« L’intervention médicale coercitive forcée des Canadiens » : Lettre ouverte de la GRC pour la liberté à la commissaire de la GRC, Brenda Lucki

En tant que représentants de nos communautés au sein de la GRC et représentants de la GRC dans nos communautés, nous n’avons jamais été témoins d’une telle division dans notre pays.

Par

la Gendarmerie pour la Liberté Recherche mondiale, 13 décembre 2021

Mounties for Freedom 21 octobre 2021

Quartier général national de la GRC
73, promenade Leikin
Ottawa (Ontario) K1A 0R2

21 octobre 2021

Chère commissaire Brenda Lucki :

Nous soumettons respectueusement cette lettre ouverte pour exprimer nos préoccupations les plus sincères et notre position résolue contre l’intervention médicale coercitive forcée des Canadiens et contre la discrimination indue subie par ceux qui exercent leur droit légitime à l’autonomie corporelle. Nous ne sommes pas contre la vaccination, mais en tant qu’agents chargés de l’application des lois, nous ne pouvons pas, en toute bonne conscience, participer volontairement à l’application de mandats qui, selon nous, vont à l’encontre. des meilleurs intérêts des personnes que nous protégeons.

Résumé exécutif

En tant que Canadiens, nos libertés protégées par la Constitution précédant le gouvernement et ne peuvent être limitées que temporairement si la majorité des preuves justifient de telles violations comme étant raisonnables, prouvables et guidées par la loi. Si nous présentions toutes les preuves disponibles devant un tribunal, nous croyons fermement que les mandats mis en œuvre par le gouvernement ne résisteraient pas à un examen minutieux.

En tant qu’enquêteurs expérimentés, nous regardons au-delà des informations fournies et nous nous concentrons sur la manière dont les informations sont présentées. Une enquête appropriée doit être menée de la manière la plus objective possible et suivre le principe selon lequel il vaut mieux avoir des questions auxquelles on ne peut répondre que des réponses qui ne peuvent être remises en question. Une enquête complète doit inclure la divulgation complète de tous les faits de l’affaire, même des preuves contradictoires. Pourquoi, alors, y a-t-il peu ou pas de tolérance pour un débat libre et ouvert sur cette question ? De nombreux experts médicaux et scientifiques crédibles sont censurés. En conséquence, nous sommes, à juste titre, préoccupés par « la science » que nous sommes contraints de « suivre ».

En tant que représentants de nos communautés au sein de la GRC et représentants de la GRC dans nos communautés, nous n’avons jamais été témoins d’une telle division dans notre pays . Ce sentiment de « nous contre eux » sera encore alimenté par le fait d’avoir une force de police composée uniquement de personnes « vaccinées », tout en servant des communautés composées de personnes « non vaccinées », ce qui va à l’encontre du modèle de police communautaire que la GRC s’est efforcée d’instaurer.

En tant qu’agents chargés de l’application des lois, nous sommes déjà confrontés à des niveaux plus élevés de stress et de maladies mentales en raison de la nature de notre travail. Ces problèmes ont été aggravés – considérablement – ​​par des mandats que nous estimons profondément contraires à l’éthique, qui menacent nos moyens de subsistance et divisent la société.

En tant qu’employés fédéraux, que faites-vous pour atténuer ce stress ? Par ailleurs, quelles garanties avons-nous que les injections ne provoqueront pas d’effets secondaires à court ou à long terme ? Quelles mesures seront prises pour garantir que les membres soient indemnisés pour les effets secondaires indésirables ?

Les policiers sont censés préserver la paix, faire respecter la loi et défendre l’intérêt public. Nous croyons fermement que les traitements médicaux forcés et forcés compromettent ces trois éléments et, par conséquent, contredisent nos devoirs et nos responsabilités envers les Canadiens. Nous restons fidèles à la Charte et à la Déclaration des droits et vous demandons d’envoyer des enquêteurs pour recueillir les déclarations des professionnels de la santé (et d’autres témoins fiables) qui affirment avoir été réduits au silence, mettant ainsi des vies en danger. Permettez-nous de rendre ces informations accessibles à tous afin que le public puisse les examiner et obtenir un consentement éclairé.

À propos de nous

Cette lettre a été créée à partir des pensées, croyances et opinions collectives d’agents de police actifs de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) de partout au pays. Nous possédons une riche expérience qui comprend, sans toutefois s’y limiter, les services généraux, le crime fédéral grave et le crime organisé, la liaison scolaire, les détails de la protection du Premier ministre, l’équipe d’intervention d’urgence, les relations avec les médias et l’unité de répression spéciale des forces combinées. Nous venons de différents rangs, niveaux d’expérience, communautés, origines culturelles, croyances religieuses et statuts vaccinaux. Ensemble, nous sommes les Mounties for Freedom. Nous sommes des policiers individuels unis par la conviction que les citoyens, y compris les employés fédéraux, ne devraient pas être forcés ou contraints à subir une intervention médicale.

Notre position

En août 2021, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé que « les fonctionnaires fédéraux doivent être entièrement vaccinés » et que pour ceux qui ne bénéficient pas d’une exemption médicale et choisissent de ne pas se faire vacciner : « Il y aura des conséquences » 1 .

