Vous êtes ici: Accueil › Actualités › L’État profond français | La ploutocratie & son pouvoir tentaculaire | Claude Janvier, essayiste

L’État profond français | La ploutocratie & son pouvoir tentaculaire | Claude Janvier, essayiste

Vue(s) : 519

Diffusée comme Première il y a 88 minutes Pour Tribune Libre, le 10 octobre 2024, Stéphanie Reynaud s’entretient avec Claude Janvier, écrivain-essayiste : il nous parle de l’État profond français, ce millefeuille composé d’argent, de corruption, de cynisme, d’ambition, de compétence et d’incompétence, de jeux de pouvoirs et de chantages, de sexe, drogue et mondialisme.

➔ Pour consulter la page Babelio de Claude Janvier : https://www.babelio.com/auteur/Claude…

➔ Pour consulter la page Chiré de Claude Janvier : https://www.chire.fr/claude-janvier-1…

➔ Pour consulter la page Decitre de Claude Janvier : https://www.decitre.fr/auteur/6342325…

Retrouvez toutes les vidéos de Tribune Libre sur Odysee 🌍 MAYLODIE COMMUNITY diffusera désormais Tribune Libre à l’international

Lien du partage : https://t.me/MCWA_World_Awakening/6099

Lien du canal international Maylodie Community : https://t.me/+dM4FqhpzJN1iODU1

💗 POUR SOUTENIR LE TRAVAIL DE TRIBUNE LIBRE : Faire un DON pour aider dans ce combat : https://www.paypal.com/donate?hosted_…

Source : Tribune Libre

5 Réponse(s) à "L’État profond français | La ploutocratie & son pouvoir tentaculaire | Claude Janvier, essayiste"

Thierry Theller dit :

16 octobre 2024 à 13 h 22 min

État Profond

Le fond du puits de l’État Profond est un gouffre, un abîme de violences multiformes où, pourtant, la haine des expatriés de l’altruisme, et celle des despotes de l’humanité : ne manquera jamais, à l’instar, d’un boomerang divin, de se planter au cœur même de ceux qui la propagent.

Message charitable aux autocrates mondialistes, aux scélérats du dévoiement politique, ainsi qu’aux tyrans autoritaristes de tout poil, présents ou futurs : “ Les pleurs et les grincements de dents ”, ont toujours été le lot de tous les « Macrons » du monde !

Répondre
david dit :

16 octobre 2024 à 12 h 32 min

J’ai l’impression qu’on arrive en Grèce, on nous dit qu’on n’a plus d’argent, mais il est passé où cet argent ? Dites-nous où est passé l’argent ! » Ce monsieur exprime sa colère face à la gestion opaque des finances publiques.Le marché de l’électricité en France traverse une véritable tempête. Les taxes sur l’électricité ne cessent d’augmenter, créant un fardeau supplémentaire pour une population déjà étouffée par la pression économique. Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement les ménages modestes qui en souffrent : les familles de la classe moyenne, autrefois épargnées, peinent désormais à boucler leurs fins de mois. Les efforts pour économiser de l’énergie ne suffisent plus, et pour beaucoup, la vie se résume à une simple survie.

Les conséquences de cette situation sont dramatiques. Les commerces de proximité, pourtant essentiels dans les quartiers, ferment leurs portes les uns après les autres, incapables de supporter des charges devenues insoutenables. Plus tragiquement encore, certains citoyens, acculés par des dettes qu’ils ne peuvent plus rembourser, prennent des décisions désespérées. Cette crise énergétique va bien au-delà des factures impayées : elle expose un problème plus profond, celui d’un système dans lequel le peuple paie les erreurs des élites politiques et économiques.

Alors que le déficit public continue d’exploser, il est évident que rajouter des taxes ne peut pas être la solution. Jusqu’à quand le peuple tiendra-t-il sans s’effondrer ? La frustration monte, et la colère gronde.

Pendant que les citoyens se serrent la ceinture pour payer leurs factures d’électricité, les élites politiques continuent de mener un train de vie luxueux, à l’abri des difficultés quotidiennes. Ces politiciens, coupés des réalités du peuple, ne connaissent pas les sacrifices que font les Français pour préserver un minimum de dignité. Les contribuables, eux, s’interrogent : où va notre argent ? Comment expliquer que, malgré les impôts et taxes croissants, les services publics se dégradent et que les dépenses explosent ? Le fossé entre les classes dirigeantes et le reste de la population se creuse toujours plus.

Réduire le train de vie des politiques serait un premier pas vers une justice économique. Ce geste permettrait de restaurer une partie de la confiance perdue entre le peuple et ses dirigeants. Mais qui, parmi ceux au pouvoir, osera prendre cette décision ? Le système politique est solidement ancré dans ses privilèges et son confort.

