Selon la gendarmerie, il y a plusieurs cas : « Premier cas, ils se mettent au travail et quelques mètres carrés plus tard, la cour n’est que partiellement recouverte. Il leur faut une rallonge immédiate pour aller rechercher du matériau. C’est ainsi qu’ils filent… »
Deuxième cas : « ils viennent à bord de camions souvent obsolètes et effectuent un gravillonnage de 5 mm à 1 cm d’épaisseur alors qu’un enrobé classique est sur une épaisseur de 6 à 15 cm. Au départ, ils donnent un prix bas et une fois le travail achevé ce prix est multiplié parfois par 10 pour un travail de mauvaise qualité ».
« C’est tout bonnement une escroquerie, conclut la gendarmerie. Prudence et méfiance doivent donc être de rigueur lorsqu’on est démarché par ce type de société ».
Source : Presse Océan
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