Depuis cette déclaration, de nombreux employés fédéraux ont été informés qu’ils seraient renvoyés chez eux sans salaire pour avoir refusé de recevoir un traitement médical contesté. Nous sommes unis dans la conviction que les gens ne devraient pas être forcés ou contraints à recevoir les traitements actuels contre la COVID-19 – ceux-ci devraient être volontaires. Nous sommes unis contre l’intervention médicale forcée et contrainte des Canadiens et contre la discrimination à laquelle sont confrontés ceux qui ont exercé leur droit à l’autonomie corporelle. Nous croyons en la démocratie, à la Charte canadienne des droits et libertés et à la Déclaration des droits.

Il ne s’agit pas de savoir si les gens doivent être vaccinés – c’est un choix personnel.

La loi

Notre principal devoir en tant qu’agents de la paix au sein de la GRC est de préserver la paix 2 . Nous n’avons jamais été témoins d’un niveau de division dans notre pays tel que celui que nous voyons actuellement avec la pandémie de COVID-19. Il est de notre responsabilité, plus que jamais, de tout mettre en œuvre pour préserver la paix dans notre pays.

La Charte des droits et libertés (la Charte) protège les droits et libertés fondamentaux essentiels au maintien d’une société libre et démocratique au Canada 3 . La Déclaration canadienne des droits ajoute : « … la nation canadienne est fondée sur des principes qui reconnaissent… la dignité et la valeur de la personne humaine et la position de la famille dans une société d’hommes libres et d’institutions libres. 4 » Il continue ainsi : « Affirmant également que les hommes et les institutions ne restent libres que lorsque la liberté est fondée sur le respect des valeurs morales et spirituelles et sur l’État de droit. 5 « 

Nous croyons que nos gouvernements fédéral et provinciaux n’ont pas réussi à faire respecter la Charte, la Déclaration des droits et la Constitution et nous sommes témoins de l’érosion de la démocratie au Canada. Comme vous le savez, la Charte ne garantit pas des libertés absolues. Si le gouvernement veut limiter les libertés, il doit établir que ces restrictions sont raisonnables compte tenu de tous les faits disponibles. Le gouvernement doit adhérer à un processus visant à prouver que ses actions sont appropriées, appelé le test Oakes. Nous croyons fermement que si toutes les preuves disponibles étaient présentées devant un tribunal, les mandats mis en œuvre par le gouvernement ne passeraient pas le test Oakes. Au moment de rédiger cette lettre, la clause dérogatoire de l’article 33 de la Charte n’a pas été invoquée pour cette pandémie.

Exiger des options de traitement obligatoires contre le COVID-19 est une pente glissante et permet au gouvernement d’outrepasser son autorité sans contrôle. Cela porte atteinte à la croyance fondamentale de notre société selon laquelle l’individu a le droit et la liberté de choisir. Le choix de recevoir ou non des traitements médicaux a toujours été un droit individuel au Canada. Le Rapport national canadien sur l’immunisation (1996) déclare : « La vaccination n’est pas obligatoire au Canada ; cela ne peut pas être rendu obligatoire en raison de la Constitution canadienne. 6 » L’article 2 de la Charte garantit ces libertés fondamentales à travers la liberté de conscience (sous-section a) et la liberté de pensée, de croyance, d’opinion et d’expression (sous-section b) 7 . Sans la liberté de choix des individus, nous n’aurions pas de société démocratique.

Bien que le Code de Nuremberg ne soit pas une loi, il est internationalement accepté et est conforme à l’esprit de notre Charte et de notre Déclaration des droits. Un élément clé du Code de Nuremberg est que les participants à une expérience médicale doivent participer volontairement, sans aucune forme de force ou de coercition 8 . Nous avons obtenu des documents de plusieurs médecins canadiens qui ont expliqué que les options de traitement actuelles contre la COVID-19 au Canada, appelées « vaccins », ont récemment été autorisées en tant que nouveaux médicaments malgré l’absence de données à long terme 9 . Selon ces médecins canadiens accrédités, ces options de traitement ne répondaient aux critères des vrais vaccins que très récemment, lorsque la définition de vaccin a été modifiée 10,11.. Sans données à long terme, ces vaccins sont encore expérimentaux. Nous pensons que le fait de supprimer les droits et libertés des citoyens qui refusent de participer à des options spécifiques de traitement contre la COVID-19 est une forme de coercition.

Le Code criminel contient les infractions criminelles de notre pays et explique qu’une personne commet une agression en appliquant intentionnellement la force à quelqu’un d’autre sans le consentement de cette personne 12 . Le Code criminel explique en outre que le consentement n’est pas obtenu de la part d’une personne qui se soumet ou néglige de résister en raison de l’autorité exercée sur elle 13 . Comment alors quelqu’un peut-il donner son consentement à une injection de traitement contre le COVID-19 alors qu’il le fait sous la menace de perdre son emploi, ses libertés ou ses moyens de subsistance ? Les tribunaux canadiens ont déjà statué qu’un traitement médical sans consentement éclairé approprié constitue une agression 14 .

En tant qu’agents chargés de l’application des lois, nous ne pouvons pas, en toute bonne conscience, participer volontairement à l’application de mandats qui violent les lois de notre pays et portent atteinte aux droits et libertés des personnes que nous protégeons.

Les On Oublie

Chaque année, le 11 novembre, nous nous souvenons de ceux qui ont sacrifié leur vie pour nos libertés. De Flanders Field à Juno Beach, de nombreux Canadiens ont saigné et sont morts en combattant des nations tyranniques. Nous devons nous souvenir des événements passés pour éviter la répétition des plus grandes erreurs de l’histoire.

Le 30 septembre, nous avons eu l’occasion de réfléchir à ces moments lors de notre première Journée nationale pour la vérité et la réconciliation. Sous la direction du gouvernement du Canada, les membres de la GRC recevaient autrefois des ordres légaux pour retirer les enfants de leur domicile et les transporter dans des pensionnats. Le Canada se remet encore des conséquences de ces décisions et actions. La GRC n’a pas encore regagné la confiance de certains citoyens.

Il fut un temps où les scientifiques croyaient que les humains étaient divisés en hiérarchies raciales et que le niveau d’intelligence et les caractéristiques d’une personne étaient déterminés par la race 15 . Ces croyances n’ont pas été fortement contestées et ont été largement acceptées comme des faits scientifiques 16 . La phrénologie était également largement acceptée comme étant une étude scientifique légitime 17 . Il ne s’agit pas là d’exemples d’erreurs scientifiques, mais d’exemples de personnes menant des enquêtes médiocres ou comprenant mal leurs conclusions. Ce ne sont là que deux exemples historiques de vérités scientifiques largement acceptées, qui sont devenues des pratiques ridiculisées.

Nous revenons sur cette époque de hiérarchie raciale et nous nous demandons comment quelque chose d’aussi faux a pu être si largement accepté comme étant la vérité. Il est tout aussi difficile pour beaucoup de gens d’imaginer comment les agents de la GRC ont pu suivre aveuglément des ordres légaux qui ont dévasté tant de vies. Pourtant, nous nous trouvons maintenant dans des eaux dangereuses, alors que les agents de la GRC sont forcés, sous la contrainte et la contrainte, de participer à des actions qu’ils estiment aller à l’encontre de l’esprit des lois canadiennes.

Nous trouvons ironique qu’une organisation qui prône l’honneur et le respect des valeurs canadiennes et le sacrifice de ses anciens combattants appuie des actions qui contredisent les valeurs pour lesquelles nos anciens combattants se sont battus. L’application des règles d’identification et des points de contrôle était une première étape dans ce qui allait devenir l’Holocauste. Des citoyens canadiens de divers horizons sont isolés et punis pour avoir choisi de ne pas divulguer une décision médicale personnelle. Nous ne pouvons imaginer une façon plus ironique et cruelle pour nos gouvernements de rendre hommage aux sacrifices que les Canadiens ont consentis dans le monde entier pour protéger les libertés individuelles qu’en participant à un processus qui prive ces libertés.

Aujourd’hui, au lieu d’avoir une seule version de la « vérité » scientifique pendant cette pandémie, nous avons des versions qui se contredisent. Comment certains professionnels peuvent-ils être si certains que leur interprétation de la science est correcte alors que d’autres prouvent le contraire ? L’histoire a déjà démontré que nous nous trompons même lorsque nos scientifiques sont d’accord.

Nous reconnaissons qu’il existe un large éventail de croyances liées à cette pandémie. Par souci de simplicité, nous ferons référence à deux écoles de pensée principales : le récit commun (ceux qui croient que les injections actuelles du traitement contre la COVID-19 sont la voie à suivre pour surmonter la pandémie) et ceux qui ont des inquiétudes concernant les injections du traitement contre la COVID-19. Il est important de noter que nous ne parlons pas des « antivaxxers » dans cette lettre. Nous discutons de personnes ayant différents statuts vaccinaux qui posent des questions sur les options actuelles de traitement contre le COVID-19 qui leur sont imposées.

Les membres de la GRC ne sont ni des scientifiques ni des professionnels de la santé. notre profession est l’application de la loi. Nous ne prétendons pas être des experts dans les domaines médicaux ou scientifiques, mais nous sommes des enquêteurs expérimentés et professionnels : nous recherchons les faits. Les enquêtes appropriées suivent des pratiques simples qui restent cohérentes dans la plupart des domaines. Ces pratiques incluent, sans toutefois s’y limiter : poser les bonnes questions, suivre les preuves, être conscient de la manière dont les biais peuvent affecter les résultats et permettre aux preuves de pointer vers la conclusion – ne pas permettre à la conclusion de pointer vers les preuves. Plus important encore, une enquête appropriée doit être menée de la manière la plus objective possible et suivre le principe selon lequel il vaut mieux avoir des questions auxquelles on ne peut répondre que des réponses qui ne peuvent être remises en question.

La pandémie de COVID-19 a amené plusieurs scientifiques et professionnels de la santé à nous fournir des informations qu’ils qualifient de « scientifiques », de « scientifiques » ou de « faits ». Le problème avec bon nombre de ces déclarations est que les informations fournies contredisaient souvent un autre élément de « fait scientifique » produit par un professionnel tout aussi qualifié. Cela rend presque impossible pour une personne moyenne de savoir quoi croire et quoi ne pas croire.

En tant qu’enquêteurs expérimentés, nous regardons au-delà des informations fournies et nous nous concentrons sur la manière dont les informations sont présentées. Cela nous permet d’avoir un aperçu de la crédibilité de l’information. Certains professionnels font des déclarations définitives telles que « C’est sûr et efficace » ou « C’est la voie à suivre », donnant peu ou pas d’explications sur la manière dont ils sont arrivés à leur conclusion. Lorsque les informations fournies sont contestées ou remises en question, la réponse indique souvent que la réponse est quelque chose qui ne peut être remise en question. Le CDC a récemment modifié sa définition de l’immunité et du vaccin 10,11 , permettant aux injections actuelles du traitement contre la COVID-19 de correspondre à la définition. Ceci est un exemple d’actions prises lorsque vous permettez à votre conclusion de pointer vers vos preuves.