De plus en plus de Français sont piégés par un système qui les force à payer toujours plus sans jamais avoir leur mot à dire. Les factures augmentent, les réponses des autorités sont insuffisantes. Pour beaucoup, il ne s’agit plus de vivre, mais de survivre. Combien de temps encore resteront-ils spectateurs de leur propre déclassement ?

Les méthodes traditionnelles de contestation, même les syndicats, semblent aujourd’hui dépassées. La situation est telle que seule une action collective permettra de faire entendre la voix du peuple. Le moment est venu de choisir : subir ou agir ?

Rendez-vous à 16h sur GPTV investigation pour découvrir ce que pensent vraiment les Français. https://planetes360.fr/jai-limpression-quon-arrive-en-grece-on-nous-dit-quon-na-plus-dargent-mais-il-est-passe-ou-cet-argent-dites-nous-ou-est-passe-largent-ce-monsieur-exprime-sa-colere-face-a-la-ge/

Répondre
Fiché S dit :

16 octobre 2024 à 9 h 22 min

« …ce millefeuille composé d’argent, de corruption, de cynisme, d’ambition, de compétence et d’incompétence, de jeux de pouvoirs et de chantages, de sexe, drogue et mondialisme… »

C’est une liste non exhaustive, il manque le maussade et « vous savez qui ».

Répondre
Annwn dit :

16 octobre 2024 à 8 h 48 min

Le véritable pouvoir auquel sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète, lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde. Ainsi, sous couvert d’anonymat capitalistique, quelques familles chapeautent tout l’édifice capitalistique mondiale.
Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est donc pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux.
Aussi, dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est « l’État profond », c’est-à-dire une réelle ploutocratie, apatride et supranationale, cachée derrière une démocratie, véritable coquille vide. Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise, parfois, lorsque c’est nécessaire, des méthodes plus musclées. La stratégie de la tension, les opérations ou attentats « sous faux drapeau », et la récente création et prolifération d’armées de proxy, formées de mercenaires, sont certaines des manifestations modernes de force employées par les « puissances d’argent » pour faire disparaître les États indépendants.
Rappelons que dans le contexte d’un rapport de force et de puissance, la présence d’États au sens politique du terme, c’est-à-dire d’États souverains, sont, par construction, les pires ennemis des « puissances d’argent ». C’est ainsi que la prise du contrôle étatique par l’oligarchie n’a, historiquement, fait l’économie d’aucun coup d’État, permanent ou non.
Depuis le XVIIIème siècle, toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde.
La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays.
Pour l’élite qui opère au niveau profond du pouvoir, le monde est un terrain d’affrontement où toutes les formes de guerre sont permises. L’information est une arme aussi cruciale que l’argent pour la lutte contre les opposants politiques, mais aussi pour le contrôle de l’opinion publique et la manipulation de la démocratie. Les acteurs profonds font l’histoire (history) en racontant des histoires (stories) au peuple. L’expression « état profond » pourrait donc aussi désigner le sommeil hypnotique dans lequel les vrais pouvoirs maintiennent la masse des citoyens pour gouverner à leur insu et, surtout, les amener à approuver la guerre.
NB : Seuls quelques hommes détiennent tous les pouvoirs sur cette planète.
Il y a ceux qui sont en bas de la hièrarchie (dirigeants de la quasi-totalité des nations, économistes, artistes, intellectuels, etc.) qui, généralement, ont opté pour le mondialisme « mou », c’est-à-dire un gouvernement mondial qui doit aboutir par la voie pacifique.
Puis il y a ceux qui sont à la tête de la « Pyramide » : c’est le « Gouvernement invisible ». Celui-ci vise également à l’instauration d’un « supergouvernement » mondial unique, mais en optant pour un mondialisme « dur », c’est-à-dire imposé par la force et la violence.
Les acteurs de ce « Gouvernement invisible » veulent devenir l’élite d’une future « race des seigneurs » qui gouvernera la terre en réduisant les peuples en esclavage, après les avoir, au préalable, réduit en nombre en les amenant à se détruire dans une guerre totale, après les avoir dressés les uns contre les autres.
Ces « architectes » du mondialisme « dur » se servent des « adeptes » du mondialisme « mou » pour imposer, à leur insu, la première partie de leur Plan. Une fois utilisés, ces derniers seront déposés et livrés à la vindicte populaire.
Ce « Gouvernement invisible » est animé d’une volonté de puissance dévastatrice pour ne pas dire « satanique ». Aussi, dans ses rouages profonds y excellent les psychopathes.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

Répondre
Michel numéro un dit :

16 octobre 2024 à 8 h 45 min

Etat profond, puissances financières ?

https://nouveau-monde.ca/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial/

Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse