux du pervers Kinsey financé par rothschild, violant des gamins et des bébés et prenant leurs souffrances pour des orgasmes. A pedoland on continue ces pratiques sordides en les inculquant à l’école, avec mastur*action infantile précoce pour les 0-4 ans sur le programme européen de l’OMS.

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1. Poilagratter dit :
  
  17 avril 2025 à 19 h 21 min
  
  Lkinsley se fait passer pour un psy mais n’a En réalité aucun diplôme.
  
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  1. thérébentine dit :
    
    20 avril 2025 à 17 h 54 min
    
    kinsey fantasmait-il sur les guêpières ? Qui n’sait pas ?
    OK dac l’homme et un animal pensant n’empêche que le zoologiste Kinsey pensa à quoi avec ses recherches ? Flipper ? On dit qu’il était heureux en ménage alorse s’il ne cocufiait pas son épouse était-il un voyeuriste pour avoir questionné des gens sur leur activité sexuelle ?
    De plus si le sieur Kinsey a parlé des habitudes cachées coté cul des américains on se dit que ces derniers ne l’avaient pas attendu pour en jouir .
    
    https://www.historia.fr/sciences-decouvertes/sciences-techniques/comment-un-specialiste-de-la-reproduction-des-guepes-a-revolutionne-letude-de-la-sexualite-aux-etats-unis-2158186
    Insolite
    Comment un spécialiste de la reproduction des guêpes a révolutionné l’étude de la sexualité aux États-Unis
    
    Durant les années 1930, Alfred Kinsey, biologiste spécialiste des guêpes, se voit charger d’enseigner un cours sur la vie conjugale à l’université d’Indianapolis. Devant l’ignorance de ses élèves en matière sexuelle, il se lance dans une enquête qui n’ira pas sans de scandaleuses surprises…Comment un spécialiste de la reproduction des guêpes a révolutionné l’étude de la sexualité aux États-Unis
    JEAN-NOËL FABIANI
    4–5 minutes
    
    Nous sommes en 1938 à l’université d’Indianapolis, dans cette Amérique profonde dominée par la pruderie religieuse, où l’un des professeurs de biologie, Alfred Kinsey (1894-1956), se passionne pour la sexualité chez les… guêpes. C’est aussi cette année-là qu’une circulaire impose aux universités américaines d’organiser, pour leurs étudiants, un cours sur le mariage, en abordant tous les aspects de la vie conjugale, y compris celui de la sexualité.
    
    Le doyen se demande bien à qui confier ce sujet gênant. Aussi Kinsey, spécialiste du sexe des guêpes, est-il officiellement investi par la faculté du cours sur le mariage, enseignement qui remporte immédiatement un grand succès. Il faut avouer que l’ignorance en matière sexuelle est abyssale : la plupart des étudiantes ignorent ce qu’est un clitoris et l’acte sexuel, dicté par la religion, s’accomplit exclusivement pour procréer, et dans des positions bien précises. L’ignorance de ses élèves pique alors la curiosité scientifique de Kinsey, qui s’aperçoit que s’il connaît bien la sexualité des insectes, il ne dispose que d’une expérience modeste du sujet chez ses contemporains.
    Les routes du désir
    
    C’est alors que lui vient une idée folle, étudier ce qui se passe réellement dans les chambres à coucher (et parfois ailleurs) des Américains, en persuadant des milliers d’entre eux de répondre à des questions intimes sur leurs expériences et opinions. Mais Kinsey ne dispose d’aucun moyen financier. Il démarche alors ses premiers cobayes parmi ses élèves et ses collaborateurs. Une décision qui provoque une levée de boucliers de la part de ses collègues, qui ne souhaitent pas que l’on aborde ces sujets. Et ils sont nombreux, à Indianapolis, à les percevoir comme immoraux !
    
    Qu’à cela ne tienne : au volant de sa voiture, Kinsey se jette sur les routes, à la rencontre de volontaires qui accepteraient de lui raconter leurs pratiques sexuelles. Aussi incroyable que cela paraisse, le procédé fonctionne. Il prépare 300 questions qui commencent par des données démographiques mais qui couvrent ensuite toutes les activités sexuelles possibles. L’entretien se déroule à domicile ou dans son automobile. En 1943, la fondation Rockefeller lui accorde une première bourse de 23 000 dollars. Kinsey peut enfin financer son rêve. Le chercheur forme alors des enquêteurs, qui enregistreront les réponses sur des cartes perforées IBM. Il est ainsi possible de colliger la vie sexuelle de plus de 11 000 Américains.
    Un succès foudroyant
    
    Chez les hommes, un des premiers constats est la place de l’homosexualité qui, à l’époque, est encore considérée comme un délit. Or, le rapport Kinsey montre qu’entre l’hétérosexualité franche et l’homosexualité, il existe cinq stades progressifs dans lesquels, au passage, Kinsey lui-même se reconnaît. Chez les hommes mariés, un tiers des rapports se produit en dehors du couple, dans des conditions moralement désapprouvées et souvent illégales. En outre, plus des trois quarts des sujets interrogés avaient eu des relations sexuelles avant le mariage et 37 % avaient connu au moins une expérience homosexuelle.
    
    Chez les femmes, les résultats de 6 000 entretiens se révèlent plus surprenants encore, compte tenu de la mentalité de l’époque. Ainsi, 25 % des épouses interrogées ont commis un adultère et, dans leur vie conjugale, environ un tiers des femmes n’a jamais connu d’orgasme. En revanche, on découvre que 14 % des femmes en ont plusieurs au cours d’un même acte sexuel. En outre, 50 % des femmes ont eu des relations sexuelles avant le mariage et environ 10 % des mariées sont enceintes le jour des noces.
    
    En 1948, la publication de Sexual Behaviour in the Human Male impressionne, mais moins que, cinq ans plus tard, la sortie de son pendant féminin, Sexual Behaviour in the Human Female, qui fait l’effet d’une bombe. Car les conclusions avancées écornent l’idéal maccarthyste de la femme au foyer américaine, bonne ménagère et excellente cuisinière : l’enquête dessine, au fil des pages, une dévergondée adepte de la masturbation et encline à l’infidélité ! Des résultats insupportables – forcément l’œuvre d’un communiste infiltré par les services secrets soviétiques – qui provoquent l’arrêt des financements du projet. Pourtant, le succès des livres sera foudroyant et Kinsey révolutionnera, dans le domaine sexuel, le monde entier…
    
    https://www.bbc.com/afrique/articles/crg0e8x9v7go
    En 1938, le Dr Alfred Kinsey, zoologiste américain peu connu, abandonne son étude des guêpes et se tourne vers la recherche sur le sexe.
    
    Ses travaux dans ce domaine feront de lui l’un des personnages les plus controversés de son époque.
    
    https://www.chire.fr/librairie/reisman-judith-kinsey-la-face-obscure-de-la-revolution-sexuelle-p-414951?srsltid=AfmBOopvwxGbimCBnhB03iqQ_H5nicGsNA2OGZD8c1Ah28O_M24WeL_f
    C’est en 1996, après le viol de sa propre fille âgée de 10 ans par un jeune de 13, que Judith Reisman se met à étudier les rapports Kinsey. Ayant entendu répéter à cette terrible occasion que « les enfants sont sexuels dès la naissance », elle a voulu comprendre d’où venait cette assertion qui semblait largement répandue. Les travaux de Kinsey, après avoir réussi à faire admettre que tout le monde est peu ou prou homosexuel, étaient bien à l’origine de l’étape suivante : la sexualisation des enfants, dans le sillage d’un Jack Lang qui déplore que « la sexualité puérile est encore un continent interdit » et d’un Thierry Lévy qui se plaint avec véhémence du tabou de la pédophilie. Consciente des enjeux civilisationnels et moraux qui se cachaient derrière les tableaux froids de rapports qui se présentaient comme scientifiques, Judith Reisman est partie en guerre contre ces études, les méthodes employées, la pertinence des échantillons, mais aussi et surtout contre leurs conséquences – la « restructuration » des cerveaux – qui se font sentir si dramatiquement aujourd’hui.
    Née aux États-Unis en 1935, Judith Reisman est une essayiste et conférencière américaine. Titulaire d’un doctorat en communication, professeur invité à l’école de droit de la Liberty University en Virginie, elle a écrit de nombreux essais autour de la pornographie, de la pédophilie et de la banalisation de la sexualité dans l’espace public.
    
    https://www.letemps.ch/culture/debat-sexe-selon-kinsey-fortune-puritanisme?srsltid=AfmBOopG9rPMKwHCUlb9c4pPqf2V08VZpo7LRqpNNleUZ5B8R7APMDx9
    
    https://shs.cairn.info/danger-en-protection-de-l-enfance–9782100747252-page-51?lang=fr
    
    https://plateformejonas.fr/wp-content/uploads/2020/06/1.6.2.-Rapports_du_tres_controverse_Dr_Kinsey_.pdf
    
    https://www.cnrtl.fr/definition/gu%C3%AApi%C3%A8re
    
    https://www.panini.fr/shp_fra_fr/marvel-verse-ant-man-la-gu-pe-fmh23033-fr02.html?srsltid=AfmBOoqHpQv2ysWGOOKBtpfVtpzkkPjDSWWZ_1ZEiqol0DSvRklSO1OY
    
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Canastra dit :

17 avril 2025 à 6 h 31 min

Un très grand merci à mesdames Judith Reisman et Marion Sigaut, vous êtes de très grandes dames ! De tout coeur avec vous dans ce combat contre les monstres qui veulent imposer leurs crimes contre les enfants et autres vices en normes de société, soutenus par leur argent qui, croient-ils, les rendent « intouchables »… Parlons-en, parlons-en, révélons, révélons, faisons connaître ce combat autour de nous, car le silence qui protège ces infâmes, lui aussi, tue.

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1. Kristian Carpenter dit :
  
  17 avril 2025 à 12 h 49 min
  
  @ Canastra 👍👏 … Idem pour Nous !
  
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2. Poilagratter dit :
  
  17 avril 2025 à 19 h 23 min
  
  De fait, cela fait des dizaines d’années qu’ils sont intouchables.
  
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