Le nombre de décès liés aux injections de COVID-19 augmente et les mandats sont imposés au nom de la « sécurité sur le lieu de travail ». Les employés non consentants des compagnies aériennes repoussent.

D’autres professionnels qualifiés ont fourni des informations alternatives pendant cette pandémie. Nous croyons non pas à leurs résultats, mais à la manière dont ils y sont parvenus. Ces professionnels ont tous été capables d’articuler assez bien leurs conclusions et admettent rapidement les questions restantes auxquelles ils ne peuvent pas répondre. Ces professionnels (du Canada 18 et de l’étranger 19 ) ont exprimé des avertissements et des inquiétudes concernant les options actuelles de traitement de la COVID-19 tolérées par les gouvernements. Certaines de ces préoccupations suggèrent un nombre d’effets secondaires modérés à graves plus élevé que la moyenne des « vaccinations » contre la COVID-19 par rapport à nos vaccinations traditionnelles.19. D’autres ont déclaré que les options de traitement actuelles contre la COVID-19 s’avèrent moins efficaces qu’on ne le pensait initialement 20,21 .

Nous avons joint plusieurs documents en annexe à cette lettre qui contiennent des informations qui, selon nous, soulèvent des préoccupations raisonnables concernant les mandats actuels de vaccination contre la COVID-19 observés dans tout notre pays. Nous vous encourageons à examiner attentivement les documents et les travaux auxquels chaque document fait référence. Même si nous comprenons que nous avons fourni beaucoup de documents – dont la lecture prendra du temps et des ressources – nous pensons que le fait qu’il existe tant de preuves s’opposant au déploiement obligatoire des traitements actuels contre le COVID-19 est une raison suffisante pour prendre en compte nos préoccupations. sérieusement.

Des articles scientifiques suggèrent également que l’immunité naturelle constitue une meilleure forme de protection que celle que la vaccination contre la COVID-19 peut apporter 21-24 . Pourquoi le dépistage des anticorps n’est-il pas envisagé comme une option potentielle pour les membres de la GRC ?

Voici une liste des documents que nous avons joints à cette lettre. Ces documents sont un échantillon de ce qui est disponible et ont été rédigés par des personnes (ou des groupes) de professionnels scientifiques ou médicaux dans des domaines directement liés à la pandémie de COVID-19. Nous nous en remettons à leur expertise.

  • Annexe A Ceci est une lettre ouverte du Dr Eric Payne, neurologue pédiatrique en Alberta, au Collège des médecins et chirurgiens de l’Alberta. Dans sa lettre, le Dr Payne souligne plusieurs incohérences qu’il a trouvées avec le récit commun. Le Dr Payne cite plusieurs sources du monde entier tout au long de sa lettre.
  • Annexe B Ceci est la Déclaration de l’Alliance canadienne pour les soins Covid. Ce document richement documenté fournit des informations sur la pandémie actuelle et formule des recommandations basées sur leurs conclusions.
  • Annexe C Il s’agit d’une lettre du Dr Byram Bridle, immunologiste viral en Ontario, adressée au président de l’Université de Guelph. Le Dr Bridle utilise sa vaste expérience et ses qualifications pour expliquer ses préoccupations concernant le récit commun entourant les injections du traitement contre la COVID-19. Le Dr Bridle exprime également ses préoccupations concernant les mandats sanitaires liés à la COVID-19.
  • Annexe D Ceci est une lettre ouverte de Health Professionals United aux Alberta Health Services. La lettre expose les raisons pour lesquelles plusieurs travailleurs de la santé de première ligne en Alberta s’opposent fortement aux mandats de vaccination obligatoire contre la COVID-19.
  • Annexe E Ceci est une lettre ouverte des travailleurs de la santé de première ligne en Colombie-Britannique adressée à la Dre Bonnie Henry, à Adrian Dix et au premier ministre John Horgan. Les auteurs affirment que leurs expériences et leur expertise sont ignorées et demandent que les mandats de vaccination soient révoqués.
  • Annexe F Il s’agit d’un rapport du Dr Tess Lawrie du Royaume-Uni. Le Dr Lawrie démontre le nombre anormal d’effets indésirables signalés suite aux injections actuelles du traitement contre la COVID-19.
  • Annexe G Il s’agit d’un rapport complet comparant l’immunité naturelle contre la COVID-19 à l’immunité induite par le vaccin. Il était composé de plusieurs scientifiques de l’Ontario et de la Colombie-Britannique.

La censure

Nous ne sommes pas contre la vaccination et nous essayons d’aider notre pays à traverser cette pandémie. Nous voulons participer d’une manière sûre pour notre bien-être physique et mental. Nous pensons qu’il est essentiel que les gens participent avec un consentement pleinement éclairé en comprenant tous les risques liés à ce à quoi on leur demande (ou dans ce cas, on les force) de participer.

En tant que policiers expérimentés, nous nous sommes habitués à ce que les médias nous présentent de manière négative ou à ce que les médias dénaturent les résultats d’un incident policier. Il ne serait guère surprenant pour nous d’apprendre qu’une agence médiatique ait mal rapporté un incident. Cependant, nous avons été surpris d’apprendre que plusieurs de ces scientifiques et médecins, qui remettaient en question les informations qui alimentaient les mandats de traitement du COVID-19, parlaient également de censure 25-27 .

