Lettre d’une maman de militaire…
A monsieur le président,,,,,
constatant que vous ne vous êtes pas manifesté publiquement à la suite des 2 tribunes des militaires et celle des forces de l’ordre, parue récemment, je me suis engagée à prendre la plume afin d’exprimer les sentiments qui m’animent sur l’avenir très pessimiste que ces hommes héroïques ont de l’avenir du pays et sur les épreuves morales qu’ils traversent,,, face aux événements tragiques qui secouent la France, je ne pouvais demeurer indifférente et silencieuse plus longtemps (ces événements m’imposent cette démarche citoyenne) c’est donc avec mes tripes que je rédige cette lettre afin de défendre l’honneur de ces militaires d’abord sur lesquels certains de vos ministres ont jeté l’opprobre, puis ensuite de notre Police,,,,,,, non monsieur le président, nos militaires ne sont ni lâches ni facétieux ni des retraités en charentaises,,,, ces hommes, dévoués à la patrie méritent tout notre respect et non des propos injurieux, que j’ai entendu de la bouche de ministres,,,,, ils ont assumé des missions avec bravoure au Mali, Centre Afrique et ailleurs, certains y ont laissé leur vie en combattant l’islamisme terroriste qui sévit également sur notre sol, car comme vous le savez, la France est devenue une cible pour ces illuminés, foncièrement hostiles à la France, ces individus armés, cagoulés au nom de leur dieu se livrent à des actes sanglants en toute impunité, sur notre territoire, faisant peser sur la France une menace constante,,,,,, même dans mes plus funestes appréhensions je n’aurai imaginé qu’en France on puisse aujourd’hui décapiter un prêtre, un enseignant, égorger un membre des forces de l’ordre, en somme massacrer quiconque représente la République et ses valeurs,,,, ces militaires n’ont fait que vous interpeller sur l’inexorable effondrement de la France, vous demandant de prendre des mesures pour sauver celle ci de l’effroyable danger qu’elle court,,,,, et cela en raison de ces hordes de fous furieux islamisés qui ont le crime dans le sang et qui « tiennent » les banlieues sous leur coupe,,,, car oui aujourd’hui la France est un coupe gorge,,,,,,, je poursuis ma lettre au sujet des forces de l’ordre, confrontés quotidiennement à la haine des narcotrafiquants, du grand banditisme aussi islamisés que ceux précédemment cités,,,,, lynchée,, massacrée, sur laquelle on projette cocktail molotov, tirs de mortier par ces ramassis de voyoux, leur seul but étant de démolir du flic dont la présence dérange leur sale trafic, trafic qui contribue à nourrir leur famille et à se procurer des armes de gros calibre pour leur tirer dessus, tel du gibier,,,,, car le flic est une espèce à abattre,,,, ces ordures donc, n’hésitent plus à placarder les murs d’immeubles des photos de policiers et de leur famille,, et taguer les murs de menaces de mort à la « Samuel patty »,,,,,,, monsieur le président j’ai le cœur soulevé par tant d’horreurs et je remets en cause la justice pour son incapacité à appliquer les peines, la réponse pénale n’est pas adaptée, les condamnations doivent être exécutées à la hauteur des délits commis,,,,, le cas de l’individu qui a assassiné madame Halimi en est le triste et révoltant exemple,,,, monsieur le président, le gouvernement a pour mission de faire respecter l’autorité et la loi pour le bien être de ses citoyens,,, jusqu’à présent, il s’est montré plutôt impuissant à réprimer les crimes de ces assassins qui s’accroissent sur notre territoire, plutôt enclin à sanctionner les militaires qui ont lancé un appel déchirant et patriotique dans lequel vibrait leur passion de la France,,,,,,, la France qui veut sauvegarder ses traditions, sa culture, sa liberté que des êtres sans foi ni loi veulent en dépouiller,,,,, il est urgent également de prendre des dispositions afin de contenir l’immigration clandestine dans laquelle s’infiltrent des ennemis de la France, ceux-ci se répandant parmi nous comme la lèpre sur les miséreux,,,,,, pour éviter ainsi d’entraîner le pays vers une insurrection, une guerre civile, raciale dont vous porterez les responsabilités, je le crains,,,, entre la guerre et le déshonneur ne choisissez pas le déshonneur car vous aurez la guerre,,,, je forme le vœu que le pays retrouve sa lumière et je vous demande très humblement de mettre tout en œuvre pour sortir le pays de l’abîme dans lequel il s’enfonce et donc de restaurer sa grandeur et sa dignité,,, je vous prie d’agréer monsieur le président à l’expression de ma considération distinguée,,, ,,,, lettre d’une retraitée faisant partie de la majorité dite silencieuse.
source : Place d’Armes
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