L’immobilier de bureaux.
Introduction.
Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.
Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.
La petite annonce du jour :
« Recherche terrain pour construction du futur siège de l’ONU. États-Unis d’Amérique, s’abstenir.
Faire une offre à Vladimir POUTINE, poste restante, le Kremlin ».
Nous avons tous déjà entendu parler de l’Organisation des Nations unies (ONU) dont le siège est à New York. En pleine seconde guerre mondiale, le 20 octobre 1943, l’Union soviétique, le Royaume-Uni, les États-Unis et la Chine affirment, dans une déclaration signée à Moscou, la nécessité d’établir, aussitôt que possible, une organisation internationale fondée sur le principe de l’égalité souveraine entre tous les États pacifiques. Ces quatre pays préconisent la création d’une organisation internationale chargée du maintien de la paix et de la sécurité.
Le 26 juin 1945 à San Francisco, est signée la Charte de l’ONU, par la Chine, les États-Unis , la France, le Royaume-Uni, l’URSS et la majorité des 46 autres pays signataires. Elle marque l’existence officielle de l’Organisation des Nations unies.
Le quartier général de l’organisation est situé à New York, à l’angle de la 1Street avenue et de la 42nd Street, en bordure de l’East River. Deux points peu connus retiennent mon attention :
- Lors du choix de l’Amérique et de New York, le gouvernement américain s’était engagé à recevoir les délégations de chaque État membre, quelles que soient ses relations avec lui.
- Le territoire sur lequel est édifié le siège de l’ONU est considéré comme un territoire international. Les lois américaines ne s’y appliquent pas, mais…
Le principe aberrant de « l’extra-territorialité » des lois américaines est illégal sur le plan du droit international, ce qui ne prive pas les USA d’en user et abuser. Si l’on y ajoute les « sanctions »…
Récemment, la Russie a demandé 56 visas aux États-Unis pour permettre au ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, et à sa délégation de se rendre au rassemblement annuel des dirigeants mondiaux à l’ONU, ce mois-ci. Il n’en a reçu aucun jusqu’à présent !!!
C’est la raison pour laquelle, la Fédération de Russie propose de déplacer le siège de cette docte assemblée… vers un autre pays qui, lui, respecterait les obligations d’un État hôte de l’Organisation. Connaissez-vous un volontaire ? Ce « détail de l’histoire » ne doit pas nous faire oublier que c’est à chacun de nous qu’il appartient de s’engager pour que le mot « droit » soit une réalité juridique « non élastique ».
« Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps.
Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps.
Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps »
Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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