En tant qu’enquêteurs expérimentés, nous savons qu’il est de notre responsabilité de présenter tous les faits disponibles au public – par procuration des tribunaux. Il ne nous appartient pas de décider quel devrait être le résultat d’une enquête. Notre travail consiste à recueillir toutes les données disponibles afin que le public (les tribunaux) puisse prendre une décision éclairée. Nous avons appris des erreurs passées que présenter des preuves qui ne soutiennent qu’une seule partie, tout en ignorant ou en refusant de reconnaître les preuves de l’autre partie, est une erreur et ternit une enquête. Nous ne pouvons pas fournir des témoignages de témoins qui s’accordent sur une version tout en ignorant ou en cachant les témoins qui s’accordent sur une version différente d’un incident.

Il serait impensable que des membres de la GRC ignorent ouvertement des témoins dans le cadre d’une enquête afin d’induire les tribunaux en erreur. L’enquête perdrait toute intégrité et les membres seraient critiqués. Pourquoi alors permettons-nous que ce même comportement se produise de la part d’autres personnalités publiques ? Il y a des professionnels de la santé accrédités dans notre propre pays qui tentent désespérément de faire entendre leurs conclusions. Au lieu de permettre à ces professionnels de s’exprimer librement et de discuter publiquement de leurs résultats, ils sont réduits au silence par les instances dirigeantes 25-27 .

Notre expérience en matière d’application de la loi et d’enquêteurs nous a permis de constater à quel point il est crucial que ces professionnels puissent s’exprimer ouvertement et publiquement. Sans que les informations soient incluses dans les discussions, nous pensons que les citoyens du Canada (y compris les membres de la GRC) ne reçoivent pas les informations dont ils ont besoin pour prendre une décision éclairée. Cela est contraire à nos lois et à nos croyances, et nous ne le soutenons pas.

Ces professionnels de la santé ont tenté de se lever et de soutenir leur pays. Nous nous levons désormais et les soutenons. Ils doivent être autorisés à partager leurs informations publiquement pour maintenir la confiance du peuple dans le gouvernement. Si la population croit que le gouvernement continue de censurer les experts, le pays sombrera dans l’instabilité. Ceci est courant partout dans le monde dans les pays dont les gouvernements tyranniques captent les informations de leur population.

Discrimination

Nous nous opposons fermement à la discrimination qui a déjà commencé à créer une ségrégation dans notre pays. Elle a divisé des familles, mis fin à des amitiés, déchiré des conjoints et fait son entrée dans le milieu de travail de la GRC. Nous pensons que les messages actuels diffusés par nos gouvernements provincial et fédéral favorisent la création d’un groupe interne appelé « Vaccinés » et d’un groupe externe appelé « Non vaccinés ». Pire encore, ce groupe externe a été qualifié d’« anti-vaccins », un terme utilisé hors contexte de manière négative et désobligeante. Les messages de nos gouvernements provoquent la déshumanisation du groupe des « non vaccinés ». En déshumanisant les membres du groupe extérieur, une institution crée un fossé plus grand entre eux et le groupe interne. 28

Les services de police de partout au Canada sont fiers de leurs efforts pour embaucher des agents qui reflètent les communautés qu’ils servent. Cela permet aux membres de la communauté d’établir des relations avec leurs agents et de les considérer comme faisant partie de la communauté. Nous sommes des représentants de nos communautés au sein de la GRC et des représentants de la GRC dans nos communautés. Avoir une force de police composée uniquement de personnes « vaccinées » tout en servant des communautés composées de personnes « non vaccinées » éliminera certaines des similitudes que les membres de la GRC partagent avec leurs communautés. Cela créera un plus grand sentiment de « nous contre eux » entre les communautés et la police, ce qui contredit le modèle de police communautaire que la GRC s’efforce d’instaurer depuis des décennies. Nous prévoyons que, à moins que cette situation ne soit corrigée rapidement, la fracture continuera d’augmenter dans notre pays.

Déshumaniser les individus est un défi. Il est plus facile d’attribuer une étiquette et de stigmatiser un groupe. De cette façon, toute personne ou tout ce qui vient du groupe peut être radié 28 . Le terme « anti-vaxxer » est actuellement utilisé pour étiqueter et regrouper les gens dans une catégorie afin de leur enlever leur crédibilité. Cela a permis d’écrire et de dire des choses contre ce groupe qui seraient intolérables si elles étaient écrites ou dites à propos de n’importe quel autre groupe.

Le 26 août 2021, le Toronto Star a publié un article qui disait en gros caractères gras : « Je n’ai plus aucune empathie pour ceux qui ne sont volontairement pas vaccinés. Laisse les mourir. Honnêtement, je m’en fiche s’ils meurent du COVID. Pas même un peu. Les patients non vaccinés ne méritent pas de lits en soins intensifs. À ce stade, peu importe. Mettez les non vaccinés dans une tente à l’extérieur et soignez-les lorsque le personnel a le temps. 29,30 » Si « volontairement non vacciné » avait été remplacé par « Noir », « Gay » ou « volontairement musulman », cela aurait été qualifié de crime de haine. Comment alors permettre que de telles choses soient dites à propos de personnes qui choisissent de ne pas bénéficier d’une intervention médicale ? Devrions-nous autoriser le même message pour ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre la grippe une saison ?

L’audace de cette déclaration publiée dans un grand journal montre à quel point il est acceptable dans notre société de traiter les gens comme une classe inférieure de citoyens. En tant que membres de la GRC, nous devons préserver la paix dans nos communautés et mettre un terme à cela.

Santé physique et mentale

Cette pandémie a amené les gens à se sentir de plus en plus isolés de leurs amis, de leur famille et de leurs pairs. Les membres de la GRC sont déjà confrontés à des niveaux plus élevés de stress et de maladies mentales en raison de la nature de notre travail. Les membres touchés par le mandat de double vaccination ont été confrontés à un stress et à un isolement accrus alors qu’ils ont vu leur statut de citoyens et de membres réguliers commencer à diminuer. Le soutien à ces membres est actuellement insuffisant et il ne semble pas y avoir de plan permettant de fournir un soutien adéquat.

La récente mise à jour de la vaccination a laissé certaines personnes plus isolées que jamais. Dans des moments comme celui-ci, les gens ont besoin du soutien d’une communauté, et nos membres ne font pas exception. Nous craignons que de plus en plus de membres aient peur de parler de ces récentes mises à jour, de peur d’être ciblés. De nombreux membres essaient peut-être de s’en sortir par eux-mêmes, ou pire, souffrent en silence. Nous vous demandons d’essayer de tendre la main, en partenariat avec la FNP, à tous les membres qui pourraient être affectés négativement par ces mandats et de leur faire savoir que leur employeur et les gouvernements les soutiennent.

Bien que la plupart des gens semblent ressentir peu ou pas d’effets secondaires dus aux injections du traitement contre la COVID-19, un nombre anormal d’effets indésirables modérés à graves ont entraîné la mort 31 . Quelles garanties avons-nous que les injections ne provoqueront pas d’effets secondaires à court ou à long terme ? Des études montrent que le stress et le sommeil peuvent jouer un rôle important dans l’efficacité ou non d’un vaccin 32,33 . Assurez-vous que les membres de la GRC bénéficient d’un repos suffisant avant une injection ? Quelles mesures la GRC prendra-t-elle pour garantir que ses membres soient indemnisés pour les effets secondaires indésirables ?

Nous pensons également que suffisamment de preuves ont été présentées pour nous demander si les actions de nos gouvernements face à cette pandémie sont les plus appropriées. Cela crée un stress moral et éthique pour certains membres, car ils ne croient plus que leur rôle de policier reflète la démocratie que le Canada prétend être. La santé mentale et les niveaux de stress auront un impact sur la façon dont les membres interagissent avec le public.

Parallèlement à la violence domestique

La GRC nous a appris l’importance et la gravité de la violence familiale. La violence domestique est centrée sur le pouvoir et le contrôle entre un agresseur et une victime. L’un des plus gros problèmes liés à la violence domestique est qu’il y a souvent une escalade de la gravité des abus. Les membres de la GRC ont appris à reconnaître les signes indiquant qu’une personne est impliquée dans une relation abusive.

Il existe différents types de violence dans laquelle l’agresseur peut se livrer pour garder le contrôle sur sa victime : physique, financière et émotionnelle.

La violence psychologique est assez complexe et comprend souvent diverses tactiques telles que l’éloignement social de la victime de ses amis et de sa famille, le discrédit de la victime afin qu’elle ait du mal à obtenir le soutien des autres et lui faisant croire que ses pensées et ses croyances sont fausses. au point que la victime pense qu’elle doit être folle. En ce qui concerne les finances, un agresseur refusera de l’argent et des biens à la victime. Cela garantit que la victime ne peut pas survivre sans rester dans la relation abusive avec l’agresseur. Lorsqu’un agresseur a l’impression de perdre le contrôle de sa victime, il est assez courant qu’il intensifie ses tactiques pour garder le contrôle.

Le gouvernement fédéral affiche actuellement plusieurs de ces traits auprès de ses propres employés, y compris la GRC 34 .

Commissaire Lucki, nous comprenons que votre poste est nommé, et nous craignons que vous aussi soyez soumis à une relation similaire avec le Premier ministre. Même si vous, en tant que principal agent de la GRC, devez être impartial, vous pourriez être contraint de soutenir certaines de ces actions sous la contrainte. Nous vous demandons de faire ce que nous demandons à nos victimes de violence domestique : prendre position contre l’agresseur. Ce pays a besoin de personnes fortes et solidaires occupant des postes d’autorité. Veuillez montrer aux Canadiens que la GRC demeurera impartiale à l’égard des programmes politiques et fidèle à la Charte et à notre Déclaration des droits.

Intérêt public

Enfin, nous souhaitons attirer l’attention sur les problèmes de sécurité publique qui surgiront si ces mandats liés à la COVID-19 sont respectés.

Pierre Elliot Trudeau a dit un jour : « Il n’y a pas de place pour l’État dans les chambres à coucher de la nation. 35 « Comment se fait-il que notre gouvernement fédéral dise maintenant qu’il sera obligatoire pour les employés travaillant à domicile de recevoir les injections du traitement contre la COVID-19 ? 36

Quel que soit leur statut vaccinal, certains membres de la GRC estiment que les mesures prises par les gouvernements fédéral et provincial sont trop extrêmes et ne servent pas le meilleur intérêt des citoyens canadiens. En imposant ces mandats, plusieurs agents de la GRC perdront confiance dans l’engagement du gouvernement fédéral envers la Charte. Ces agents de la GRC ne participeront pas à des actions qu’ils estiment contraires à leur morale, à leur éthique et aux lois canadiennes. Ces agents de la GRC estiment qu’il est de leur responsabilité de contester le gouvernement fédéral devant les tribunaux si nécessaire.

La GRC, qui manque déjà de personnel, aura des lacunes supplémentaires à combler partout au pays lorsque ces membres ne travaillent pas. Les communautés auront perdu des agents en bonne santé et expérimentés, entraînant une diminution des ressources disponibles. Il y aura également une augmentation des dépenses des contribuables à mesure que le gouvernement fédéral tentera de combler ces écarts. Le manque de personnel aura pour effet de réduire le nombre d’organismes de la GRC disponibles pour recruter, évaluer et effectuer des vérifications adéquates des antécédents des cadets potentiels.

Notre expérience en matière d’application de la loi et d’enquêteurs nous a permis de constater à quel point il est crucial que les professionnels puissent s’exprimer ouvertement et publiquement. Sans inclure leurs informations dans les discussions, nous pensons que les citoyens du Canada (y compris les membres de la GRC) ne reçoivent pas les informations dont ils ont besoin pour prendre une décision éclairée. Cela est contraire à nos lois et à nos croyances, et nous ne le soutenons pas.

Nous souhaitons réitérer un point énoncé plus tôt dans cette lettre, afin qu’il soit rappelé. Si la population croit que le gouvernement continue de censurer les experts, le pays sombrera dans l’instabilité. Nous sommes experts en matière d’application de la loi et d’enquêtes. Nous perdons confiance dans les motivations de notre gouvernement et nous ne participerons pas volontairement à des actions contre des personnes dont les droits et libertés garantis par la Charte sont bafoués.

Appel à l’action

Commissaire Lucki, nous vous demandons de représenter la meilleure image de la GRC en restant fidèle à la Charte et à la Déclaration des droits et non à une personnalité publique en particulier. Notre travail en tant que gendarmes est de préserver la paix. Si nous continuons sur cette voie de ségrégation et de discrimination, nous risquons de répéter les erreurs du passé. Le fossé dans notre société penche rapidement vers un niveau de sécurité nationale. Nous vous demandons d’ouvrir une enquête pour vous assurer qu’aucun acte criminel n’a été commis lors de la diffusion d’informations émanant des autorités sanitaires fédérales et provinciales ou de personnalités publiques occupant des postes de confiance. Nous vous demandons d’envoyer des enquêteurs recueillir les déclarations des professionnels de la santé (et d’autres témoins fiables) qui affirment avoir été réduits au silence, mettant ainsi des vies en danger.

Permettez-nous de rendre ces informations accessibles à tous afin que le public puisse les examiner et obtenir un consentement éclairé. En tant que force de police nationale du Canada, nous sommes uniques dans notre capacité à mener une enquête pancanadienne à grande échelle, qui doit être transparente pour regagner la confiance dans le gouvernement.

Nous vous demandons également de contester la décision du gouvernement fédéral de renvoyer les membres de la GRC chez eux sans salaire pour les décisions qu’ils ont prises sur la base de croyances protégées par les lois canadiennes. Ni la GRC, ni les communautés qu’elle dessert, ne peuvent supporter la perte de policiers expérimentés.

Nous attendons votre réponse et votre plan d’action.

Respectueusement,
Mounties for Freedom

cc.

L’honorable Bill Blair, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile L’honorable Jean-Yves Duclos, président du Conseil du Trésor du Canada Brian Sauvé, président de la Fédération nationale des policiers

