Les tours de Manhattan.

Septembre 2001 aux États-Unis : analyse physique des évènements
Septembre 2024
Par Christian DARLOT
Résumé :
La version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat au Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique. Mais les principes fondamentaux de la Physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.
Une version précédente de cet article a été publiée en septembre 2021 sur le site du Saker francophone, cosignée par François ROBY, enseignant-chercheur en Physique, à qui la plus grande part de l’analyse physique est due. Ses obligations professionnelles ne lui laissant pas le temps d’examiner cette version révisée, François ROBY en a approuvé la publication mais n’a pas souhaité s’y associer.
Cet article et le suivant ont été publiés aussi sur le site Réseau International.
Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.
Septembre 2001 aux États-Unis : quelle fut l’origine des évènements ?
Christian DARLOT
Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences. Sénèque La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins. Edmund Burke
Tout pouvoir est une conspiration permanente. Honoré de Balzac
La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable. Mark Twain
On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles. Georges Courteline
Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique. Mar- shall McLuhan.
Le bobard dément prépare le bombardement. Éphraïm Camember, 29 juillet 1881.
Résumé :
Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis furent prétexte à des guerres dévastatrices, et la dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de ces attentats éclairent leur origine et leurs buts.
Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.
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