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Remarques

  1. Connolly, Amanda, « L’avis proposant des options aux travailleurs fédéraux qui refusent les vaccins était « erroné » : Trudeau », Global News (2021). Consulté le 30 septembre 2021, https://globalnews.ca/news/8118913/canada-mandatory-vaccines-federal-workers/.
  2. Gouvernement du Canada, « Devoirs », Loi sur la Gendarmerie royale du Canada (LRC (1985), ch. R-10). Consulté le 19 octobre 2021, https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/acts/r-10/page-3.html .
  3. ———. « En savoir plus sur la Charte », consulté le 19 octobre 2021. https://www.justice.gc.ca/fra/csj-sjc/rfc-dlc/ccrf-ccdl/learn-apprend.html .
  4. ———. « Déclaration des droits », Déclaration canadienne des droits (SC 1960, ch. 44). Consulté le 19 octobre 2021. https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/acts/c-12.3/page-1.html .
  5. Ibid.
  6. Agence de la santé publique du Canada, « Rapport national canadien sur l’immunisation – 1996 », consulté le 19 octobre 2021, https://web.archive.org/web/20080414131846/http:/www.phac-aspc.gc.ca/publicat /ccdr-rmtc/97vol23/23s4/23s4b_e.html http://www.phacaspc.gc.ca/publicat/ccdr-rmtc/97vol23/23s4/23s4b_e.html
  7. Gouvernement du Canada, « Guide de la Charte canadienne des droits et libertés – Section 2 », consulté le 19 octobre 2021, https://www.canada.ca/fr/patrimoine-canadien/services/comment-droitsprotégés/guide-canadien -charter-rights-freedoms.html#a2b .
  8. National Institutes of Health, « The Nuremberg Code », consulté le 30 septembre 2021, https://history.nih.gov/display/history/Nuremberg+Code .
  9. Alliance canadienne des soins Covid, « Déclaration de l’Alliance canadienne des soins Covid » (24 septembre 2021), p. 18, par. 3. Annexe B.
  10. Payne, Eric, « OBJET : Mandat obligatoire en matière de vaccin à ARNm pour les médecins de l’Alberta » (14 septembre 2021), p. 1, par 1. Annexe A .
  11. Centers for Disease and Control Prevention, « Immunization : The Basics », consulté le 19 octobre 2021, https://www.cdc.gov/vaccines/vac-gen/imz-basics.htm .
  12. Gouvernement du Canada, « Voies de fait », Code criminel (LRC, 1985, ch. C-46), art. 265(1)(a). Consulté le 20 octobre 2021, https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/acts/c-46/FullText.html .
  13. ———. « Voies de fait », Code criminel (LRC, 1985, ch. C-46), art. 265(3)(d). Consulté le 20 octobre 2021, https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/acts/c-46/FullText.html .
  14. Cour suprême du Canada, « Hopp c. Lepp », 1980 CanLII 14 (CSC), [1980] 2 RCS 192. Consulté le 20 octobre 2021, https://www.canlii.org/en/ca/scc/doc/ 1980/1980canlii14/1980canlii14.html .
  15. Bryson, Bill, The Body, raconté par Bill Bryson (New York, NY : Random House Audio, 2019), édition audio Audible, 14 heures, 4 min.
  16. Ibid.
  17. Encyclopedia.com, « Phrenology in Nineteenth-Century Britain and America », consulté le 19 octobre 2021, https://www.encyclopedia.com/science/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/phrenology-nineteenth-century-britain -et-l’Amérique .
  18. Alliance canadienne des soins Covid, « Déclaration de l’Alliance canadienne des soins Covid » (24 septembre 2021), p. 2, par. 1. Annexe B .
  19. Dolan, Mark et Lawrie, Tess, « 16 juillet 2021 », YouTube, 16 juillet 2021, entretien, 14 min 56 s. Consulté le 19 octobre 2021, https://www.youtube.com/watch?v=PgsXVe9IXco&t=2s .
  20. Lawrie, Tess, « RE : Rapport préliminaire urgent sur les données du carton jaune jusqu’au 26 mai 2021 » (9 juin 2021), p. 6, par. 4. Annexe F.
  21. Bridle, Byram, « Les vaccins contre la COVID-19 et les enfants : un guide scientifique à l’intention des parents » (15 juin 2021), p. 2, par. 2. Consulté le 20 octobre 2020, https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/06/2021-06-15-children_and_covid-19_vaccines_full_guide.pdf .
  22. Alliance canadienne des soins Covid, « Déclaration de l’Alliance canadienne des soins Covid » (24 septembre 2021), p. 2-3. Annexe B .
  23. Bridle, Byram, « Une lettre ouverte au président de l’Université de Guelph » (17 septembre 2021), p. 2. Annexe C.
  24. Mallard, Bonnie et al., « Qu’est-ce qui est le meilleur pour la prévention future du COVID-19 : l’immunité suite à une infection naturelle ou l’immunité induite par le vaccin ? » (8 octobre 2021), p. 2, par. 3. Annexe G .
  25. Payne, Eric, « OBJET : Mandat obligatoire en matière de vaccin à ARNm pour les médecins de l’Alberta » (14 septembre 2021), p. 1-14. Annexe A .
  26. Dzsurdzsa, Cosmin, « Derek Sloan organise une conférence de presse avec des médecins censurés », True North News. Consulté le 20 octobre, https://tnc.news/2021/06/17/derek-sloan-hosts-press-conference-with-censored-doctors/ .
  27. Sloan, Derek, « La censure au Canada », Vimeo, 17 juin 2021, Conférence de presse parlementaire de CPAC, 15 h 15. Consulté le 20 octobre 2021, https://standupcanada.solutions/censorship-in-canada .
  28. Wilkerson, Isabel, Caste, raconté par Robin Miles (New York, NY : Random House Audio, 2020), édition audio Audible, 14 heures, 26 min.
  29. Slapinski, Mark, « ‘Hate Speech’: The Toronto Star Slammed for Headline Wishing Death on the Unvaccinated », Toronto 99. Consulté le 20 octobre 2021, https://www.toronto99.com/2021/08/26/hate- discours-la-star-de-toronto-claqué-pour-le-titre-souhaitant-la mort-aux-non-vaccinés/ .
  30. Bridle, Byram, « Une lettre ouverte au président de l’Université de Guelph » (17 septembre 2021), p. 5. Annexe C.
  31. Dolan, Mark et Lawrie, Tess, « 16 juillet 2021 », YouTube, 16 juillet 2021, entretien, 14 min 56 s. Consulté le 20 octobre 2021, https://www.youtube.com/watch?v=PgsXVe9IXco&t=2s .
  32. Walker, Matthew, Why We Sleep, raconté par Steve West (New York, NY : Simon et Schuster Audio, 2017), édition audio Audible, 13 heures 52 minutes.
  33. Ibid.
  34. Sauvé, Brian, « Les membres qui ne remplissent pas une attestation de vaccination complète peuvent s’attendre à être mis en congé administratif sans solde », Fédération nationale de la police (7 octobre 2021). Diffusion par courriel aux membres des FNP.
  35. Archives de CBC, « Trudeau : Il n’y a pas de place pour l’État dans les chambres à coucher de la nation », CBC News (1967). Consulté le 20 octobre 2021, https://www.cbc.ca/archives/entry/omnibus-bill-theres-no-place-for-the-state-in-the- chambers-of-the-nation .
  36. Johnson, Gail, « Déclarez votre statut vaccinal contre le Covid-19 », GRC NOC News. Diffusion de courriels aux membres de la GRC.

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Mounties for Freedom , 2021

Source : Global Research.ca

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